Il a porté sa croix jusqu'au Calvaire, il l'a embrassée. Déjà flagellé par les Romains, il s'est laissé clouer, pendre à cette croix. Ses proches ont fui, l'ont abandonné à l'heure de l'épreuve, les ennemis se sont moqués de ce qu'il saignait, la souffrance les a regardés et leur a dit : "Père, pardonne-leur !
Qu'est-ce que c'est, comment un tel amour sacrificiel est-il possible ? Ce Jésus, qui est devenu le nom le plus célèbre du monde, dont la naissance marque le début de notre ère civile et dont le livre, la Bible, est devenu le plus lu. La réponse ne peut être trouvée que dans ce même livre, où il est dit : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle". Il s'agissait donc d'un amour pour chacun d'entre nous dans le but de nous sauver pour la vie éternelle.
La mort est garantie à cent pour cent pour tout le monde, personne n'y échappe. Mais ce Jésus, qui est également mort sur la croix, est censé avoir vaincu la mort et être ressuscité le troisième jour. Je pense que nous avons besoin d'une explication : comment est-ce possible ? La réponse se trouve à nouveau dans la Bible. Elle dit que "le salaire du péché, c'est la mort", et que Jésus, en tant que Fils de Dieu, a vécu une vie sans péché, et que la mort n'a donc pas pu le retenir.
Nous savons que nous, les gens ordinaires, péchons tous les jours. Nous calomnions, mentons, exploitons, haïssons et traitons les autres sans amour, etc. La liste est aussi infinie que l'amour de Jésus pour nous lorsqu'il se charge de tous nos milliards de péchés sur la croix, comme un aimant géant. Et devant Dieu le Père, il dit alors "Pardonne-leur", et que pourrait alors faire Dieu si ce n'est nous pardonner une fois nos péchés effacés sur la croix. Par ce pardon et cette libération du péché, le chemin s'est soudain ouvert vers la vie éternelle, alors que la mort avait perdu son droit de nous garder.
La plus grande question et la plus grande peur de chaque cœur humain, c'est probablement la "mort". Devrions-nous simplement cesser d'exister comme si nous n'avions jamais existé, un point qui s'efface, qui disparaît dans le néant ? Celui qui a vaincu la mort répond par un "Non, croyez-en moi et vous vivrez" sacrificiel et plein d'amour, car comme le dit finalement la Bible : "Où est ta victoire, ô mort ? Où est ton aiguillon, ô mort ? L'aiguillon de la mort, c'est le péché, et la puissance du péché, c'est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu ! Il nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ". L'amour sur la croix a parlé, pouvons-nous l'ignorer et nous précipiter dans le vide et l'absence de sens de la tombe et de la mort, ou choisissons-nous de croire et de nous réjouir d'un merveilleux avenir éternel avec le prince de la vie, Jésus-Christ ?
La Conférence épiscopale nationale du Congo a recommandé une attitude responsable durant cette période d’épreuve causée par la disparition du Vicaire du Christ. En attendant le programme des obsèques, cette structure de l’Eglise catholique en RDC invite les responsables paroissiaux à prendre les dispositions urgentes pour renforcer la méditation et la prière en vue du repos de l’âme du Pape François, décédé à 88 ans. Né Jorge Mario Bergoglio, François avait été porté à la tête de l’Eglise catholique le 13 mars 2025 au terme d’une élection tenue en la Chapelle Sixtine.
CONFERENCE EPISCOPALE NATIONALE DU CONCO
Secrétariat Général
BP. 3258 - Kinshasa /Gombe
Tél. : 00243 998 24 86 99 Fax : +33172703031
E-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
République Démocratique du Congo
Kinshasa, le 2 1 avril 2025
N/Réf : CENCO/SG/GK/21/04/
Objet : Annonce du Décès du Pape François
A Son Eminence Cardinal Archevêque de Kinshasa
LL.EE. Archevêques et Evêques de la CENCO (TOUS)
Eminence,
Excellence,
La Nonciature Apostolique en RD Congo a chargé le Secrétariat Général de la CENCO de vous communiquer la triste nouvelle du décès du Pape François, décès survenu au Vatican, ce lundi 21 avril 2025.
Tout en attendant d'autres instructions relatives à la vacance du Saint-Siège et aux funérailles du Saint-Père, il est demandé à chaque Ordinaire du lieu d'annoncer ce décès au Peuple de Dieu dès la réception du présent message en faisant sonner les cloches des églises.
Le Secrétariat Général de la CENCO, en union de prière avec toute l'Eglise, présente ses condoléances chrétiennes au Collège épiscopal, à tous les proches de l'illustre défunt, à tous les fidèles catholiques, en particulier ceux du diocèse de Rome, et à la Nonciature Apostolique en RD Congo.
Que par l’intercession de la Vierge Marie, le Seigneur Ressuscité accueille dans sa gloire son humble Serviteur des Serviteurs.
Soucieux d’améliorer la desserte électrique dans la capitale congolaise, le Directeur général de la Société Nationale d’Électricité (SNEL), Fabrice Lusinde, vient d’annoncer le lancement, dès ce jeudi, d’un programme ciblé dans cinq communes de Kinshasa. Cette annonce a été faite à l’honorable Kasongo wa Kasongo André, député provincial élu de Kasa-Vubu et porte-parole de l’Assemblée provinciale de Kinshasa, lors d’un échange constructif entre les deux personnalités.
Kasa-Vubu, point de départ d’une nouvelle dynamique
Ce programme démarre symboliquement dans la commune de Kasa-Vubu, d’où est partie la demande urgente d’une solution durable au problème de desserte électrique. C’est donc en reconnaissance de cette attention particulière que le député Kasongo wa Kasongo André s’est rendu personnellement auprès du DG Fabrice Lusinde, pour lui adresser ses remerciements au nom des habitants de sa circonscription. Il a salué l’implication personnelle du patron de la SNEL, qui traduit un véritable souci d’écoute et de réactivité.
Une réponse concrète aux préoccupations des élus provinciaux
Ce programme fait suite à la réunion stratégique organisée il y a quelques semaines entre l’Administrateur Directeur général de la SNEL et une délégation des députés provinciaux de Kinshasa. Lors de cette rencontre, les élus avaient relayé les cris de détresse de leurs électeurs, confrontés à une fourniture d’électricité irrégulière voire inexistante dans certains quartiers. Fabrice Lusinde, visiblement à l’écoute, avait promis une action rapide et ciblée.
Une initiative pour restaurer la confiance
Le lancement de ce programme dans cinq communes constitue une première phase qui pourrait s’étendre à d’autres entités si les résultats sont concluants. Pour la SNEL, il s’agit non seulement d’améliorer l’accès à l’électricité, mais aussi de rétablir la confiance avec les populations longtemps délaissées. Des détails sur les communes concernées et les actions concrètes envisagées seront dévoilés ce jeudi.
Une nouvelle dynamique de proximité
Avec cette initiative, Fabrice Lusinde réaffirme l’engagement de la SNEL à collaborer étroitement avec les autorités locales et les représentants du peuple. Un pas important vers une gouvernance plus réactive et un service public plus proche des réalités du terrain.
Aujourd’hui, mardi 22 avril 2025, les murs de l'Accor Arena de Paris résonneront un élan de générosité et de musique exceptionnel. Le grand concert Solidarité Congo, événement très attendu, se tiendra à partir de 19h00. Une soirée qui promet d'être mémorable et pleine d'émotion.
Plus qu'un concert, un cri du cœur
Au cœur de cette mobilisation artistique sans précédent se trouve une cause urgente et poignante : venir en aide aux enfants, premières victimes de l’agression rwandaise, un conflit armé dévastateur qui sévit dans l'Est de la République Démocratique du Congo. Organisée par le Haut Conseil de la Diaspora Congolaise (HCDC) et Play Two Live, en partenariat avec la fondation Give Back Charity de Dadju, ce concert vise à sensibiliser le public et, surtout, à récolter des fonds essentiels. L'intégralité des bénéfices sera reversée à des organisations qui œuvrent sur le terrain pour soutenir et réinsérer ces jeunes vies brisées par la violence.
Une constellation d'étoiles sur scène
Pour porter ce message d'espoir, une affiche absolument incroyable. Se succéderont sur une même scène des géants comme Gims, Dadju, Fally Ipupa, Youssoupha, Gazo, Soolking, la reine Angélique Kidjo, mais aussi Guy2bezbar, Stefflon Don, Ya Levis, Bisso Na Bisso, Singuila, et tant d'autres talents confirmés ou émergents tels que Reddy Amisi, Sidiki Diabaté, Didi B, Céline Banza, Gaz Mawete ou encore Jungeli. Par ailleurs, pour la partie gospel, le Pasteur Moïse Mbiye est annoncé. C'est un véritable pont entre les générations et les genres musicaux, de la rumba congolaise au rap français en passant par l'afrobeat, tous unis par une même cause. Des surprises sont même attendues.
Un chemin semé d'embûches, une détermination sans faille
Initialement prévu début avril, le concert a dû être reporté suite à des circonstances particulières liées au calendrier commémoratif du Génocide des Tutsis et aux tensions régionales. Malgré ces contretemps, les organisateurs ont maintenu le cap, prouvant leur détermination à faire entendre la voix des sans-voix de l'Est de la RDC.
Rendez-vous donc ce soir à l'Accor Arena dès 19h00 pour vivre ce moment unique. Ce ne sera pas juste une succession de performance musicale, ce sera une démonstration vibrante de solidarité, un moment où la musique transcende les frontières pour devenir un puissant vecteur d'espoir et de changement. Paris s'apprête à vivre une soirée forte en émotions, unie pour le Congo.
Le film congolais ‘‘La vie est belle’’ a été sélectionné pour une programmation culturelle prévue dimanche 20 avril à Paris, en France, dans le cadre de la commémoration du 9ème anniversaire de la mort de son acteur principal Jules Shungu Wembadio, connu sous le nom de Papa Wemba, selon l'initiateur de cet événement.
« Ce film belgo-congolais, porté par le chanteur de rumba Papa Wemba, est la madeleine de Proust pour la diaspora congolaise. Il dépeint un Kinshasa romantique, festif et coloré. Durant une journée, le public est invité à participer à un voyage en immersion au cœur la culture de la rumba congolaise qui sera célébrée en danse, en musique et à l’écran le 20 avril dans la communale Saint-Ouen à Paris », a déclaré Samba Douroure, initiateur du projet.
« (...) ‘‘La vie est belle’’ est une immersion dans la culture congolaise. Orphée Wemba chanteuse de R&B et fille de Papa Wemba a été invitée pour animer le Talk sur l’héritage et l’impact mondial de la rumba. Elle interviendra lors de la discussion après la diffusion du film “La vie est belle», a-t-il ajouté.
L’activité sera marquée par un programme des ateliers participatifs menés par des artistes congolais, un marché de créateurs et une conférence. Plusieurs interventions de différents orateurs venus du monde de la mode, de la sape, de la musique, de la presse sont également attendues dans la journée.
« Il y aura également la participation de Corinne Gabele, qui est une artiste multidisciplinaire dont l'œuvre est inspirée par l’identité, la beauté et la spiritualité. Elle proposera un atelier de linogravure autour du thème “Sapés comme jamais”, explorant l'univers de la sape à travers le vêtement comme expression de soi…», renseigne-t-on.
Pour l’initiateur, L'évènement n'est pas un projet congolais, il s'agit d'une initiative portée par 3 associations culturelles qui ont pour point commun de valoriser les expressions culturelles et artistiques africaines et de ses diasporas.
« Africultures, Bleu Maison et le Ciné Scred proposent une programmation culturelle très variée autour de ce film sortie en 1987 du réalisateur belgo-congolais Mweze Ngangura et Benoit Lamy pour rendre hommage à Papa Wemba qui est l’âme de cette œuvre cinématographique », a-t-il fait savoir.
«Le principal intérêt de cette journée du 20 avril est de permettre la diffusion d'un film, "La vie est belle" qui a été remasterisé il y a peu et qui est difficile d'accès que ce soit en salles, en dvd ou en streaming », a-t-il conclu.
(L’opérateur culturel Marcus Onolundula, initiateur du festival et Emile Ngoyi, Ambassadeur de la RDC en France)
Un projet d'une organisation d'un festival sur la Rumba congolaise prévu au mois de juillet en France a été présenté et défendu par son initiateur, jeudi à l’Ambassade de la République démocratique du Congo (RDC) à Paris, a-t-on appris de l’organisateur.
«Son excellence Monsieur l’Ambassadeur de la RDC, Emile Ngoyi Kasongo, nous a fait honneur d’être reçu et écouté dans son cabinet de travail ici à Paris. Nous lui avons soumis et présenté le projet de notre festival sur la Rumba congolaise pour un parrainage. Nous avons également parlé de l'évolution de cette Rumba et de la vision de notre Chef de l’Etat sur la diaspora congolaise en France », indiqué Marcus Onolundula, opérateur culture et président de l’Association congolaise "Toyekola", structure organisatrice dudit festival.
« (...) C’était un très bel échange. L’autorité nous a prêté une oreille attentive. Donc, la première édition du festival de la Rumba congolaise est désormais acceptée avec la participation de l’Ambassade de la RDC en France.(...) Son excellence a aimé et a validé le projet. Nous sommes déjà en route pour juillet 2025 », a-t-il poursuivi.
Les organisateurs dudit évènement et le représentant de la diplomatie congolaise ont discuté également sur le 7ème art dans la transformation de l’homme congolais.
« La question du domaine cinématographique s’inscrit dans la vision de notre association ‘‘Toyekola’’ qui milite pour l'éducation à l'image. Ensemble, nous avons réfléchi avec l'équipe de l'ambassade pour faire briller la RDC à travers nos actions et projets pour l’intérêt et la bonne image des congolais », a fait savoir Marcus Onolundula.
« Nous avons aussi évoqué la question de redynamiser les relations entre la diaspora congolaise en France et son Ambassade. Comment faciliter les échanges entre l'ambassade et les congolais vivant en France afin de leur permettre de se sentir chez eux à l'ambassade», a-t-il renchéri.
Célébration et promotion de la culture congolaise travers son patrimoine
Il sied de noter que ce festival vise à célébrer et promouvoir la culture congolaise en mettant un accent sur la richesse de la rumba congolaise, un patrimoine culturel inscrit à l'UNESCO. Le projet est organisé par l’association congolaise ‘‘Toyekola’’ avec l’appui de la mairie de Montreuil en France.
Selon l'initiateur, la première édition est confirmée pour la période du 18 au 19 juillet 2025 à Montreuil. Ce festival réunira artistes, experts et passionnés autour de diverses activités immersives.
«L’idéal est de mettre en avant une image positive de la République Démocratique du Congo, en célébrant sa richesse culturelle », a-t-il soutenu.
Et de renchérir : «Le but du festival est de mettre en lumière l'héritage, la richesse et l'évolution de la rumba congolaise et ausside préserver et valoriser cette musique qui mérite d’être célébrée et promue auprès des nouvelles générations ».
Cet évènement est organisé afin d’offrir un espace de transmission intergénérationnelle à travers la musique, la danse et la littérature.
«La raison du festival est non seulement de promouvoir la diversité culturelle et l’Unité Africaine mais aussi de favoriser la découverte et l’apprentissage à travers des ateliers et conférences », a conclu l'organisateur.
Les paiements d’arriérés de salaire des agents de l’Onatra sont un signal fort pour le redressement de ladite société butée à de nombreuses difficultés. Le président de la délégation syndicale de l’Onatra, Armand Osase, a exprimé, à cette occasion, sa joie en félicitant le Président de la République, Félix Tshisekedi, pour avoir prêté attention aux doléances des agents de l’Onatra.
Selon Armand Osase, ce geste posé par le Chef de l’Etat, est un signal fort pour le développement de l’Onatra. ‘’ Cette société confrontée à des multiples défis, commence à connaitre de l’évolution sous l’impulsion du Président Félix Tshisekedi qui ne veut que le bonheur des agents », a-t-il indiqué.
Et de poursuivre : ‘’ L’Onatra est une société fort combattue. Il y a des gens qui ne veulent pas de son évolution, nous avons des cas palpables. Nous avons trouvé un problème sérieux d’arriérés de salaire des agents. Mais, depuis mon arrivée au poste de président de la délégation syndicale de cette entreprise, j’ai mené des démarches pour la ramener sur les rails. Par ce plaidoyer, désormais, tout le monde parle en bien de l’Onatra.
Par ailleurs, la société de transport fluvial s’inscrit aussi dans la lutte contre les embouteillages et d’enchainer : « Bientôt le transport fluvial sera disponible pour permettre à la population congolaise, en particulier, les Kinois à prendre le transport fluvial à partir du port de Beach Ngobila jusqu’à Maluku à 4.000f ».
Osase dénonce, cependant, le comportement de certains membres de la société qui font obstacle au développement. « Ils vilipendent mon nom pendant que je me bats pour le bien de tout le monde. J’ai toujours eu le courage de parler, je suis habitué commença, je ne vais pas baisser les bras parce qu’ils me critiquent, au contraire ils me fortifient à défendre les valeurs et les intérêts de l’Onatra et des agents, a-t-il conclu.
Il y a lieu de signaler que cette promesse de paiement des arriérés des agents, a été faite dans l’enceinte de l’Onatra en présence de plusieurs cadres.
La Société Nationale d'Electricité, Direction Régionale de Distribution Kinshasa Nord, informe son aimable clientèle de la commune de KINSHASA particulièrement du quartier AKETI que suite à l’avarie du DGBT (Disjoncteur Général Basse Tension) survenue dans la cabine SAINT PIERRE, (secteur de la maison communale de KINSHASA), il s’observe dès lors une interruption du courant électrique dans le quartier précité ce mardi 15/04/2025.
Toutefois, SNEL rassure du rétablissement de l'énergie électrique après le remplacement de l’équipement avarié et présente ses excuses pour les désagréments causés.
Contacts : 0817005664 - 0817005670
La Direction Régionale de distribution de Kinshasa Nord.
Les paiements d’arriérés de salaire des agents de l’Onatra sont un signal fort pour le redressement de ladite société butée à de nombreuses difficultés. Le président de la délégation syndicale de l’Onatra, Armand Osase, a exprimé, à cette occasion, sa joie en félicitant le Président de la République, Félix Tshisekedi, pour avoir prêté attention aux doléances des agents de l’Onatra.
Selon Armand Osase, ce geste posé par le Chef de l’Etat, est un signal fort pour le développement de l’Onatra. ‘’ Cette société confrontée à des multiples défis, commence à connaitre de l’évolution sous l’impulsion du Président Félix Tshisekedi qui ne veut que le bonheur des agents », a-t-il indiqué.
Et de poursuivre : ‘’ L’Onatra est une société fort combattue. Il y a des gens qui ne veulent pas de son évolution, nous avons des cas palpables. Nous avons trouvé un problème sérieux d’arriérés de salaire des agents. Mais, depuis mon arrivée au poste de président de la délégation syndicale de cette entreprise, j’ai mené des démarches pour la ramener sur les rails. Par ce plaidoyer, désormais, tout le monde parle en bien de l’Onatra.
Par ailleurs, la société de transport fluvial s’inscrit aussi dans la lutte contre les embouteillages et d’enchainer : « Bientôt le transport fluvial sera disponible pour permettre à la population congolaise, en particulier, les Kinois à prendre le transport fluvial à partir du port de Beach Ngobila jusqu’à Maluku à 4.000f ».
Osase dénonce, cependant, le comportement de certains membres de la société qui font obstacle au développement. « Ils vilipendent mon nom pendant que je me bats pour le bien de tout le monde. J’ai toujours eu le courage de parler, je suis habitué commença, je ne vais pas baisser les bras parce qu’ils me critiquent, au contraire ils me fortifient à défendre les valeurs et les intérêts de l’Onatra et des agents, a-t-il conclu.
Il y a lieu de signaler que cette promesse de paiement des arriérés des agents, a été faite dans l’enceinte de l’Onatra en présence de plusieurs cadres.
Un évènement important s'est déroulé hier, jeudi 17 avril 2025, dans la salle de réunion de la Direction Générale de l'Office Congolais de Contrôle. En effet, Dr. Etienne Tshimanga Mutombo, ci-devant Directeur Général de l'OCC, a présidé la cérémonie de signature d'un protocole d'accord avec la société Strategos Plantation Company, représentée par sa Directrice Générale, Mme Suarez Milena, pour la production de farine de maïs conforme aux Normes en vigueur, pour assurer la sécurité alimentaire des populations.
Dans son allocution, le Dr. Tshimanga a exprimé sa satisfaction de voir les deux organisations s'engager formellement sur une voie commune. Il a souligné qu'il est toujours plus sage et plus efficace de définir clairement les règles d'une telle collaboration.
‘’Signer ce protocole d’Accord avec Strategos’’, a déclaré le Directeur Général de l'OCC, ‘’rassure non seulement les autorités mais surtout la population Congolaise sur son attachement à la production d’une farine de maïs conforme aux normes en vigueur dans le respect stricte de la sécurité alimentaire, de la sécurité de ses travailleurs et de la protection de l’environnement, piliers essentiels du développement durable’’.
Le Dr. Tshimanga a assuré ses partenaires de l'engagement de l'OCC à fournir un service d'évaluation de la conformité qui soit impartial, professionnel et axé sur l'excellence. Il a également noté que les activités de Strategos s'inscrivent dans la vision du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui met l'accent sur la primauté de l'exploitation du sol par rapport au sous-sol pour le développement du pays.
Le Directeur Général de l'OCC entend voir cette cérémonie de signature marquer le début d'une "collaboration durable, bénéfique à toutes les deux parties mais surtout bénéfique à la population Congolaise qui est la première bénéficiaire."
Pour sa part, la Directrice de Strategos Plantation Company, Mme Suarez Milena, a remercié le Dr. Tshimanga pour la signature de ce protocole. Elle affirmé l’engagement de son entreprise à produire des biens accessibles à toutes les couches de la population.
Il est à noter que Strategos Plantation Company est une société de droit congolais opérant dans la province du Kwilu, dans le Grand Bandundu. Ses activités principales sont la production industrielle de produits agricoles notamment, des farines de maïs et des huiles. Actuellement, l'entreprise exploite 4 hectares, une fraction du potentiel immense des 80 millions d'hectares de terres arables que possède la RDC.
Opérant actuellement à Gungu, Bulungu et Idiofa, Strategos envisage d'étendre ses activités. L'entreprise emploie à ce jour 43 personnes directement et environ 200 indirectement.
Ce protocole vient officialiser un partenariat qui existait déjà entre les deux institutions. Selon les termes de l'accord, le champ d'action de l'OCC couvrira notamment, le contrôle des équipements, la certification des produits, les inspections, et plus largement l'évaluation de la conformité des opérations de Strategos. La rencontre s'est conclue par la signature officielle du protocole d'accord et une photo de famille pour immortaliser l'événement.
Le 15 avril est la date de la Journée mondiale de l'Art : une occasion dédiée à l'exploration, à la promotion et à la célébration de l'art sous toutes ses formes. Instituées par l'Association Internationale de l'Art (AIA) et soutenue par l'ONU depuis 2012, cette journée met en avant le rôle crucial de l'art dans le développement social, culturel et économique des sociétés.
Cette journée représente une opportunité de renforcer les liens entre la création artistique et la société. Car, l'art agit comme un vecteur de créativité, d'innovation et de diversité culturelle qui favorise la curiosité et le dialogue au sein des communautés.
Dans un contexte où notre société est confrontée à de multiples défis, l'art revêt une importance encore plus significative. Il peut agir comme un catalyseur pour renforcer les liens sociaux, sensibiliser à la diversité des expressions artistiques et mettre en lumière la contribution des artistes au développement durable.
Depuis sa création en 1995 et jusqu’aujourd’hui, la Fondation Connaissance et Liberté - FOKAL, a l’honneur et la chance d’être accompagnée par des créateurs et créatrices, artistes et artisans de tous les domaines de la riche culture de la RDC. Soutenir et promouvoir l'action culturelle et artistique fait partie de tous premiers engagements.
FOKAL exprime sa solidarité envers les artistes et artisans affectés d’une manière ou d’une autre par les terribles vagues de violence qui ont, ces dernières années et ces derniers mois, frappé les collectifs phares de l’artisanat et des arts plastiques du Village de Noailles, de Carrefour-Feuilles, du Bel Air, de la Grand Rue et de Carrefour, pour ne citer que ceux-là.
Et de poursuivre : « Nous saluons tous ceux, toutes celles qui continuent de faire vivre le théâtre, la danse, la musique, et toutes les expressions de notre liberté. Beaucoup ont perdu leurs ateliers, leurs œuvres, leur foyer, leurs lieux de rencontre, de création collective et de représentation. Nous saluons leur courage, leur volonté de continuer à créer et joignons notre voix à leur demande de justice et de réparation.
De nombreuses manifestations sont organisées dans plusieurs pays autour de l’art et des artistes. Il est donc difficile de les relayer toutes.
Le 3 avril 2025, le Collectif des Avocats des familles Palankoy et Mayila a adressé une lettre au Président de la République pour dénoncer la détention arbitraire de leurs confrères, Maîtres Médard Palankoy et Gratien Mayila. Selon cette lettre, ces derniers ont été enlevés le 14 mars 2025 par des hommes armés se présentant comme des agents de la présidence, et sont retenus sans motif ni accès à un avocat ou à leurs familles, en violation des droits fondamentaux garantis par la Constitution et les conventions internationales. Le collectif demande leur libération immédiate et souligne l'importance de respecter l'inviolabilité du cabinet d'avocat et les droits de la défense. Ils appellent également à une protection publique pour garantir la sécurité des avocats et la liberté dans l’exercice de leur profession.
Collectif des Avocats des familles PALANKOY et MAYILA
Kinshasa, le 3 avril 2025
Transmis copie pour information à :
-A son Excellence Monsieur le Ministre de la Justice et Gardes des Sceaux ;
-Monsieur le Procureur Générale près la Cour de Cassation ;
-Monsieur l’Auditeur Général des Forces Armées de la RDC ;
-Monsieur le Bâtonnier national ;
-Messieurs les Bâtonniers des Barreaux de Kinshasa ;
-Monsieur le Coordonnateur du Conseil National de Cyberdéfense
(Tous) à Kinshasa/Gombe
A Son Excellence Monsieur le Président de la République
(avec expression de nos hommages les plus déférents)
CONCERNE : Détention arbitraire des Confrères PALANKOY LAKWAS MEDARD et MAYILA Gratien
Excellence Monsieur le Président de la République,
Nous, collectifs des Avocats des familles de nos confrères Maîtres Médard PALANKOY et
Gratien MAYILA, venons très respectueusement par la présente vous exposer le fait ci-après
En date du 14 mars 2025 aux alentours de 1 1 heures, notre confrère Médard PALANKOY avait été pris manu militari dans son cabinet d'avocat, par des hommes en arme se réclamant de la Présidence de la République, qui l'ont obligé de les suivre.
Après l'avoir embarqué dans un minibus, notre Confrère avait été conduit à l'immeuble
ONATRA dans les locaux occupés par le service de Conseil National de Cyberdéfense (CNC).
Le Confrère MAYILA Gratien, son collaborateur extérieur, qui s'était présenté au CNC pour s'informer et éventuellement lui apporter assistance a été aussi retenu, sans motif connu à ce jour.
Et depuis cette date du 14 mars 2025 jusqu'à ce jour, soit vingt (20) jours, nos deux confrères sont détenus par ce service qui, non seulement n’autorise ni la présence, ni la visite d'un Avocat ou des membres de sa famille et ne communique, ni le motif pour lequel nos Confrères sont arbitrairement détenus, ni le lieu de leur détention, moins encore les conditions dans lesquelles nos deux Confrères sont détenus.
Ces actes violent manifestement les dispositions des articles 18 et 19 de la Constitution du 18 février 2006 telle que modifiée et complétée à ce jour, des articles 9 et 10 de la Déclaration universelle des droits de l'homme et 14 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Partisans du respect strict des lois de la République, nous n'avons nullement l'intention ni de faire obstacle aux enquêtes en cours, moins encore d'empêcher le bon déroulement de celles-ci, mais d'en appeler au respect des droits et libertés garantis aux citoyens.
Le cabinet d'avocat est un sanctuaire inviolable pour assurer le respect du secret professionnel de l'avocat et les droits de la défense
L'incursion des personnes armées non autrement identifiées et sans un quelconque mandat dans un Cabinet d’Avocat est une atteinte grave à l'inviolabilité du cabinet d’Avocat et aux droits réservés à l'Avocat, qui, par nature est détenteur des secrets de ses clients.
Des tels actes placent désormais l'avocat dans une insécurité dans l'exercice de son ministère et mettent en mal les garanties de liberté attendues d'un Etat de Droit pour tous les citoyens.
Depuis l'enlèvement de Maître Médard PALANKOY dans son cabinet de travail, les autres confrères membres dudit cabinet travaillent dans un climat d'insécurité à la suite des appels des personnes se réclamant tantôt des services, tantôt de la police.
Nous ne serons pas surpris d'apprendre l'un de ces quatre matins que l'un des confrères membres de ce cabinet est porté disparu et nous en appelons à la protection du pouvoir public.
La liberté est la règle et la détention l'exception
Depuis le 14 mars 2025, date d'enlèvement et de la détention de nos deux confrères, ils n'ont jamais été ni présentés devant un magistrat, ni devant un juge en violation manifeste de l ' article 17 de notre Constitution, qui dispose à son alinéa 2 que : « Nul ne peut être poursuivi, arrêté ou condamné qu'en vertu de la loi et dans les formes qu'elle prescrit ».
Et pourtant, nos deux confrères détenus arbitrairement par des Officiers de police judiciaire du
Conseil National de Cyberdéfense bénéficient de leur droit à la présomption d'innocence qui est un droit fondamental conformément aux articles 17, alinéa 9, de la Constitution et 14 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
La République Démocratique du Congo étant membre de la Commission des droits de I 'homme des Nations Unies ne peut permettre qu'un citoyen, de surcroît un avocat, soit placé en détention pendant vingt (20) jours sans qu'il ne bénéficie ni de l'assistance d'un avocat ni de la visite d'un membre de sa famille, moins encore celle de son médecin.
Il sied de rappeler que les avocats ne doivent pas être assimilés à leurs clients ou à la cause de leurs clients, du fait de l'exercice de leur profession.
Nous sollicitons la mise en liberté de nos deux confrères, étant donné que leur fuite n'est pas à craindre.
Aussi, nous sollicitons votre implication aux fins d'obtenir de ce service le respect de droits fondamentaux de nos Confrères arbitrairement détenus en violation de la Constitution dont vous êtes le garant.
En attente d'une suite favorable et vu l'urgence, nous vous prions de croire, Excellence Monsieur le Président de la République, en l'assurance de nos sentiments patriotiques.
Pour les familles PALANKOY et MAYILA Leurs Conseils,
La Société Nationale d’Electricité (Snel) a marqué la semaine du 7 au 13 avril 2025 par une série d’initiatives visant à moderniser et sécuriser l’approvisionnement en énergie électrique de la République démocratique du Congo (RDC). À Kinshasa, capitale de la RDC, un protocole d’accord a été signé entre la Snel et la société technologique chinoise Huawei pour l’introduction de “Power Port”, un système digital novateur. Ce partenariat stratégique promet de renforcer la capacité d’innovation du réseau électrique grâce à une approche collaborative en matière de recherche et développement.
Toujours à Kinshasa, des discussions avec des autorités gouvernementales et les techniciens du secteur électrique du pays ont eu lieu concernant la reconstruction et la modernisation de la centrale hydroélectrique Tshopo 1, essentielle pour l’électrification de de la ville de Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo. Un arrêté interministériel en cours de signature prévoit la mise en place d’un comité de pilotage dédié à la supervision des travaux.
Il s’est tenu également une réunion technique tripartite réunissant les autorités de la Snel, la Société Anhui Congo d’Investissement (Sacim) et les autorités provinciales du Kasaï Oriental afin d’évaluer la problématique de la desserte énergétique de la province et revisiter les termes du contrat Snel-Sacim. À l’issue de cette rencontre, une commission de suivi a été créée pour réviser le partenariat de desserte électrique.
Dans le cadre de la fiabilisation de la liaison THTCC Inga-Kolwezi, la direction régionale Sud effectue des travaux destinés à résoudre les problèmes d’échauffement limitant le transit à 580 MW. Le projet prévoit la construction des massifs de supports pour de nouvelles résistances, garantissant une meilleure performance du système.
Au Lualaba, dans le Sud-est du pays, la société a déploré un vol de plus de 40 mètres de conducteur en aluminium sur la ligne haute tension de 120 KV du barrage de Nzilo a été signalé, soulignant des défis persistants en matière de sécurité.
Au cours de la semaine sous examen, les équipes techniques sont intervenues sur plusieurs secteurs et lignes de Kinshasa. Il s’agit, entre autres, de la remise en service de la liaison 30KV Sendwe-Ndolo, de l’installation de trois nouveaux disjoncteurs sur le feeder 643 à Lemba, J11 à Utexco et 20kV à Makala ; de la levée des restrictions sur plusieurs départs électriques, notamment feeder 404 et 20KV Novatex 1 et de l’achèvement du surplombement sur le boulevard Sendwe et préparation des boîtes de jonction 6,6 kV.
Ces initiatives témoignent de l’engagement de la Snel à moderniser ses infrastructures et à répondre aux besoins croissants en électricité de la République Démocratique du Congo.