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Budget : Aimé Boji réaffirme son engagement total à accompagner le Président  Félix Tshisekedi dans la matérialisation de sa vision de reconstruction nationale

 A en croire un Communiqué parvenu à la rédaction de votre journal, qui porte la signature de la Cellule de Communication du Ministère de Budget, le Cabinet du Ministre d'Etat, Ministre du Budget, porte à la connaissance de l'opinion publique qu'il a pris connaissance par voies des réseaux sociaux, d'une lettre à caractère diffamatoire et calomnieux attribuée à un soi-disant «Mouvement Patriotique et Citoyen RDC DOIT CHANGER» et signée par une certaine «Me Justine KABEDI». Cette cabale manifestement montée de toutes pièces par un réseau de personnes mal intentionnées, poursuit le communiqué, vise à tenir l'image du Ministre Aimé Boji Sangara, qui a fait preuve de compétence, d'intégrité et de rigueur en matière des finances publiques depuis son entrée en fonction. L’on rappelle dans le même communiqué que le Ministre d'Etat n'a jamais été cité dans un quelconque dossier de détournement, de corruption ou de mégestion. Déjà, le Cabinet du Ministre vient de saisir les services de sécurité et les juridictions compétentes, afin que les auteurs de cette entreprise criminelle soient identifiés et traduits en justice, conformément à la Loi n° 23010 du 13 mars 2023 sur la cyber sécurité et la cybercriminalité, notamment en son article 31 qui réprime la diffusion de fausses informations et l'usurpation d'identité en ligne. Par ailleurs, conscient de l'importance qu'une saine gestion budgétaire revêt pour le redressement socioéconomique de la RDC, le Ministre d'Etat, Ministre du Budget, réaffirme son engagement total à accompagner le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO dans la matérialisation de sa vision de reconstruction nationale. Il saisit l'occasion pour réitérer ses hommages les plus déférents au Chef de l'Etat ainsi qu'à Madame la Première Ministre, Cheffe du Gouvernement, Son Excellence Judith SUMINWA TULLIKA pour la confiance placée en lui dans l'exercice de ses hautes fonctions. Ci-après, la mise au point sur une tentative de déstabilisation orchestrée contre le ministère du Budget. 

MINISTERE DU BUDGET

MISE AU POINT SUR UNE TENTATIVE DE DESTABILISATION ORCHESTREE CONTRE LE MINISTERE DU BUDGET

Le Cabinet du Ministre d'Etat, Ministre du Budget, porte à la connaissance de l'opinion publique qu'il a pris connaissance par voies des réseaux sociaux, d'une lettre à caractère diffamatoire et calomnieux attribuée à un soi-disant « Mouvement Patriotique et Citoyen RDC DOIT CHANGER » et signée par une certaine « Me Justine KABEDI »

Cette cabale manifestement montée de toutes pièces par un réseau de personnes mal intentionnées vise à tenir l'image d'un ministre qui a fait preuve de compétence, d'intégrité et de rigueur en matière des finances publiques depuis son entrée en fonction. Il convient de rappeler que le Ministre d'Etat n'a jamais été cité dans un quelconque dossier de détournement, de corruption ou de mégestion.

  1. Sur l’authenticité des auteurs 

- Après vérification, les auteurs de cette lettre ont utilisé des identités fictives, preuve de leur volonté de dissimuler leur implication dans cette opération malveillante.

- Le soi-disant Mouvement Patriotique et Citoyen RDC DOIT CHANGER n'a ni existence réelle (inexistant à l'adresse indiquée, numéro téléphonique inopérant) ni existence légale ou virtuelle.

- La prétendue signataire Me Justine KABEDI n'est reconnue par aucun barreau de la République Démocratique du Congo, et n'est pas identifiée officiellement comme avocate de profession.

  1. Sur les dossiers justifiés

Tous les dossiers cotés dans la lettre en question, par ailleurs non encore réceptionnée au ministère du Budget, ont bel et bien été traités avec professionnalisme, équité et conformément à la procédure de la chaîne de la dépense publique dans les délais requis. La plupart sont en phase finale de paiement, et donc plus au niveau du Ministère du Budget !

D'autre part, il sied de signaler que le Ministère du Budget n'a jamais reçu des plaintes de la part des prestataires dédits dossiers.

  1. Un appel à la transparence

Le Ministre d'Etat encourage toute personne physique ou morale ayant introduit un dossier au sein du ministère du Budget et estimant subir un retard déraisonnable et/ou un traitement inapproprié, à s'adresser directement à la direction du Cabinet pour dénoncer tout comportement suspect.

Par souci de transparence, une enquête administrative interne a immédiatement été ouverte pour s'assurer qu'aucun collaborateur du ministère ne soit mêlé à des pratiques contraires à l'éthique. A ce sujet, tout agent qui sera reconnu coupable d'un comportement compromettant subira la rigueur de la loi et des sanctions administratives qui s'imposent.

  1. La saisie des services compétents

Face à cette énième tentative manifeste de diffamation à des fins politiques, le Cabinet du Ministre vient de saisir les services de sécurité et les juridictions compétentes, afin que les auteurs de cette entreprise criminelle soient identifiés et traduits en justice, conformément à la Loi n° 23010 du 13 mars 2023 sur la cyber sécurité et la cybercriminalité, notamment en son article 31 qui réprime la diffusion de fausses informations et l'usurpation d'identité en ligne.

  1. Un engagement réaffirmé

Conscient de l'importance qu'une saine gestion budgétaire revêt pour le redressement socioéconomique de la RDC le Ministre d'Etat, Ministre du Budget, réaffirme son engagement total à accompagner le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO dans la matérialisation de sa vision de reconstruction nationale. Il saisit l'occasion pour réitérer ses hommages les plus déférents au Chef de l'Etat ainsi qu'à Madame la Première Ministre, Cheffe du Gouvernement, Son Excellence Judith SUMINWA TULLIKA pour la confiance placée en lui dans l'exercice de ses hautes fonctions.

Fait à Kinshasa, le 10 Juillet 2025

Cellule de Communication

Budget : Aimé Boji réaffirme son engagement total à accompagner le Président  Félix Tshisekedi dans la matérialisation de sa vision de reconstruction nationale
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Dans le cadre du renforcement de la coopération, Réformes budgétaires : la Banque Mondiale soutient les efforts du Gouvernement congolais

Le Ministre d’Etat, Ministre du Budget, Son Excellence Aimé Boji Sangara, a reçu en audience, ce mardi 8 juillet 2025, Mme Omowunmi Ladipo Mimi, Directrice du Département des Institutions (Gouvernance) de la Banque Mondiale pour l’Afrique de l’Est et du Sud.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération entre la République Démocratique du Congo et la Banque mondiale notamment, en matière de réformes institutionnelles et budgétaires.

A travers elle, la Banque mondiale s’est dite engagée à accompagner le Gouvernement congolais, sous le leadership éclairé de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République et sous la coordination de la Première Ministre, Cheffe du Gouvernement, Judith Suminwa dans la mise en œuvre des réformes clés.

Parmi celles-ci, figurent en priorité les réformes en cours au ministère du Budget dans les secteurs des Marchés Publics, du budget programme, de la préparation budgétaire, de la rationalisation des charges communes de l’eau et d’électricité ainsi que de la nouvelle politique salariale en cours d’élaboration.

La combinaison de toutes ces réformes devrait permettre d’améliorer la qualité de la dépense publique et ainsi permettre au budget de l’Etat de réaliser pleinement son rôle de levier de croissance économique et de développement.

La Banque Mondiale a également exprimé sa satisfaction par rapport à l’engagement du Gouvernement dans la mise en œuvre de ces réformes et a réaffirmé sa volonté de poursuivre sa collaboration avec la RD-Congo.

Ces échanges interviennent à un moment stratégique, alors que le Ministre d’Etat et son équipe s’activent à l’élaboration du projet de loi de finances pour l’exercice 2026. Les conférences budgétaires, étape cruciale de ce processus, s’ouvrent dans les prochains jours.

La Pros.

Dans le cadre du renforcement de la coopération, Réformes budgétaires : la Banque Mondiale soutient les efforts du Gouvernement congolais
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Accord de paix RDC-Rwanda, Stephane Muadi Van : ‘’Des ressources stratégiques au centre des enjeux’’

La signature d’un accord tripartite entre la République Démocratique du Congo (RDC), le Rwanda et les États-Unis, intervenue le 27 juin à Washington, soulève de nombreuses interrogations au sein de la classe politique et de la société civile congolaise. Si le texte est présenté comme un pas décisif vers la paix dans la région des Grands Lacs, certains y voient un pacte déséquilibré, guidé davantage par des intérêts géostratégiques que par une réelle volonté de stabilisation.

Des ressources stratégiques au centre des enjeux

Derrière les promesses de retrait des troupes rwandaises de l’Est de la RDC et d’un cessez-le-feu entre Kinshasa, Kigali et leurs groupes alliés respectifs, se profile un enjeu central : le contrôle des ressources minières, notamment le cobalt, le coltan et le lithium, essentiels pour les technologies de pointe et la transition énergétique mondiale.

« Personne ne nous dit exactement quelles zones minières sont concernées. Est-ce seulement l’Est au Kivu ? Le Katanga est concerné aussi ?», s’interroge Stéphane Muadi Van, président du Mouvement Réformateur Congolais (MRC), visiblement préoccupé par les implications réelles de cet accord.

Une initiative diplomatique initiée en coulisse

Selon plusieurs sources diplomatiques, l’idée de cet accord aurait émergé en avril 2025, à l’occasion d’une rencontre discrète à Kinshasa, à la demande de Felix Tshisekedi et entre Massad Boulos, conseiller spécial de l’actuel président américain Donald Trump. Ce dernier, également homme d’affaires et gendre de Trump, serait intervenu pour évoquer des opportunités sécuritaires et minières en RDC.

À la clé, trois engagements majeurs :le retrait progressif des troupes rwandaises ; l’arrêt du soutien au M23 ; et l’engagement de Kinshasa à cesser toute collaboration avec les FDLR. En contrepartie, la sécurisation des zones minières stratégiques par des partenaires américains serait garantie.

Une critique virulente de Stéphane Muadi Van

Pour Stéphane Muadi Van, cet accord est loin d’être un gage de paix. Il dénonce un « accord sous influence », au bénéfice d’intérêts étrangers, au détriment de la souveraineté congolaise.

« Ce n’est pas un accord de paix, mais un prétexte pour légaliser légalement l’exploitation des ressources par des puissances étrangères. C’est un JACKPOT pour le Rwanda, qui profite du soutien américain depuis des années, y compris sur le plan militaire », affirme-t-il.

Il déplore également l’absence de transparence dans le processus : « Aucun débat au Parlement, aucune consultation du peuple. Un tel accord engage l’avenir de la RDC sans l’aval des Congolais. C’est une mascarade diplomatique. »

L’arrivée controversée de Blackwater

Autre point qui suscite la controverse : la possible implication de la société militaire privée américaine Blackwater, chargée de sécuriser les zones minières. Cette société, tristement célèbre pour ses opérations en Irak et en Afghanistan, pourrait selon certaines sources être mandatée pour assurer la protection des intérêts miniers en RDC. « Confier la sécurité de nos mines à Blackwater revient à abandonner complètement notre souveraineté nationale. Ils ne protègent pas la population, mais les intérêts de ceux qui les emploient », avertit Stéphane Muadi.

Des zones d’ombre dans l’accord

L’accord reste également silencieux sur la question des autres groupes armés actifs à l’Est, tels que la CODECO, les Mai-Mai, la FRPI ou encore les ADF. Aucun plan clair de désarmement global ou de rétablissement de l’autorité de l’État n’a été évoqué. « Pourquoi ne parle-t-on que des zones minières ? Pourquoi ne s’empresse-t-on pas de sauver les populations en détresse ? », questionne le président du MRC. « Les minerais semblent être la priorité, pas la paix. »

Une transaction plus qu’un accord de paix ?

Pour de nombreux observateurs, ce partenariat trilatéral marque une nouvelle étape dans l’internationalisation des ressources congolaises. Le Rwanda voit ses "préoccupations sécuritaires" reconnues, les États-Unis assurent leur accès aux ressources critiques, tandis que la RDC, elle, sombre encore plus et va perdre le contrôle de ses richesses stratégiques.

« Le peuple congolais doit rester vigilant. Ce n’est certainement pas un accord de paix, mais une transaction. Et dans cette transaction, la RDC en sort grande perdante », conclut Stéphane Muadi Van.

Un appel à la vigilance nationale

Le Mouvement Réformateur Congolais appelle à une mobilisation citoyenne pour exiger la transparence totale sur le contenu de l’accord. Le MRC plaide pour un débat national, associant les institutions, la société civile et les communautés locales, afin de défendre la souveraineté congolaise. Car pour beaucoup, l’expérience a montré que la paix durable ne peut se bâtir que sur la justice sociale, la transparence économique et le respect des droits des peuples à disposer de leurs ressources.

Bosco Kiaka/CP

 

 

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