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Camp de la Patrie : Eugène Diomi Ndongala apporte son soutien à l'initiative de Martin Fayulu

Dans un geste politique significatif, Martin Fayulu, président de l'Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (ECiDé), a accueilli le lundi 16 juin 2025, Eugène Diomi Ndongala, président du parti Démocratie Chrétienne (DC), en sa résidence de Faden House. Cette rencontre, placée sous le signe de l'unité nationale, a vu Diomi Ndongala exprimer son appui franc et massif à l'appel récent de Martin Fayulu pour la création d'un Camp de la Patrie.

Les deux hommes ont discuté sur la situation sécuritaire et politique préoccupante qui prévaut en République Démocratique du Congo, particulièrement dans sa partie orientale. C'est dans ce contexte de crise que Martin Fayulu a récemment prononcé un discours à la Nation qui a fortement résonné au sein de la classe politique et de la population. Un discours qui, selon Eugène Diomi Ndongala, a marqué plus d'un Congolais.

Saluant la portée de cette adresse, le président de la Démocratie Chrétienne a souligné la pertinence de la démarche de Martin Fayulu, qui a appelé à un sursaut patriotique et au dialogue pour préserver l'intégrité du pays.

L'élément central de cette convergence de vues est sans conteste l'initiative du "Camp de la Patrie". Proposée par Martin Fayulu, cette plateforme se veut un rassemblement de toutes les forces vives de la nation, au-delà des clivages partisans, pour faire face aux menaces de balkanisation et d'agression extérieure. L'idée, qui a également été au centre d'un échange récent entre le leader de l’ECIDé et le Président Félix Tshisekedi, est de créer un état d'esprit de cohésion nationale fondé sur les valeurs de patriotisme, de vérité et de justice.

Eugène Diomi Ndongala a apporté un soutien sans équivoque à ce projet. ‘’L’initiative de créer le camp de la patrie est salutaire, c’est pourquoi nous prenons les choses en main’’, a-t-il affirmé avec conviction. Pour ce vétéran de la scène politique congolaise, qui a lui-même connu les affres de la persécution politique, l'heure est grave et exige une union sacrée. ### Un Modèle pour le Changement

Insistant sur le rôle crucial que doit jouer Martin Fayulu dans la période actuelle, Diomi Ndongala a tenu des propos forts, le positionnant comme une figure centrale pour l'avenir du pays. ‘’La survie de la République démocratique du Congo est entre ses mains. Monsieur Fayulu devrait être considéré comme un modèle à devenir pour le changement du Congo’’, a-t-il martelé.

Cette déclaration vient renforcer la stature de Martin Fayulu, qui, après avoir contesté les résultats de l'élection présidentielle de 2018, se positionne aujourd'hui comme un acteur incontournable du dialogue national, tendant la main à toutes les parties, y compris au pouvoir en place, face à ce qu'il qualifie comme "les heures les plus sombres de notre histoire".

Nathan Mundele

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Retrait de son parti du Communiqué conjoint de l’opposition, RDC : Martin Fayulu se désengage de Kabila, Katumbi et Sessanga !

Le paysage politique est en pleine ébullition après le retrait de l’Ecidé de la signature du communiqué conjoint. Et pour cause : la présence de Joseph Kabila à Goma. Devant les militants de l’ECIDE, à Tshangu, samedi 7 juin dernier, le secrétaire général dudit parti, Devos Kitoko, a procédé, dans une adresse aux militants de Martin Fayulu, à la restitution de la rencontre avec Félix Tshisekedi du jeudi 5 juin dernier.

C’est à cette occasion que ce haut cadre du parti de Fayulu a annoncé le retrait de son parti du Communiqué conjoint de l’opposition à cause des agendas cachés des uns et des autres. Il s’est exprimé en ces termes : « Nous avons signé en âme et conscience ce communiqué, mais nous avons été surpris de voir Joseph Kabila à Goma. À partir de ce moment-là, nous ne voyions plus l’importance de continuer avec cette démarche » en précisant que son parti n’y est plus concerné.

Accompagné de Prince Epenge, porte-parole de Lamuka, il a précisé que « leur objectif est de permettre au pays d’avoir un dialogue inclusif et non de se fier à des rumeurs avant que Prince Epenge ne précise : « Ils ont envoyé leurs communicateurs pour nous rabaisser après notre rencontre avec Félix Tshisekedi, mais nous ne céderons pas à la manipulation ».

Pour rappel, Martin Fayulu, Moïse Katumbi et Delly Sessanga, les principaux opposants à régime Tshisekedi ont signé un communiqué conjoint en soulignant qu’un dialogue interne est indispensable pour permettre au congolais d'identifier les causes profondes, internes et externes de la crise et de lui trouver des solutions pérennes.

Ils ont réaffirmé, à cet effet, leur soutien « à l'initiative conjointe CENCO-ECC qui a le triple mérite d'être, à ce jour, la seule initiative portée par des Congolais, privilégiant un dialogue ouvert à toutes les parties congolaises sans exclusive et soucieuse d'examiner la crise congolaise dans sa globalité, avec objectif la paix et le bien vivre ensemble au Congo, comme dans la sous-région ».

Ces dirigeants de l'opposition saluent, par ailleurs, le fait que la déclaration de principe de Washington du 24 avril 2025 réaffirme entre autres « le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de chaque État, le respect des frontières territoriales établies conformément à la charte des Nations Unies et de l'Union africaine, ainsi que l'engagement par les signataires à la non-agression et la non-ingérence dans les affaires intérieures de l'autre partie ».

La Pros.

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Présumé détournement de 19 millions USD, Firmin Mvonde : Constant Mutamba récuse et crie à l’acharnement politique !

Constant Mutamba résiste. Malgré la pression, il compte se défendre jusqu’au bout. Accusé d’avoir orchestré un détournement de 19 millions de dollars dans une affaire de construction d’une prison à Kisangani, le Ministre d’Etat en charge de la Justice a haussé le ton hier, mardi 10 juin 2025, contre le Procureur Général près la Cour de Cassation ainsi que tous les magistrats sous son autorité directe, dénonçant une démarche judiciaire truffée de partialité, un règlement des comptes, un acharnement de haut niveau. ‘’Il est incompréhensible de parler de l’intention de détournement alors que l’initiateur a sollicité l’approbation préalable de la Première Ministre, qui avait toute la latitude pour valider ou rejeter le projet… La Société de construction qualifiée de fictive a répondu aux invitations de la CENAREF, lui apportant les preuves de son siège et des autorisations requises pour fonctionner en RDC’’, fait remarquer, avec insistance, Constant Mutamba, dans sa correspondance adressée à Firmin Mvonde.

 

Présumé détournement de 19 millions USD, Firmin Mvonde : Constant Mutamba récuse et crie à l’acharnement politique !
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Affaire Kabasele  Wa Mpanga : Les avocats de la famille éprouvée accusent Augustin Kabuya !  

Le procès en flagrance à charge de dix personnes soupçonnées dans le meurtre de Kabasele Wa Mpanga, cadre de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), s’est ouvert le lundi 9 juin 2025 devant le tribunal de grande instance de Kinshasa/Matete, siégeant en chambre foraine à l’Echangeur de Limete.

Dès l’entame de l’audience, après l’identification des prévenus, la famille de la victime, par l’intermédiaire de son avocat, Me Sylvain Mutombo, a annoncé son retrait de la procédure. Cet avocat a révélé que les conditions d’un procès équitable ne se sont pas réunies et que la vérité risque de ne pas éclater.

Dans sa déclaration, Me Sylvain Mutombo a révélé qu’une plainte distincte avait été déposée auprès du Parquet Général près la Cour de cassation. Celle-ci, a-t-il ajouté, visait nommément Augustin Kabuya, actuel Secrétaire Général de l’UDPS, que la famille considère comme le véritable instigateur de ce meurtre.

« Les avocats de la famille Wa Mpanga ont saisi la Cour de cassation avant même l’ouverture de cette procédure en flagrance. Augustin Kabuya est cité à plusieurs reprises par les proches du défunt, preuves à l’appui. Le déroulement actuel du procès ne nous laisse entrevoir aucune volonté de faire éclater la vérité. C’est pourquoi,  mes clients m’ont demandé de me retirer jusqu’à ce que le Procureur Général près la Cour de cassation se saisisse pleinement du dossier. Ils refusent d’assister à un procès de façade, comme ce fut le cas dans l’affaire Chebeya », a déclaré Me Sylvain Mutombo à la presse.

Présente à l’audience, l’épouse de Kabasele Wa Mpanga a renforcé ces accusations en affirmant qu’Augustin Kabuya serait « le principal commanditaire de l’assassinat de son mari, également haut cadre du parti ».

« Mon mari était ciblé au sein du parti par Augustin Kabuya. Il a même été enlevé à minuit à notre domicile. Je suis convaincue que Kabuya est à l’origine de son décès. Mon époux a été éliminé pour avoir critiqué la gestion du parti et pour son soutien à Deo Bizibu, un autre dirigeant de l’UDPS/Tshisekedi », a-t-elle déclaré au cours de l’audience.

Pour rappel, Kabasele Wa Mpanga a trouvé la mort le week-end dernier, quelques heures après avoir été violemment agressé lors de tensions internes entre factions rivales de l’UDPS.

Michel Okaso

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Banalisation de la mort de Wa Mpanga : l'imbattable UDPS dans la tourmente !

Sale cheveu dans la soupe "AOC" dénommée "Processus de Lomé, Doha et Washington..."

Un drame s'est produit le 6 juin 2025 à Kinshasa. Pas n'importe lequel : l'assassinat d'un grand responsable du nom de Célestin Kabasele Wa Mpanga, autrefois fédéral de l'Udps aux États-Unis. Sont soupçonnés du crime les fameux membres de la Force du Progrès, structure réputée pour sa violence. Sa cellule 10ème Rue s'est empressée de s'innocenter. En quoi alors l'Udps est-il imbattable ? Sur les réseaux sociaux, se sont succédé pendant le week-end des messages officiels du parti présidentiel, les uns pour présenter les condoléances à la famille éprouvée. Cas de celui de la présidence du parti. Dans un communiqué signé d'Augustin Kabuya, le parti _"condamne fermement l'acte odieux et demande aux autorités judiciaires qu’une enquête approfondie soit menée afin que les auteurs répondent de leur acte_ », non sans préciser que _"l’incident s’est déroulé loin du siège national situé à Limete Résidentiel_". En plus, la présidence de l'Udps _"invite toutes les Combattantes et tous les Combattants à observer un moment de recueillement à la mémoire de Monsieur Kabasélé wa Mpanga_". Les autres (essentiellement les médias pro-Félix Tshisekedi) font le choix de banaliser cet assassinat. Ils n'en parlent pas. Et avec eux les ONG. Autrefois, pour un cas pareil, les manchettes seraient polies en machettes ; l’opinion "tant nationale qu’internationale » alertée, et la rue squattée...*

Suspension de la coopération structurelle

On ne peut leur en faire le reproche car il s'agit d'un coup dur de nature à porter atteinte à l'honneur du leadership Institutionnel national incarné par le chef de l'Etat Félix Tshisekedi et l'Union sacrée de la nation, majoritaire à l'Assemblée nationale et au Sénat, donc majoritaire au Gouvernement.

En effet, l'Udps a bâti sa réputation sur la *non-violence*. Il l'a toujours brandi surtout entre 1990 et 2018.

La réalité du terrain est toutefois le contraire.

Misant de tout temps sur la victimisation, cette formation politique a pratiqué la violence verbale et la violence physique à un niveau si élevé comme jamais parti politique ne l'a fait dans ce pays au cours de ces 35 dernières années (1990-2025).

Pendant ces six dernières (2019-2025), on a entendu des combattants déçus de ne pas trouver leurs comptes dans le "partage du gâteau" accuser certains dirigeants de les encourager à recourir à plusieurs formes de drogues en prévision des manifestations publiques à caractère politique initiées par la hiérarchie du parti. Surtout quand il s’agissait de s'opposer aux "dérives dictatoriales" du régime Joseph Kabila. Bien entendu, les médias et les ONG de défense des droits de l'homme assuraient le relais avec pour conséquence les sanctions principalement des Américains et des Européens à l'encontre des proches du prédécesseur de Félix Tshisekedi.

Cette forme de lutte, l'Udps la pratiquait déjà sous Mobutu et L-D. Kabila.

Au nombre des conséquences des sanctions subies par les régimes en place (mais en réalité le peuple) la ‘’suspension de la coopération structurelle’’ sécuritaire (militaire), financière, monétaire, économique et socioculturelle.

En interne, on en connaît les effets dévastateurs : 

-affaiblissement de l'armée nationale (privée des années durant de formation dans de grandes académies militaires occidentales) et d'acquisition des équipements de guerre de fabrication américaine et européenne ;

-dollarisation de l'économie ;

-thésaurisation de la monnaie en plus de l'imposition des zones monétaires parallèles qui auront été pour beaucoup dans l’aggravation de la paupérisation dans l'Espace Kasaï, surtout au cours des 7 dernières années du maréchal Mobutu entre 1990 et 1997 ;

-désinvestissement accéléré générant et accentuant le chômage ;

-apparition du phénomène "délestage" observé dans la fourniture de l'eau et de l'électricité,

-etc.

Espérons qu'il n'ait pas acquis la nationalité américaine !

L'Histoire - la vraie alors - retiendra que l'Udps a payé un tribut lourd à l'avènement de l'État de droit, des Droits de l'homme et de la Démocratie. Des morts, des blessés, des victimes du pillage ont été en grande partie des femmes, des hommes et des enfants liés à l'Udps, surtout les compatriotes Kasaïens.

Mais, la même vérité ne fera pas oublier que depuis 2019 - année de son avènement aux affaires - l'Udps en est devenu le principal fossoyeur. Même le pasteur Paul Mukendi le dit en des termes clairs. Il ne se reconnaît plus dans le parti qui incarnait autrefois des valeurs.

Ainsi, la crise d'autorité qui secoue ce parti depuis deux ou trois ans est tellement mal gérée que ce qui est arrivé à Wa Mpanga était prévisible.

Juste un exemple : le journaliste Stanys Bujakera a réagi à cet assassinat en signalant sur son compte x. com avoir vu l'intéressé dans le même pavillon que lui au CPRK. Or, on ne peut entrer dans une prison que sur base d'un *mandat d'arrêt* établi par un magistrat, et encore à la suite d'une plainte déposée en bonne et due forme.

Y a-t-il eu une plainte à charge de Wa Mpanga ? Si oui, qui en était le plaignant ? Et sur base de quel acte judiciaire en est-il sorti ? S'il s'avère qu'il est entré et sorti sans cet acte, le fait est d'une extrême gravité. L'Histoire, la vraie, retiendra également qu'au plus fort de la crise, une autorité de l'Udps avait mis celle-ci sur le compte de la ‘’vitalité démocratique’’ ! Aujourd'hui, cette prétendue vitalité a tué.

Dans les réseaux sociaux, les réactions des combattants vont dans tous les sens.

A l'heure où de gros enjeux politiques et diplomatiques se bousculent sur fond des enjeux sécuritaires et économiques, on comprend l'option levée de la "banalisation" de l'assassinat de l'ex-fédéral de l'Udps et du procès en flagrance ouvert le 9 juin 2025 à cet effet.

Seulement voilà : s'il se révèle que Célestin Kabasele Wa Mpanga a acquis la nationalité américaine (comme l'ont fait plusieurs combattants de la Diaspora), c'est que ce crime tombe au très mauvais moment...

Certes, l'État est en droit de le qualifier d'une affaire interne à un parti politique dès lors qu'il n'y a pas la main de la police, ni de l'armée, encore moins des Renseignements pour qu'on engage sa responsabilité. *Il n'y a pas crime d'Etat*.

Seulement voilà : l'Udps est un parti politique dont les actions impactent d'une manière ou d'une autre la marche du pays. Une bagarre rangée entre combattants dans la rue est de nature à affecter le fonctionnement des institutions publiques. D'où obligation de faire gérer ce crime avec transparence et intelligence, mais surtout avec sagesse !

De quoi rappeler l'assassinat de Floribert Chebeya. Joseph Kabila n'en avait pas besoin en juin 2010 puisqu'il s'apprêtait à vivre un événement politique et diplomatique à grand impact : la célébration du Cinquantenaire de l'Indépendance de la RDC ! On lui fit porter de force le chapeau... Et un sale cheveu tomba dans la soupe "Appellation d'Origine Contrôlée" (AOC) que se voulait la première fête depuis 1985 à revoir le roi des Belges au Congo-Kinshasa !

Depuis, l'Udps saisit toutes les occasions pour "retatouer’’ sur la peau de Joseph Kabila ce crime...

Omer Nsongo die Lema

omernsongo

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Camp de la patrie : le parti politique Envol reste silencieux et observe le jeu

Les récentes sorties médiatiques de deux leaders politiques du pays notamment, l’ancien Président de la République Joseph Kabila et le Président de l’Ecide Martin Fayulu, ont fait l’objet de multiples réactions. Fayulu lors de sa rencontre avec le Président Félix Tshisekedi, a proposé le camp de la patrie pour sauver le Congo de la balkanisation et Kabila, à son tour, promet de défendre le pays jusqu’au sacrifice suprême. Le parti politique ENVOL reste étonnement silencieux.

Aucun communiqué officiel de son Secrétaire général, aucune déclaration publique ni prise de position n’a été enregistrée jusqu’à présent. Pourtant, son Secrétaire général, Me Rodrigue Ramazani Bekola, est habitué, voire réputé pour ses prises de parole au nom de cette formation politique. Face à la situation de l’heure, est resté silencieux, tout comme le Président de cette formation politique de l’opposition, l’honorable Delly Sesanga.

Ce mutisme suscite des interrogations, tant au sein de l’opinion publique que dans les milieux politiques. Certains y voient une stratégie d’attente ou de prudence, tandis que d’autres dénoncent un manque de responsabilité de la part du Secrétaire général Rodrigue Ramazani, gestionnaire au quotidien du parti ENVOL censé contribuer au débat démocratique.

Dans un contexte où les prises de position sont scrutées et où les citoyens attendent des réponses claires, cette absence de réaction du parti politique ENVOL, ne passe pas inaperçu.

Michel Okaso

Camp de la patrie : le parti politique Envol reste silencieux et observe le jeu
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