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Meeting de la Paix à Kinshasa, AREP : Guy Loando célèbre l'Accord de Washington entre la RDC et le Rwanda

Le samedi 28 juin 2025, le parti Agissons pour la République (AREP) a organisé un grand "Meeting de la Paix" au Stade Vélodrome de Kintambo. Cet événement clôturait une série de matinées politiques tenues à travers Kinshasa, après les districts de Mont-Amba, Tshangu et Funa. Le district de la Lukunga a ainsi accueilli chaleureusement l'Autorité de Référence du parti, le Ministre d’État en charge de l'Aménagement du Territoire, Maître Guy Loando Mboyo.

Devant des milliers de militants, dans une ambiance marquée par des appels à l'unité, cette matinée politique était principalement axée sur la paix et le respect du processus démocratique. Au cœur des discours se trouvait la célébration de l'Accord de Paix de Washington, signé la veille, le 27 juin 2025, entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda sous l'égide des États-Unis.

Le Ministre d'État a salué cet accord comme une étape décisive, résultant d'une diplomatie cohérente et déterminée menée par le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Il a également souligné le rôle crucial joué par le gouvernement, sous la conduite de la Première Ministre Judith Suminwa, et les efforts de la Ministre d’Etat aux Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, dans l'aboutissement de ce processus.

Ce rassemblement a permis de réaffirmer un message fort, martelé par le leader de l'AREP :

« Le pouvoir s’obtient par les urnes, jamais par les armes. Assez, c’est assez : la paix doit revenir à l’Est. »

Fidèle à sa ligne républicaine, l'AREP a réitéré sa mobilisation derrière la vision du Chef de l’État, Félix Tshisekedi, et son engagement pour une RDC stable, unie et prospère.

En prélude au 65ᵉ anniversaire de l’indépendance de la RDC, ce meeting a été l'occasion pour l'AREP d'inviter chaque citoyen à faire le choix de la paix, considérée comme le fondement indispensable au développement du pays.

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Saluant la signature de l'accord de paix de Washington, MSC : Laurent Batumona préconise une nouvelle ère vers l’augmentation du Budget en RDC

Laurent Batumona, Autorité Morale du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC), Parti politique Membre de l’Alliance des Acteurs Attachés au Peuple (AAAP), que préside avec maestria Tony Kanku Shiku, s’est exprimé depuis Bruxelles au lendemain de la signature de l’accord de paix entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda, à Washington. Il apporte son soutien indéfectible et en appelle au respect mutuel de toutes les parties prenantes sur les engagements pris à la face du monde.  Il a salué le front diplomatique affronté avec un engagement soutenu par le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et, aussi, les efforts inlassables de la ministre des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner. Il n’a pas manqué de féliciter également les Etats-Unis, avec une mention particulière au Président Donald Trump et au Secrétaire d’Etat Marco Rubio pour leur implication dans la médiation avant de se prononcer sur les enjeux fiscaux de cet accord qui vont booster le budget de l’Etat congolais.
C’est une voix forte de la scène politique congolaise qui s’est exprimée après la signature de l’accord de paix entre la République démocratique du Congo et le Rwanda. Pour ce fiscaliste de premier rang, cet évènement important et historique marque un pas vers la paix dans l’Est de la RDC, singulièrement, et dans la région des Grands Lacs en général. Il a souligné que cet accord, qui résulte d’un ballet de négociations laborieuses, offre une opportunité très précieuse pour la RDC de mettre, non seulement, fin aux conflits qui ont dépouillé l'est de la RDC, mais également, de fonder un avenir de stabilité et de coopération bilatérale fructueuse entre la RDC, le Rwanda et les USA. Il a salué le front diplomatique affronté avec un engagement soutenu par le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et les efforts inlassables de la ministre des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner.

Mais, au-delà de toute la cérémoniale protocolaire, Laurent Batumona y voit un avenir prospère de par les investisseurs américains qui se bousculent au portillon de la RDC.

Très lucide, Laurent Batumona croit au mécanisme de suivi mis en place pour garantir l’application de l’accord par le fait que les investissements incessants en faveur de la RDC sont porteurs des résultats fructueux en termes d’emplois que seront générés par les entreprises qui seront implantées et surtout leur respect du système de gestion fiscale. ‘’ La diplomatie intelligente de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo vient de produire un résultat fructueux qui va sécuriser les emplois au Nord et au Sud Kivu avec les investissements américains’’, a-t-il souligné. 

Pour lui, cet accord permet de doubler notre vigilance sur la stratégie de la RDC qui devient plus gagnant par rapport aux investissements qui vont entrainer dans les proches jours à venir la construction des infrastructures avec comme effet d’entrainement le paiement des impôts qui vont faire croitre sensiblement le budget de l’Etat.

Dans une impulsion estampillée d’espérance, le Président de AAAP Laurent Batumona par un appel à la prospérité et à la cohabitation pacifique en RDC invite les Congolais à s’investir sur l’accord-cadre d’Addis-Abeba qui, du reste, conduit désormais au dialogue sous la conduite du Président Togolais Eyadema sous les auspices de l’Union Africaine.

Le MSC est prêt à apporter son soutien, tant politique pour garantir l’effectivité des engagements pris à Washington. Son message est clair : la paix durable dans l’Est congolais ne pourra se construire sans une réelle volonté politique de toutes les parties concernées, ni sans l’appui constant des partenaires de la RDC.

Le MSC engagé depuis plusieurs années aux côtés de Félix Tshisekedi réaffirme par cette signature de paix son soutien au processus de paix. Le MSC avait déjà soutenu plusieurs initiatives dans le cadre des efforts de soutien aux Fardc pour la stabilisation de la RDC, tout en appelant à une solution inclusive. Comme la prudence reste de mise après tant d’échecs par le régime passé, ce nouveau chapitre suscite un espoir réel. Les regards sont désormais tournés vers la mise en œuvre effective des engagements pris par Kinshasa et Kigali.
A cet effet, le MSC assure qu’il reste vigilant et engagé pour que les promesses faites à Washington ne soient pas une intention, mais le début d’un nouvel avenir pour les peuples congolais.

Par ailleurs, il faut noter que le Président américain attend, au courant du mois de juillet, ses homologues Félix Tshisekedi de la RDC et Paul Kagame du Rwanda pour définir la suite des étapes devant aboutir à une paix durable et au développement d’un partenariat économique.

Pour rappel, le texte de l’accord de paix signé le 27 juin 2025 prévoit, notamment : le retrait progressif des forces armées étrangères ; la protection des civils ; le retour des populations déplacées ; le rapatriement volontaire des réfugiés des deux pays ; ainsi que la mise en place d’un mécanisme de suivi international.
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Création de la plateforme politique Coalition pour la Gauche congolaise, RDC : Jean-Marc Kabund s’engage à rompre avec la prédation et la corruption

 Le coordonnateur de la plateforme politique Coalition pour la gauche congolaise (CGC), Jean-Marc Kabund, a, ce mercredi 18 juin 2025, procédé à la sortie officielle de ce regroupement politique. Une organisation composée des partis politiques, mouvements associatifs, organisations syndicales, personnalités politiques … qui ont choisi de se réunir autour Jean-Marc Kabund-A-Kabund, Président du parti politique Alliance pour le changement (A.ch).

D’entrée de jeu, le coordonnateur de ce regroupement, Jean-Marc Kabund, a fait savoir que plusieurs antivaleurs maintiennent la RDC dans le sous-développement depuis son indépendance. Il a cité notamment : le tribalisme, le népotisme, le détournement des deniers publics, l’impunité, l’injustice sociale, et d’autres dérives.

«Nous fondons une nouvelle expérience politique sur un seul pilier : une idéologie bâtie sur la démocratie, dans un environnement sain, bannissant la domination d’une infime minorité qui accapare les richesses du pays au détriment de la majorité de la population. C’est une fondation fondée sur l’idéologie et la justice sociale. C’est une rupture, un combat pour l’instauration d’un nouveau système à visage social de gauche », a-t-il déclaré.

Devant les cadres et sympathisants, Kabund est revenu sur les raisons à la base de la création de ce mouvement politique. Après avoir peint un tableau sombre de l'histoire politique du Congo, il a révélé vouloir changer les choses en interne, ce qu'il n'a pas pu en tant que membre du régime Tshisekedi qui, d’après lui, se positionne comme héritier du mauvais système préexistant.

"Malgré les aspirations initiales à rompre avec les pratiques passées, le régime Tshisekedi (actuel), loin d'en découdre avec le système préexistant, s’est accommodé de ses rouages, se positionnant ainsi davantage comme son héritier que comme son fossoyeur. Nous avions tenté, au péril de notre vie et de notre liberté, de transformer ce système de l'intérieur. Cependant, nous nous sommes heurtés à une résistance farouche du régime, incapable de se départir des antivaleurs qui le caractérisent. Face à cette réalité implacable, la solution se conjugue en un seul mot : la rupture. Le peuple congolais ne peut plus se contenter de demi-mesures ou de simples réajustements cosmétiques", a déclaré Jean-Marc Kabund, ancien premier Vice-Président de l'Assemblée nationale.

Signalons que la Coalition de la Gauche Congolaise repose sur des valeurs telles que l’égalité des chances, la protection de l’environnement, la transparence dans la gouvernance et la justice sociale. Elle vise à mobiliser, sensibiliser et conscientiser les Congolais autour d’un projet de société innovant, en luttant contre les antivaleurs comme le tribalisme, le népotisme et, surtout, le mensonge d’État.

La devise  de cette coalition est  de  répondre à cet impératif ultime et salvateur de rupture avec ce système d'oppression, et pour satisfaire au besoin d'un système nouveau fondé sur des valeurs essentielles telles que la place prépondérante des hommes et des femmes congolaises au cœur du système, la démocratie, la justice sociale, la répartition équitable des richesses du pays, le travail pour tous, l'égalité et la protection de l'environnement — que nous nous sommes rapprochés pour créer la Coalition de la Gauche Congolaise (C.G.C)".

Selon l'ancien Président ad intérim du parti présidentiel, les plateformes politiques en République Démocratique du Congo n’ont été jusqu’à présent, que des constructions éphémères, conçues à la veille des élections pour le seul et unique dessein de soutenir un leader autoproclamé « éclairé ». Elles incarnent la faillite d’une classe politique incapable de s’élever au-dessus des ambitions personnelles et des calculs électoralistes.

"Fort de ce diagnostic basé sur l’expérience dans notre pays, la CGC n’est pas une énième plateforme politique dictée par des ambitions personnelles ou des calculs politiciens à court terme venue s’ajouter aux centaines existantes. Non. Elle est plutôt l’expression de la rupture radicale avec les pratiques d’un passé qui nous a trop longtemps entravé. Nous naissons des profondeurs de la société congolaise, en dehors des sentiers battus, loin des salons où se décident les destins du peuple sans le peuple. Nous sommes l'anti système par excellence", a fait savoir Kabund.

Selon lui, la particularité de cette nouvelle plateforme réside dans le fait qu'elle rassemble uniquement des partis politiques et des citoyens qui partagent véritablement les valeurs cardinales de la Gauche : la justice sociale, l’égalité des chances, la solidarité, la souveraineté nationale pleine et entière sur les ressources, la dignité humaine, la protection de l’environnement, et une gouvernance transparente et responsable.

"La CGC ne se construira pas autour d’un homme providentiel, mais plutôt autour d’un leadership crédible, visionnaire, fondé sur une idéologie claire, et d’un programme de gouvernance concret. Nous rompons avec la floraison désordonnée des regroupements politiques sans âme, pour construire une plate-forme solide, unie par des principes inébranlables. Notre objectif n’est pas de succéder au système, mais de le transformer en profondeur, de ses fondations à son sommet, pour bâtir une République au service de tous les Congolais. Nous sommes l'anti système, ne regroupant que les partis, les Congolaises et Congolais qui partagent les valeurs de la gauche", a-t-il conclu.

Au cours de cette activité, Jean-Marc Kabund a mis en garde certains pays voisins qui tenteront de déstabiliser la République démocratique du Congo, il annonce que la guerre ne sera pas une option, mais plutôt une obligation sacrée.

« Tout acte ou déclaration d'un État voisin susceptible de menacer notre indépendance, notre souveraineté ou la paix et la sécurité de notre peuple, sera considéré comme une déclaration de guerre (...) ceci veut dire que pour des raisons existentielles, la guerre ne sera pas une option mais une obligation sacrée », a déclaré Jean-Marc Kabund.

Jackson Mutamba

 

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Camp de la Patrie : Eugène Diomi Ndongala apporte son soutien à l'initiative de Martin Fayulu

Dans un geste politique significatif, Martin Fayulu, président de l'Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (ECiDé), a accueilli le lundi 16 juin 2025, Eugène Diomi Ndongala, président du parti Démocratie Chrétienne (DC), en sa résidence de Faden House. Cette rencontre, placée sous le signe de l'unité nationale, a vu Diomi Ndongala exprimer son appui franc et massif à l'appel récent de Martin Fayulu pour la création d'un Camp de la Patrie.

Les deux hommes ont discuté sur la situation sécuritaire et politique préoccupante qui prévaut en République Démocratique du Congo, particulièrement dans sa partie orientale. C'est dans ce contexte de crise que Martin Fayulu a récemment prononcé un discours à la Nation qui a fortement résonné au sein de la classe politique et de la population. Un discours qui, selon Eugène Diomi Ndongala, a marqué plus d'un Congolais.

Saluant la portée de cette adresse, le président de la Démocratie Chrétienne a souligné la pertinence de la démarche de Martin Fayulu, qui a appelé à un sursaut patriotique et au dialogue pour préserver l'intégrité du pays.

L'élément central de cette convergence de vues est sans conteste l'initiative du "Camp de la Patrie". Proposée par Martin Fayulu, cette plateforme se veut un rassemblement de toutes les forces vives de la nation, au-delà des clivages partisans, pour faire face aux menaces de balkanisation et d'agression extérieure. L'idée, qui a également été au centre d'un échange récent entre le leader de l’ECIDé et le Président Félix Tshisekedi, est de créer un état d'esprit de cohésion nationale fondé sur les valeurs de patriotisme, de vérité et de justice.

Eugène Diomi Ndongala a apporté un soutien sans équivoque à ce projet. ‘’L’initiative de créer le camp de la patrie est salutaire, c’est pourquoi nous prenons les choses en main’’, a-t-il affirmé avec conviction. Pour ce vétéran de la scène politique congolaise, qui a lui-même connu les affres de la persécution politique, l'heure est grave et exige une union sacrée. ### Un Modèle pour le Changement

Insistant sur le rôle crucial que doit jouer Martin Fayulu dans la période actuelle, Diomi Ndongala a tenu des propos forts, le positionnant comme une figure centrale pour l'avenir du pays. ‘’La survie de la République démocratique du Congo est entre ses mains. Monsieur Fayulu devrait être considéré comme un modèle à devenir pour le changement du Congo’’, a-t-il martelé.

Cette déclaration vient renforcer la stature de Martin Fayulu, qui, après avoir contesté les résultats de l'élection présidentielle de 2018, se positionne aujourd'hui comme un acteur incontournable du dialogue national, tendant la main à toutes les parties, y compris au pouvoir en place, face à ce qu'il qualifie comme "les heures les plus sombres de notre histoire".

Nathan Mundele

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Retrait de son parti du Communiqué conjoint de l’opposition, RDC : Martin Fayulu se désengage de Kabila, Katumbi et Sessanga !

Le paysage politique est en pleine ébullition après le retrait de l’Ecidé de la signature du communiqué conjoint. Et pour cause : la présence de Joseph Kabila à Goma. Devant les militants de l’ECIDE, à Tshangu, samedi 7 juin dernier, le secrétaire général dudit parti, Devos Kitoko, a procédé, dans une adresse aux militants de Martin Fayulu, à la restitution de la rencontre avec Félix Tshisekedi du jeudi 5 juin dernier.

C’est à cette occasion que ce haut cadre du parti de Fayulu a annoncé le retrait de son parti du Communiqué conjoint de l’opposition à cause des agendas cachés des uns et des autres. Il s’est exprimé en ces termes : « Nous avons signé en âme et conscience ce communiqué, mais nous avons été surpris de voir Joseph Kabila à Goma. À partir de ce moment-là, nous ne voyions plus l’importance de continuer avec cette démarche » en précisant que son parti n’y est plus concerné.

Accompagné de Prince Epenge, porte-parole de Lamuka, il a précisé que « leur objectif est de permettre au pays d’avoir un dialogue inclusif et non de se fier à des rumeurs avant que Prince Epenge ne précise : « Ils ont envoyé leurs communicateurs pour nous rabaisser après notre rencontre avec Félix Tshisekedi, mais nous ne céderons pas à la manipulation ».

Pour rappel, Martin Fayulu, Moïse Katumbi et Delly Sessanga, les principaux opposants à régime Tshisekedi ont signé un communiqué conjoint en soulignant qu’un dialogue interne est indispensable pour permettre au congolais d'identifier les causes profondes, internes et externes de la crise et de lui trouver des solutions pérennes.

Ils ont réaffirmé, à cet effet, leur soutien « à l'initiative conjointe CENCO-ECC qui a le triple mérite d'être, à ce jour, la seule initiative portée par des Congolais, privilégiant un dialogue ouvert à toutes les parties congolaises sans exclusive et soucieuse d'examiner la crise congolaise dans sa globalité, avec objectif la paix et le bien vivre ensemble au Congo, comme dans la sous-région ».

Ces dirigeants de l'opposition saluent, par ailleurs, le fait que la déclaration de principe de Washington du 24 avril 2025 réaffirme entre autres « le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de chaque État, le respect des frontières territoriales établies conformément à la charte des Nations Unies et de l'Union africaine, ainsi que l'engagement par les signataires à la non-agression et la non-ingérence dans les affaires intérieures de l'autre partie ».

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Présumé détournement de 19 millions USD, Firmin Mvonde : Constant Mutamba récuse et crie à l’acharnement politique !

Constant Mutamba résiste. Malgré la pression, il compte se défendre jusqu’au bout. Accusé d’avoir orchestré un détournement de 19 millions de dollars dans une affaire de construction d’une prison à Kisangani, le Ministre d’Etat en charge de la Justice a haussé le ton hier, mardi 10 juin 2025, contre le Procureur Général près la Cour de Cassation ainsi que tous les magistrats sous son autorité directe, dénonçant une démarche judiciaire truffée de partialité, un règlement des comptes, un acharnement de haut niveau. ‘’Il est incompréhensible de parler de l’intention de détournement alors que l’initiateur a sollicité l’approbation préalable de la Première Ministre, qui avait toute la latitude pour valider ou rejeter le projet… La Société de construction qualifiée de fictive a répondu aux invitations de la CENAREF, lui apportant les preuves de son siège et des autorisations requises pour fonctionner en RDC’’, fait remarquer, avec insistance, Constant Mutamba, dans sa correspondance adressée à Firmin Mvonde.

 

Présumé détournement de 19 millions USD, Firmin Mvonde : Constant Mutamba récuse et crie à l’acharnement politique !
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