Le parti Agir Ensemble a pris part au deuxième congrès extraordinaire de l’Union Sacrée de la Nation (USN), le samedi 30 août 2024. Son président national, Yannick Lukusa, a profité de l’occasion pour réaffirmer son soutien indéfectible à l'Union Sacrée et à son Autorité Morale, le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Le parti a également salué l'adoption de la charte révisée et félicité Guy Loando Mboyo pour sa promotion au sein du Présidium.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Le parti AGIR ENSEMBLE, représenté par son initiateur et président national, le Président Yannick LUKUSA, a pris part au deuxième congrès extraordinaire de l’Union Sacrée de la Nation (USN), qui s'est tenu ce samedi 30 août 2024 au Centre Culturel de l'Afrique Centrale, à Kinshasa.
Le Président Yannick LUKUSA a exprimé son soutien indéfectible à la vision et au leadership de la Haute Autorité politique de l'USN, le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Il a salué la convocation de ce congrès extraordinaire, qui témoigne de la vitalité et de la cohésion de l'Union Sacrée.
Par ailleurs, le Président LUKUSA a félicité les sociétaires de l'USN pour l'adoption à l'unanimité de la charte révisée, un acte qu'il juge essentiel pour la consolidation et le renforcement de cette plateforme politique.
Le parti AGIR ENSEMBLE et son président ont également adressé leurs sincères félicitations au Ministre des Relations avec le Parlement, Guy Loando Mboyo, élevé au rang de Membre du Présidium de l'USN. Cette promotion, parmi les 40 membres du Présidium, est perçue comme une reconnaissance de son engagement et de son rôle en tant qu'Autorité de Référence du regroupement ANB.
Le Président Yannick LUKUSA a réaffirmé la volonté d'AGIR ENSEMBLE de continuer à œuvrer aux côtés de l'Union Sacrée de la Nation pour le développement et la prospérité de la République Démocratique du Congo.
Réuni en session plénière extraordinaire le 2 septembre 2025 à Kinshasa, sous la présidence de Joseph Olenghankoy Mukundji, le Conseil National de Suivi de l’Accord et du Processus Electoral (CNSA) a tiré la sonnette d’alarme sur la persistance d’une crise sécuritaire et humanitaire jugée alarmante. Inscrivant à son agenda unique l’organisation d’un dialogue national inclusif, l’institution sollicite l’implication directe du Président de la République afin de favoriser la tenue rapide de ce forum, présenté comme la clé du retour à la paix, à la réconciliation et à la préparation d’élections apaisées et crédibles.
République Démocratique du Congo CNSA – Conseil National de Suivi de l’Accord et du Processus Electoral Le Cabinet du Président
COMMUNICATION DU CNSA N°037/CNSA/2025 du 02 SEPTEMBRE 2025
Vu la Résolution 2348 du Conseil de Sécurité des Nations Unies, adoptée à sa 7910ᵉ séance le 31 mars 2017, prenant acte de la création du CNSA, conformément à l’article 6 de la Loi organique n°18/023 du 13 novembre 2018 et aux chapitres VI et VII de l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016, le Conseil National de Suivi de l’Accord et du Processus Electoral, en sigle CNSA, s’est réuni le mardi 02 septembre 2025 en session plénière extraordinaire, en son siège de Kinshasa, sous la présidence de Son Excellence Monsieur le Président Joseph Olenghankoy Mukundji.
Un seul point était inscrit à l’ordre du jour : l’organisation du dialogue national inclusif.
Le CNSA réaffirme que la situation sécuritaire du pays demeure très alarmante. Face à la crise humanitaire qui sévit dans plusieurs coins de la République, il est urgent de convoquer un dialogue national inclusif tant attendu par les Fils et Filles du pays. Ce dialogue vise à rétablir la paix, la sécurité, la réconciliation nationale ainsi que la confiance mutuelle indispensable à l’organisation des élections générales apaisées, libres, inclusives et transparentes, conformément à l’esprit et à la lettre de l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016.
Le CNSA demande au Président de la République, Chef de l’État, qui a réaffirmé son attachement à la tenue d’un tel forum, d’apporter son haut arbitrage pour que ce dialogue inclusif ait lieu dans les meilleurs délais.
Le CNSA décide de poursuivre ses discussions sur les conditions et les modalités d’organisation de ce dialogue en vue de mettre fin aux souffrances inqualifiables que subissent nos populations.
Que l’Eternel Dieu nous guide.
Commencée à 10 heures 35 minutes, la séance plénière a pris fin à 18 heures 17 minutes.
Non sans étonnant que le dialogue proposé par la Fondation Thabo Mbeki, fondation sud-africaine dévouée pour la promotion de la paix, la stabilité et l'intégration africaine, serait mal accueilli par la classe politique congolaise qui place toute son énergie dans un dialogue congolo-congolais autour des enjeux sécuritaires et politiques qui secouent le pays. Martin Fayulu, acteur politique congolais de premier rang a, dans une correspondance adressée à M. Max Boqwana, Chief Executif Officer de cette fondation, rejeté systématiquement l’invitation lui envoyée pour prendre part à ces assises qui devront naturellement débuter aujourd’hui 3 septembre 2025 et se clôturer le 6 septembre prochain.
Proposition de réorientation
Organiser un dialogue continental sur la paix et la sécurité, avec un accent particulier sur la situation sécuritaire qui prévaut dans l’Est de la République Démocrate du Congo est, pour l’opposant congolais, une coutume qui entre dans les objectifs majeurs de cette fondation.
Cependant, le politique congolais s’interroge sur la pertinence de cette table ronde qui ne présente aucune feuille de route détaillée du point de vue liste de participants, thématiques abordées, agenda des panels ainsi que les dispositions protocolaires mises en place avant, pendant et après le dialogue. Il voit en cela une organisation biaisée d’un événement d’une importance capitale pour une solution éventuelle face à la crise sécuritaire qui sévit dans l’Est du pays et dans la sous-région des Grands-Lacs. Un « flou » qui suscite une certaine perplexité, s’indigne l’auteur de la lettre.
Appel à soutenir le dialogue national inclusif en RDC
Sous l’égide du tandem CENCO-ECC, et aujourd’hui portée par toutes les confessions religieuses ainsi que les autorités coutumières et traditionnelles, l’initiative du dialogue national inclusif congolais prend de plus en plus de l’ampleur dans le sphère politique – majorité et opposition – ainsi que la société civile qui s’active pour embarquer dans le navire qui pourrait être, selon les initiateurs, une issue de sortie de cette crise qui a longtemps durée dans la partie orientale du pays.
Martin Fayulu a rappelé à son correspondant que ce processus demeure actuellement en gestation et qu’il est pris à bras le corps par la majorité de la population.
«Cette initiative, soutenue par une large majorité de la population, vise une résolution endogène, pacifique et durable des crises profondes qui affectent notre nation », a-t-il déclaré.
L’opposant congolais a, par contre, invité cette fondation à s’investir davantage dans le processus de Kinshasa, en lui accordant une chance d’avoir lieu, et à encourager les parties prenantes au conflit à s’engager pour une paix durable dans l’Est du pays. Car, la feuille de route structurée présentée par les leaders spirituels dépeint les contours d'un dialogue « véritablement représentatif, inclusif et porteur d'espoir ».
« Je formule donc le vœu que la Fondation Thabo Mbeki accorde la priorité au processus de Kinshasa, en encourageant la participation de l'ensemble des acteurs nationaux, sans exclusive. Un appui sincère à cette initiative interne, relayé à l'échelle régionale et internationale, serait non seulement pertinent et légitime, mais également porteur d'un véritable impact pour la paix durable en RDC », a-t-il lancé cette invitation à la Fondation Thabo Mbeki.
Un seul facilitateur pour la paix en RDC
Le leader de l’ECIDé et président de la plateforme Lamuka a rappelé que la facilitation dans les conflits sécuritaires qui menacent l’intégrité territoriale de la RDC ainsi que sa souveraineté est placée sous l’influence du président togolais Faure Gnassingbé. Désigné par l’Union africaine dans ce processus de paix en RDC, il s’adjuge cette mission lui confiée aux côtés de quatre collaborateurs, tous anciens chefs d’Etats africains qui militent « pour une solution africaine concertée et renforcent la nécessité de coordonner les efforts autour de la dynamique inclusive déjà amorcée sur le terrain ».
Ne s’avouant pas vaincu, l’ancien Premier ministre a tenté une nouvelle action judiciaire pour annuler sa condamnation. Nouveau coup d’épée dans l’eau. En effet, lors de son audience publique d’hier jeudi 28 août, la Cour constitutionnelle, statuant en premier et dernier ressort, s’est déclarée incompétente de statuer sur la requête de Matata Ponyo, ancien Premier ministre et leader du LGD.
La Cour constitutionnelle avait condamné mardi 20 mai Augustin Matata Ponyo, à 10 ans des travaux forcés, à son inéligibilité pour 5 ans. Elle avait aussi ordonné son arrestation immédiate et la saisie de ses biens meubles et immeubles au prorata des fonds détournés. Quelques jours, il a pris poudre d’escampette avant de se retrouver en Belgique comme exilé politique
L’ancien Premier ministre de 2012 à 2016 et député national avait été reconnu coupable de détournements de 156.849.413 dollars américains avec l'ancien gouverneur de la Banque centrale du Congo, des fonds destinés au développement du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo, dans l’est de Kinshasa, et de 89 millions de dollars américains avec le prévenu sud-africain Globler.
Sur les faits, la Cour parle de plusieurs surfacturations non justifiées émises par Christo Grobler sous la supervision et l’indifférence de l’ancien Premier ministre. D’après la Cour, AFRICOM bénéficiait des exonérations. Alors rien ne pouvait justifier les surfacturations dues aux frais de carburant, à en croire le sud-africain.
Rien ne pouvait ainsi justifier le détournement de 89 millions de dollars à charge d’Augustin Matata, Deogratias Mutombo qui facilitait le décaissement des fonds détournés, participant ensemble au modus operandi de l’entreprise criminelle avec de passation des marchés imaginaires.
Cette affaire a suscité des tensions à l’Assemblée nationale notamment, autour de la question des immunités parlementaires de Matata Ponyo. Vital Kamerhe, Président de l’Assemblée nationale, a dénoncé une violation de la Constitution, estimant que le député Matata Ponyo ne pouvait être jugé sans la levée préalable de ses immunités.
Cette position a été contestée par le président de la Cour constitutionnelle, Dieudonné Kamuleta. Ce dernier a rappelé que la procédure avait dépassé la phase pré-juridictionnelle où l’autorisation de poursuites est requise. Il avait, par ailleurs, appelé au respect de la séparation des pouvoirs.
‘’Le Centre a pour habitude de ne faire que des propositions réfléchies. Si vous voulez ce dialogue, nous on exige un référendum pour nous départager sinon alors étant tous congolais, laissons alors l’Etat faire son travail et trouver souverainement les solutions qui s’imposent comme l’exige notre constitution. Un référendum ne coûte pas cher, surtout si l’on élimine les dépenses superflues, car nous disposons déjà de la machine à voter. Le prix à payer pour que le peuple reste maître de sa destinée ne sera pas plus élevé que les conséquences de ce dialogue, qui, du point de vue logistique, coûtera également très cher. Il faudra déplacer et loger les délégations dans un pays étranger pendant au moins trois mois, car les rebelles et le camp de l’ancien président ne viendront pas à Kinshasa avant la conclusion d’un accord de partage de pouvoir, s’il y a effectivement ce dialogue proposé par la CENCO et l’ECC’’, démontreGermain Kambinga, dans une nouvelle alerte lancée, jeudi, sur son compte X. ‘’Combien a coûté le dialogue inter congolais de Sun city ? Pour Le Centre, le peuple doit rester au cœur de toute décision concernant son avenir, d’autant plus que, depuis les élections de 2006, les acteurs politiques ont perdu le droit de se substituer au souverain primaire pour prendre des décisions qui, inévitablement, sortent du cadre constitutionnel au profit des intérêts égoïstes’’, insiste, dans son élan, le Leader du Mouvement politique Le Centre.
POINT DE VUE DE GERMAIN KAMBINGA SUR LA PROPOSITION DES CONFESSIONS RELIGIEUSES
Le dialogue ne peut être que celui du rassemblement des patriotes pour la défense de la patrie et de nos institutions démocratiques. Tout dialogue qui viserait plutôt la remise en cause des acquis démocratiques au profit de la substitution de la souveraineté du peuple par les ambitions égotiques des groupes politiques séditieux serait une erreur fatale qui condamnera à coup sûr l’avenir en toute liberté de notre pays. En réalité, un tel dialogue contribuera à renforcer de façon pernicieuse l’influence rwandaise dans les institutions congolaises et constituera une dette politique, sinon un passif non payé par notre génération et reporté sur nos enfants.
De plus, les résolutions d’un tel dialogue constitueront nécessairement un enjambement de la souveraineté du peuple et une mise en berne de la constitution de notre pays en ce que ;
Un gouvernement d’union nationale dont certains dans l’opposition armée ou non armée revendiquent déjà la tête sera une violation franche de notre constitution qui ne reconnaît un tel rôle qu’à la majorité parlementaire ;
Une incorporation des membres de l’AFCM23 dans l’appareil sécuritaire et l’administration consacrera l’infiltration rwandaise, et sa mainmise sur nos institutions, ainsi que la violation manifeste de nos lois ;
La mise en place de ces institutions ainsi que l’accomplissement des missions qui leur seront assignées nous mènerons inévitablement à un glissement du mandat présidentiel, au-delà de Décembre 2028.
Bien d’autres conséquences fâcheuses peuvent être évoquées, mais il est important que nous signifions que comme à l’accoutumée, les instigateurs de cette démarche auront pour réflexe malsain de se dédouaner de telles conséquences, en voulant responsabiliser le seul chef de l’état devant le peuple congolais.
C’est ainsi que pour LE CENTRE, si ce dialogue ne peut être évité, il faut obligatoirement et préalablement interroger le peuple congolais, seul détenteur suprême de la légitimité et de la souveraineté, à travers un référendum, afin que lui seul donne l’autorisation à la classe politique d’entreprendre cette initiative de dialogue dont l’issue pourrait modifier la constitution des institutions issues des élections de 2023, et susceptible de mettre en berne momentanément la constitution de la république. Car le peuple congolais ne laissera pas un groupe d’individus aux ambitions démesurées et qui presse pour avoir l’organisation du dialogue, se dérober devant la responsabilité collective d’assumer les conséquences d’un telle initiative, et tenter par la suite d’en faire porter la responsabilité au seul Président de la République.
Chers compatriotes, le combat pour la vérité historique est quotidien ; ainsi le mouvement centriste congolais LE CENTRE faisant sa part, appelle à la mobilisation de l’ensemble de notre peuple, afin qu’à chaque mensonge distillé par les traîtres et ennemis de la patrie, qu’il y ait une multitude de voix patriotiques pour s’exprimer et y répondre vigoureusement.
Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo et son Peuple.
Le parti politique Mouvement des Démocrates Congolais (MDCO), dirigé par Gabriel Mokia Mandembo, son Président National, a participé mercredi 27 août 2025 à l'installation générale et technique de la Majorité Extra Parlementaire de l'Union sacrée de la nation. Les assises ont été développées dans la salle Show Buzz située sur le boulevard du 30 juin à Kinshasa. Du côté MDCO, cette cérémonie a connue la présence de plusieurs personnalités comme lui-même, l'Autorité Morale Gabriel Mokia Mandembo, le Secrétaire Général Administratif Prince Kawala, les Coordonnateurs municipaux et tant d'autres militants. De leurs milieux respectifs, les membres du MDCO se sont réunis au sein de leur siège national de la Gombe, puis ils ont pris la direction du boulevard du 30 juin pour chuter dans ladite salle, en compagnie de leur leader politique. Par la même occasion, le parti politique de Mokia a profité pour faire une mobilisation massive de quelques membres qui se sont fait adhérés. Pour cet événement des grandes envergures, le SG Administratif Prince Kawala à commencé par salué les autorités de l'USN pour cette installation générale et technique de la MEP-USN. Puis a encouragé les militants du MDCO venus de quatre horizons de la capitale congolaise, d'avoir répondu à cette invitation particulière en vu du progrès du parti. « Je salue l'initiative des dirigeants de l'USN, car notre autorité du parti fait parti des dirigeants au sein de cette plateforme. Nous membres du MDCO, particulier la jeunesse, sommes motivés et nous sommes levés pour se mettre au travail et se prendre en charge en guise de bien garder notre patrimoine qui est le MDCO. Nous sommes venus appuyé notre autorité morale pour prendre certains avantages politiques. C'est un jour bénéfique pour nous et notre plateforme USN, surtout que dans cette installation on remarque la présence des jeunes. On a vu la force et la mobilisation de la jeunesse qui est déterminée à défendre la nation, mais aussi le parti. J'invite tous les autres jeunes de venir nombreux pour nous joindre en vue de l'intérêt général de la République, car l'heure n'est plus à somnoler ou à faire les aventures », a t-il fait savoir. De son côté, Nénette Tshinola, Vice-Présidente de la ligue des femmes du MDCO a livré ses impressions pour cette journée importante en faveur des militants invitant l'implication des femmes. « Nous sommes très contentes, nous les femmes du MDCO pour cette installation de la MEP, car les femmes occupent également des places importantes dans cette plateforme d'un camp comme à l'autre. C'est pourquoi nous nous sommes levées. Je lance un appel à toutes les autres mamans d'emboiter les pas. La femme aujourd'hui ne pas seulement ménagère, elle doit aussi s'intéressée à la politique pour relever les défis dans notre pays », a-t-elle renchérit. Il est nécessaire de rappeler que plus de 100 membres ont répondu présent dans cette activité du côté MDCO, montrant un signal fort de la mobilisation confirmant aussi la détermination du parti à ambitionner sa visibilité au sein de la MEP-USN. Hardi Moyo
En lieu et place d’un dialogue direct, comme le souligne la Feuille de route des Confessions religieuses, Germain Kambinga estime, par contre, que Félix Tshisekedi, Président de la République, en tant que Garant du bon fonctionnement des Institutions et Chef de l’Etat, ne doit céder à aucune pression. Pour lui, dialoguer suppose un rassemblement des patriotes unis pour une cause juste, celle de sauver réellement la patrie du chaos, et non une démarche qui n’aura pour finalité que la remise en cause des acquis démocratiques en RDC. Pour le Responsable du Mouvement politique Le Centre, le plan de sortie de crise proposé par les Eglises ne constitue pas en soi un péché, mais seulement cela nécessite, préalablement, un référendum. Dans sa réflexion, partagée, mercredi, sur son compte X, il exprime largement ses convictions et pistes qui puissent, véritablement, apporter des solutions concrètes aux défis auxquels reste confrontée la RDC.
‘’CENCO -ECC -CIN si vous voulez votre dialogue, alors, demandons au peuple par Référendum. L’Histoire jugera sévèrement ceux qui, face à l’agression, auront choisi la compromission ou la résignation. Nous disons solennellement : le temps de la libération nationale est venu, et il ne peut se négocier. Nous considérons qu’en cette période particulière de l’histoire de notre pays, les menaces existentielles qui s’imposent à nous exigent effectivement le rassemblement de tous les enfants du Congo, dans une espèce de fédération des intelligences. Tout cela dans une logique de rassemblement mais pas de ralliement, afin de mobiliser autour de la même cause nationale, toutes les oppositions et divergences. Le dialogue ne peut être que celui du rassemblement des patriotes pour la défense de la patrie et de nos institutions démocratiques. Tout dialogue qui viserait plutôt la remise en cause des acquis démocratiques au profit de la substitution de la souveraineté du peuple par les ambitions égotiques des groupes politiques séditieux serait une erreur fatale qui condamnera à coup sûr l’avenir en toute liberté de notre pays’’, précise Germain Kambinga.
Halte au pressing forcé
Pour l’Ancien Ministre de l’Industrie, dans le contexte de l’initiative brandie par les Confessions religieuses, organiser un dialogue, sans pour autant aller au fond de la problématique actuelle, marquée par une rébellion croissante dans l’Est, soutenue par une frange des congolais, serait synonyme d’une consécration poussée de l’influence rwandaise dans les institutions du pays.
‘’Un tel dialogue contribuera à renforcer de façon pernicieuse l’influence rwandaise dans les institutions congolaises et constituera une dette politique, sinon un passif non payé par notre génération et reporté sur nos enfants. De plus, les résolutions d’un tel dialogue constitueront nécessairement un enjambement de la souveraineté du peuple et une mise en berne de la constitution de notre pays en ce que ;
- Un gouvernement d’union nationale dont certains dans l’opposition armée ou non armée revendiquent déjà la tête sera une violation franche de notre constitution qui ne reconnaît un tel rôle qu’à la majorité parlementaire ;
- Une incorporation des membres de l’AFCM23 dans l’appareil sécuritaire et l’administration consacrera l’infiltration rwandaise, et sa mainmise sur nos institutions, ainsi que la violation manifeste de nos lois ;
- La mise en place de ces institutions ainsi que l’accomplissement des missions qui leur seront assignées nous mènerons inévitablement à un glissement du mandat présidentiel, au-delà de Décembre 2028. Bien d’autres conséquences fâcheuses peuvent être évoquées, mais il est important que nous signifions que comme à l’accoutumée, les instigateurs de cette démarche auront pour réflexe malsain de se dédouaner de la responsabilité qu’imposeront de telles conséquences, en voulant tout faire reposer sur le seul Chef de l’Etat devant le peuple congolais’’, insiste-t-il, avec fermeté, dans son analyse.
Exprimant le point de vue de son Mouvement politique Le CENTRE, il a soutenu que ‘’si ce dialogue ne peut être évité, il faut obligatoirement et préalablement interroger le peuple congolais, seul détenteur suprême de la légitimité et de la souveraineté, à travers un REFERENDUM, afin que lui seul donne l’autorisation à la classe politique d’entreprendre cette initiative de dialogue dont l’issue pourrait modifier la constitution des institutions issues des élections de 2023, et susceptible de mettre en berne momentanément la constitution de la république. Car, selon lui, ‘’le peuple congolais ne laissera pas un groupe d’individus aux ambitions démesurées et qui presse pour avoir l’organisation du dialogue, se dérober devant la responsabilité collective d’assumer les conséquences d’un telle initiative, et tenter par la suite d’en faire porter la responsabilité au seul Président de la République’’.
‘’Chers compatriotes, le combat pour la vérité historique est quotidien ; ainsi le mouvement centriste congolais LE CENTRE faisant sa part, appelle à la mobilisation de l’ensemble de notre peuple, afin qu’à chaque mensonge distillé par les traîtres et ennemis de la patrie, qu’il y ait une multitude de voix patriotiques pour s’exprimer et y répondre vigoureusement’’, tranche, dans sa réflexion, Germain Kambinga.
Le réquisitoire de peine de mort du ministère public à l’encontre de l’ancien Président Joseph Kabila, a été à la base d’un tollé général qui a secoué le microcosme politique. C’est de cette façon que le parti Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, est monté au créneau pour réagir samedi 23 août dernier en affirmant qu’il s’agit d’une démarche politique et cynique de la part du pouvoir, destinée à réduire au silence un acteur majeur de la scène politique congolaise.
Dans une déclaration officielle diffusée le 23 août, au lendemain des réquisitions du ministère public dans l’affaire visant Joseph Kabila, Ensemble a dénoncé une justice aux ordres et a alerté sur les conséquences potentiellement graves d’une telle décision.
Et le secrétaire général dudit parti, Dieudonné Bolengetenge Balea, de préciser : “La réquisition de la peine de mort contre l’ancien président Joseph Kabila par un ministère public aux ordres n’est pas une procédure judiciaire ; c’est une manœuvre politique cynique qui vise à semer la terreur et à diviser un peuple déjà meurtri”.
Dans ce texte, la formation de Katumbi dresse un constat sévère sur l’état de la justice sous le président Félix Tshisekedi. Elle affirme : “Qu’on ne s’y trompe pas : cette instrumentalisation de la justice n’a rien à voir avec l’État de droit. C’est une arme de répression massive contre tous ceux qui refusent la pensée unique”, accusant le régime de recourir à des « faux procès, persécutions, enlèvements, arrestations arbitraires, exils forcés, assassinats restés impunis ».
Le communiqué poursuit en indiquant : “Aujourd’hui, c’est Joseph Kabila. Demain, ce sera chaque voix libre, chaque congolais qui ose dire non.”
Ensemble pour la République souligne aussi le risque qu’une exclusion de Kabila de la scène politique entraîne une radicalisation. “Exclure un acteur clé comme Joseph Kabila, c’est le pousser ainsi que d’autres à la radicalisation et ouvrir la voie au chaos. C’est condamner les processus de Doha et de Washington à l’échec. C’est jouer avec le feu”, avertit le document.
Tout en critiquant fermement le régime, le parti réaffirme son attachement au dialogue politique. “La paix ne naîtra pas de la terreur, mais du dialogue. Nous appelons le peuple congolais, la société civile, les forces politiques responsables à exprimer leur indignation face à cette dérive totalitaire. Ce dialogue inclusif, sous médiation crédible, est la dernière chance pour sauver la RDC du gouffre”, peut-on encore lire.
La déclaration s’achève sur une note de détermination. “Le régime peut tenter de museler les voix, mais il n’étouffera jamais la vérité. Nous resterons debout, aux côtés du peuple, pour une justice équitable, une réconciliation véritable et une paix durable. La RDC ne doit être l’otage des ambitions de personne ; elle appartient à son peuple”, conclut Ensemble pour la République.
Dans un message poignant, le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA/USN, par le truchement de Divin Mutombo, son Coordonnateur Général, annonce la tenue, pour ce samedi 23 août 2025, dans la salle LAPINA de FATIMA, dans la commune de la Gombe, d’une grande activité de reconnaissance et de mobilisation patriotique derrière Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour le pousser à réussir sa vision consistant à bâtir, durant son passage à la Magistrature suprême, une Nation forte, ambitieuse et prospère. Sont priées de participer à ce rendez-vous stratégique, toutes les ASBL et les forces vives de la République Démocratique du Congo, y compris les leaders politiques membres signataires de la charte de l’Union Sacrée de la Nation. Lisez et relisez, dans le communiqué ci-dessous, toutes les précisions nécessaires.
COLLECTIF DES MOUVEMENTS ASSOCIATIVES DE L’UNION SACREE DE LA NATION
«COL.M.A/USN»
COORDINATION GENERALE
MESSAGE DE SENSIBILISATION ET MOBILISATIONS DES ASBL, FORCES VIVES ET LEADERS POLITIQUES MEMBRES SIGNATAIRES DE LA CHARTE DE L’UNION SACREE DE LA NATION
Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA/USN en sigle, a l’insigne honneur de convier à toutes les asbl, les forces vives de la république démocratique du Congo et les leaders politiques membres signataires de la charte de l’union sacrée de la nation, à rehausser de leurs présences l’activité de reconnaissance et de la mobilisation patriotique, organisée en hommage de la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée, Son Excellence Monsieur le Président de la République Chef de l’Etat, Felix ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO, ce samedi 23 août 2025, dans la salle LAPINA de FATIMA dans la commune de la Gombe à partir de 08H30’ sous le thème principal : « La Coopération RDC –USA, une nouvelle ère politique pour la fin de la guerre et le début du développement durable en République Démocratique du Congo ».
En effet, motivés par les triples constats selon Lesquels :
-Primo : la signature des accords de paix de WASHINGTON avec le RWANDA et de DOHA avec les terroristes de AFC/M23 ;
-Secundo : la victoire diplomatique de la RDC dans le cadre de l’accord bilatéral RDC-USA qui est pour nous une opportunité d’affaire et de développement de notre pays.
-Tertio : les résultats positifs de la redynamisation de l’Union Sacrée amorcés et réussis que la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée de la Nation avait confiée au Secrétaire Permanant et Rapporteur de notre plateforme politique le Professeur Honorable André MBATA MANGU ;
C’est ainsi, nous profitions de cette occasion à travers le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation à remercier le Chef de l’Etat la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée, pour sa clairvoyance sur notre famille politique qui est l’espoir de tout un peuple. Voila pourquoi nous luis réitérons notre soutien indéfectible.
Cette rencontre de haute portée symbolique, initiée par le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation vise à sensibiliser les membres de la société civile, la jeunesse, les acteurs associatifs, les leaders politiques, les membres du gouvernement, les parlementaires et tous les patriotes engagés sur les enjeux politique actuels et à renforcer leurs participation active au processus de paix autour des valeurs de souveraineté, de dignité nationale et de soutien au leadership éclairé du Chef de l’État la haute autorité Politique de l’Union Sacrée
Pour terminer, le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA apporte son soutien au 2ème Congrès extraordinaire historique de l’Union Sacrée de la Nation que nous souhaitons bonne chance aux participants.
-QUE VIVE Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation
-Que vive l’Union Sacré de la Nation
-Que vive la République Démocratique du Congo et son président
Que Dieu bénisse le Congo
Pour Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation
Dans un message poignant, le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA/USN, par le truchement de Divin Mutombo, son Coordonnateur Général, annonce la tenue, pour ce samedi 23 août 2025, dans la salle LAPINA de FATIMA, dans la commune de la Gombe, d’une grande activité de reconnaissance et de mobilisation patriotique derrière Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour le pousser à réussir sa vision consistant à bâtir, durant son passage à la Magistrature suprême, une Nation forte, ambitieuse et prospère. Sont priées de participer à ce rendez-vous stratégique, toutes les ASBL et les forces vives de la République Démocratique du Congo, y compris les leaders politiques membres signataires de la charte de l’Union Sacrée de la Nation. Lisez et relisez, dans le communiqué ci-dessous, toutes les précisions nécessaires.
COLLECTIF DES MOUVEMENTS ASSOCIATIVES DE L’UNION SACREE DE LA NATION
«COL.M.A/USN»
COORDINATION GENERALE
MESSAGE DE SENSIBILISATION ET MOBILISATIONS DES ASBL, FORCES VIVES ET LEADERS POLITIQUES MEMBRES SIGNATAIRES DE LA CHARTE DE L’UNION SACREE DE LA NATION
Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA/USN en sigle, a l’insigne honneur de convier à toutes les asbl, les forces vives de la république démocratique du Congo et les leaders politiques membres signataires de la charte de l’union sacrée de la nation, à rehausser de leurs présences l’activité de reconnaissance et de la mobilisation patriotique, organisée en hommage de la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée, Son Excellence Monsieur le Président de la République Chef de l’Etat, Felix ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO, ce samedi 23 août 2025, dans la salle LAPINA de FATIMA dans la commune de la Gombe à partir de 08H30’ sous le thème principal : « La Coopération RDC –USA, une nouvelle ère politique pour la fin de la guerre et le début du développement durable en République Démocratique du Congo ».
En effet, motivés par les triples constats selon Lesquels :
-Primo : la signature des accords de paix de WASHINGTON avec le RWANDA et de DOHA avec les terroristes de AFC/M23 ;
-Secundo : la victoire diplomatique de la RDC dans le cadre de l’accord bilatéral RDC-USA qui est pour nous une opportunité d’affaire et de développement de notre pays.
-Tertio : les résultats positifs de la redynamisation de l’Union Sacrée amorcés et réussis que la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée de la Nation avait confiée au Secrétaire Permanant et Rapporteur de notre plateforme politique le Professeur Honorable André MBATA MANGU ;
C’est ainsi, nous profitions de cette occasion à travers le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation à remercier le Chef de l’Etat la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée, pour sa clairvoyance sur notre famille politique qui est l’espoir de tout un peuple. Voila pourquoi nous luis réitérons notre soutien indéfectible.
Cette rencontre de haute portée symbolique, initiée par le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation vise à sensibiliser les membres de la société civile, la jeunesse, les acteurs associatifs, les leaders politiques, les membres du gouvernement, les parlementaires et tous les patriotes engagés sur les enjeux politique actuels et à renforcer leurs participation active au processus de paix autour des valeurs de souveraineté, de dignité nationale et de soutien au leadership éclairé du Chef de l’État la haute autorité Politique de l’Union Sacrée
Pour terminer, le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA apporte son soutien au 2ème Congrès extraordinaire historique de l’Union Sacrée de la Nation que nous souhaitons bonne chance aux participants.
-QUE VIVE Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation
-Que vive l’Union Sacré de la Nation
-Que vive la République Démocratique du Congo et son président
Que Dieu bénisse le Congo
Pour Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation