Cette cérémonie se déroulera dans l'amphithéâtre du campus de Limete à partir de 09h00.
Le programme de la journée débutera par une messe d'ouverture à 09h00, suivie d'une séance académique à 11h00. Cette dernière débutera par l'entrée solennelle des membres de l'Université, suivie d'une prière et de l'hymne national et de l'UCC. Le Recteur de l'UCC, le Professeur Abbé Léonard Santedi, adressera ensuite un discours pour officiellement ouvrir l'année académique.
La cérémonie sera présidée par Son Excellence Mgr Marcel Utumbi Tapa, Président de la CENCO (Conférence Épiscopale Nationale du Congo) et Grand Chancelier de la Pontificia Universitas Urbaniana, un prestigieux établissement romain d'enseignement supérieur, qui procédera à l'ouverture solennelle de l'année académique.
Un intermède musical aura lieu avant la conférence inaugurale qui traitera du thème "Comprendre Ubuntu pour construire une humanité meilleure".
Le Professeur Prince Kaumba Lufunda, Recteur honoraire de l'Université de Lubumbashi, donnera son point de vue sur cette question cruciale pour l'humanité.
En somme, cette solennelle journée inaugurale de l'année académique 2023-2024 sera l'occasion pour l'UCC de rappeler son engagement pour une formation de qualité et pour la promotion de valeurs humanistes indispensables pour la construction d'une société meilleure.
La grande famille Jean Placide Yoko Yakembe vous remercie de votre présence, de vos paroles, de votre soutien matériel et financier, de vos prières qui nous ont accompagnés ensemble pour ces moments douloureux.
Les témoignages, marges d’affection et d’honneur qui ont été rendus sont éloquents pour accréditer les mérites que Maître Jean Placide Yoko Yakembe a su gagner, depuis plusieurs décennies dans la mémoire aussi bien individuelle que collective de tous congolais auxquels il se sera ainsi consacré toute sa vie.
Il est et demeurera Un Grand esprit à n’en point douter.
4 ans de trêve après la mort de son initiateur, les représentants des comités de deux rives : Kinshasa et Brazzaville, se sont réunis, lundi 9 octobre dans la capitale de la République du Congo. Au menu, trouver les voies et moyens afin de relancer les activités de Pool Malebo Music Awards. A cet effet, les organisateurs de cet évènement ont décidé d’organiser la projection de la deuxième édition de POMA en 2024 à Brazzaville. Cette messe culturelle vise à valoriser et promouvoir les musiciens de Kinshasa et Brazzaville.
La relance du trophée Pool Malebo Music Awards (POMA) a été à l’ordre du jour de cette réunion tenue à Brazzaville par le comité organisateur de cet évènement culturel.
«Les représentants des comités de deux rives se sont réunis à Brazzaville pour une importante réunion qui a porté essentiellement sur la reprise des activités de Pool Malebo Music Awards après 4 ans de trêve suite à la mort de son initiateur, en la personne de Charly Balaka, journaliste-présentateur télé de la RDC», a-t-on lu dans le communiqué signé par le secrétaire général et représentant de la RDC, Armand Buka.
Et de poursuivre : «Pour le comité, l’édition 2024 consiste à relancer et à redynamiser l’organisation du POMA, en le dotant d’un cadre juridique capable de fonctionner sur les deux rives. Des activités d’itinérance seront organisées à Kinshasa et à Brazzaville pour marquer et donner du tonus à l’événement».
Au cours de cette réunion, les comités organisateurs ont premièrement procédé à l’évaluation de la première édition de la soirée remise du trophée POMA qui s’est déroulée avec succès au salon Virunga de l’Hôtel Memling à Kinshasa. Il a été relevé, de ce point de vue, les faiblesses et les acquis positifs de cette première messe culturelle.
Le rapport sur la gestion financière dans l’activité a fait aussi l’objet du débat. Cette rencontre a été aussi l’occasion de choisir le lieu et la date du prochain rendez-vous de Pool Malebo Music Awards. En tenant compte des erreurs enregistrées lors de la soirée à Kinshasa, le comité a jugé important d’y travailler davantage en synergie afin d’améliorer les choses et réussir la deuxième édition à Brazzaville.
Rappelons qu’une cinquantaine de musiciens, toute catégorie confondue, ainsi que des mécènes ont été récompensés lors de la cérémonie de remise de la première édition du trophée POMA organisée sous le haut patronage du Président Félix Antoine Tshisekedi, en novembre 2019 à Kinshasa.
Créé en 2019, le concept Pool Malebo Music Awards a été initié par Charly Balaka, journaliste-présentateur-télé de la RDC. L’initiative se présente comme l’unique évènement qui décerne le prix de mérite de la musique aux musiciens et mécènes de Kinshasa et Brazzaville au cours d’une même soirée. Organisée de manière rotative, son but est de valoriser la culture sur les deux rives du fleuve Congo. Ce trophée vise également à rapprocher les deux peuples et surtout de cimenter l’unité entre ces deux capitales les plus rapprochées au monde.
Préoccupé par plusieurs cas d’accidents de circulation sur la route nationale numéro 1, RN1, Cyprien Mbere Moba, Directeur Général de Transco, a présidé le mardi 10 octobre 2023, une réunion d’urgence avec la Directrice commerciale, le Directeur Juridique et des Ressources Humaines (DJRH) de TRANSCO et des conducteurs du réseau interurbain. Au cours de cette rencontre tenue au dépôt 1 Transco, situé à Masina-Siforco, le numéro 1 de l'établissement public ‘’Transports au Congo’’ a tapé sévèrement du poing sur la table face au mauvais comportement de certains conducteurs.
Cyprien Mbere Moba croit que c’est le mauvais comportement de certains conducteurs qui serait à la base des accidents de circulation enregistrés ces derniers temps sur la RN1.
C’est ainsi qu’après un débat houleux entre différentes parties prenantes, plusieurs mesures drastiques ont été prises par le DG de TRANSCO afin de trouver des solutions à ce problème. Parmi les mesures indispensables retenues par les autorités de TRANSCO pour faire face à ces cas d'accidents à répétition, il y a entre-autres, ‘‘L'interdiction d'affectation des conducteurs au réseau interurbain sans l'autorisation du service formation; le respect strict du temps de repos, soit 48 heures, imposé à tout conducteur après chaque voyage; le recyclage imposable à tous les conducteurs d'ici la fin du trimestre; l'interdiction de transformer les bus passagers en cargo, mais également; la mise en place des numéros verts, ceci permettra justement aux clients et toute autre personne, de dénoncer haut et fort les mauvais comportements des conducteurs et autres membres d'équipage; l'interdiction formelle de retirer les fiches de ralentisseur sur le bus TRANSCO; le test du taux d'alcool imposable à tous les conducteurs, avant de prendre le volant, c'est-à-dire, avant leur prise de service’’.
Par ailleurs, le patron de Transco a promis de sanctionner durement tout récalcitrant qui tenterait de s'interposer à toutes ces mesures soulevées.
La Fédération nationale des associations des personnes handicapées du Congo (FENAPHACO-HANDICAP/CONGO) a organisé tout récemment, au Centre de rééducation pour handicapés physiques à Gombe avec le concours de ses partenaires ZOA et VNGI, une réunion d’échange sur le plaidoyer en faveur de la sécurité alimentaire inclusive des personnes en situation d’handicap, avec la participation des agences du système des Nations Unies, les ONG internationales et les autorités étatiques qui travaillent sur la question de handicap ainsi que les plateformes des personnes vivant avec handicap.
«Pour arriver à une meilleure sécurité alimentaire des personnes vivant avec handicap, nous avons besoin de toutes ces agences du système des Nations Unies, des ONG internationales et des autorités étatiques, pour la simple raison que ces agences travaillent avec le gouvernement de la République et les ONG internationales qui, à leur tour, travaillent avec les organisations de la société civile et parfois avec le gouvernement», a expliqué Me Patrick Pindu-di-Lusanga, Coordonnateur national de la FENAPHACO. Tout en poursuivant que c’est dans le cadre du programme We are Able basé sur la sécurité alimentaire inclusive des personnes vivant avec handicap, que le gouvernement, les agences du système des Nations Unies et les ONG internationales puissent se focaliser sur les PVH, pour la simple raison que depuis un temps, tout ce qui est fait dans le cadre de la sécurité alimentaire, on ne tient pas en compte des autres aspects notamment, l’accès à la terre, à l’agriculture, à la santé, à l’emploi…
«Nous voulons que chaque fois qu’il y a des projets dans ce sens, que l’on puisse penser à la personne vivant avec handicap, de telle manière à lui permettre à devenir autonome, capable et indépendant », a indiqué Me Pindu.
A l’en croire, c’était également une occasion de pouvoir aider les organisations des personnes vivant avec handicap, de s’appuyer techniquement afin d’aboutir au rapport alternatif ou parallèle sur la mise en œuvre de la Convention des Nations Unies relative aux personnes handicapées, laquelle doit être déposée au Comité des droits des personnes handicapées à Genève, lors de l’examen du cas de la RDC, dont le gouvernement a déjà déposé le rapport initial sur la mise en œuvre de ladite Convention.
A la question de savoir pourquoi avoir ciblé les organisations du système des Nations Unies œuvrant dans le domaine de handicap et les ONG internationales engagées dans l’accompagnement de la personne vivant avec handicap en RDC, M. Prince Kalenga, Coordonnateur-RDC du Programme We Are Able, affirme que les Nations Unies et les organisations internationales accompagnent le gouvernement congolais dans tous les domaines de la vie humaine, et de manière spécifique. Cet accompagnement se fait également dans le domaine du handicap, lequel souffre encore du manque des partenaires et des interventions sur terrain.
«C’est pourquoi, nous voulons qu’à travers notre consortium We are Able, essayer d’influencer les autres partenaires, afin qu’ils fassent attention à la problématique du handicap qui est lié à la sécurité alimentaire. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui, nous avons mis ensemble les Agences du système des Nations Unies et les organisations internationales ainsi que la partie étatique et les personnes vivant avec handicap, pour qu’ensemble, nous puissions définir les orientations stratégiques que nous partageons pour que les interventions futures prennent en charge ou en compte, les besoins spécifiques de la personne en situation du handicap à la sécurité alimentaire », a fait savoir M. Prince Kalenga.
Par rapport à ce partenariat avec les Agences du système des Nations Unies et les organisations internationales, M. Kalenga affirme que des recommandations et des stratégies sont en train d’être élaborées. «Mais, c’est plutôt l’étape qui va suivre qui va être capitale, car nous devons aller de la théorie à la pratique. Ce que nous sommes en train de faire va constituer des actions de plaidoyer pour les plateformes des PVH, les ONG internationales et le gouvernement, pour la résolution ou la solution à la sécurité alimentaire en faveur de la personne handicapée.
C’est cela même l’objet de la mission de We are Able à Kinshasa, en collaboration avec les Agences du système des Nations Unies, les ONG internationales et la partie nationale », a conclu M. Prince Kalenga.
Pour sa part, M. Gédéon Samba Nkanda, Conseiller auprès de la Ministre déléguée près le Ministre des Affaires sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale chargé des personnes vivant avec Handicap et autres personnes vulnérables, est intervenu pour affirmer qu’il y a eu plusieurs avancées dans le domaine du handicap en RDC, lequel a été prise en considération par le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, à travers la création d’un ministère en faveur des PVH et récemment d’un Secrétariat général avec la nomination d’une personne vivant avec albinisme.
Dans le même ordre d’idées, un accord a été signé avec l’Institut national des statistiques (INS) pour le recensement de tous les PVH vivant en RDC.
Parlant de la ratification de la Charte Africaine des droits de l’homme et des peuples relative aux droits des personnes handicapées en Afrique par la RDC, il a indiqué que le gouvernement a déjà déposé le document y relatif au parlement.
Il existe également un plan d’actions du gouvernement en matière des PVH ainsi que le programme y afférent. Il a saisi l’occasion pour annoncer la tenue prochaine d’un atelier entre la CENI, le gouvernement, les organisations des PVH et les différents partenaires, relatif à la participation et la prise en compte des PVH dans le processus électoral.
Le représentant du Ministère des Affaires Sociales, M. Michel Amisi, Assistant social à la Division Unique du Secrétariat général dudit ministère, a salué le Consortium du projet We Are Able pour toutes ces initiatives en faveur des PVH.
Les travaux se sont poursuivis en groupes où sont attendus des recommandations assorties des résolutions à l’endroit du gouvernement et de toutes les parties prenantes œuvrant dans le domaine du handicap.
Pour rappel, le projet We Are Able est piloté depuis près de trois ans dans la province du Sud-Kivu, précisément dans les territoires de Kalehe et d’Idjui.
C’est un projet financé à hauteur de 5.600.000 Euros par le Ministère des Affaires étrangères du Royaume des Pays-Bas pour une période de 5 ans allant de janvier 2021 au 31 décembre 2025.
Les organisations affiliées à ce consortium sont ZOA (Lead du consortium), Mission contre la Lèpre (TLM), Forum Africain des personnes en situation du handicap (FAPH) ainsi que l’Académie de La Haye.
Dans le cadre du renforcement des relations diplomatiques entre la République démocratique du Congo (RDC) et la Corée du Sud, l'Ambassade de la République de Corée a organisé, avec succès, la 4ème édition du Forum des Jeunes à Kinshasa. Cet événement, soutenu par la Fondation Corée-Afrique, s'est déroulé les 4 et 5 octobre 2023 au Musée National de la RDC, en présence des élèves du Groupe Scolaire Aurore et du Complexe Scolaire Les Loupiots.
Plus de soixante élèves, accompagnés de leurs encadreurs, ont participé activement aux activités du Forum des Jeunes. Les deux journées ont débuté par une visite du musée, suivie d'un discours de l'Ambassadeur de la République de Corée, S.E.M. Cho Jaichel. Dans son mot de circonstance, l'Ambassadeur a souligné l'importance de l'ouverture au monde pour les jeunes et le rôle crucial qu'ils jouent dans le développement de leur pays.
Au cours des séances de jeux, les élèves ont été mis au défi de répondre à des questions sur la Corée en utilisant leurs connaissances générales et les informations fournies dans les vidéos projetées. De plus, les jeunes ont eu l'opportunité d'explorer la calligraphie de l'écriture coréenne ainsi que la pratique des instruments de musique traditionnels coréens. Ces activités ont suscité l'enthousiasme des élèves qui ont été récompensés pour leurs performances.
L'Ambassadeur Cho a également encouragé les élèves à tirer parti des différences culturelles entre les peuples et à développer leur curiosité pour enrichir leurs compétences et atteindre leurs rêves. Il a souligné le rôle important des jeunes dans le renforcement des liens diplomatiques entre la RDC et la Corée du Sud, soulignant le potentiel de la RDC et l'importance de la coopération entre les deux pays.
L'Ambassadeur a également mis en valeur la culture coréenne, soulignant l'importance de l'éducation et de la culture dans le développement de la Corée du Sud. Il a mentionné des exemples tels que la création de la première impression aux caractères métalliques et l'émergence de la K-Pop, des séries télé coréennes et du K-movie. Ces éléments culturels ont suscité un sentiment de fierté parmi les élèves congolais.
En conclusion de l'événement, les élèves ont reçu des cadeaux individuels en reconnaissance de leur participation active. Ils ont également eu l'occasion de prendre une photo de groupe avec l'Ambassadeur et ont quitté la salle polyvalente du Musée National de la RDC après avoir savouré les mets coréens qui leur ont été proposés.
Cette 4ème édition du Forum des Jeunes marque une étape importante dans le renforcement des liens diplomatiques entre la RDC et la Corée du Sud. En favorisant l'échange culturel et en encourageant les jeunes congolais à s'ouvrir au monde, cet événement contribue au développement du pays et à la consolidation des relations entre les deux gouvernements et peuples. L'Ambassade de la République de Corée continuera de soutenir les initiatives favorisant le développement et la prospérité de la RDC, tout en valorisant la rumba congolaise et d'autres aspects de la culture congolaise. Ensemble, ces efforts renforceront la coopération entre les deux pays et ouvriront de nouvelles opportunités pour les jeunes congolais.
Associé au Centre Hospitalier Monkole, l’Institut Supérieur en Sciences Infirmières, « ISSI » en sigle, met à la disposition du public sa large expertise prête à former la jeunesse congolaise et du monde à la spécialisation de poigne en Sciences Infirmières. En son sein, il est fixé un programme d’études classique systématisé en Licence et Master ainsi que des formations continues conditionnées et gratuites. Ce complexe scientifique se situe sur l’avenue Ngafani n°4804, dans la commune de Mont-Ngafula, à Kinshasa.
Programme classique
D’une part, il est repris une Licence en Sciences Infirmières qui cible principalement les diplômés d’Etat ou infirmières du niveau A2. Sa durée est de 4 ans de formation intense par des experts scientifiques.
De l’autre, il est prévu un Master en Administration des Programmes de Santé, d’une durée de 2 ans, et ciblant les infirmiers gradués avec 6 mois de préparatoire obligatoire, et licenciés en LMD sans besoin de préparatoire.
Formations continues
Pour ce qui est de la première, il s’agit d’une formation continue relative à la passerelle de conversion infirmière à sage-femme. D’une durée de 18 mois, elle cible les infirmières accoucheuses et infirmières graduées.
Ensuite, elle s’attelle sur des soins infirmiers en réanimation, ciblant les infirmiers travaillant en services de réanimation et/ou urgences, et couvrant d’une durée d’un an.
La troisième formation concerne l’hygiène hospitalière, ciblant les médecins, pharmaciens, infirmiers ayant une implication actuelle ou future dans la lutte contre les infections, et d’une durée de 6 mois.
Enfin, la quatrième et dernière formation continue en ligne traite de la question « Nurses e-learning », ciblant tout le monde, et d’une durée illimitée. Sa particularité est d’une participation totalement gratuite, tandis que les autres sont conditionnées.
Contacts
Téléphone : +243 811 917 722, +243 999 910 856.
E-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Dans le cadre de sa rentrée culturelle Vova Théâtre, une structure théâtrale de la place, s'est fait le plaisir de présenter une lecture théâtrale dénommée "Les morts ne peuvent mourir" de Merdi Mukore, le samedi 23 septembre dernier, à l'espace Plateforme Contemporaine, au quartier Beau-Marché - dans la commune de Barumbu. Une lecture qui a été finement exécutée par Salomon Okitango, Melissa Lupola et Aaron Lukamba qui, du reste, est le fondateur de Vova Théâtre.
Il était question, dans cette œuvre, de l'histoire d'un Chef politique, ex. président d'un pays, qui nourrissait l'ambition de revenir aux affaires, peu importe le prix qu'il pourrait en coûter. Une œuvre au travers de laquelle ces artistes ont soulevé beaucoup de problématiques qui se rapportent à la culture des processus électoraux dans les pays d'Afrique subsaharienne. Une thématique qui devrait pousser d'aucuns à davantage réfléchir sur comment améliorer la culture électorale dans nos pays.
Il y a lieu, par ailleurs, de souligner que Vova Théâtre est une structure théâtrale créée par Aaron Lukamba, acteur - artiste comédien et dramaturge congolais, qui est basée à Kinshasa. De son nom Vova qui veut dire "parler" et Théâtre "représentation", cette structure, à l'instar des instances de palabre africain, s'est donnée la vocation d'être un cadre qui fait écho lorsque se présente la nécessité de tabler - régler ou dénoncer des problèmes sociétaux en vue d'une résolution de ces derniers. Aaron Lukamba, Président de la structure, a promis, lors d'une interview, qu'un autre projet était en cours de préparation dans les cuisines de Vova Théâtre, et que ce dernier pourrait être dévoilé d'ici le mois de décembre prochain. Une initiative qui, de plus bel, place l'art face à ses responsabilités sociétales.
Mme Safia Ibrahim, Directeur de l’AFD et B. AUBERT, Ambassadeur de France en RDC
L’Agence Française de Développement (AFD) dispose désormais de ses propres installations en République Démocratique du Congo, indique un communiqué de l’Ambassade de France en RDC. La cérémonie officielle d’inauguration des locaux du Groupe AFD est intervenue le 2 septembre dernier à Kinshasa, en présence de quelques membres du gouvernement de la République, de nombreuses personnalités politiques et partenaires ainsi que de l’Ambassadeur de France en RDC, du Directeur Régional Afrique Centrale de l’AFD et de la Directrice de l’Agence en RDC.
Cet évènement a été marqué par quelques discours prononcés par les diplomates français et les autorités congolaises qui ont martelé sur l’impact de la coopération entre Paris et Kinshasa.
Pour la Directrice de l’Agence en RDC, c’est une grande fierté de voir les équipes évoluées dans un environnement de qualité.
«Cette acquisition est le témoignage de notre confiance dans le pays et dans ses institutions. Ces bureaux installés dans l’immeuble dénommé Park Tower permettent d’accueillir les agents de l’AFD et de Proparco. Notre filiale Expertise France est également installée dans cet immeuble », a déclaré Safia Ibrahim.
Et d’ajouter : «En réunissant sur le même site l’ensemble de nos instruments opérationnels, à la fois financiers et techniques, notre volonté est d’inscrire notre action dans la dynamique tournée vers les résultats aux bénéfices des plus fragiles conformément aux engagements entre les Présidents Félix Tshisekedi Tshilombo et Emmanuel Macron ».
De son côté, l’Ambassadeur de France en RDC a salué l’initiative de l’AFD qui renseigne l’engagement de son pays à accompagner le Congo-Kinshasa dans ses aspirations pour le développement.
«Je me réjouis de l’installation de notre opérateur financier et technique qu’est le Groupe AFD en RDC dans un environnement professionnel et accueillant dans l’intérêt de nos bénéficiaires congolais », a soutenu Bruno AUBERT.
Par ailleurs, le Ministre des Finances a pris la parole au nom du gouvernement congolais.
Pour Nicolas Kazadi, cette acquisition témoigne de l’excellente relation entre la RDC et la France via le Groupe AFD. «Elle démontre également le dynamisme et le chemin parcouru par le Groupe AFD depuis la signature le 6 décembre 2021 du protocole d’entente qui précise une mobilisation de 500 millions d’euros par l’AFD d’ici 2025 entre M. Rémy Rioux, Directeur Général de l’AFD, et moi-même, en présence de son excellence M. Félix Tshisekedi Tshilombo, Président de la République démocratique du Congo », a-t-il affirmé.
Il faut noter que le Groupe AFD accompagne la RDC depuis plusieurs décennies dans la mise en œuvre de ses programmes prioritaires de développement et a fortement accru son soutien suite à ce ‘‘protocole d’entente pour un partenariat stratégique en matière de croissance durable et inclusive’’. Le protocole fixe la trajectoire d’engagements financiers du groupe AFD en RDC.
Raison pour laquelle, l’AFD a formalisé en mai 2022 un accord d’établissement avec le Ministre des Finances de la RDC et a ouvert une cellule d’appui mutualisé (CAM) à Kinshasa début 2023.
Il s’agit d’un engagement signé entre l’AFD et le gouvernement congolais dans le but de contribuer au financement des secteurs prioritaires conjointement définis tels que l’énergie, l’éducation, les enjeux urbains, la santé, l’agriculture, l’autonomisation des femmes, le climat ou encore l’appui au secteur privé.
À ce jour, cet objectif est atteint à hauteur de 46% avec 232 M€ engagés depuis la signature du Protocole.
Pour accompagner cette croissance d’activité, l’AFD a fait l’acquisition de nouveaux locaux qui accueille déjà les équipes d’Expertise France et plusieurs Ambassades et bientôt la délégation de l’Union européenne. L’idéal est également de concrétiser l’approche groupe de l’AFD et sa stratégie partenariale.
Donc, cette acquisition témoigne de la volonté d’ancrage du Groupe AFD et sa confiance dans l’attractivité du Pays.
Ces bureaux accueillent les agents de l’AFD et de Proparco, Expertise France qui est également installée dans l’immeuble. Proparco, renseigne-t-on, est une filiale dédiée au financement du secteur privé qui intervient en RDC sur financements de l’AFD, de l’Union européenne et du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères.
Programmes prioritaires de développement
Pour rappel, les domaines prioritaires de coopération entre la République démocratique du Congo et l’AFD sont :
- l’amélioration de l’accès de la population aux services essentiels ;
- la valorisation du capital humain et la contribution pour un développement territorial et économique équitable;
- la protection et la valorisation du capital naturel ;
- la mise en place des jeunes et des femmes au cœur du développement du pays ;
- le renforcement des rôles, capacités et moyens des Institutions ;
Cette coopération a comme objectifs transversaux : la lutte contre les inégalités et les vulnérabilités du monde vivant ainsi que la promotion d’une trajectoire en adéquation avec l’Accord de Paris sur le climat.
Le centre d'apprentissage de langue New Hope College annonce l'ouverture de sa dernière session d'apprentissage d'anglais pour l'année 2023 en date du 23 octobre prochain, dans l'enceinte du complexe Silikin Village. Cela fait maintenant 4 ans que l'école de langues New Hope College enseigne la langue anglaise, avec à son actif des centaines d'apprenants au centre - plusieurs cadres et agents formés en entreprise ainsi que plusieurs personnes encadrées à domicile.
Des prestations sur mesure, ayant permis à cette école de formation en anglais à gravir les échelons et à se positionner comme l'une des meilleures dans ce domaine à Kinshasa, capitale congolaise.
Cet établissement est né à l'initiative de Christian Biaya K., Professeur d'anglais - Activiste social et environnemental et économiste, qui le dirige d'une main de fer. Entre les cours dispensés, le cadre de rencontre et de réseautage, et le programme d'échange du club d'anglais ouvert à tous, qui reçoit des experts de différents domaines pour s'entretenir avec les apprenants sous la grande thématique intitulée TellUsMore : New Hope College fait chaque jour ses preuves et continue d'accueillir de plus en plus d'apprenants de différents secteurs de la société.
Les inscriptions pour la prochaine session se font au travers du numéro +243 894 700 007, et elles sont gratuites moyennant le paiement des frais des cours qui s'élèvent à 160 dollars américains par niveau, dans un contexte où chaque niveau dure 8 semaines d'enseignement et d'entraînement.
Retrouvez le long de cet article, quelques visuels renseignant sur la prochaine session de formation et une série de témoignages partagés par des apprenants passés à New Hope College. Quand comptez-vous apprendre l’anglais ?
Directeur Général de l’Office des Routes, Jeanneau Kikangala a effectué une grande tournée d’inspection des travaux de construction, réhabilitation et modernisation entrepris, il y a peu, dans l’espace Grand Katanga. Tour à tour, il s’est rendu au site historique de l’assassinat du Héros National Patrice-Emery Lumumba dans le cadre de la construction d’une route reliant Lubumbashi-Shilatembo. Il a inspecté les travaux de réhabilitation en terre battue et d'entretien de la route Nationale n°35, avant de visiter les unités de la Direction Provinciale de l’Office des Routes/Haut-Katanga et réconforté son personnel. Pour finir, il a inspecté les chantiers en cours dans la province du Lualaba. Dans cet article, retour en détails sur cette tournée inscrite dans le cadre de la mission officielle du Chef de l’Etat dans cet espace et traduisant la matérialisation de sa vision dans ce secteur.
Calvaire conjugué au passé…
Au village de Shilatembo, le mercredi 4 octobre 2023, le DG Jeanneau Kikangala a salué le savoir-faire de la Direction Provinciale de l’Office des Routes qui a permis de gagner le pari de défricher la brousse en vue de la construction d'une route en terre battue sur l'axe allant de Lubumbashi à ce site historique. Un travail de qualité qui a gardé la route en l'état une année après les travaux.
Accompagné de l'Administrateur du site, du Directeur provincial du Haut-Katanga et du Directeur de chaussée, le Premier des génies civils a été satisfait de la qualité du travail abattu par les ingénieurs du bras droit du Gouvernement en matière d'infrastructures routières.
Car, outre la construction de la chaussée, l'office des Routes Haut-Katanga avait facilité la tâche au gouvernement pour rendre viable le lieu du martyre du premier héros national congolais.
Patriote inscrit dans la vision du Chef de l'Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui a ramené les reliques du tout premier Premier ministre congolais et lui a offert enfin des funérailles à la hauteur de son combat pour l'indépendance de la RDC, il a visité le site Lumumba et a suivi le récit des événements de la nuit funeste du 17 janvier 1961 de la bouche du petit fils du témoin oculaire de l'assassinat de Lumumba.
Concevoir, construire et entretenir les routes et autres ouvrages de génie civil telles sont les missions de l'Office des Routes, et son Directeur Général s'est réjoui de la qualité des travaux effectués dans le Haut-Katanga pour matérialiser la vision du Chef de l'Etat.
La Nationale n°35 en phase de réhabilitation
Longtemps restée dans un état de délabrement très avancé, la route nationale numéro 35 reliant la ville de Lubumbashi à la cité de Kasenga refait finalement peau neuve.
Ce travail a été abattu en un temps record grâce au dynamisme avéré du n°1 de l'Office des routes qui ne ménage aucun effort pour traduire en acte la vision clairvoyante du Président de la République, Chef de l'Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Cet axe routier d'intérêt national et régional a vocation de faciliter des échanges commerciaux importants entre la RDC et la Zambie, en particulier pour la communauté Lushoise.
En marge de son séjour à Lubumbashi, le DG Jeanneau Kikangala a profité pour admirer le travail de titan qu'abat l'Office des Routes dans ce coin du pays. Longue de 94 km, cette route relie les territoires de Kasomeno, Kasenga et Chalwe.
Pour la circonstance, il s’est révélé visiblement très satisfait du travail réalisé sur terrain par l'Office des Routes qui ont permis au Chef de l'Etat, en provenance de Lubumbashi, d'atteindre le site de la cérémonie de lancement des travaux de construction du pont Chalwe sur la rivière Luapula.
Les travaux d'asphaltage dudit axe routier seront réalisés dans le cadre d'un contrat de concession signé entre la RDC et la société GED. Il s'agit des assurances données par le premier génie civil de l'Office des routes, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy à Lubumbashi.
En effet, le projet de construction de la route Kasomeno - Kasenga - Chalwe - Mwenda est une alternative à la sortie de la RDC par Kasumbalesa pour la Zambie. Il revêt, à ce titre, une importante capitale dans le cadre de la mise en œuvre de la vision du Président de la République qui place la question du désenclavement de la RDC au centre de sa politique.
Visite d’inspection et de réconfort
Lors de cette tournée, Jeanneau Kikanga a également visité toutes les unités de la Direction Provinciale 610 de l'Office des Routes Haut-Katanga. Son périple a débuté par le centre médical qui prend en charge la santé des agents et de leurs familles.
Ensuite, il s'est rendu au centre de formation de l'office des routes. Le Directeur Général s'est soigneusement entretenu avec le chef de centre qui lui a fait l'état des lieux du centre. Le numéro Un de l’Office, de son côté, a donné certaines orientations pour rendre très performant le centre et faire face aux défis de l'évolution technologique.
Le laboratoire national a été la troisième unité visitée. Le Numéro 1 de l'office des routes a apprécié l'infrastructure. Il a rappelé la responsabilité qui incombe aux laborantins quant à la durée de vie des routes sur base de leurs études. Toujours inscrit dans la vision du Chef de l'Etat qui milite pour l'égalité des genres, le DG de l’Office des Routes a salué et encouragé les femmes ingénieurs qui évoluent au sein de cette structure. Le centre matériel et la brigade ont été le point de chute de cette visite, pour le moins surprise et galvanisante pour le personnel des unités de l'office des routes Haut-Katanga.
A la Brigade, il a relevé aux gestionnaires les défis qui sont les leurs en mettant l'accent sur la mise à jour des connaissances au regard des défis qui attendent l'office des routes, un service qui fait partie des priorités du Chef de l'Etat qui prône le développement à la base.
Dans la foulée, il a réconforté le personnel de la Direction de l'Office des Routes Haut-Katanga. Il s'est dit satisfait du travail qu'abat le personnel de l'Office des Routes sur place. L'Office des Routes exécute en ce moment plusieurs projets dans la province du Haut-Katanga dans le cadre du programme de développement de 145 territoires dans son volet réhabilitation et construction des routes ainsi que des ponts modulaires.
Le premier génie civil de l'Office des routes Jeanneau Kikangala Ngoy a promis à la direction de l'Office des Routes Haut-Katanga l'arrivée des matériels nécessaires des travaux publics (génie civile), grâce notamment à l'appui du Gouvernement congolais, qui tient coûte que coûte à rendre palpables les traces indélébiles du premier quinquennat du chef de l’Etat Félix Tshisekedi.
« Le Gouvernement central est en train de nous équiper en matériels de génie civile que nous allons ensuite remettre aux différentes directions de l'Office des Routes à travers le pays », disait-il. Cela permettra aux différentes directions de l'Office des Routes de bien remplir leurs tâches.
Manager avisé et bon père de famille, le Numéro 1 a réuni les agents et cadres. Le DG Jeanneau Kikangala les a encouragé à bien cultiver l'esprit de qualité et d'excellence pour soutenir la vision du Chef de l'Etat.
Chantiers du Lualaba
Il était encore sur terrain dans la ville de Kolwezi, Chef-lieu de la province du Lualaba, jeudi 5 octobre dernier.
Il a débuté sa visite d'inspection des chantiers au quartier Lupundu dans la commune de Manika. La brigade 625 de l'Office des Routes Lualaba y effectue le traitement de l'érosion Lupundu. L'opinion publique garde encore le souvenir de cette érosion qui avait avalé toute une chaussée et menaçait d'engloutir beaucoup de maisons pendant la saison pluvieuse.
Aujourd'hui, grâce à la technicité de l'Office des Routes, les têtes d'érosion ont disparu et sont totalement remblayés au grand bonheur des riverains.
Ce travail intense débuté depuis le mois d'avril est à l'étape de la construction des drains. Et le Directeur Général de l'Office des Routes a encouragé la Gouverneure intérimaire à poursuivre le financement des travaux.
Homme de terrain, il s'est rendu sur l'avenue Dilolo dans la même commune où l'office des routes Lualaba pose de buses toujours pour combattre les têtes d'érosion.
Bien avant la visite des chantiers, il a visité le siège de la Direction Provinciale de l'Office des Routes Lualaba pour palper les réalités et les conditions de travail du personnel.
La vie d'un homme se mesure à l'impact qu'il laisse derrière lui." Cette citation résonne particulièrement en cette journée sombre où la RD. Congo se rassemble pour pleurer la disparition de Me Placide Yoko Yakembe, un grand homme dont la vie fut un témoignage éloquent de courage, d'intégrité et de dévouement envers son pays. Né en 1939 à Tshofa, dans le territoire de Lubao, province de Lomami, Me Yoko Yakembe a suivi une trajectoire académique exceptionnelle, obtenant plusieurs diplômes en droit et en relations internationales à l'Université de Paris et à l'Université de Dijon. Sa recherche perpétuelle du savoir et sa passion pour la justice l'ont amené à devenir l'un des avocats les plus respectés et influents du pays.
Sa carrière brillante a été jalonnée d'expériences professionnelles variées, allant de son rôle de consultant pour la réforme institutionnelle à son engagement dans l'enseignement supérieur en tant que professeur à la Faculté de Droit de l'Université de Kinshasa. Me Yoko Yakembe a également servi son pays dans plusieurs cabinets ministériels notamment, en tant que Ministre de la Justice et des Réformes Institutionnelles en 1991, laissant une marque indélébile dans l'histoire du Congo.
Mais, au-delà de ses accomplissements professionnels, c'est l'homme derrière le costume qui mérite d'être salué. Me Placide Yoko Yakembe était connu pour son humilité et sa simplicité, s'efforçant toujours de mettre les autres avant lui-même. Son dévouement envers la cause de la justice et de l'égalité était sans équivoque, et il était prêt à affronter toutes les difficultés pour défendre les principes auxquels il croyait ardemment.
Sa disparition laisse un vide profond dans le cœur de ses proches, mais son héritage continuera de briller à travers les nombreuses personnes qu'il a influencées positivement. "Un homme bon laisse une empreinte qui ne peut jamais être effacée", dit un proverbe congolais, et cela est particulièrement vrai pour Me Placide Yoko Yakembe.
Les obsèques de Me. Yoko Yakembe ont été un moment de recueillement et de commémoration de toute une vie dédiée au service du peuple congolais. La veillée mortuaire, tenue au Palais du Peuple, a été ponctuée de moments de témoignages poignants de la famille, des collègues et des amis du défunt. Les éloges ont afflué, chaque personne soulignant le caractère exceptionnel de Me Yoko Yakembe et la marque indélébile qu'il a laissée sur leur vie.
Lors de l'audience solennelle à la Cour d'Appel de Kinshasa/Gombe, les hommages rendus à Me Yoko Yakembe ont souligné son rôle en tant qu'avocat intrépide et défenseur des droits de l'homme. Sa connaissance juridique inégalée et sa passion pour la vérité ont fait de lui une figure respectée et admirée dans la communauté juridique congolaise.
La séance académique qui a suivi a permis à de nombreux étudiants et collègues de Me Yoko Yakembe de rendre hommage à un mentor et à un guide qui les a inspirés tout au long de leur parcours. Les hommages étaient empreints d'émotion, chacun soulignant l'impact durable que Me Yoko Yakembe a eu sur leur vie et leur carrière.
Enfin, la cérémonie parlementaire au Palais du Peuple a été un moment solennel où les différentes institutions de l'État ont rendu hommage à ce grand homme d'État qui a consacré sa vie au service de la nation congolaise. Les discours prononcés lors de cette occasion ont souligné l'importance de l'héritage de Me Yoko Yakembe et l'importance pour les générations futures de s'inspirer de son engagement indéfectible envers la justice et la démocratie.
Ainsi, nous disons adieux à Me Placide Yoko Yakembe, un homme dont la vie a été un exemple de dévouement, de principe et de compassion. Comme le dit un proverbe congolais, "la mort ne peut effacer les traces d'un grand homme". Son héritage restera vivant dans le cœur de tous les Congolais, et il continuera d'inspirer les générations futures à poursuivre le combat pour une République démocratique du Congo juste, équitable et prospère.
"Au-revoir, cher Placide Yoko Yakembe. Tu as combattu le bon combat, tu as terminé ta course, tu as gardé la foi. Que ton âme repose en paix."
TEXTES : Ezekiel 18, 25-28; Psaumes 24; Philippiens 2,1-11; Matthieu 21, 28-32 Méditation Mes frères, mes sœurs, Le dire ne suffit pas, il faut la volonté et les dispositions de s'y conformer, la décision d'obéir au Seigneur. Le Chrétien doit imiter le Christ en obéissant à Dieu tous les jours de sa vie. Pour cela, il faut chaque jour chercher à plaire au Seigneur, toujours progresser dans le bien, refuser tout mal et opter pour le bien. Celui qui cherche le bien et obéit au Seigneur sera sauvé et recevra la miséricorde de Dieu. Demandons la Grâce de la repentance et d'être à l'image du Christ qui chaque jour, a obéi au Père. Disposons-nous à marcher en présence du Seigneur dans la Lumière et dans la Vérité. Père Matthieu Ngongo Yezu