Après novembre 2020 et juillet 2022, la plateforme événementielle « Festival Africain du Mariage » organise sa 3ème édition, du 15 au 16 septembre prochain, au Pullman Grand Hôtel, à Kinshasa/Gombe. Placée sous le thème « Mariage, entre Tradition et Modernité », la présente édition traite des situations de conflits observées entre les cultures africaines et occidentales sur la notion du mariage. Outre la cérémonie d’ouverture qui débutera dès 9 heures du premier jour, au Salon Congo, il est aussi prévu la tenue des Panels, des ateliers, d’une Soirée Célibataires et d’une grande Soirée de gala. L’accès aux Panels est gratuit. Ces derniers sont à six à savoir : 1. Us et Coutumes Africains dont le thème s’intitule : « Préservation de l’identité culturelle du mariage en Afrique : influence de la modernité et rôle des médias » 2. Hommes qui évoque la question de l’: « épanouissement du couple et participation financière au budget du foyer » 3. Mariage & Stéréotype qui traite du sujet de la : « Promotion de l’inclusivité des différences dans le mariage » 4. Santé & Famille qui aborde l’angle : « Parlons planification familiale, régimes matrimoniaux, succession et relation de famille à distance » 5. Femmes qui débat sur : « Zoom sur la jeune fille et sa vision du mariage à l’ère des réseaux sociaux » 6. PME, Business et Finances qui se penche sur la : « Gestion des finances dans le foyer et les opportunités entrepreneuriales dans l’industrie du mariage ». Hormis les panels, le programme prévoit neuf ateliers ci-après : Photos & vidéos, Musique, Décoration, Service-traiteur, Maquillage et coiffure, Stylisme, Textile, Wedding Planner et Composition des vœux. Tout comme les panels, l’accès est aussi gratuit. Néanmoins, les soirées Célibataires et de Gala qui se dérouleront respectivement le premier et le second jour de l’événement, au Salon Congo du Pullman Grand Hôtel seront payantes. Cela est dû aux avantages et différentes surprises réservés aux participants. Zoom sur le Festival Africain du Mariage Initié par Madame Celly Ndiang, congolaise de la diaspora, le Festival Africain du Mariage est d’abord une vision, puis une structure visant, d’une part, la valorisation des valeurs culturelles du mariage en Afrique. Et de l’autre, l’organisation d’un réseau d’affaires des professionnels œuvrant dans l’industrie du mariage par la constitution d’un annuaire facilitant la mise en relation entre l’offre et la demande. John Ngoyi
L'Office des Routes est plus que déterminé à assurer la gestion du réseau routier d'intérêt général et des travaux qui s'y rapportent. Une vision qui justifie la politique de construction et de modernisation des infrastructures mise en place par le Directeur Général Jeanneau Kikangala Ngoy, depuis son avènement à la tête de cet établissement public. Il y a lieu de citer, parmi les résultats de cette politique managériale, les travaux de construction du pont Ituri 2 sur la route reliant les territoires de Beni, au Nord-Kivu, et celui de Mambasa, en Ituri. Lancés récemment, les travaux de construction de cet ouvrage exécuté par l’Office des Routes et qui vont durer deux mois, ont été vivement salués par l'administrateur du territoire de Mambasa. La construction dudit pont revêt d’une importance économique capitale pour les deux provinces mais aussi pour celle de la Tshopo. Il convient d'indiquer qu'il y a cinq mois, ce pont s’était effondré. Les usagers de cette route ont fait face, dès lors, à des difficultés énormes pour voyager entre le Nord-Kivu, l’Ituri et la Tshopo. Une triste situation qui, malheureusement, a également réduit le trafic sur cette route nationale. A en croire les autorités de l'Ituri, il s'agit d'une situation qui a un impact réel sur les recettes provinciales de l’Ituri. Avec cette solution qui est constitué un ouf de soulagement pour les usagers de ce tronçon, l'Office des Routes par l'entremise de son Directeur Général, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy, promet de finaliser les travaux de construction de ce pont dans le délai, conformément à la droite ligne de la vision du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. La Pros.
Le Conseil d’Administration de l’Office de Gestion du Fret Multimodal (Ogefrem) a procédé, ce vendredi 1er septembre, à la signature des contrats avec de nouveaux mandataires. Cette signature intervient dans un contexte de libéralisation des zones de couverture des fiches électroniques de renseignements à l’importation (FERI) et annonce une nouvelle ère décidée dans ce format de maximiser les recettes de l’Office, suite à l’invitation des mandataires à Kinshasa en janvier 2023 et de leur postulation en juin dernier. Cette signature est intervenue après l’étude des dossiers respectifs dans la commission ad hoc à l’endroit des mandataires Qinfdao Highroad International Logistics, Golden Courts, et Frabemar Srl. En présence du Directeur Général de l’Ogefrem, M. William Kazumba, le Président du Conseil d’Administration, Adolphe Amisi a fait comprendre à l’assistance le fondement de l’existence de l’Ogefrem et de la souveraineté de la RDC en ce qui concerne la traçabilité de toutes les marchandises à destination du territoire congolais. «C’est pour nous un défi de sécurité, de souveraineté sur la gestion du fret et l’augmentation des recettes. Considérant le fait que les prévisions budgétaires 2023 de l’Ogefrem sont essentiellement alignées sur les recettes provenant de la FERI, la tardivité de cette signature au mois de septembre n’exonère pas les nouveaux mandataires à fournir les efforts pour donner le meilleur d’eux-mêmes en attendant l’évaluation», a dit le Pca. Si, d’une part, cette signature intervient pour maximiser les recettes de l’Office, d’autre part, elle permettra d’empêcher la léthargie constatée dans le chef de certains mandataires, de mettre aussi fin aux plaintes d’atteinte à l’exclusivité de zones de couverture. A cette occasion, Adolphe Amisi a invité les nouveaux mandataires à fournir des preuves des performances mensuelles en toute transparence, et à communiquer urgemment leurs agendas de visites afin de permettre aux équipes de l’Office d’évaluer leurs conditions de travail. Il en a profité pour s’attarder sur le cas de la société FRABEMAR qui est toujours en procès contre l’Ogefrem, en répertoriant ainsi des affaires en instance et les actes transactionnels y afférents avec les mentions des jugements. Par ailleurs, le PCA Adolphe Amisi a rappelé que cet établissement public est appelé à évoluer dans les relations d’affaires avec les différents partenaires et ne saurait sacrifier le moindre aspect du nouveau départ par la précipitation. Après cette étape introductive, les parties prenantes ont respectivement apposé leurs signatures dans le respect de leurs clauses et sous des applaudissements frénétiques de l’assistance. Niclette Ngoie
*Depuis le mercredi 30 août 2023 se tient à Seli Safari Lodge, à Zongo dans la Province du Kongo Central, sous la direction du Chef de Projet, Monsieur Victor Rutalira, l'atelier préparatoire de la Revue à mi-parcours du Projet KIN ELENDA, qui est prévue au courant du mois d'octobre de cette année. Trente experts, appartenant aux cinq agences d'exécution du projet, à savoir, la Cellule Infrastructures (CI) du Ministère des ITP, de la Cellule des Projets Eau (CEP-O) et de l'Unité de Coordination et de Management des projets (UCM) du Ministère des Ressources Hydrauliques et Électricité, de la Cellule de Développement Urbain de la Ville de Kinshasa (CDUK) et de l'Institut National de Préparation Professionnelle (INPP), se livrent à une profonde réflexion sur le déroulement des activités du projet, en faisant ressortir les diverses pesanteurs susceptibles de compromettre l'atteinte des objectifs du projet. A noter que le Coordonnateur de la CDUK, Monsieur Robert Luzolanu, a fait le déplacement de Zongo pour participer à l'atelier. L'objectif de l'exercice est de proposer, en tenant compte du volume d'activités restant, du délai et des ressources disponibles, un recadrage ou redimensionnement du projet qui permettrait d'obtenir les résultats escomptés, en ayant à l'esprit qu'il est prévu une deuxième phase du projet. Dans cet exercice, l'équipe du projet KIN ELENDA bénéficie de l'appui des Conseillers des Ministres des ITP et de l'Urbanisme et Habitat, et de l'expertise d'un Consultant international. Quatre matières étaient inscrites à l'ordre du jour de la première journée de l’atelier : Montage institutionnel, Assainissement (Gestion des déchets solides et liquides), Volet Énergie, Infrastructures de proximité, Aménagement des Places publiques. Du fait que, deux ans et demi après l'entrée en vigueur des Accords de financement, les instances majeures du pilotage ne sont pas encore opérationnelles, les discussions sur le montage institutionnel ont accaparé la majeure partie de la première journée. Pour rappel, le montage institutionnel du projet a prévu un Comité d'Orientation Stratégique (COS) coprésidé par les Ministres des ITP et de l'Urbanisme et Habitat, un Comité de Pilotage Opérationnel présidé par le Gouverneur de la Ville/Province de Kinshasa, trois agences fiduciaires (CI, CEP-O, UCM,) et deux agences techniques (CDUK, INPP). Si la collaboration entre les agences se fait sans problèmes majeurs, régie par un protocole d'accord signé entre la CI (agence de coordination) et les autres agences, de sérieux problèmes se posent au niveau du pilotage du projet. Pour tout dire, le COS et le CPO ne sont pas encore mis en place. Pourtant, un arrêté interministériel, portant création, organisation et fonctionnement du COS, et signé par les Ministres des ITP et de l'Urbanisme et Habitat, avait été pris au mois de septembre 2022, mais le document n'avait pas rencontré l'assentiment de la Banque mondiale au motif que certaines dispositions de l'arrêté interministériel étaient contraires à l'esprit et aux termes des Accords de financement signés entre le Gouvernement de la RD Congo et la Banque mondiale. Pour la Banque, les Ministres de tutelle ne devraient pas interférer dans la nomination du personnel du projet et le suivi de la Passation des Marchés. Devant cette situation, une Note d'éclaircissement sur les dispositions incriminées avait été, au mois d'avril 2023, adressée à la Banque par le Ministre des Finances, signataire des Accords de financement et Gouverneur-Pays. La Note recadrait les choses mais, cela devait être repris dans l'arrêté interministériel. C'est à niveau que les choses se tassent puisque le nouveau document tarde. Cette situation n'est pas sans conséquences. Du fait que les instances de pilotage, au niveau politique, ne sont pas en place, le projet est privé d'un espace d'expression par excellence pour mieux faire entendre ses préoccupations auprès des autorités politiques et du bailleur de fonds qui est la Banque mondiale. Par ailleurs, plusieurs problèmes qui auraient pu trouver des solutions avec l'appui du COS sont restés pendants. C'est le cas du contrat de performance que doit signer la REGIDESO avec le projet, conditionné par le payement sous forme d'un Ordre de paiement permanent, des arriérés dus à la REGIDESO par l'Etat pour la consommation d'eau par des institutions publiques. C'est une condition de décaissement pour le démarrage des travaux du troisième module du Complexe industriel de traitement d'eau potable d'Ozone/Ngaliema. Un autre problème qui aurait pu trouver une solution, c'est le manque de "foncier" qui jusqu'à ce jour ne rassure pas, dans le cadre du volet "Gestion des déchets solides », le projet sur l'érection des déchetteries et des quais de transfert, de la sécurisation du site et de la réserve foncière du Centre d'enfouissement Technique de Mpasa. Devant cette situation, l'atelier a recommandé une feuille route avec la rédaction d'un nouveau projet d'arrêté interministériel et d'un mémo explicatif à l'endroit des Ministres des Finances, des ITP et de l'Urbanisme et Habitat, sur les conséquences néfastes, pour le projet et la Ville de Kinshasa, de l'absence des instances politiques de pilotage du projet.
Après avoir constaté un accoutrement indécent de certains étudiants qui ternissent l’image des établissements supérieurs de la Ville-province de Kinshasa, les instituts supérieurs et universités envisagent de plus en plus à instaurer un model vestimentaire que doivent adopter les étudiants. Cette proposition est louée par les étudiants de l’Université pédagogique nationale. Toutefois, elle doit être équilibrée et devra respecter les droits et libertés individuels des étudiants, à en croire un échantillon d’étudiants de l’UPN. Selon ces étudiants, le fait d’adopter un style vestimentaire décent n’est pas une chose mauvaise, car aujourd’hui l’image de plusieurs établissements supérieurs est ternie à cause d’un mauvais accoutrement de quelques-uns. Par ailleurs, ils estiment que l’adoption d’un code vestimentaire doit être équilibrée et devra respecter les droits et libertés individuels des étudiants. Ce code doit également être motivé par plusieurs raisons notamment : Maintenir un environnement professionnel, Promouvoir l’égalité. «Un code vestimentaire peut aider à maintenir un environnement professionnel et respectueux au sein de l’université. Il peut contribuer à créer une atmosphère propice à l’apprentissage et à la concentration en évitant les tenues inappropriées ou distrayantes. Ce code peut aider à promouvoir l’égalité, en évitant les discriminations basées sur l’apparence physique ou le style vestimentaire. En établissant également des normes claires, il peut garantir que tous les étudiants sont traités de manière équitable, indépendamment de leur statut socio-économique ou de leur style personnel », a signifié l’un des étudiants de l’UPN, avant toutefois de préciser qu’un code vestimentaire peut préparer les étudiants à la vie professionnelle en les habituant à se conformer, aux normes vestimentaires spécifiques. Cela peut les aider à développer aussi des compétences en matière de présentation personnelle et à se préparer aux attentes du monde du travail. A les en croire, le code vestimentaire contribue à créer un environnement respectueux où chacun se sent à l’aise et en sécurité. Il renforce l’identité de l’université en créant une image cohérente et professionnelle. Ketsia Mbala
La population de la ville de Kinshasa, plus précisément celle de Mitendi se plaint quotidiennement des problèmes qui, même après plusieurs années, persistent. Fatiguée et déçue des promesses, les habitants de ce coin de la ville de Kinshasa sont pris à leur propre sort. En conséquence, l’insécurité est devenue familier à cette population. Le problème persiste au sein de la population et ce genre de cas est souvent constaté dans certains quartiers reculés de la ville, ou l’état des routes empêche les autorités compétentes d’y accéder pour apporter des solutions. « Depuis un moment, nous constatons que l’eau a cessé de jaillir du robinet, nous avons fait appel auprès de ceux qui peuvent résoudre le problème, mais sans suite… », a expliqué un résidant de Mitendi. Incapable de supporter cette situation, la population s’est vue obligée de mobiliser des ressources nécessaires pour une création des forages et, en même temps, d’en faire un moyen de commerce au lieu de se rendre sur des très longues distances à la recherche de l’eau potable. Un autre cas délicat se rajoute, c’est celui des routes non aisées. Certaines routes de ce milieu sont devenues des poubelles et sont menacées par des érosions. Des voies sombres, sont des lieux habituels où se déroulent souvent des cas de viol, vol, crime etc. « Vers les années 2019, nous avons vécu une période de pillage, viol… sur la Nationale numéro 1, en allant vers le marché appelé Lufu, des lance-pierres venaient de deux côtés de la route », a dévoilé un responsable du quartier. Et d’ajouter : « durant la nuit, il est presqu’impossible de voir ce qui nous entoure », a-t-il conclu. Ketsia Mbala
La Société Nationale d’Electricité, Snel, a remis en service, dimanche 27 août 2023, la sous-station électrique dite ‘’Aviation’’, dans la ville de Bandundu, chef-lieu de la province du Kwilu, éclairant plusieurs quartiers de cette ville privée d’électricité depuis cinq mois. Cette coupure pendant une si longue durée est due à une panne au niveau du transformateur, affirme la Snel. Cette coupure d’électricité avait occasionné automatiquement la pénurie d’eau de la Régideso. Prospère Bakuku, directeur provincial de la Société Nationale d’Electricité dans cette ville, avait rassuré que les équipes étaient à pied d’œuvre pour résoudre ce problème. Il s’agissait donc, faut-il le rappeler, d’un transformateur qui était tombé en panne au niveau de la sous- station Aviation se trouvant à côté de la banque centrale. Monsieur le Directeur Provincial avait promis que la décantation de situation dans un bref délai qui était de dix jours. Fatiguée de l’attente, la population avait dépêché une délégation à Kinshasa pour exposer le problème aux autorités de la SNEL. «Nous sommes allés à Kinshasa contacter les autorités, et nous sommes revenus avec la bobine pour la réparation », avait réagi Monsieur Prospère Bakuku après qu’il a reçu la plainte de la population. Foi sur les témoignages reçus, c’est l’actuel Directeur général de la SNEL, Monsieur Fabrice Lusinde, et son équipe qui ont réalisé des prouesses là- dessus. A les en croire, au début, Monsieur le Directeur général avait envoyé le matériel nécessaire avec une équipe experte de techniciens pour pouvoir pallier à ce problème qui a élu domicile depuis le 15 juillet 2023. Ce matériel, faut-il l’attester, était réceptionné depuis le 25 juillet par l’équipe qui était présente à Bandundu et qui ont permis aux techniciens de la société affectés au sein de l’Atelier d’Electro Maintenance Industrielle, AEMI en sigle, engagés par la Société Nationale de l’Electricité, de s’activer corps et âmes pour résoudre ce tracassant problème. Electricité rétablie, la RTNC a été alimentée en premier lieu, ce qui lui a permis de déclarer par la voie des ondes la fin des travaux de remise en service de la sous-station ‘’Aviation’’ ainsi que du réseau de la distribution associée à Bandundu. Après six semaines de travaux abattus par les équipes envoyées, la population a été, durant la nuit de dimanche 27 août, dans une totale joie de pouvoir revoir le courant à nouveau après un long temps de ténèbres ou, en termes clairs, après une longue période d’attente. C’est avec un immense plaisir que la population de Bandundu-ville, vu le fruit du travail abattu, a remercié, avec de mots de bénédictions pleins les bouches, les techniciens de la SNEL pour le travail réalisé. Princesse Yala
Après des années de durs labeurs, les homes des étudiants de l’Université de Kinshasa, les mêmes qui ont accueilli, pas longtemps les athlètes compétiteurs des 9è jeux de la francophonie, sont enfin prêts à accueillir les étudiants. Les travaux de ces logements pour étudiants ont débuté depuis 2020. Ces locaux construits depuis avant l’indépendance de la RDC, étaient invivables compte tenu de ses conditions sanitaires précaires. Depuis la construction de cette Alma Mater et des homes, aucun travail de rénovation n’a été réalisé. Les étudiants vivaient dans chaque local au nombre surplus recommandé. Ces habitations étaient devenues aussi des lieux d’abri des non-étudiants et bandits, qui semaient un climat de peur et d’insécurité dans les alentours de l’Université. Le déguerpissement des étudiants en janvier 2020 était aussi pour résoudre ce problème d’intrusion au sein des homes et couper court à ces actes d’antivaleurs. Ces édifices, commençant par le home du plateau, le homme 10, le home 20 et, enfin, le home 30, ont été réhabilités et répondent aux normes internationales. Maintenant, reste que les autorités de l’Enseignement universitaire et supérieur se décident pour que les étudiants regagnent leurs logis. Toutefois, un seul problème dérange. C’est de savoir si le comité de gestion des homes et, les autorités universitaires de cette Alma Mater pourront s’impliquer comme il se doit pour disposer une politique de gestion qui épargne ces bijoux de tout danger de la part de qui que soit. A cette question, il y a de quoi beaucoup réfléchir. Faradja Muderhwa Bernadette
Pour marquer l’histoire de sa vie, la journaliste, chroniqueuse et influenceuse Ika de Jong Kibonge a organisé une cérémonie du vernissage de son ouvrage dénommé «témoignage» le samedi 26 août 2023 dans la salle Show Buzz, en présence de la Première Dame de la République Démocratique du Congo, Denise Nyakeru et d’autres grandes personnalités du pays en vue de partager son expérience sur les choses vécues. Dans son ouvrage, l’écrivaine Ika de Jong a fait un autoportrait qui décrit l’histoire de sa vie, de ses expériences personnelle et professionnelle. Entre le rêve d’une petite fille qui était de devenir journaliste et son accomplissement. Ce livre regorge les défis, les difficultés qu’elle a eues à rencontrer dans son existence «Entre le rêve de petite fille qui était de devenir journaliste et son accomplissement, il y a eu beaucoup de péripéties, plusieurs défis ; que ce soit sur le plan sentimental, familial et même sanitaire du fait d’un cancer. En effet, c’est comme si pour que je devienne la Ika De Jong que Dieu attendait, il fallait que je traverse des épreuves rudes dans chaque domaine de ma vie », a déclaré Ika de Jong qui explique et motive à travers son livre que les difficultés dans la vie ne sont qu’un chemin qui amène vers la réussite, ces défis ne doivent pas être un blocage pour nous affaiblir, mais plutôt une raison pour nous pousser à atteindre notre objectif. «Je vous amène dans mon passé, mon présent et mon futur, en vous partageant plusieurs épisodes de ma vie qui m’ont amené où je suis aujourd’hui», a-t-elle ajouté que la lecture de son ouvrage témoignage est la lecture de sa vie dans sa globalité. L’écrivaine à la plume facile a voulu partager son expérience personnelle afin de créer des vocations mais aussi attiré l’attention de ses lecteurs sur les difficultés que rencontrent les femmes dans leur réussite sociale. «Mais, en dépit de toutes ces difficultés, rien ne pouvait entraver ma détermination et ma rage de vaincre. Après tout, j’avais de qui tenir : ma mère et ma grand-mère sont celles qui m’ont inculqué des valeurs de travail, de sérieux et de ténacité. Je ne recule donc devant rien quand il s’agit d’exercer ma passion et de rendre fiers ceux que j’aime », déclare-t-elle. Eunice Maleka
En dépit de plusieurs années de somnolence, la SONECA, Société Nationale des Editeurs, Compositeurs et Auteurs, que d’aucuns croyaient être en liquidation, va totaliser le 6 décembre prochain, 54 ans d’existence. Voilà ce qui justifie sa grande cérémonie organisée le vendredi 25 août de la semaine qui vient de se clôturer, dans l’enceinte de l’amphithéâtre du ministère des Affaires Etrangères, à la Gombe. Au cours de cette cérémonie, son Président du Conseil d’Administration, le célèbre artiste et éditeur Adios Alemba a, de concert avec sa Directrice Générale, madame Octavie Kembi, procédé à la remise des brevets à plus de mille inspecteurs de droit d’auteurs ainsi que des diplômes de mérite artistique à une centaine d’artistes, toutes catégories confondues. A en croire M. le PCA, allusion faite à Adios Alemba, lors de son discours d’ouverture, ce moment a été pour lui une occasion mémorable annonciatrice du réveil de la SONECA. Ce patron de Gillette d’or, mieux connu par son tube ‘’mille sourires des années 81-82, s’est dit déterminé à porter haut l’étendard et la visibilité de la culture congolaise tant sur le plan national qu’à l’échelle globale, via à la fois son implantation à travers le monde et l’exploitation de nouvelles pistes de la technologie actuelle. Adios Alemba a promis de continuer à lutter en faveur de la dignité de l’artiste congolais. Pour envisager d’y arriver, il a choisi de placer son déterminisme sur sa ténacité qui permettra à la source lumineuse de la culture et arts congolais d’être désormais réellement ramenée à la surface du sol de la République Démocratique du Congo, à l’heure actuelle connue à travers le monde pour sa vitalité musicale. C’est au travers, foi sur ses propos, de la rumba, aujourd’hui reconnue comme le patrimoine mondial de l’humanité. Pour lui, les artistes congolais devront désormais rentrer dans leurs droits. Maman Anosandjo, comédien de son état, de son vrai nom ‘’Marius Bayolo’’, sous son aspect détravesti, a été parmi les heureux nominés dans la catégorie diplôme de mérite artistique. Il y avait parmi d’autres nominés de cette même catégorie, Jadot le Cambodgien, artiste chanteur, un ancien de Viva La Musica ; Assimba Bathy, dessinateur caricaturiste ; Godé Mbemba, alias Lofombo, vertueux guitariste, ancien de l’Empire Bakuba ; Djo El, artiste chanteur, ancien de Grand Zaïko Wawa ; Maître Bebin, cinéaste ; Louis Onema, arrangeur des sons ; Maman Jacquie Olanzo, danseuse ; Isaac Mundele, sculpteur à base d’objets de récupération (clous et consort) ; Kandungi Munzanzu, le concepteur du Franc congolais ; Paul Lufwa, sculpteur et fils de Feu Lufwa, auteur du Batteur de la Foire de Kinshasa ; Serge Manga, sculpteur, auteur de plusieurs œuvres, la liste est longue et non exhaustive. Dominique Mabua, ancien danseur de l’Empire Bakuba ; Papy Ndala, Manager et coach international sur le business et accompagnement des structures et organisations, et Henry Kasongo, pour ne citer que eux, ont été plutôt parmi ceux qui ont reçu les brevets d’inspecteurs de droits d’auteurs. Dans sa joie de nominée, Maman Anosandjo, autrement dit la première dame d’Afrique, a eu des mots justes pour remercier dans un premier temps le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, pour avoir pris l’irréfragable décision de remettre la SONECA sur le chemin de ses droits, détournés durant plus de 12 ans par ses détracteurs, jusqu’à hauteur des millions de dollars. Elle a, en second lieu, dit ‘’merci’’ aux autorités de la SONECA, ci-haut évoquées, pour ne l’avoir pas jetée dans l’oubli en lui octroyant, au même titre que ses pairs, ce diplôme de mérite artistique. La Première dame d’Afrique a déclaré sienne la lutte du PCA Adios Alemba déjà mise en marche en faveur du recouvrement des droits d’auteurs et droits voisins de tous les artistes congolais jusque-là abandonnés à leur triste sort par les différents régimes qui se sont succédé. C’est le cas, l’un des plus illustratifs, de Serge Manga (devenu aveugle), réalisateur de plusieurs œuvres : le Lion assis devant le Palais de Marbre, ‘’les Enfants de la rue rescolarisés érigés en face de Kin-Mazière, le Vieillard et le Jeune homme au rond-point Ngufu à Matete, le Monument de la Place de la Révolution à Bukavu, celui de la place des Armoiries à Brazzaville, la statue du Président Léon Mba à Libreville… Dans la foulée, Adios Alemba a rassuré ses collègues artistes au sujet de la promesse du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, de faire désormais du droit d’auteur en République Démocratique du Congo, un droit de l’homme par excellence. Voilà ce qui justifie le tout premier diplôme de mérite artistique qu’il a pris soin de lui faire parvenir par l’entremise de son conseiller en la matière qui a été présent dans la salle. A contrecourant de la tant vantée liquidation à laquelle ont longtemps fait allusion les artistes de ‘’l’autre société dont la raison sociale a l’air de contenir une coda qui n’est plus qu’un passage final d’un morceau de musique mal exécuté’’, Adios Alemba, sans vouloir en parler, a plutôt recouru aux mots dépourvus de toute équivoque pour évoquer plutôt l’homologation que la SONECA vient d’obtenir de la part du tribunal de commerce avec une durée de 99 ans selon le droit OHADA. Il s’agit donc cette fois-ci d’une SONECA qui ira de générations en générations et de renouvellements en renouvellements. Pour en parler de fond en comble et dans tous ses détails, le PCA Adios a promis pour très bientôt la tenue d’un point de presse dont la date et le lieu seront communiqués dans les tout prochains jours. Ça sera donc la dissipation de la confusion à laquelle le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, avait demandé, il y a de cela plus d’une année, à la Ministre de Culture, Arts et Patrimoine, Catherine Furaha, de bien vouloir mettre fin. Pour votre supplément d’information, retenez que SONECA, qui en RDC est un acronyme pour Société Nationale des Editeurs, Compositeurs et Auteurs, est, en langue portugaise, un mot à part entière avec comme traduction en français ‘’SOMNOLENCE’’ ou ‘’SONGE BREF’’. Fini donc de la somnolence qui n’a que trop duré au sein de la SONECA que voici désormais en plein réveil de ses activités. Saint-Germain Ebengo
La plateforme Nkelo Bantu a organisé ce jeudi 24 août 2023 un atelier intitulé ‘’Ingrédients pour un journalisme durable en RDC’’, à la grande salle de Silikin Village dans la commune de la Gombe. Cette rencontre a constitué une journée de partages d’expertise et de l’évocation d’actions pour l’optimisation et de la durabilité des médias congolais ainsi que de leur rentabilité. Dans son approche introductive, M. Lars Tallerte, Fondateur et Président du Sustainable Journalism, a reconnu qu’il n’est pas facile de produire un journalisme de qualité, fondé sur des faits et de parvenir à faire des bénéfices. Car, il ne s’agit pas uniquement des restrictions imposées par les gouvernements sur les sujets que les médias doivent traiter mais du fait que les modèles économiques des médias traditionnels, basés sur la publicité qui sont devenus obsolètes. Et, les encourager à ne pas gaspiller leurs ressources pour un contenu dont personne n’a besoin, de s’adapter à l’ère du numérique et d’identifier de manière spécifique leurs marchés. Dans le même ordre, il a souligné les défis d’un faible revenu publicitaire, une diffusion et un intérêt limité, peu de capacité à résister aux pressions du gouvernement et des partenaires commerciaux et peu d’indépendance éditoriale. Comme point de départ, il a suggéré à chaque média de comprendre son public, de savoir comment le public congolais définit l’information ainsi que le modèle économique du pays. «Ne pensez pas que votre mission consiste uniquement à informer vos publics car nous sommes noyés dans l’information. Votre mission est celle de résoudre un problème pour vos publics cibles, et résolvez un problème pour votre utilisateur et celui-ci sera prêt à payer selon les tarifications de l’entreprise de presse», a-t-il insisté. A son tour, M. Israël Mutala, Dg du média en ligne 7/7 a révélé les réalités de la diffusion des contenus selon la ligne éditoriale, de la gestion quotidienne d’une rédaction qui tient compte des ressources humaines, des finances, et la répartition des charges. Sur ces propos, il a invité les chefs des médias à veiller sur le profil des journalistes à intégrer au sein de leur rédaction afin de produire un travail et un service de qualité dans le secteur. Au terme de cette rencontre, en ce qui concerne les questions liées à l’émergence dans un paysage médiatique saturé, le Professeur Pierre N’sana a dispensé une master class sur la stratégie de contenu soutenable dans le respect de la déontologie journalistique. Une stratégie selon laquelle, il a rappelé qu’il appartient à chaque média d’information de trouver l’équilibre entre la passion et la raison, entre la nécessité de séduire et l’obligation de convaincre. Niclette Ngoie
Du mercredi 16 au samedi 19 août, il s’est tenu au sein de l’Eglise Evangélique de la Vision Chrétienne, précisément à son Assemblée Saint Palais située au numéro 34 de l’avenue Yangambi, au quartier Kimbangu, dans la commune de Kalamu, la conférence des délégués qui a eu lieu sous la supervision du révérend Apôtre Christ-Pain Kalombo, désormais devenu son Représentant Légal. Ce grand rendez-vous, qui a été riche en enseignements bibliques, s’est clôturé samedi 26, après une pause ‘’ de 7 jours’’ qui est allée du 19 au 25 août. Elle a été sanctionnée, allusion faite à la conférence, par des résolutions riches en réformes à la base à la fois de la refondation, de la réorganisation et de la restructuration de l’Eglise qui entre déjà dans sa 26è année d’existence. L’Apôtre Christ-Pain Kalombo, qui était jusque-là Coordonnateur, devient désormais Représentant Légal, avec un mandat à durée indéterminée et la jouissance d’une protection spéciale qui viendra en appui à la stabilité de l’Eglise. La coordination de l’Eglise est désormais devenue son bureau Exécutif constitué de 23 membres avec à sa tête son désormais Représentant Légal, l’Apôtre Christ-Pain Kalombo ci-haut évoqué. Quant à son siège national, ce dernier est désormais transféré à Kinshasa, au 53 de l’avenue Peti-Peti dans la commune de Ngiri-Ngiri. C’est là que s’établira désormais le cabinet du Représentant Légal qui sera constitué de 5 membres. Pour sa croissance numérique l’EEVIC, entendez : Eglise Evangélique de la vision Chrétienne, est dans l’expectative de sa nouvelle branche évangélique de Pweto qui viendra s’ajouter aux trois branches évangéliques existantes, à savoir celle de Kinshasa, celle du Grand Kasaï et celle du Grand Katanga. Chaque branche évangélique sera désormais chapeautée par un évêque de branche. C’est à ce titre que le Pasteur Chrispin Bakalo Kalombo, qui a été l’hôte de cette grande conférence de délégués, en sa qualité de Pasteur numéro un de l’Assemblée Saint Palais ci-haut évoquée, devient désormais Evêque de la branche évangélique de Kinshasa, la reconnaissance du Représentant Légal, Apôtre Christ-Pain Kalombo, faisant foi. L’Eglise Evangélique de la Vision Chrétienne compte à cet effet s’étendre dans les territoires où elle n’est pas encore implantée jusqu’ici, avec comme point de liaison, en vue d’éviter les dérapages, l’uniformisation des cultes. Chaque assemblée, en vue de sa croissance spirituelle, devra organiser dix groupes dits holistiques et dont les représentants se retrouveront selon une fréquence mensuelle autour d’un conducteur pour que soient traités en permanence et avec sérieux les problèmes de leurs fonctionnements respectifs. Pour ce qui est de l’autosuffisance de l’Eglise, ils sont tous tombés d’accord sur l’idée de mettre en place les activités génératrices des revenus sous forme des travaux faits par l’Eglise pour elle-même ; il s’agit, entre autres, des travaux champêtres, de l’élevage, de la pisciculture… Au regard des finances de l’Eglise, il a été forgé une clé de répartition des entrées, à savoir dîmes et offrandes. Au sujet de la dîme, le Représentant légal aura droit à 10% mensuel en provenance de toutes les assemblées, toutes branches confondues, pendant que les 90 % résiduels resteront entre les mains des Conducteurs respectifs. Pour ce qui est des offrandes, 10% serviront au Bureau Exécutif, 10% à la branche évangélique, 20% à l’Assemblée et 60% au Conducteur. La Confidel, entendez : Conférence des délégués, a décidé que soient pris en charge mensuelle par les fidèles le logement du Représentant légal, sa restauration ainsi que sa mobilité. Dans ce même ordre de choses, chaque Assemblée devra transmettre son rapport financier mensuel à sa branche d’appartenance qui transmettra au Bureau Exécutif. Pendant ce temps, l’administrateur en charge des finances gérera les comptes et transmettra les copies au Représentant légal. A l’intention des serviteurs des territoires reculés en difficultés financières, il est prévu une caisse de péréquation qui permettra aux cotisants de venir de façon permanente à leur rescousse. ‘’Continuons à marcher d’un même pas à partir d’où nous voici arrivés’’, parole du Représentant Légal à ses co-serviteurs. ‘’Nous voulons qu’à partir de là où nous sommes arrivés nous puissions avancer avec Dieu ’’, a-t-il reconduit son affirmation avant de tirer parti de cette opportunité qui s’est offerte pour consacrer quatre nouveaux serviteurs qui œuvreront désormais au sein de l’EEVIC au regard de leurs nouveaux titres et qualités respectifs. Il y a parmi eux : Le Pasteur José Ntola, le diacre Cédric Loenge, la diaconesse Josée Mwa Mukendi ainsi que le frère Faustin Kalombo, en qualité de président du département ‘’ ’Papas vision’’. Plusieurs autres choses ont été dites et faites et ce sont les pages qui nous font défaut pour les évoquer toutes en détails. La deuxième conférence des délégués est prévue à Lubumbashi du 16 au 19 août 2024. D’ici-là les délégués, toutes branches confondues, se disent heureux d’avoir rehaussé de leurs présences cette première édition qui leur a permis d’avoir ajouté à leurs fois et vertus les 7 savoirs qui ont été parmi les éléments ayant servi de toile de fond aux enseignements reçus : savoir réfléchir, savoir concevoir, savoir initier, savoir conquérir, savoir se concentrer sur la vision et, enfin, savoir amener à bon port ce qu’on a entrepris. St-Germain Ebengo
La question du respect du code vestimentaire dans les milieux universitaires reste jusqu’à ce jour une option qui partagent les étudiants. D’un côté elle est soutenue et approuvée et, de l’autre, elle est contestée. Ces avis ont été rendus aux reporters du journal La Prospérité lors de leur reportage avec les étudiants des différentes universités et instituts. A en croire certains étudiants, il n’est pas admissible d’imposer des tenues pour accéder dans un milieu académique. « Ce n’est pas normal qu’à l’université, l’on exige un code vestimentaire, car l’université c’est l’univers avec diverses appréciations », a soutenu une étudiante. Par contre, une frange soutient l’option de la restriction vestimentaire dans les Alma Mater. Pour cette catégorie, l’Université étant un lieu scientifique doit être considérée comme un temple sacré. «Les étudiants des universités publiques ont la tendance de trouver l’université comme un lieu de désordre et pourtant c’est un milieu de la science. Certains étudiants ont la tendance de critiquer d’autres universités à cause de leur code vestimentaire et pourtant, c’est l’université qui doit imposer le code vestimentaire aux étudiants. Il y en a d’autres étudiants qui disent qu’ils ne sont plus aux humanités pour qu’on leur impose un quelconque code vestimentaire par l’université », s’étonne un étudiant. Bernadette Faradja & Ikoyi Aimerance