L’Ecole primaire EP 1 et 2 Yolo-Nord appelée «Kamina», dans la commune de Kalamu, à Kinshasa, vient de bénéficier d’une salle de classe bien équipée en matériel informatique, don du Chef de l’État Félix Tshisekedi, en vue de l’amélioration des conditions d’études des élèves.
Cette action fait suite à l’engagement que le Président de la République avait pris lors de sa visite à l’école Kamina le lundi 16 septembre 2024. Sur place, le Chef de l’État avait relevé le déficit en bancs, en outils informatiques ainsi que la vétusté des infrastructures.
«Le 17 septembre, soit un jour après le passage du Chef de l’État, nous avons eu des bancs venant du Service National. Une semaine après, la Fondation Maman Denise Nyakeru nous a donné 885 sacs et des objets classiques pour les élèves, avant de recevoir 49 ordinateurs venant du Président de la République», a affirmé Léonard Itongo, Directeur de l’EP1 de l’Ecole Kamina. Ce dernier a confirmé que «la réhabilitation de l’école est en cours» et a tenu à remercier le Chef de l’État à ce sujet.
Il sied de noter que l’École Kamina (EP 1 et 2) est le premier établissement officiel d’enseignement construit en République Démocratique du Congo (RDC) en 1945.
L’éducation étant l’un des six piliers majeurs du Chef de l’Etat, venir à l’encontre de sa promesse serait se mettre le bâton dans les roues afin de ne pas atteindre ses propres objectifs. Raison pour laquelle, son accomplissement était opportun pour soutenir ses enfants qui ont étudié, pendant longtemps, dans des conditions déplaisants.
Le dimanche dernier 10 novembre 2024, le livre « Une nation malade vomit ses habitants », écrit par le Révérend Pasteur Joseph Bansimba Mfululu et publié à Kinshasa en juin 2024 aux Editions Luxambi, a été baptisé par le Patriarche Samuel Emmanuel Dikaniakina, Coordonnateur continental de la Maison Africaine de Prière, espace francophone, au Salon Congo de l’Hôtel Pullman de Kinshasa, dans la Commune de Gombe. Le préfacier du livre, le Docteur Joshua Beya, membre de la Coordination continentale de la Maison Africaine de Prière, le premier des intervenants, a fait observer à l’auditoire que la grande tragédie ne consiste pas à mourir, mais consiste plutôt à ignorer la raison pour laquelle on vit.
De là, il est allé droit au but pour démontrer que les Congolais de la RDC ignorent le destin prophétique de leur pays. D’où la désinvolture qui caractérise leur façon de vivre ayant entraîné leur pays une nation malade. Mais Dieu soit loué, l’auteur de ce livre, « Une nation malade vomit ses habitants », qu’il a eu l’honneur de préfacer, a mis en lumière des révélations sur les causes de la maladie dont souffre la nation et les stratégies de prière pour sa délivrance ou sa guérison. Ce qui va permettre au pays d’assumer le leadership dans la nouvelle civilisation mondiale devant être caractérisée par les valeurs chrétiennes, conformément à ce que l’un de leurs professeurs, un certain Hector, de nationalité belge, leur a affirmé dans les années 1973-1974 à l’université de Kinshasa.
A sa prise de parole, l’auteur du livre « Une nation malade vomit ses habitants » a déclaré que ce livre est un support matériel et un outil de travail qu’il met à la disposition des chrétiens en général et des intercesseurs en particulier pour leur permettre de faire des prières stratégiques en vue de la délivrance des communautés et des leurs terres. Cela, après plus de deux décennies d’expériences dans le domaine d’intercession en faveur du pays et de délivrance de la famille et de son environnement.
Dans le livre « Une nation malade vomit ses habitants », l’auteur met en lumière les causes qui sont à la base des difficultés auxquelles la RDC est confrontée depuis la fin de la colonisation, le 30 juin 1960. Ces causes qui l’empêchent d’accomplir son destin de grandeur dans le concert des nations, sont, selon l’auteur, fondamentalement spirituelles. Il s’agit d’un certain nombre de péchés qui souillent le pays et ce dernier est conséquemment obligé de vomir ses propres fils et filles au profit des étrangers qui viennent s’y enrichir en des temps records. Parmi ces péchés, les quatre principaux sont l’idolâtrie, l’immoralité sexuelle sous toutes ces formes, l’effusion du sang innocent et l’esclavage moderne.
L’idolâtrie est ce péché qui consiste à élever un esprit, être humain, un animal, une plante, un objet ou une quelconque créature au même niveau que Dieu le Créateur ou au-dessus de ce dernier. Le culte de la personnalité fait aussi partie de l’idolâtrie. L’idolâtrie provoque la colère de Dieu qui punit sévèrement les idolâtres en les maudissant jusqu’à leurs troisième et quatrième générations. L’immoralité sexuelle, quant à elle, est ce péché lié à la pratique sexuelle illicite et condamnée par la Parole de Dieu. C’est entre autres l’adultère, la sodomie, l’homosexualité, la pédophilie, la nécrophilie, la bestialité, l’orgie, etc. L’effusion du sang innocent résulte souvent des assassinats à connotation politique, économique, tribale, ethnique, raciale ou crapuleuse, les avortements.
Enfin, l’esclavage moderne est ce péché qui consiste à faire travailler des gens pour des salaires dérisoires qui, le plus souvent, ne leur permettent pas de nouer les deux bouts du mois. Pis encore, à travers l’esclavage moderne, il y a des individus qui font travailler leurs semblables sans du tout leur verser un salaire. Alors, tous ces péchés souillent la terre, cette dernière à son tour se met à vomir ses propres enfants. C’est ainsi que beaucoup de Congolais ont fui et continuent à fuir le pays et se retrouvent dans la diaspora dans plusieurs pays du monde. En même temps, les Congolais restés au pays, dans la quasi-totalité, vivent comme des esclaves sur leurs propres terres. Ils sont comme des enfants sous la tutelle des étrangers, comme Paul le fait observer dans Galates 4 :1-2.
Selon le Révérend Pasteur Joseph Bansimba Mfululu, si le pays est devenu malade au point de vomir ses propres fils et filles, c’est parce que la prêtrise en RDC est elle-même malade. L’état de la Nation est le reflet de la prêtrise qui s’exerce en son sein. Donc, si la Nation est devenue malade, c’est la prêtrise qui a commencé par être malade.
Or, la prêtrise, selon l’auteur, détermine le climat spirituel de la nation et sauvegarde son héritage. La prêtrise restaure la royauté, la royauté restaure le leadership et le leadership restaure la Nation. Sachant que notre mandat initial, notre vocation, en tant que les rachetés de Jésus-Christ, c’est la prêtrise.
Voilà pourquoi, pour guérir notre Nation de sa maladie dont la cause est avant tout spirituelle, en l’occurrence les quatre principaux péchés qui souillent la terre et qui poussent cette dernière à vomir ses fils et ses filles, l’auteur a révélé des stratégies appropriées qui sont entre autres la repentance nationale, le changement des mentalités de la part des Congolais.
Né le 23 juin 1954 à Léopoldville, Joseph Bansimba Mfululu a donné sa vie à Jésus-Christ en 1981 à Kinshasa. Marié à Madame Véronique Nsunga, il est père de sept enfants dont quatre filles et trois garçons et grand-père de sept petits-enfants. Son parcours ministériel, en tant que Pasteur ordonné depuis le 1er septembre 1996 et Responsable de la Mission Evangélique Pain de Vie (MEPVIE), une église qui œuvre pour la délivrance de la famille et de son environnement, et sa responsabilisation en tant que Coordonnateur National de la Maison Africaine de Prière, les Intercesseurs pour la République Démocratique du Congo (MAP/IP-RDC), depuis le début des années 2000, une fonction grâce à laquelle lui et ses compagnons intercesseurs de la MAP/IP-RDC ont sillonné les différentes provinces de la RDC dans l’ancienne configuration pour bâtir des autels de prière, racheter des terres et des communautés, lui ont fourni des arguments pour écrire le livre « Une nation malade vomit ses habitants ». C’est livre est donc le fruit de sa longue expérience dans la délivrance de la famille et de son environnement et dans l’intercession en faveur de la Nation.
Le Révérend Pasteur Joseph Bansimba est par ailleurs le Premier Vice-Président National du Renouveau Charismatique au Congo (RCC), l’une des confessions religieuses du pays, mais aussi un entrepreneur depuis plus de trois décennies.
Le moment fort de la cérémonie a été le baptême du livre par le Patriarche Samuel Emmanuel Dikaniakina, avec l’eau, symbole de la Parole de Dieu, et l’huile, symbole de la puissance du Saint-Esprit. Il a ordonné à ce livre d’être lu partout au pays par les Congolais pour leur instruction par rapport à la volonté de Dieu concernant leur Nation qui a une destinée prophétique.
Le dernier moment de la cérémonie a été marqué par l’appel aux soutiens (vente promotionnelle du livre) fait par l’Apôtre Christophe Ngandu aux participants en vue de la reproduction de ce livre en un grand nombre d’exemplaires pour permettre aux fils et filles de Dieu ayant le fardeau de la Nation de pouvoir s’en procurer.
Et ils peuvent dans ce sens se procurer ce livre dans les endroits suivants :
1) Avenue Lufu n°2 bis, Quartier Bisengo, Commune de Bandalungwa,
2) Avenue Lado n°42, Quartier Salongo, Commune de Kintambo.
Tout est bien qui finit bien, la cérémonie, dans un strict respect du timing prévu, c’est-à-dire 15h00’ à 18h45’, s’est clôturé même quinze minutes avant.
C’est une course contre la montre pour la SNEL dans le Haut Katanga. Le jeudi 7 novembre 2024, des techniciens ont découvert des anomalies inquiétantes sur des câbles souterrains de moyenne tension, affectant les infrastructures électriques essentielles entre la sous-station de Kasapa et la Prison Centrale. Les habitations construites au-dessus de ces lignes, souvent sans permis et ni respect des zones de servitude, créent des risques importants pour les habitants, qui ignorent la plupart du temps les dangers potentiels de vivre sur ces câbles vieillissants. Face à l’urgence, les équipes de la SNEL se mobilisent pour sécuriser les installations et rétablir un approvisionnement électrique stable dans la région.
Des infrastructures fragilisées et des risques de coupures durables
Ces défauts, ajoutés à l’implantation anarchique de maisons sur des installations souterraines, menacent la stabilité de l’alimentation en électricité dans la région. Jean-Marie Moutombo Ngoy, Directeur régional sud de la SNEL, déplore : «Certaines habitations se sont installées directement sur des câbles essentiels, ce qui crée des perturbations. Ces lignes datent de plus de cinquante ans ; il est impératif de respecter les zones de servitude pour éviter les risques d’accidents et les interruptions de fourniture. »
Vandalisme et vol de cuivre, un obstacle de plus pour la SNEL
En plus de ces défis, la SNEL subit les effets de vols répétés de conducteurs en cuivre, notamment sur la ligne haute tension de 120 kilovolts à Kipushi. Ce sabotage a plongé le quartier Katubavu et une partie de la commune de Kenya dans le noir depuis 2 heures du matin, laissant des milliers de foyers sans électricité. Ce vandalisme, qui cible les infrastructures publiques, compromet gravement les projets de développement en cours dans la région.
Face à ces obstacles, la SNEL appelle à la vigilance et au soutien des autorités pour protéger les infrastructures et assurer la continuité de la fourniture en électricité.
Le réseau routier Kinois connait une détérioration considérable dans son ensemble. Une situation qui est à l’origine de certains cas d’embouteillages dans la capitale Congolaise, laissant ainsi un désarroi dans l’opinion publique s’interrogeant sur la politique publique mise en place par les autorités de ce secteur en vue de trouver des solutions adéquates à ce sujet. La régulation de la circulation en sens unique pendant les heures de pointe ne semble vraiment pas résorber ce phénomène d’embouteillage dans la ville-province de Kinshasa. Constat fatal fait par l’opposant Martin Fayulu dans son compte X ce mardi 12 novembre 2024, en s’attaquant aux autorités congolaises sur la problématique récurrente des embouteillages qui frappent Kinshasa et la route de Matadi.
Le président du parti politique Ecidé a lancé un réquisitoire sévère contre le gouvernement, estimant que les mesures prises par le Vice-Premier Ministre des Transports, Jean-Pierre Bemba, ne font que renforcer les bouchons sur les grandes chaussées de Kinshasa et sur la route Matadi.
« Est-ce que ceux qui dirigent la RDC mesurent vraiment le coût des embouteillages à Kinshasa et sur la route de Matadi? Comment expliquer qu’une distance de 20 km prenne plus de 3 heures en voiture? Quelle productivité reste-t-il à un Kinois? La Constitution empêche-t-elle de résoudre ce problème? La vérité: une équipe d’incompétents et de prédateurs. Peuple congolais, réveille-toi! », a-t-il lancé.
Une pique lancée au pouvoir en place qui entend vouloir modifier ou changer la Constitution afin de permettre, selon lui, à l’Exécutif de réaliser sa vision sans embûche que ce soit.
Par ailleurs, pour faire face à ce phénomène récurrent, l’opposant a proposé une litanie des solutions adaptées, à savoir : la réhabilitation des artères de Kinshasa, l’asphaltage d’avenues supplémentaires, l’installation de feux de circulation aux carrefours, le curage des caniveaux, la discipline des automobilistes et l’élaboration d’un plan d’aménagement urbain complet.
Qualifiant le régime actuel d’incompétent et de prédateur, Martin Fayulu appelle ainsi le peuple congolais à se réveiller et à désigner des dirigeants plus compétents pour résoudre ces problèmes de mobilité qui impactent grandement la productivité des Kinois.
La ville de Goma va bouger au rythme de la 10ème édition du festival Amani, du 15 au 17 novembre 2024. Plus de 30 000 personnes seront réunis autour de la musique, l'art, l'entrepreneuriat et autres.
Beaucoup d'artistes défileront sur la scène devant un grand public venu de tous les coins du monde, entre autres, Ferre Gola, Black M, RJ Kaneira, Dj Spilulu, Voldie Mapenzi, JKM Rambo, Magic Pinokio…
Au cours d'une adresse à la presse ce mardi 12 novembre 2024, Vianney Bisimwa, co-président du festival Amani, a eu l'occasion de présenter les particularités de cette 10ème édition qui se passe sous un angle très particulier avec la guerre injuste imposée à la RDC.
" Avant toute chose, comprenez que nous organisons le festival Amani dans un contexte très particulier et c'est la raison pour laquelle nous le faisons pour apporter une contribution pour la cohésion sociale pour la paix et la detraumatisation mais aussi pour la promotion de l'entrepreneuriat et du vivre ensemble. Nous continuons à avoir une pensée la plus sincère et profonde envers toutes les populations et plus particulièrement les personnes touchées et affectées par la crise actuelle. Nous allons toujours garder cette pensée comme un fil conducteur tout au long de ce festival en se disant que nous le faisons pour pouvoir contribuer à offrir un avenir tant soit peu meilleur à tous.
Deux où trois choses en terme de cette 10ème édition, cette année par rapport aux autres éditions, nous allons avoir plus des sessions thématiques, des panels, des ateliers que nous organisons et nous en avons au total 15 et qui pour la question de la cohésion sociale et de vivre ensemble à l'entrepreneuriat, au journalisme et la manière de produire des projets artistiques seront débattus en long et en large. Des critiques que nous avons eues dans le passé, nous ont permis d'améliorer pour cette nouvelle édition qui s'annonce très palpitante, nous faisons le nécessaire pour joindre l'utile à l'agréable avant d'avoir le temps pour le concert et déjà ce jeudi il y a une session sur la cohésion sociale et du jeudi au dimanche il y a d'autres sessions. La deuxième chose intéressante, nous allons célébrer nos bénévoles et que donc nous aurons une soirée des partenaires et parmi eux, nos 500 bénévoles que nous avons et allons reconnaître leur travail, une façon de le remercier et le primer. Nous remercierons aussi nos partenaires, qui ont été avec nous depuis la première édition et qui sont toujours avec nous ce jour. Et enfin, c'est la 10ème édition et le 10ème anniversaire malgré le report et les difficultés nous voulons que ce festival soit un moment des échanges car chaque édition a des anecdotes, de la mort de Feu Djo Paluku à ceux qui disent ne pas vouloir du festival Amani, des incidents sécuritaires précise’’, a indiqué Vianney Bisimwa.
Présent à cette adresse, Espoir Mwimuka, activiste des droits de l'homme au sein du mouvement citoyen Lucha RDC-Afrique, a indiqué que la lutte du festival Amani est la même que la sienne et que dire non à ce grand rendez-vous culturel est une façon de montrer à la face du monde que le peuple Congolais a peur, ce qui n'est pas normal.
" Dire non à ce grand événement, n'est pas bon mais célébrer la paix à travers cette grande messe fera passer un grand message à la communauté internationale qui fait semblant de tout ce qui se passe dans notre pays. J'invite tout le monde qui sera disponible de se joindre au festival Amani car certaines personnes pensent que malgré la guerre injuste nous imposée par Kagame, il n'y a pas la vie en RDC, cela est faux. Venez au festival pour que le monde sache que le peuple Congolais est intrépide’’, a-t-il lancé.
Dans le cadre de la journée mondiale de l’écrivain africain, qui est célébrée le 7 novembre de chaque année dans le monde entier, l’écrivain Christian Gombo a organisé un grand évènement à la bibliothèque du Centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa pour le bonheur des amoureux de la littérature. Cette activité a mis à l’honneur Clémentine Faïk-Nzuji Madiya et Marie-Eugénie Mpogo, deux écrivaines congolaises dont la renommée dépasse les frontières nationales, grâce à leur plume qui a inspiré plus d’un dans cet art.
A cette occasion, Christian Sheva a rendu un vibrant hommage à l’écrivain congolais, qui a su se réinventer à travers les époques, et qui continue à faire ses preuves dans la littérature mondiale et ce, grâce à son sens élevé de créativité.
‘’En tant que l’un des secrétaires généraux de l’Union des écrivains Congolais (UECO), je viens rendre hommage à deux écrivaines d’exception. Aujourd'hui, le 7 novembre, nous célébrons une occasion précieuse et significative : la Journée de l'Écrivain Africain. C'est un moment pour honorer le travail des écrivains, non seulement sur notre continent, mais particulièrement ici, au Congo, où la créativité littéraire trouve des racines profondes et diversifiées.
L’écrivain congolais n’est pas seulement un créateur de mots, mais un architecte de l'âme. À travers leurs plumes, nos écrivains tissent l'histoire, la culture et les luttes de notre peuple. Ils donnent voix à nos joies, à nos peines et à nos rêves. Leur travail est un miroir qui reflète notre identité collective et un phare qui éclaire notre chemin vers l'avenir.
Il est essentiel de reconnaître la richesse et la diversité de la littérature congolaise. Des poètes aux romanciers, des dramaturges aux essayistes, chaque voix contribue à la mosaïque de notre patrimoine littéraire. Leur engagement à raconter nos histoires, à interroger notre réalité et à imaginer des lendemains meilleurs est une source d'inspiration pour nous tous.
En cette journée, nous devons également réfléchir aux défis auxquels nos écrivains font face. La reconnaissance, le soutien institutionnel et l'accès aux ressources sont cruciaux pour permettre à la littérature de s'épanouir. Nous devons nous mobiliser pour garantir que chaque écrivain congolais puisse exercer son art dans un environnement propice à la créativité.
Je tiens à saluer tous les écrivains congolais ici présents, ainsi que ceux qui ne peuvent pas être avec nous aujourd'hui. Votre travail est précieux et mérite d’être célébré et soutenu. Ensemble, continuons à promouvoir la lecture, à encourager la création littéraire et à défendre la liberté d'expression.
Je vous invite tous à célébrer nos écrivains, à lire leurs œuvres et à partager leurs histoires. Ensemble, faisons en sorte que la voix de la littérature congolaise résonne non seulement sur notre continent, mais à travers le monde,’’ a déclaré l’écrivain Gombo.
Avant d’ajouter : «Nous avons également eu le bonheur de croiser notre doyenne, la poétesse Elisabeth Betty Mweya Tol'Ande, à qui nous sommes éternellement reconnaissants pour ses écrits qui nous ont tant apporté. C'est toujours un privilège de la revoir. Un clin d'œil à tous les membres de Femmes de Lettres Congolaises, FELCO, et surtout à Richard Ali pour son engagement en faveur de notre littérature ».
Tout est bien qui finit bien, cette journée a été clôturée au siège des éditions Miezi, où les écrivains avaient mis à l’honneur l’écrivain Paul Lomami Tchibamba, qui, en partenariat avec le club de lecture de Paul, ont choisi l’œuvre « Ngando », un des romans riches et l’une de premières œuvres littéraires congolaises,
‘’Et avec Ngando nous avons enfin un livre qui retranscrit bien certains récits, fruits de l’oralité dans une langue qui violente « le français », parce que son auteur a une grande maitrise de la langue française. Ce qui n’était pas évident à cette époque-là’’, a expliqué l’écrivain Christian Gombo à la fin de cette soirée.
Enfin, deux structures, en l’occurrence, l'ARSP et la FEC, ont procédé à la signature du procès-verbal de validation du guide sectoriel des activités de la sous-traitance. Cette cérémonie s’est tenue au siège national de la FEC en présence du représentant du ministre de l'Industrie et développement des PME ainsi que de plusieurs opérateurs économiques.
Selon une dépêche de la cellule de communication de l’ARSP, le président de la Fédération des Entreprises du Congo, Robert Malumba Kalombo, estime que la mise sur pied de ce guide sectoriel répond aux exigences d’adaptation des textes légaux et réglementaires aux réalités du terrain.
« Le problème se posait par rapport à l’application de la loi, les opérateurs économiques et l'ARSP s'étaient convenus qu'il fallait qu'on se réunisse en commission mixte paritaire pour chercher un document qui pouvait appuyer les textes légaux de façon à ce que l'application ne pose aucun problème. C'est ainsi que la commission s'était réunie et a travaillé. Nous avons réuni les experts du côté du secteur privé représenté par la FEC et du côté de l’ARSP. Ils ont travaillé pendant plusieurs mois pour donner les détails de façon que l'application soit beaucoup plus claire et ne pose aucun problème, et maintenant, nous parlons le même langage par rapport à tout ce qu'on a fait », a expliqué le président national de la FEC.
De son côté, le Directeur Général de l’ARSP, Miguel Kashal Katemb, a souligné que cet outil essentiel vient optimiser l'application sans faille de la loi sur la sous-traitance.
"Aujourd'hui, tout le monde est éclairé à travers ce guide sectoriel et nous avons défini le champ d'application de chaque secteur en RDC. Tout est dans l'intérêt du bon climat des affaires. C'est ce qui vient d'être fait aujourd'hui, et ceci renforce le lien entre l’ARSP et les opérateurs économiques à travers la FEC”, a renchéri le DG de l’ARSP.
Les experts de la FEC et de l’ARSP ont salué l’aboutissement de ce travail qui vient résoudre un problème majeur lié à l'interprétation des textes juridiques qui réglementent les activités de la sous-traitance dans tous les secteurs confondus de la vie économique nationale.
«On a eu beaucoup de difficultés à un certain moment. Le Dg de l'ARSP avait fait des contrôles en 2023, certains entrepreneurs ne comprenaient pas. Nous avons plusieurs fois reçu la visite de plusieurs entreprises qui sont venues vers nous pour se plaindre. Il a fallu que du côté de l’ARSP et de la FEC qu'on puisse tenir pour que ce guide sectoriel soit mis en place. La prochaine étape sera la revisitation de la loi sur la sous-traitance et la loi sur l'entrepreneuriat congolais, quand on aura mis cette dernière en place, en ce moment, on aura une loi qui va permettre aux entrepreneurs congolais d'avoir des marchés auprès des grandes entreprises minières, brassicole, etc.”, a déclaré Bruno Mononge, administrateur Délégué de la FEC.
Les guides sectoriels ont été conçus dans une démarche de clarification, de résolution des difficultés d'interprétation qui se posaient secteur par secteur, en vue d’élucider la conformité de l'application de la loi sur la sous-traitance.
La Société Nationale d’Electricité (SNEL SA) est sur le terrain pour assurer une amélioration significative de la desserte électrique dans plusieurs quartiers de Kinshasa. Ce lundi 11 novembre, dans le cadre de son programme d’élimination des poches noires, la SNEL SA s’attaque au remplacement de transformateurs défectueux dans des cabines stratégiques de la capitale.
Les opérations de manutention et de placement de nouveaux transformateurs ont débuté dans les quartiers ciblés : les cabines Basilunda et Luyeye dans le quartier Camp Luka, dans la commune de Kintambo, ainsi que la cabine Mombele 3 dans la commune de Limete. Ces remplacements sont cruciaux pour garantir un réseau plus stable et fiable dans ces zones densément peuplées où les pannes électriques fréquentes affectaient le quotidien des habitants.
L’intervention à la cabine Mombele 3, située dans le quartier Mombele de la commune de Limete, marque une étape importante dans la volonté de la SNEL SA de renforcer la qualité de service. Le transformateur avarié y sera remplacé par un modèle performant, qui devrait permettre une distribution d’électricité plus continue, en particulier pour les résidents de Limete qui ont exprimé de vives attentes quant à cette amélioration.
En s’attaquant aux « poches noires » de Kinshasa, la SNEL SA témoigne de son engagement à offrir un accès stable à l’énergie pour tous les Kinois. Cette série d’actions marque une avancée majeure vers la modernisation du réseau électrique de la capitale, un enjeu essentiel à l’approche des fêtes de fin d’année.
Enfin, deux structures, en l’occurrence, l'ARSP et la FEC, ont procédé à la signature du procès-verbal de validation du guide sectoriel des activités de la sous-traitance. Cette cérémonie s’est tenue au siège national de la FEC en présence du représentant du ministre de l'Industrie et développement des PME ainsi que de plusieurs opérateurs économiques.
Selon une dépêche de la cellule de communication de l’ARSP, le président de la Fédération des Entreprises du Congo, Robert Malumba Kalombo, estime que la mise sur pied de ce guide sectoriel répond aux exigences d’adaptation des textes légaux et réglementaires aux réalités du terrain.
« Le problème se posait par rapport à l’application de la loi, les opérateurs économiques et l'ARSP s'étaient convenus qu'il fallait qu'on se réunisse en commission mixte paritaire pour chercher un document qui pouvait appuyer les textes légaux de façon à ce que l'application ne pose aucun problème. C'est ainsi que la commission s'était réunie et a travaillé. Nous avons réuni les experts du côté du secteur privé représenté par la FEC et du côté de l’ARSP. Ils ont travaillé pendant plusieurs mois pour donner les détails de façon que l'application soit beaucoup plus claire et ne pose aucun problème, et maintenant, nous parlons le même langage par rapport à tout ce qu'on a fait », a expliqué le président national de la FEC.
De son côté, le Directeur Général de l’ARSP, Miguel Kashal Katemb, a souligné que cet outil essentiel vient optimiser l'application sans faille de la loi sur la sous-traitance.
"Aujourd'hui, tout le monde est éclairé à travers ce guide sectoriel et nous avons défini le champ d'application de chaque secteur en RDC. Tout est dans l'intérêt du bon climat des affaires. C'est ce qui vient d'être fait aujourd'hui, et ceci renforce le lien entre l’ARSP et les opérateurs économiques à travers la FEC”, a renchéri le DG de l’ARSP.
Les experts de la FEC et de l’ARSP ont salué l’aboutissement de ce travail qui vient résoudre un problème majeur lié à l'interprétation des textes juridiques qui réglementent les activités de la sous-traitance dans tous les secteurs confondus de la vie économique nationale.
«On a eu beaucoup de difficultés à un certain moment. Le Dg de l'ARSP avait fait des contrôles en 2023, certains entrepreneurs ne comprenaient pas. Nous avons plusieurs fois reçu la visite de plusieurs entreprises qui sont venues vers nous pour se plaindre. Il a fallu que du côté de l’ARSP et de la FEC qu'on puisse tenir pour que ce guide sectoriel soit mis en place. La prochaine étape sera la revisitation de la loi sur la sous-traitance et la loi sur l'entrepreneuriat congolais, quand on aura mis cette dernière en place, en ce moment, on aura une loi qui va permettre aux entrepreneurs congolais d'avoir des marchés auprès des grandes entreprises minières, brassicole, etc.”, a déclaré Bruno Mononge, administrateur Délégué de la FEC.
Les guides sectoriels ont été conçus dans une démarche de clarification, de résolution des difficultés d'interprétation qui se posaient secteur par secteur, en vue d’élucider la conformité de l'application de la loi sur la sous-traitance.
La Société Nationale d’Électricité (SNEL SA) met les bouchées doubles pour un service de qualité à ses clients en cette fin d’année qui s’annonce. C’est cette période qui captive le plus ses abonnés. Des efforts non de moindres sont fournis pour assurer une alimentation en électricité continue et fiable aux Congolais.
Soucieuse d’offrir un meilleur service à la population, la SNEL SA a initié plusieurs actions concrètes pour garantir que les célébrations de cette période festive se déroulent sans désagréments liés aux coupures d’électricité. A titre illustratif, samedi 9 novembre dernier, des équipes techniques de la SNEL SA ont posé un nouveau câble dans le cadre de l’assainissement du F32 de la sous-station Ndolo.
Ce projet d’envergure consiste à renforcer l’alimentation électrique dans le tronçon compris entre les cabines Onatra Gama et Progrès. Ces travaux visent non seulement à moderniser le réseau, mais aussi à réduire les risques de délestage, en améliorant la fiabilité du système pour répondre aux besoins croissants des utilisateurs.
Dans les quartiers de Ngaliema
Tout est fait pour répondre aux attentes de divers quartiers en matière de desserte en électricité par la SNEL. Pour ce, elle a entrepris des actions significatives dans plusieurs quartiers de la commune de Ngaliema, dans le cadre de son programme d’amélioration de la desserte en électricité. Elle a notamment procédé à l’augmentation de la puissance des transformateurs dans les cabines de distribution publiques en vue de répondre aux besoins croissants des habitants tout en réduisant les risques de délestage.
Voici les interventions spécifiques réalisées :
Quartier Ma Campagne : La cabine « Place Commerciale Ma Campagne » a vu sa puissance passer de 830 kVA à 1260 kVA, grâce à l’installation de deux transformateurs de 630 kVA chacun.
Quartier Pigeon : À la cabine « Marie Antoinette », la puissance installée a été doublée, passant de 315 kVA à 630 kVA.
Quartier Pigeon : La cabine « Anne Marie » a également bénéficié d’un renforcement, avec une puissance qui est passée de 630 kVA à 945 kVA.
Ces augmentations de puissance installée dans les cabines de distribution ont permis de réduire de façon notable les cas de délestage en basse tension dans les quartiers concernés. Grâce à ces actions de modernisation et de renforcement du réseau électrique, la SNEL SA réaffirme son engagement à fournir un service de qualité et à accompagner le quotidien de chaque Congolais, en garantissant un accès fiable à l’électricité pour célébrer les fêtes de fin d’année en toute tranquillité.
Les activités du ‘’Programme d’investissement pour la forêt et la restauration des savanes’’ (PIFORES), un des programmes du gouvernement congolais, viennent de démarrer dans la province du Kwilu dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo (RDC). Félicien Kiway, Gouverneur and intérim de la province précitée, a officiellement lancé ces activités ce vendredi, 08 novembre 2024 à Kikwit, ville économico-politique de cette province, précisément à l’Hôtel Marinele, dans la commune de Lukolela.
Cérémonie, haute en couleurs, en présence de plusieurs personnalités dont les ministres du gouvernement provincial, quelques membres du conseil provincial de sécurité, le coordonnateur provincial de l’Environnement, les administrateurs de cinq territoires que composent le Kwilu, du maire de la ville de Kikwit, des structures de la société civile intervenant dans le domaine de l’Environnement, des chefs coutumiers, la presse ainsi que d’autres invités de marque.
« C’est pour moi un honneur de prendre la parole, ce jour, devant votre auguste assemblé pour appuyer, au niveau de la province du Kwilu, le lancement du projet qui a été porté sur le fond à Kinshasa le 14 octobre 2024 par son excellence madame la Ministre d’Etat, Ministre de l’Environnement et Développement Durable Eve Bazaïba. Il s’agit du Programme d’investissement pour la forêt et la restauration des savanes, PIFORES en sigle. D’un montant de 300 millions de dollars américains sur financement de la Banque mondiale, le projet couvre sept provinces parmi lesquelles la province du Kwilu pour une durée de sept ans. En effet, pas plus tard qu’exactement deux ans, la ville de Kikwit avait abrité un atelier avec des parties prenantes dans le cadre de la préparation de ce programme », a déclaré Clément Vangu, Coordonnateur National de l’Unité de Coordination du Projet susmentionné. Vangu a salué le bâtiment mis à la disposition du PIFORES pour son fonctionnement par le gouvernement provincial.
La note d’informations du PIFORES à notre possession renseigne que ce programme s’inscrit dans le cadre du partenariat pays de la Banque mondiale 2022 – 2026 et à une durée de sept ans. Outre le Kwilu, enchaine le même document, ce programme sera aussi exécuté dans les provinces ci-après : Kinshasa, Kongo central, Lomami, Kasaï, Kaaï central et Kasaï oriental.
« L’objectif est d’améliorer la gestion des paysages forestiers et de renforcer les moyens de subsistance des communautés dans les zones sélectionnées par le projet. Le PIFORES a cinq composantes à savoir : l’amélioration de la planification de l’utilisation des terres et de la gouvernance pour la gestion des ressources naturelles des zones ciblées ; le développement des chaines de valeur agroforestières pour la gestion durable des paysages et l’amélioration des moyens de subsistance ; le développement d’une haine de valeur durable pour l’énergie et la cuisson efficace ; les approches améliorées et innovantes de la mesure de la notification et de la vérification ainsi que le financement climatique basé sur les résultats ; la mise en œuvre , le suivi et évaluation du projet », élucide la note d’informations.
Quant à lui, Alex Yenge, Spécialiste en environnement, a indiqué, dans son intervention que le PIFORES devra atteindre sept plans provinciaux d’aménagement du territoire ; 36 plans locaux d’aménagement du territoire ; 910 plans simple d’aménagement du territoire ; 910 comités locaux de développement ; 120.000 hectares de plantations agro-forestières ; 270.000 ha de savanes mises en défens ; 250.000 ha des forêts communautaires ; 500 fermiers appuyés ; 1400 kilomètres de routes des dessertes réhabilitées ; 80 ponts construits en béton armé etc.
Avant de lancer officiellement les activités du PIFORES, le gouverneur ad intérim a salué la présence des délégués qui sont venus de différents coins de la province pour participer à cette cérémonie. Le Gouverneur a reconnu que la province du Kwilu est aussi contrôlée par les méfaits du changement climatique, la dégradation de l’environnement occasionnant ainsi la perte de la biodiversité, la reprise tardive des pluies entrainant la baisse de la production agricole, la désertification au niveau de certains territoires ainsi de suite.
« Nous sommes conscients de cette situation qui nous menace et menace la vie de nos populations. La lutte contre les changements climatiques occupe une place de choix dans le programme du gouvernement provincial. C’est à ce titre que nous collaborons avec le gouvernement central pour trouver des solutions globales et idoines. Le Projet d’investissement pour la forêt et la restauration des savanes est le fruit du partenariat entre la République démocratique du Congo et la Banque mondiale », a déclaré le Gouverneur.
Il a ardemment invité toutes les parties prenantes à n’aménager aucun effort pour accompagner ce projet en vue d’atteindre totalement ses objectifs dans la province du Kwilu.
Les observateurs avertis estiment que si ce projet se réalise réellement, ce sera un ouf de soulagement pour la province du Kwilu ainsi que d’autres coins ciblés de la République.
L’ampleur du problème des déchets humains à Kinshasa est immense et a des conséquences néfastes sur la santé, ainsi que sur l’environnement. Résoudre un tel problème exige de travailler avec les Experts et les Ongd qui développent des solutions idoines, pour l’accès à des systèmes d'assainissement adéquats afin d’adapter les anciens systèmes existants à un monde qui change rapidement. L’Ir. Paul Otepa Tshumbe, président de l’Ongd ENVIRONNEMENT PROPICE ENVIPRO, en sigle propose des solutions innovantes en matière d’assainissement dans son projet : ‘’ Réfléchir globalement et Agir localement’’. Ce projet est une arme fatale de lutte non seulement contre l’insalubrité mais également considérée comme clé pour l’assainissement de la ville de Kinshasa par la réduction de production des déchets de toutes catégorie. Ce Projet fournit des alternatives adéquates et efficaces en matière des déchets. Car Envipro vise l’amélioration des conditions de vie de la population par l’assainissement de l’environnement immédiat. « Je pense qu’il est important d’avoir des solutions adaptées à cette problématique», déclare Ir. Paul Otepa.ENVIPRO a des propositions à ajouter aux efforts déjà consenti dans le cadre du projet ‘’Kin Ezo Bonga’’ du Gouverneur de la Ville province de Kinshasa. Elle se dit prête à soutenir l’Hôtel de ville de Kinshasa dans une campagne de réinstauration du comportement éco-citoyen auprès de Kinois. Avec son expertise avérée dans ce domaine, ENVIPRO est prête à servir en consultance, en Maître d’ouvrage en expert conseiller pour contribuer aux efforts de Kin Ezo Bonga. ENVIPRO a dans son escarcelle des propositions à soumettre à l’Autorité provinciale de Kinshasa quant à ce.
Faisant un tour d’horizon de la situation de l’assainissement de l’insalubrité et de l’environnement dans la ville de Kinshasa, le président de l’Ondg Envipro, Ir. Paul Otepa explique que la question qui touche la gestion de déchets urbains et par extension la planification et la gestion de l’environnement urbain, comptent parmi les plus complexes problèmes auxquelles doivent répondre les Experts de l’environnement et l’Autorité politique en raison de leur effet sur la santé humaine et le développement durable.
Aujourd’hui les différentes communes de la ville Kinshasa font parties des espaces dans lesquels la problématique de la gestion de l’environnement est pertinente. Les atteintes à l’environnement sont généralisées et croissantes. La collecte des ordures ménagères et l’élimination des eaux usées constituent l’une des plus grandes difficultés que rencontrent les autorités provinciales et municipales en font partie intégrante. Dressant ce tableau peu reluisant de la salubrité dans la capitale de la RDC Envipro estime que ces difficultés se traduisent par une accumulation de déchets ménagers, l’érection de nombreux dépôts sauvages et la stagnation des eaux usées et pluviales dans plusieurs quartiers de la ville de Kinshasa.
Selon les estimations, le taux de ramassage des ordures atteint rarement 30% et épingle à ce sujet que la faiblesse de taux de couverture de ce service important a pour conséquence un environnement insalubre, malsain caractérisé par la pollution de l’air, du sol et la dégradation du cadre de vie des populations Kinoises.
Le rythme de croissance, estiment les Experts de ENVIPRO engendre des besoins dans tous les domaines à tel point que la gestion des déchets a toutes les chances de passer après d’autres priorités. C’est dans ce contexte que l’Ongd ‘’Environnement Propice’’ en sigle ENVIPRO constate que toutes les communes de Kinshasa font face à l’épineuse problématique pertinente de la gestion de l’environnement.
Selon l’Ingénieur Paul Otepa Otshumbe, président de Envipro :‘’ la collecte des ordures ménagères constituent l’une des plus grandes difficultés que rencontre l’Hôtel de ville de Kinshasa. Ces difficultés se traduisent par une accumulation des ordures ménagères, la création de nombreux dépôts sauvages et la stagnation des eaux usées’’.
Malgré les efforts du pouvoir provincial, ajoute-t-il, les infrastructures et les équipements en matière d’assainissement restent encore insuffisants car n’ayant pas suivi l’accroissement de la population.
La gestion des déchets et des ordures ménagères un problème crucial
La gestion des déchets en général et des ordures ménagères en particulier représente un problème majeur crucial.
ENVIPRO qui soutient les efforts que fournit le gouverneur actuel de la ville de Kinshasa estime qu’il ne parviendra toujours pas à éradiquer le phénomène de l’insalubrité à cause de plusieurs paramètres dont l’un est l’incivisme de la population kinoise qui jette des ordures dans des endroits non appropriés notamment dans les rues, les caniveaux et le long de court d’eau.
‘’Ainsi l’on assiste de plus en plus à la création de décharges sauvages et incontrôlées dans la ville dont les ordures caractérisées par leur densité de masse volumique ; les taux d’humidité et leur apport en carbone qui constitue une véritable source des maladies et foyer d’infection.
En réaction à cette situation, l‘ONGD ENVIPRO s’inscrit dans la politique de KIN EZO BONGA qui consiste à avoir la ville de Kinshasa propre et un environnement propice. ENVIPRO se dit prêt à contribuer par la mise en œuvre de son expertise dans les domaines spécifiques de la sensibilisation des populations et de la pré-collecte des ordures ménagères.
Lutter contre l’insalubrité mentale
Envipro estime que l’insalubrité à Kinshasa est d’abord mentale. Dans son projet ‘’Réfléchir globalement et Agir localement’’, il est fait mention de la promotion de réinstauration de comportement éco-citoyen qui doit se faire à grand échelle. C’est enfin de parvenir à pallier sur les expertises qui n’ont pas produits des résultats escomptés sur l’assainissement de l’environnement et de l’insalubrité.
‘’ Les mêmes causes produisant les mêmes effets’’, dit-on, Envipro se présente comme une solution innovante. En se basant sur le Projet ‘’Kin ezo bonga’’, elle pense que ce projet de Bumba, gouverneur de la ville de Kinshasa, que Envipro a accueilli avec satisfaction nécessite une réflexion collective, des efforts collectifs de toutes les expertises afin d’accompagner le gouverneur à atteindre ses objectifs.
C’est dans cette optique que Envipro explique que la pollution causée par les eaux usées s’apparente à une dangereuse hydre à plusieurs têtes, elle a une pléthore de solutions technologiques et d’innovations déjà mises en place pour contrer la crise. La bonne nouvelle qu’elle donne est que chaque solution locale qui fonctionne et qui peut être appliquée ailleurs, offre l’occasion de commencer à réparer les différentes atteintes à la salubrité environnementale à Kinshasa.
Actuellement, Envipro entreprend des efforts non seulement pour lutter contre l’insalubrité et offrir un environnement propice aux kinois mais surtout de mettre en place un système d’assainissement adéquat et durable mais, aussi, pour récupérer et réutiliser les précieux nutriments que l’on évacue quotidiennement comme déchets. En effet, ENVIPRO est une structure bien identifiée au ministère de l’Environnement par l’Arrêté ministériel N°010/CAB/MIN/ECN-T/015/JEB/11 du 7/02/2011. Son siège est situé sur Avenue Ilebo N°5 quartier Ndanu dans la commune de Limete. Créée depuis le 30 octobre 2012 otepa 4@ gmail.com
Malgré l’ampleur de la tâche, ENVIPRO est optimiste et pense qu’avec son appui les choses devront évoluer dans la bonne direction car les connaissances augmentent et des innovations sont développées. Car, la clé du progrès futur réside dans l’intensification des conversations et des collaborations entre les secteurs public et privé et les autres parties prenantes, qui doivent reconnaître les impacts sur la santé humaine et l’environnement, et coopérer pour trouver des solutions abordables et applicables à grande échelle et durables. Aussi, « Le problème ne sera jamais résolu si nous ne commençons pas à parler de ces choses qui nous déplaisent. C’est peut-être un peu embarrassant », pense Envipro et conclut : « si nous n’en parlons pas, nous ne pourrons pas résoudre le problème »
Les installations de la SNEL de la FUNA ne sont jamais épargnées quand il s’agit des pluies diluviennes à Kinshasa. Les caniveaux bouchés occasionnent de graves désagréments. C’était encore le cas le samedi 9 novembre dernier. Après des travaux intenses de nettoyage et de séchage, le poste de distribution électrique de Funa est de nouveau opérationnel.
Les équipes techniques de la Société Nationale d’Électricité (SNEL) ont œuvré sans relâche pour permettre une remise en service rapide et sécurisée de ce poste essentiel. Après un arrêt causé par les intempéries, le poste haute tension de Funa a été mis hors service samedi soir, à 19h30, suite à la violente pluie qui s’est abattue sur Kinshasa. Cette décision de mise hors tension visait à protéger les équipements électromécaniques de la montée des eaux, qui avait envahi l’enceinte de la sous-station.
La situation a rappelé le même incident survenu trois semaines plus tôt, lors des intempéries du 19 octobre.
La remise en état du poste de Funa n’aurait pas été possible sans l’engagement sans faille des agents de la SNEL. Grâce à leurs efforts, le nettoyage complet des cellules de 20 kV et les opérations de séchage de la sous-station se sont achevés avec succès, permettant un retour progressif de l’électricité dans les communes de Gombe, Kinshasa, Barumbu, Lingwala, Kalamu, Kasa-Vubu, Ngiri-Ngiri, Bumbu, Makala, Limete, Lemba et Masina, soit près de 40 % des abonnés SNEL affectés par la panne.
Ce rétablissement rapide de la distribution électrique témoigne de l’efficacité et de la détermination des agents de la SNEL, qui ont œuvré pour réduire la durée de cette coupure.
Avec la remise en service de ce poste stratégique, les Kinois peuvent désormais compter sur une alimentation électrique stabilisée et sur les efforts de la SNEL pour maintenir les infrastructures en bon état malgré les aléas climatiques.
La Pros.
COMMUNIQUE DE LA SNEL
LA SOCIETE NATIONALE D'ELECTRICITE SNEL SA, DEPARTEMENT DE DISTRIBUTION DE KINSHASA DDK, INFORME SON AIMABLE CLIENTELE DE CERTAINS QUARTIERS DES COMMUNES DE GOMBE, KINSHASA, BARUMBU, LINGWALA, KALAMU, KASA- VUBU, NGIRI - NGIRI, BUMBU, MAKALA, LIMETE, LEMBA ET MASINA QU'IL A ETE PROCEDE DEPUIS 19 HEURES 30 MINUTES AU RETRAIT D'EXPLOITATION DU POSTE HAUTE TENSION DE FUNA SUITE A UNE MONTEE DES EAUX OBSERVEE DANS L' ENCEINTE DE CES INSTALLATIONS DE DISTRIBUTION DE L'ENERGIE ELECTRIQUE PENDANT LA PLUIE QUI S'EST ABATTUE DANS LA VILLE DE KINSHASA CE SAMEDI 09 NOVEMBRE 2024.
DE CE FAIT, LA FOURNITURE DE L'ENERGIE ELECTRIQUE EST MOMENTANEMENT INTERROMPUE.
SNEL RASSURE LES CLIENTS CONCERNES QUE SES EQUIPES D'INTERVENTION SONT A PIED D'OEUVRE POUR RETABLIR L'ELECTRICITE DANS UN MEILLEUR DELAI ET LEUR PRESENTE SES EXCUSES POUR CE DESAGREMENT INDEPENDANT DE SA BONNE VOLONTE.