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Banditisme urbain dans la ville de Kinshasa, RDC : la PNC présente 245 kuluna au VPM Jacquemain Shabani

 Au total, 245 bandits urbains, appelés kuluna viennent d'être arrêtés le 27 février par la Police Nationale Congolaise (PNC) à travers les opérations ciblées de bouclage, sous la supervision du Commandant de la ville-province de Kinshasa, Blaise Kilimba Limba, en collaboration avec la 14ème région militaire, unité d'appui aux opérations, et sous l'initiative du Vice-premier ministre, Ministre de l'Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières, Jacquemain Shabani.

Ces présumés kuluna, appréhendés par la PNC dans la nuit de mercredi à jeudi, ont été présentés au patron de la sécurité et de la territoriale, avant leur transfert dans quelques cachots de la police, en attendant la fixation des audiences foraines par les cours et tribunaux, afin de leur permettre de présenter leurs moyens de défense, ce qui va déterminer leur inculpation ou leur acquittement.

Signalons que, sur le lot de 2 600 arrêtés dans la première phase de l'opération Ndobo, plus de 600 ont déjà été condamnés, et parmi eux 300 ont été transférés à la prison de Luzumu, dans la province du Kongo Central.

Le patron de la territoriale, en collaboration avec les services de sécurité de la capitale, se mobilise pour résorber les cas d’insécurité qui prévalent dans la ville de Kinshasa afin d’assurer la quiétude dans les familles kinoises surtout en cette période de grave crise sécuritaire qui menace la partie est du pays.

César Nkangulu

Banditisme urbain dans la ville de Kinshasa, RDC : la PNC présente 245 kuluna au VPM Jacquemain Shabani
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Ancien chanteur de Wenge BCBG : Nono Fudji signe la sortie de son premier album solo

Les chansons de l’album « Match amical » du chanteur Fudji Nono Kikara dit Nono Fudji de la République Démocratique du Congo ont été présentées aux melomanes confirmant sa sortie sur les plateformes de téléchargement numérique le 28 février 2025, a-t-on appris de l'artiste. « Voici la tracklist de mon album Match amical disponible le 28 février 2025. LE clip Polo ya Ma Ngalula est déjà en ligne dès ce vendredi à partir de 18h30 sur ma chaine youtube », annonce cet artiste musicien auteur compositeur et interprète.

Et d’ajouter qu’il y aura qu’un seul featuring avec la chanteuse gospel Nathalie Makoma dans le titre « Malade ya beauté ». Cette collaboration, a-t-il dit, donnera une autre couleur à l’album de cet ancien musicien du groupe Wenge Musica BCBG.

Après avoir passé 18 ans au sein du groupe Wenge Musica BCBG de l’artiste congolais Jean Bedel Tshituka Mpiana sur JB Mpiana ponctué par le titre à succès « Mombamba », Nono Fudji signera son premier album solo contenant 9 chansons dont Marie de Magdala, Wumela, Etindikiti, Ko toka, Neuro Cardio, etc.

Il sied de noter que Fudji Nono a débuté sa carrière musicale avec ses collègues de l’école Kimbanguiste dans la commune de Matete à l’ouest de la ville de Kinshasa avant de rejoindre l’orchestre Wenge Musica BCBG en 2002. Quelques mois après son départ de ce groupe, il va sortir deux singles en 2021 Voisin ya cimetière et match amical y compris Kotuka en 2022.

JD

Ancien chanteur de Wenge BCBG : Nono Fudji signe la sortie de son premier album solo
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Jules Alingete: ‘‘11.000 sociétés déclarées en faillite fonctionnent toujours’’

  Jules Alingete, dans un rapport d'enquête, fait remarquer que 11.000 sociétés ayant déclaré faillite, sont en réalité opérationnelles avec des comptes bancaires bien fournis. C’est le résultat d’une mission d’enquête menée par l’Inspecteur Général des Finances (IGF) dont les conclusions ont été transmises à la Direction Générale des Impôts (DGI) mercredi 26 février 2025. L’IGF note aussi qu’au moins 935 entreprises actives sur le plan bancaire fonctionnent sans numéro d’impôt et échappent totalement à l’administration fiscale.

Selon cette institution, ce coup de filet pourrait entrainer une augmentation de près 30% des recettes fiscales attendues au courant de l’année 2025 en République démocratique du Congo.

Elle souligne que ces entreprises recensées avec leurs coordonnées mises à jour seront réintégrées dans le circuit fiscal. L’IGF rassure aussi que ces structures qui opèrent en toute opacité devront désormais être soumises aux obligations fiscales en vigueur.

Remettant le rapport de cette enquête au Directeur Général de la DGI, Jules Alingete, s’est félicité du travail abattu par son administration. Il a promis de demeurer vigilant pour dénicher toutes les entreprises qui s’obstinent à voler l’Etat congolais en refusant de payer les impôts et taxes alors qu’elles se font des bénéfices.

“Nous avons trouvé 935 opérateurs économiques qui ont des comptes bancaires qui fonctionnent régulièrement mais qui échappent à la prise en charge fiscale. Parmi les opérateurs économiques déclarés introuvables, nous avons retrouvé 11.000 opérateurs que nous avons localisés avec des adresses, des comptes bancaires. Nous avons donc donné les résultats que l’administration fiscale avait confié à l’IGF”, a-t-il déclaré.

Prenant la parole, le Directeur Général de la DGI, Barnabé Mwakadi a remercié l’IGF pour le travail accompli au bénéfice de l’Etat congolais. Il a rassuré que cette enquête permettra à coup sûr à l’administration fiscale d’accroître ses recettes fiscales.

“L’Inspecteur Général de l’IGF nous a donnés les résultats qui sont vraiment probants. Avec ces résultats, la DGI verra son répertoire élargi avec une conséquence, la maximisation optimale des recettes. Je tiens à dire grandement merci à l’inspecteur Général des finances chef de service pour ce travail important qu’il a opéré pour la DGI”, a-t-il conclu.

Soulignons qu’à cette forme de fraude fiscale s’ajoutent d’autres qui sont plus fréquentes en RDC parmi lesquelles les fausses déclarations fiscales.

Jackson Mutamba

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Energie : La SNEL rétablit l’électricité à Mweka après plus de 11 ans d’obscurité

Engagée dans l’amélioration de la desserte électrique à travers le pays, la Société Nationale d’Électricité (SNEL) vient de réussir un exploit majeur : la remise en exploitation du groupe thermique Volvo 500 kVa de la centrale de Mweka. Après une interruption de 4 160 jours, soit 11 ans, 6 mois et 20 jours, la ville de Mweka, plongée dans l’obscurité depuis le 1er octobre 2013, retrouve enfin la lumière.

Une relance stratégique sous le leadership de la Direction générale de la SNEL

Grâce à la vision stratégique de la Direction générale de la SNEL et à l’engagement des équipes techniques, le groupe thermique a été remis en service le 20 février 2025 à 19h00, permettant un approvisionnement de 3 heures par jour. Ce redémarrage illustre la volonté de la SNEL de garantir un accès fiable à l’électricité aux populations longtemps privées de courant.

Des avancées notables à Mbuji-Mayi

En parallèle, la ville de Mbuji-Mayi bénéficie également des efforts de la SNEL pour renforcer son réseau électrique. Depuis le 26 décembre 2024, la ville était privée de sa centrale thermique de secours, un dispositif essentiel pour pallier les éventuelles indisponibilités de la centrale hydroélectrique de Tubi Tubidi. Sans cette alternative, Mbuji-Mayi risquait d’être plongée dans le noir total en cas d’incident majeur.

Sous l’impulsion de la Direction générale de la SNEL, un groupe thermique de 1 250 kVA a été remis en exploitation le 19 février 2025, redonnant espoir aux habitants. Par ailleurs, les travaux pour la remise en service d’un second groupe thermique de 1 250 kVA sont en cours et devraient aboutir prochainement.

Une dynamique de redressement pour l’avenir

Avec ces interventions stratégiques, la SNEL confirme son engagement à renforcer l’électrification du pays et à améliorer durablement la qualité du service public d’électricité. Après plus d’une décennie d’attente à Mweka et plusieurs semaines de perturbations à Mbuji-Mayi, ces avancées marquent un tournant décisif dans la quête d’une énergie plus fiable et accessible pour tous.

La Pros./Sphynxrdc.com

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Marché des musiques gospels : Déborah Lukalu refait surface avec le titre ‘‘Consolé’’

La chanson « Consolé » de la chanteuse gospel Déborah Lukalu, de la République démocratique du Congo (RDC), a été lancée le 14 février sur toutes les plateformes de téléchargement, selon une vidéo de l'artiste visionnée samedi par l'ACP.

« Célébrons la consolation de Dieu au rythme de cette belle mélodie, +consolé'+ qui est désormais disponible sur toutes les plateformes de téléchargement '', a déclaré la chanteuse. Dans la même vidéo, la chanteuse a précisé que ce cantique est dédié à tous les couples consolés par Jésus-Christ de Nazareth. « Je sais que la marche est longue, mais moi je compte sur toi. Je n'ai plus raison d’avoir peur car Jésus tu es mon bouclier. Mes jours de pleurs sont passés, et toutes mes blessures tu as panser . Tu as su redonner le sourire à un cœur qui n’avait plus d’espoir », a-t-elle développé.

 Bien connue pour sa célèbre chanson « We testify », Déborah Lukalu est native de Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga, (sud-est de la République démocratique du Congo). C’est à l’âge de neuf ans qu’elle émigre pour l’Afrique du Sud avec ses parents, avant de débuter dans le Gospel à 14 ans. En 2015, elle se signale avec la chanson « Law Breaker », puis l’année suivante, elle enregistre son premier album « Overflow », suivi, deux ans plus tard, d’un deuxième, «Call Me Favor ». En 2021, elle connaît un succès international avec les chansons  « Pamoja » et « Je sais », avant de publier, en novembre 2022 avec son époux Cédric Kaseba, un ouvrage, « Surmonter la tempête en couple », qu’elle a décrit comme « un livre ancré de cœur, d’âme et de l’Esprit de Dieu pour tout le monde et toute personne traversant une certaine tempête (pas seulement les couples mariés) ». Le calendrier de production de la chantre Déborah Lukalu prévoit plusieurs spectacles musicaux en ce début d'année dont l'un est programmé le 1er juin dans la ville de Québec, au Canada, puis un autre, le 22 juin 2025 à Abidjan, en Côte d'Ivoire.

JD

 

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Artiste et expert culturel basé en France   : Didi Kembwarss parle des avantages et désavantages de l’intelligence artificielle dans la musique

(L’artiste musicien congolais Didi Kembwarss)

Les avantages et désavantages de l’intelligence artificielle (IA) dans la création des mélodies et notes musicales ainsi que dans la gestion des droits d’auteur ont été évoqués  par un expert culturel congolais basé en France lors d’une interview accordée à la presse

«L’intelligence artificielle est une valeur augmentée dans les domaines d’innovation numérique qui peut générer des nouvelles mélodies, harmonies et arrangements musicaux  à l’avantage de l’artiste. L’IA offre des outils aux musiciens pour explorer des idées créatives, qu’ils n’auraient peut-être pas envisagées», a déclaré Didi Kembwarss, musicien - expert culturel.

Et d’ajouter : « Grâce à l’analyse des préférences des auditeurs, l’intelligence artificielle peut créer des morceaux qui correspondent aux goûts des auditeurs ciblés. L’IA peut analyser des grandes quantités des données pour identifier les tendances musicales, aidant ainsi les artistes et producteurs à rester connectés sur ce qui est  populaire et qui marche ». 

Pour cet expert culturel, on ne peut pas mettre en exergue les avantages que procure l’IA sans évoquer ses désavantages dans le travail artistique.

« Un travail réalisé sur base de l’intelligence artificielle manque d’authenticité et d’émotion. Vous pouvez  y retrouver un risque d’uniformité musicale, si pas de  tomber dans un plagiat involontaire. Cet outil numérique permet même aux personnes sans formation musicale de faire de la musique », a-t-il fustigé.

Et de renchérir : « Une pratique continue de l’IA peut amener certains artistes à négliger le développement de leurs propres compétences musicales et créatives. L’effet de trop recourir à l’IA risque de limiter l’inspiration naturelle de l’artiste ».

L’originalité des œuvres pose problème dans l’IA

Selon Didi Kembwarss, l’artiste est petit dieu qui appelle à l’existence quelque-chose qui n'existait pas avant. Car la loi de la création exige une originalité dans toute œuvre.

« Une œuvre est une expression artistique d’un créateur à travers laquelle il transmet quelque chose (message) inspirées dans la société.  Le vrai talent ne s’exprime pas dans l’IA. D’ailleurs, il est difficile d’imposer son identité musicale avec l’IA. C’est ainsi qu’on va comprendre qui est réellement musicien et qui ne l’est pas. Cette question se posera toujours.  ».

Étant membre de la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) en France, le chanteur Didi Kembwarss a soulevé également la concomitance  de l’IA dans la gestion des droits d’auteur dans le domaine musical.

« La question des droits d’auteur intervient lorsqu'une IA crée une œuvre qui s'inspire fortement d'une œuvre existante déjà protégée. Cela peut causer de sérieux problèmes de droits. Déjà la Sacem en fait un dossier lors du Forum qui vient de se tenir à Paris », a-t-il dit.  

Et d’ajouter : « Les artistes et les détenteurs de droits pourraient se trouver dans une situation où leur travail est utilisé sans autorisation. Car, l'IA peut entraver les droits d'auteur en soulevant des questions complexes sur la propriété, l’utilisation et la protection des œuvres ».

Pour l’expert culturel, la rapidité avec laquelle la technologie évolue requiert une réflexion approfondie et des ajustements législatifs pour garantir la protection numérique des œuvres de l’esprit. 

«Que ce soit en France ou aux Etats-Unis, il faut dire qu’à l'heure actuelle, la législation sur les droits d'auteur ne prévoit  pas que les œuvres générées par des machines puissent être protégées de la même manière que celles créées par des humains », a-t-il indiqué.

Et de conclure : « Donc, il est important que les droits des créateurs soient protégés face à l’IA tout en permettant l’innovation ».

J. Diala

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Eglise catholique entre 16 février 1992 et 16 février 2025 : du grand amour à la haine viscérale !

(Par Omer Nsongo die Lema)

Aujourd'hui, on a un témoin redoutable qu'on avait pas en 1992 : les réseaux sociaux ! Ce dimanche 16 février 2025, les paroisses de l'Eglise catholique romaine ont été placées sous haute surveillance sécuritaire à cause des menaces brandies par certains jeunes s'affichant du parti présidentiel. A la base : les visites effectuées par la synergie CENCO-ECC à Goma où une délégation ecclésiale a rencontré Corneille Nangaa et à Kigali où elle a rencontré Paul Kagame.

CENCO, UDPS, Ambassade des Etats-Unis, Gouverneur de Kinshasa

Plus tôt, Président intérimaire de l'UDPS, Augustin Kabuya a assumé sa part de responsabilité en interdisant les combattants de toute attaque contre les personnalités politiques et les princes de l'Eglise. D'ailleurs, les initiatives individuelles de communication politique ne sont plus autorisées.

Dans son communiqué du 15 février 2025, la chancellerie catholique (bureau de Mgr Donatien Nshole) a transmis aux fidèles l'invitation du Cardinal Fridolin Ambongo « à la prudence, à la vigilance et à la protection des infrastructures ecclésiales, les exhortant à ‘’ne pas céder aux intimidations’’. Les Catholiques sont priés à se ‘’rendre demain à la messe dominicale’’, afin d'offrir au Seigneur notre Pays, la RD Congo ».

Sur ces entrefaites, l'Ambassade des Etats-Unis a rappelé à ses ressortissants encore présents à Kinshasa l'obligation de s'appliquer les dispositifs sécuritaires en vigueur !

Un peu plus tard, l'Udps a mis en ligne une vidéo dissuadant les combattants d'entreprendre quoi que ce soit qui puisse nuire aux Catholiques ce dimanche. Du reste, Daniel Bumba, gouverneur Udps de la ville de Kinshasa, ne veut pas entendre parler d'une quelconque manifestation publique dans la capitale.

C'est à l'Etat seul qu'incombe la responsabilité de la sécurisation

Qui l'eut cru ? 34 ans plus tôt, entre l'Eglise catholique romaine du Zaïre et l'Udps fille ainée de l'Opposition, c'était pourtant la communion parfaite marquée par la Marche des Chrétiens organisée un certain 16 février 1992 en revendication de la réouverture de la Conférence nationale souveraine suspendue en janvier de cette année par le Gouvernement Nguz. Gouvernement issu des Accords du Palais de Marbre II après l'échec des Accords du Palais de Marbre I qui avaient porté Étienne Tshisekedi à la Primature. Combien de morts ? Combien de blessés ? On ne l'a jamais su.

Il se raconte que des renforts en hommes et en matériel en provenance de la base angolaise de l'Unita de Savimbi avaient été déployés à Kinshasa.

Deux actes sont cependant sûrs :

- primo, l'Udps devait célébrer son dixième anniversaire le 15 février 1992. Il privilégia la date du 16 février parce que ça tombait un dimanche, jour de messe ;

- secundo, les deux protagonistes (Gouvernement et Comité laïc catholique) s'étaient mutuellement piégés.

D'ailleurs, le 16 février 1993, lors de la commémoration de l'an 1 de ce qui devint le « Massacre des Chrétiens », Mgr Laurent Monsengwo s'était écrié : « Plus jamais ça au Zaïre ! On laissait entendre qu'il en avait appris davantage sur les préparatifs.

Ces deux actes semblent se répéter 33 ans après en ce que :

-primo, le 15 février 2025 est la date anniversaire de la création de l'Udps. Le cœur n'est pas à la fête en raison du contexte politique, diplomatique et sécuritaire ;

-secundo, les deux protagonistes (Gouvernement et CENCO/Kinshasa) sont piégés cette fois par un témoin redoutable qu'on avait pas en 1992 : les réseaux sociaux avec des reporters qui (mal) traitent l'information, alias armée numérique. Ils ne respectent aucune règle établie. Ils sont capables plus du pire que du meilleur.

Aussi, tout le monde a-t-il conscience du fait qu'un affrontement entre combattants et fidèles catholiques, et encore un dimanche, tournerait à des émeutes qui seront difficilement maîtrisées.

C'est à l'Etat, et à l'Etat seul qu'incombe la responsabilité de la sécurisation. N'en déplaise aux communicateurs du... dimanche. Dire qu'il y a de cela 7-8 ans à peine, entre l'Eglise catholique et l'UDPS, c'était plutôt le parfait amour !

Il aura vu juste, l'auteur de l'expression "Le sentiment le plus proche de l'amour, c'est la haine... ».

On y est de plain-pied !

Dommage pour le pays !

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Sur les traces du groupe Taz Bolingo : Nketo Bakaji’’ pour l’émergence des talents féminins dans la Rumba  

 Nketo Bakaji est une formation musicale composée essentiellement des femmes de l’attaque chant jusqu’à l’orchestration.  La promotion des valeurs féminines par la rumba congolaise est la vision de ce groupe basé à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.

Sur les traces du groupe Taz Bolingo : Nketo Bakaji’’ pour l’émergence des talents féminins dans la Rumba  
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