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Partenariat RDC - AS Monaco : le mouvement citoyen FILIMBI dénonce un contrat jugé indécent

Un protocole d'accord de partenariat, évalué à 4,8 millions d'euros sur trois ans, a été signé entre le gouvernement de la République Démocratique du Congo (RDC) et le club de football français AS Monaco. Annoncée par le Ministre des Sports, Didier Budimbu, cette initiative visant à promouvoir la visibilité du pays suscite une vive indignation au sein de l'opinion publique et de la société civile congolaise. Dans un communiqué de presse publié le jeudi 19 juin 2025, le mouvement citoyen FILIMBI a fermement condamné cette décision, la qualifiant d'« inopportune et indécente ».

Le mouvement critique le timing de cet accord, alors que l'Est de la RDC est en proie à une grave crise sécuritaire. Selon FILIMBI, la priorité absolue devrait être de mettre fin à cette guerre et de répondre aux urgences humanitaires.

Le communiqué qualifie le partenariat d'« insulte aux souffrances du peuple congolais », en particulier celles des populations de l'Est qui semblent sacrifiées. FILIMBI dénonce un projet jugé « totalement déconnecté des priorités nationales », dans un contexte marqué par les conflits armés, la misère sociale et l'effondrement des services de base.

« La décision du ministère des Sports de financer un partenariat international avec un club étranger est inacceptable, alors que des millions de Congolais vivent sans accès à l’eau potable, à l’éducation, à l’alimentation ou à la sécurité », affirme le mouvement.

Le partenariat, chiffré à 1,6 million d'euros par saison pour une durée de trois ans, a été signé le 10 mai dernier par le Ministre Didier Budimbu et le directeur général de l’AS Monaco, Thiago Scuro. Présenté par le gouvernement comme un projet stratégique alliant sport, tourisme et développement, l'accord est censé symboliser une nouvelle ère de coopération.

Face à la polémique, le ministère des Sports soutient que cet accord est l'un des moins chers de ce type et qu'il prévoit des investissements concrets, tels que la création d'un centre de formation et d'un centre médical sportif en RDC, ainsi qu'un transfert de compétences au profit des formateurs locaux.

Un ballon de communication sans bénéfice pour le sport local

Pour FILIMBI, ces arguments ne tiennent pas. Le mouvement considère l'accord comme un « ballon de communication sans réelle substance » qui n'offre aucune solution structurelle aux défis du sport congolais ni de bénéfice concret pour la jeunesse.

FILIMBI souligne le contraste flagrant entre ce projet coûteux et le manque criant de soutien aux clubs locaux. Le cas du TP Mazembe, multiple champion d'Afrique, est cité en exemple.

« Ce club fonctionne sans appui de l’État. Pourquoi ignorer ce modèle national au profit d’un projet étranger ? », interroge le mouvement.

Cette situation est d'autant plus critiquée que le championnat national de football, la Linafoot, est lui-même en crise par manque de moyens financiers.

Le mouvement citoyen exige la suspension immédiate de l'accord et demande la tenue d'un débat parlementaire pour garantir la transparence et réorienter les fonds publics vers les véritables priorités de la nation.

Guellord Risasi

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Menaces de restrictions de voyage américaines : Kinshasa lance une offensive diplomatique pour rassurer  Washington

 

Face à une annonce du gouvernement américain concernant des possibles restrictions de voyage visant les ressortissants de 36 pays, dont la République Démocratique du Congo, les autorités congolaises ont rapidement initié un dialogue avec les Etats-Unis pour clarifier la situation et en limiter les impacts potentiels.

Dans un geste diplomatique proactif, de hauts responsables du gouvernement congolais ont rencontré l'ambassadrice des Etats-Unis en RDC, Mme Lucy Tamlyn. Selon un communiqué officiel publié le 19 juin 2025, la délégation congolaise était composée du Vice-Premier Ministre, Ministre de l'Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières, Jacquemain Shabani Lukoo Bihango, et de la Ministre d'Etat, Ministre des Affaires Etrangères, Coopération Internationale et Francophonie, Thérèse Kayikwamba Wagner.

La réunion, qui s'est tenue à Kinshasa, a été qualifiée d'échange "franc et constructif".  Elle portait spécifiquement sur l'annonce récente de Washington qui pourrait affecter la mobilité des citoyens congolais vers les Etats-Unis. Cette mesure s'inscrit dans une politique américaine plus large visant à réévaluer les standards de sécurité des documents de voyage et la coopération en matière de gestion migratoire avec plusieurs nations.

Au cours des discussions, le gouvernement congolais a fermement souligné son engagement à "poursuivre les efforts nécessaires pour garantir la fiabilité des documents de voyage". Kinshasa a également réaffirmé sa volonté de renforcer la coopération bilatérale, notamment par un partage d'informations et une collaboration étroite entre les services concernés des deux pays.

Loin d'aboutir à une impasse, la rencontre a permis de consolider une volonté commune de renforcer la coopération bilatérale sur les questions de mobilité internationale et de sécurité des documents. Les deux parties ont convenu de maintenir un dialogue étroit dans les prochaines semaines. L'objectif est de clarifier les termes exacts de l'annonce américaine et travailler conjointement pour limiter ses éventuelles répercussions sur les ressortissants congolais.

Cette démarche diplomatique a été rapidement suivie d'une instruction du Président Félix Tshisekedi, qui a ordonné une mobilisation gouvernementale rapide et crédible pour répondre aux préoccupations américaines et éviter toute sanction. La situation reste suivie de près, le dialogue des prochaines semaines s'avérant décisif pour l'avenir des relations et de la mobilité entre la RDC et les Etats-Unis.

Nathan Mundele

Menaces de restrictions de voyage américaines : Kinshasa lance une offensive diplomatique pour rassurer  Washington
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Suite à ses déclarations jugées belliqueuses, RDC : la CENCO accuse Jean-Pierre Bemba de saper les efforts de paix et de cohésion nationale

Le torchon brûle entre la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) et le gouvernement. Dans un communiqué au vitriol publié le 11 juin, la plus haute instance de l'Eglise catholique en RDC a vivement condamné les propos tenus par Jean-Pierre Bemba, Vice-Premier Ministre et Ministre des Transports, les qualifiant d’inepties dangereuses pour la stabilité du pays. Signé par son président, Mgr Fulgence Muteba Mugalu, Archevêque de Lubumbashi, le texte dénonce une campagne de dénigrement orchestrée qui menace de fissurer une cohésion nationale déjà fragile.

La sortie médiatique qui met le feu aux poudres

La pomme de discorde est une intervention de Jean-Pierre Bemba sur les ondes de Top Congo FM le 9 juin 2025. La CENCO affirme avoir accueilli ses déclarations avec ‘’la plus grande consternation, mais sans réelle surprise’’. Selon les Evêques, cet épisode n'est que le dernier d'une série d'attaques verbales. Ils accusent le Vice-Premier Ministre de s'être attribué, depuis la période électorale de 2023, un rôle extrêmement dangereux. Ce rôle consisterait à proférer, avec une légèreté déconcertante, des allégations jugées récurrentes, gratuites et infondées contre l'institution catholique.

Pour la CENCO, ces déclarations répétées ne sont pas anodines, elles portent atteinte à sa réputation et, plus grave encore, risquent de compromettre le climat de confiance nécessaire à la cohésion nationale et au bien-vivre ensemble.

Une menace pour le processus de paix

Au-delà de l'affront, les Evêques s'inquiètent des intentions sous-jacentes du VPM en charge des Transports. Ils estiment que cette ‘’belliqueuse sortie médiatique’’ suggère que Jean-Pierre Bemba peine à accepter l'option choisie par les institutions et la Nation : celle de résoudre la crise actuelle par des voies pacifiques.

Le communiqué prend alors une tournure plus grave, ravivant des souvenirs douloureux de l'histoire congolaise. La CENCO s'interroge ouvertement : ‘’Il y a lieu de se demander si, avec ses propos, Monsieur Bemba veut ramener le pays à l'époque où il avait fait tuer des innocents à Kisangani et à Kinshasa’’. Cette référence directe à des chapitres violents du passé souligne la gravité de la situation aux yeux de l'épiscopat.

Face à ce qu'elle considère comme une attaque frontale contre la raison et le respect dû aux institutions, la CENCO s'étonne du silence des autres corps de l'État. ‘’Il est étonnant que malgré la gravité des propos tenus par le Vice-Premier Ministre Bemba, il n’y ait aucune réaction des Institutions de la République et de sa hiérarchie’’, déplore le communiqué.

Les prélats interpellent directement le Procureur Général près la Cour de Cassation ainsi que l'Assemblée Nationale, estimant qu'ils devraient se saisir d'office de ce dossier pour faire la lumière sur ces allégations et en tirer toutes les conséquences juridiques.

Fidèle à sa double mission spirituelle et sociale, la CENCO adopte une réponse à deux volets. D'une part, elle exhorte les fidèles catholiques à prier pour Jean-Pierre Bemba, ‘’afin que l’Esprit de la paix descende sur lui et le détourne de la violence dont il fait la promotion’’.

D'autre part, l'Eglise n'écarte pas le terrain judiciaire. Afin de protéger l’opinion Nationale et Internationale contre les manipulations grossières et de préserver les efforts de paix, elle se réserve le droit de saisir la justice.

Par ailleurs, la CENCO réaffirme sa détermination à défendre les valeurs de vérité, de justice, de dialogue et de réconciliation. Elle lance un appel au peuple congolais, l'invitant à ne pas céder à la manipulation, aux discours de division ou de haine et à rester vigilant et uni pour préserver le socle de l'unité nationale : le bien-vivre ensemble.

Nathan Mundele

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En prévision du 9ème sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement : La RDC attend de prendre la présidence tournante de la CIRGL

Dans une démarche visant à consolider la diplomatie entre la République Démocratique du Congo et la région des Grands Lacs, le Secrétaire exécutif de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), est attendu à Kinshasa du 16 au 20 juin 2025 dans le cadre des préparatifs du 9ème sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de cette organisation. Kinshasa sera la capitale hôte de ce 9ème rendez-vous. A cette occasion, la RDC prendra les rênes de la présidence tournante.

D’après le ministre congolais de l’Intégration régionale, Didier Mazenga, cette mission vise à harmoniser les vues avec les autorités nationales sur plusieurs dossiers prioritaires notamment, l’agenda du prochain Sommet, la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC, les finances de l’organisation et d'autres questions d'intérêt commun.

La passation de la présidence de la CIRGL à la RDC s’inscrit dans la mise en œuvre de l’article 23 du Pacte de l’organisation, qui établit une rotation tous les deux ans. Cependant, l’Angola, actuellement à la tête de l’institution, a dépassé ce délai depuis deux ans, prolongeant son mandat jusqu’à une quatrième année.

La République du Burundi, qui devait succéder à l’Angola, a officiellement renoncé à cette responsabilité au profit de la RDC. Ce changement a été entériné lors de la 18ᵉ réunion du comité interministériel régional tenue à Luanda en novembre 2024.

La visite du Secrétaire exécutif sera donc l’occasion de fixer les dates du sommet et de baliser le chemin vers une nouvelle phase de leadership congolais au sein de la CIRGL, dans un contexte régional marqué par des enjeux de sécurité majeurs et des attentes accrues en matière de coopération multilatérale.

Michel Okaso

 

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Braquages et vols à mains armées à Kinshasa : Firmin Mvonde ordonne la traque de tous les criminels libérés illégalement

La problématique de la résurgence des braquages et vols à mains armées à Kinshasa a été, le 9 juin dernier, au centre d'une réunion du cadre de concertation Bureau du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) et ministère de la Justice. C’est un ainsi que le Procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde Mambu, a, ce lundi 16 juin, demandé à la justice congolaise de se lancer à la recherche de nombreux détenus qui sont sortis « illégalement » de diverses prisons de la République Démocratique du Congo notamment, de la prison centrale de Makala à Kinshasa.

Dans cette correspondance, le Procureur Général Firmin Mvonde instruit les Procureurs Généraux d'intensifier les recherches pour retrouver ces individus, les appréhender et les remettre en détention pour évasion, car ils ont quitté les lieux de détention sans respecter les critères légaux.

« Un rapport des cas traités devra me parvenir pour me permettre d'avoir un tableau synoptique des cas avérés afin de connaître les tenants de ces évasions et d'en tirer les conséquences de droit qui s'imposent », peut-on lire dans sa correspondance.

Par ailleurs, le Procureur général près la Cour de Cassation a souligné que la plupart de ces prévenus, qui circulent aujourd'hui librement et commettent souvent de nouveaux actes criminels, avaient été arrêtés pour des infractions graves.

« De nouvelles me parviennent faisant état de la circulation, en hommes et femmes libres, de nombreux détenus (condamnés et détenus préventifs) censés se trouver dans différentes prisons du pays, et plus particulièrement en provenance du Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (CPRK). La plupart de ces criminels sont poursuivis pour des faits infractionnels graves tels que le meurtre, les tortures corporelles, les atteintes à la sécurité de l'État, les vols à main armée ('Kuluna') », précise-t-il.

Rappelons que dans le compte-rendu, il était question de réfléchir également sur la réponse judiciaire coordonnée à réserver à ce phénomène. Évoquant les causes à la base du regain de cette forme de criminalité dans la mégapole congolaise, les membres du Bureau du CSM ont, en premier lieu, pointé du doigt « la mauvaise application de la politique de désengorgement des prisons par l'exécution intempestive d'innombrables arrêtés ministériels du ministre de la Justice octroyant dans l'illégalité manifeste la libération à plusieurs détenus ne remplissant pas les conditions requises en la matière ».

Les membres du Bureau du CSM ont par ailleurs déconseillé l'obtention des ordonnances accordant les mesures exceptionnelles de grâce présidentielle à l'égard de certains détenus. Ils ont souligné que c'est en exécution dans l'illégalité de ces mesures que certains détenus préventifs et des condamnés en détention en appel ou en cassation ont été libérés des prisons en masse.

En outre, les membres du Bureau du CSM ont également noté la libération « illégale et manifestement irrégulière des détenus préventifs et ceux jugés par la justice militaire, parmi lesquels des délinquants d'habitude et de redoutables récidivistes ».

Ils ont, dans un autre chapitre, relevé des difficultés et des obstacles à la bonne mise en œuvre de la politique criminelle par l'appareil judiciaire. Parmi ces écueils, les participants à cette réunion ont cité, en premier lieu, l'interdiction brusque de transférer les détenus préventifs à la prison de Makala sans prévoir des mesures alternatives pour garder ces derniers qui sont arrêtés chaque jour.

Ils ont aussi pointé le manque quasi-total des prisons qui répondent aux normes pénitentiaires en la matière, le défaut de construction ou de réhabilitation, et/ou d'entretien des prisons à travers la République et le manque total des maisons d'arrêt ou des lieux pour garder les suspects et détenus préventifs sur toute l'étendue du territoire national.

Les membres du CSM ont aussi évoqué les difficultés de garder les suspects dans les amigos des parquets civils et/ou militaires et de la Police Nationale Congolaise qui sont actuellement débordés ; et enfin le manque de politique cohérente de gestion des détenus pendant leur détention et après leur libération, le cadre de rééducation et de réinsertion étant inexistant.

Prenant la parole, le vice-ministre de la Justice, qui a pris part à cette réunion, a insisté sur l'intensification de l'action du ministère public sur la grande criminalité. Après discussions, les participants se sont mis d'accord sur la nécessité d'une réponse holistique face à cette question de délinquance.

Selon la source, la question des résolutions des états généraux de la Justice a aussi été évoquée au cours de cette réunion.

Le vice-ministre de la Justice a affirmé qu'il n'est pas partie prenante aux réformes qui violent l'indépendance constitutionnelle du pouvoir judiciaire par l'entrée au Conseil Supérieur de la Magistrature de non magistrats.

Il a exprimé sa volonté de mettre très rapidement en place une Commission restreinte pour réfléchir et produire un rapport consolidé des résolutions et recommandations des états généraux de la Justice de 2015 et de 2024.

Jackson Mutamba

 

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Expo Osaka 2025 : Julien Paluku sonne la mobilisation générale pour une participation éclatante de la RDC

Au cours d'une séance de travail tenue mardi 17 juin 2025 à son cabinet de travail, Julien Paluku Kahongya, Ministre du Commerce extérieur, a présidé une réunion de mise au point en vue du lancement de la Semaine dédiée à la RDC à l’Expo 2025 Osaka, prévue du 23 au 30 juin 2025 au Japon.

Au tour du Ministre Paluku, la Directrice Générale de l’Agence nationale pour la promotion des investissements (ANAPI), Rachel Pangu Luamba, ainsi que des experts des deux institutions, ont pris part à cette séance de grande envergure.

L’objectif de cette réunion était d’harmoniser les dernières stratégies pour garantir la réussite de cet événement international, qui mettra en valeur le potentiel économique et culturel de la RDC.

Trois temps forts sont annoncés : une journée touristique et culturelle le 27 juin, un forum d’affaires RDC-Japon le 28 juin, et la célébration de la fête de l’indépendance le 30 juin.

Après cette réunion,  Julien Paluku s’est entretenu avec Kumar Iyer, ambassadeur du Royaume-Uni auprès des Nations Unies à Genève, en charge notamment de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Cette rencontre a porté sur plusieurs dossiers liés aux échanges bilatéraux.

Les deux parties ont discuté sur le respect des règles de l’OMC dans un contexte de tensions commerciales internationales, la participation britannique à des projets de modernisation des postes frontaliers à arrêt unique, notamment celui de Mahagi en Ituri, financé par Londres. L’appui à l’Office Congolais de Contrôle (OCC) ainsi que la possibilité d’exporter des produits congolais vers le Royaume-Uni sans droits de douane, ont également été évoqués, dans le but de stimuler les échanges entre les deux pays.

Le Ministre Julien Paluku a, par ailleurs, renouvelé son appel aux investisseurs britanniques à venir s’implanter en République démocratique du Congo (RDC).

Pour rappel, depuis son accession à la tête du ministère du Commerce extérieur, il y a de cela une année, Julien Paluku  Kahongya a apporté plusieurs innovations clés, précisent ses proches collaborateurs.

Guellord Risasi

 

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