Solina, la princesse l’afrobeat sur scène à Mbandaka
Habituée dans le noir, la Ville de Mbandaka a été illuminée par la beauté rayonnante et la présence de la chanteuse SOLINA Marie Julie, qui y a séjourné durant deux semaines. Son passage a été marqué par quelques activités qui ont fait bouger le chef-lieu de la province de l'Equateur.
L’instabilité continue de frapper de plein fouet le marché de change Rd congolais.
La population accuse d’énormes difficultés face à cette situation qui occasionne la flambée des prix des biens de consommation. Car, en dépit des décisions récemment prises par les autorités pour calmer la dépréciation de la monnaie locale, aucune suite favorable n’a été enregistrée sur le marché.
Le Ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a lancé le jeudi 10 août, pour une durée de trois jours, la campagne de vaccination contre la poliomyélite dénommée Journées Nationales de la Vaccination (JNV) dans le deuxième bloc comprenant 15 provinces.
Le quartier Kimwenza/Trois maisons dans la commune de Mont-Ngafula fait face à une précarité d’eau. Une situation difficile qui maintient la population dans un stress constant. L’eau ne jaillit plus dans les robinets. Pour s’abreuver, la population est obligée de recourir aux forages, où un bidon revient à 200 FC. Le transport varie selon le trajet de 500 à 1000 FC. Un calvaire qui expose, d’une part, les habitants de cette partie de la capitale aux disputes. D’autre part, il y a ceux qui doivent passer des nuits dehors devant les robinets, à défaut de recourir aux sources naturelles comme palliatif. Tel est le constat qui ressort d’une descente effectuée ce week-end par l’équipe de La Prospérité. «Très souvent, à des heures tardives, soit de minuit à 4h du matin, quelque rare fois dans la journée», a relaté une habitante du quartier ayant requis l’anonymat. «Ça fait plus de deux mois que l’eau ne coule plus. Nous sommes obligés de nous ravitailler dans les sources naturelles du coin. Pendant la saison de pluie, nous attendons carrément qu’il pleuve», a renchéri Mme Fanny, une autre habitante de Kimwenza. «Cette eau que nous consommons n’est pas bonne pour la santé, car elle contient de microbes, cette eau qui n’a aucun traitement, aucune filtration, il y a beaucoup de déchets toxiques invisibles dans cette eau, mais nous sommes obligés de boire comme ça, car nous n’avons pas le choix malgré que nous sommes exposés aux maladies », a-t-on renseigné. La desserte en eau potable fait partie des droits les plus élémentaires d’un peuple. Malheureusement, dans la plupart de cas, cette problématique devient de plus en plus un luxe pour des congolais vivant en milieux ruraux Les autorités sont ainsi priées de prendre leurs responsabilités pour mettre fin, une fois pour toutes, en termes des remèdes, à ces grands maux. Tegra N’kudi
Depuis un certain temps, la ville-province de Kinshasa connait une croissance sans précédent des églises de réveil. Au cours d’un baladeur réalisé par la rédaction, ce mercredi 9 août 2023, des kinois ont livré leurs impressions. Si pour les uns, c’est un phénomène tout à fait normal, d’autres estiment, par contre, que la plupart de ces maisons de prière sont en réalité des sources de revenue de leurs responsables. Selon une croyante qui a requis l’anonymat, la création d’une église doit commencer par un appel de Dieu et une révélation spirituelle. Un avis appuyé par un jeune homme, habitant la commune de Mont-Ngafula, qui a soufflé que nombre de responsables des églises sont à la recherche de la richesse au détriment de leurs fidèles. A l’en croire, cette prolifération est basée sur des ambitions lucratives. On estime que la population souffre puisqu’il y a ni spiritualité, ni la foi dans la majorité de ces églises. Il faut noter que Kinshasa connait actuellement un nombre exorbitant des églises qui, généralement, sont à la base des nuisances sonores dans différents quartiers et avenues à travers les vingt-quatre communes. Aimerance Ikoyi
Les jeunes en milieux académiques restent perplexes sur le choix qu’ils doivent opérer pour se conformer à la mode. Une véritable bataille générationnelle engagée par toutes ses nouvelles innovations modernes, Le code vestimentaire jadis pris en rigueur dans les institutions supérieures et les universités ne semble plus rester le même à Kinshasa. La décence exige un minimum de tenue dans sa manière de se vêtir surtout pour ce qui concerne les filles. Dans le temps, les femmes ne pouvaient pas sortir de chez elles pour aller ne serait-ce qu’au marché avec un habit ne dépassant pas les genoux. Aller à l’université devait nécessiter une plus grande responsabilité dans sa tenue vestimentaire. Les filles des universités se laissent emporter dans la mode et toutes ses tendances sortantes, oubliant la notion de la décence. Les filles se promènent dans des couloirs universitaires avec des tenues inappropriées frôlant l’extravagance et susceptibles de causer de faits en contradiction avec les règlements intérieurs de leurs institutions. Le code vestimentaire est un moyen pour non seulement apprendre la décence aux apprenants mais aussi un moyen de conserver la culture des prédécesseurs afin de la perpétuer. Il est donc quasi indispensable pour une institution qui se dit vouloir former que le code vestimentaire soit scrupuleusement respecté et appliqué à la lettre par les étudiants Grâce Bonebana
Le Gouverneur de la Ville-province de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka qui était accompagné lundi 7 août dernier d’une délégation de ses collaborateurs, se dit satisfait de l’évolution des travaux du Marché Central. A cette occasion, il a annoncé l’inauguration pour la fin du mois de novembre prochain, de cet ouvrage qui répondra désormais au standard international. Gentiny Ngobila a déclaré : ‘’Au terme de ma visite, je constate avec satisfaction que les travaux évoluent à pas de géant, les ingénieurs sur place m’ont confirmé que l’ouvrage sera livré dans le délai, je me permets donc de rassurer toute la population kinoise que le nouveau Marché Central sera ouvert au public en novembre prochain. Nous ferons honneur au Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, de procéder à l’inauguration de ce grand centre commercial de la Capitale et pourquoi pas de la RDC’’. Et de renchérir : ‘’ Le troisième et dernier niveau de cette bâtisse est déjà fini. Les ingénieurs chinois qui exécutent les travaux avec brio évoluent avec la préparation des dalles du premier et deuxième étage qui devront accueillir les étals, en même temps, les travaux de placement des champions sont aussi en cours, toujours au deuxième étage. Des rampes d’accès à tous les niveaux pour les personnes à mobilité réduite sont également en phase de construction, ce dans le souci de répondre aux normes non discriminatoires exigées dans la construction moderne des sites à haute fréquentation’’. Ce nouveau marché a une capacité d’accueil de plus de 80.000 personnes interagissant par jour. Il compte 630 magasins avec une zone de chambres froides et des entrepôts, 52 cages d’escaliers sont prévues en vue de faciliter le déplacement des personnes d’un niveau vers un autre. En outre, il est prévu une station d’essence et des parkings qui seront aménagés tout autour du bâtiment. Grâce Daro
Le Directeur Général de l’Office des routes, le professeur Jeanneau Kikangala Ngoy, a reçu, ce mercredi 9 août 2023, dans son bureau de travail, le Gouverneur de la province de Lomami, Nathan Ilunga Numbi. Devant le Numéro 1 de l’Office des routes, le gouverneur de la Lomami à expliqué ses préoccupations. Ce, en rapport avec l’état impraticable des infrastructures routières d’intérêt général, dans sa Province. «L’Office des routes est en train d’abattre des grands travaux dans la province de Lomami, dans le cadre de la réhabilitation des routes nationales à l’intérêt provincial. Depuis le début des travaux, le FONER a décaissé 50% de tous ces tronçons qui sont en chantier. Il était important d’étudier ensemble comment se battre pour que les 50 autres pourcent restants puissent être décaissés », a soutenu Nathan Ilunga Numbi. En ce qui concerne l’état impraticable de certaines routes et ponts dans la Province de Lomami, le gouverneur Nathan Ilunga Numbi a eu les réponses rassurantes du Directeur Général de l’Office des routes. Le numéro 1 de l’Office des routes a rassuré son hôte de son implication personnelle afin que de grands travaux dans son fief aboutissent selon la vision du chef d’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. «Nous avons éclairé le gouverneur par rapport à ses préoccupations en rapport avec l’exécution des travaux routiers. Aussi, la question des ponts que le gouvernement vient d’acheter en France sous la demande du Chef d’Etat Félix-Antoine Tshisekedi. Je crois à son retour, il aura un discours à tenir devant ses administrés sur les réalisations que nous faisons à Lomami», a-t-il dit. Il est à signaler que depuis l’arrivée du nouveau Directeur général de l’Office des routes, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoyi, la province de Lomami cannait une évolution totale sur le plan des infrastructures routières. Arlette Mukonkole
Les Kinois peuvent se déplacer dans peu de temps et arriver à destination dans plusieurs coins. Les bouchons, principales causes de retard sont sensiblement réduit bien que beaucoup reste à faire. Les reporters de quelques médias ont fait une ronde dans plusieurs ronds-points de la ville pour s’imprégner de la mise en œuvre de certaines mesures prises par le commissaire provincial de la police nationale congolaise. Il y a quelques mois passés, circuler à Kinshasa devenait de plus en plus problématique du fait de la fréquence des embouteillages au quotidien. S’il y a une chose bien connue de tous, c’est qu’à Kinshasa, ça bouchonnait. A ce jour, des Kinois ne font presque plus des heures de trajet pour se rendre d’un point à un autre. Les décisions prises par le Commissaire Divisionnaire adjoint Blaise Mbula Kilimbalimba produisent des effets du jour au lendemain. «De ce côté, on observe quelques embouteillages que le soir. Merci au général pour ces mesures prises. Il y a aussi diminution de la tracasserie routière et la route est devenue fluide. Je lui demande cependant de renforcer ses décisions », témoigne un chauffeur taxi qui œuvre depuis 10 ans sur l’axe Magassin Kintambo -Pompage-Station centre supérieure et DGC dans la commune de Ngaliema. En effet, un autre chauffeur qui œuvre depuis 2017 sur ce tronçons sollicite qu’on fixe des heures pour la circulation des gros camions. «Ils sont aussi à la base des embouteillages», Martèle Muza. Toutefois, il est difficile de parler de cette réalité dans certains carrefours. À Magasin Kintambo par exemple, les taxis motos ont mis en place leurs arrêts sur la chaussée dans tous les sens. Piétons, automobilistes et motos, se battent pour se frayer un passage. « Et cela se passe sous l’œil impuissant des agents de la police commis pour réguler la circulation», se plaignent des piétons que nous avons interviewés. Ils estiment que pour mettre fin aux embouteillages, il faut mettre des PCR professionnels et non ceux qui quémandent l’argent auprès des autorités qui les connaissent. «Ils courts derrière les autorités qu’ils connaissent pour demander l’argent au lieu de réguler la circulation. Une fois que leurs connaissances passent, ils s’en foutent du reste. En plus de cela, les taxis motos sont partout. Ce n’était pas le cas ici. Les motards avaient des places appropriées. On ne peut même pas se tenir debout à cause de l’engouement », insiste Dieumerci avec une tonalité nerveuse. Situation similaire à UPN-Rond point Ngaba et victoire Sur certains tronçons, les camions des sociétés Brassicoles, bus communément appelés 207 et des remorques qui vendent des ciments sont aussi à la base des embouteillages observés dans la capitale de la RDC. A ce sujet, depuis sa prise de fonction à la tête de la Police nationale Congolaise de la Ville-province de Kinshasa, le Commissaire Divisionnaire Adjoint, Blaise Kilimbalimba reste ferme. Il descend par surprise dans différents points chauds pour observer personnellement les mauvais comportements des chauffeurs. A chaque fois, il rappelle à la police de circulation routière et d’autres unités d’appui à la Police de circulation routière (PCR) à bien faire leurs devoirs mais, aussi, les usagers de changer des comportements en respectant le code de la route. Il sied de souligner que pendant son passage, tous les véhicules avec à son bord policier ou militaire qui se sont spécialisés à prendre le sens contraire rebroussent chemin. La campagne de sensibilisation sur le respect du code de la route se poursuit en attendant la levée de la courtoisie routière. Pour ce faire, les différentes mesures prises par le Commissaire Provinciale de la Ville de Kinshasa ont été bel et bien saluées tant par les chauffeurs que par les personnels qui se sont plus victimes des tracasseries routières. Ainsi, il va falloir allouer des moyens conséquents au Général Blaise Kilimbalimba pour maintenir le cap afin de bien gérer la Ville-province de Kinshasa. Jules Ntambwe
Dans le cadre du partenariat entre la Caritas Développement Bukavu et la Caritas International Belgique (CIBe), il s'est tenu à Bukavu en date du 11 Juillet 2023 un atelier de lancement du projet ECHO 2.