L’artiste musicien congolais, Ferré Gola, a annulé son concert prévu le vendredi 4 août 2023 à l’esplanade du palais du peuple, dans le cadre des Nuits de la Francophonie. L’annonce a été faite le jeudi 27 juillet 2023 sur le compte Instagram de l’artiste.
«Pour des raisons personnelles, l’artiste Ferre Gola avec beaucoup de regrets, décide de ne plus prester au rendez-vous prévu le 04 août 2023 à l’esplanade du palais du peuple pour les nuits de la francophonie à Kinshasa », peut-on lire sur son compte Instagram. D’après les sources concordantes, cette annulation serait dû à une frustration de l’équipe de Ferre Gola, étant donné que son rival éternel Fally Ipupa, a été programmé pour prester à la cérémonie d’ouverture des IXièmes jeux de la Francophonie à côté de Bill Clinton Kalonji. Alors que Ferre Gola s’était pointé en premier au siège du Comité national des jeux de la Francophonie pour apporter sa voix et son soutien, il s’est vu classer sur le podium connexe à l’esplanade du Palais du peuple. Outre Ferre Gola, "Jésus de nuance", plusieurs artistes musiciens congolais vont prester pendant les nuits de la francophonie notamment, Maitre Gims, JB Mpiana, Werrason, Heritier Watanabe et Fally Ipupa. Il sied de rappeler que les neuvièmes jeux de la francophonie ouvrent leurs rideaux le vendredi 28 juillet à Kinshasa. Toutes les délégations des pays participants séjournent déjà dans la capitale congolaise. Le Gouvernement de la RDC, le comité national ainsi le comité international de ces jeux rassurent sur le bon déroulement de ces derniers, et invitent le public à venir assister gratuitement en ce premier jour de cette grande fête francophone, afin de montrer à la face du monde, l’hospitalité légendaire des Congolais qui vont accueillir, pendant plusieurs jours, des francophones venus des différents pays. Le président Félix Tshisekedi a annulé son voyage en Russie, afin de donner le go de ces jeux dans les prochaines heures. Il est, par ailleurs, représenté dans le pays de poutine, au deuxième sommet Russie-Afrique, par le Vice-premier Ministre, Ministre de la Défense, Jean Pierre Bemba. Ronsard Malumalu
Charles Onana est un politologue et journaliste d’enquête franco-camerounais. Son livre “Holocauste au Congo: l’homerta de la communauté internationale” est un ouvrage consacré à expliquer le début du génocide congolais et les causes ayant conduit à la situation actuelle de la RDC en général et de sa partie Est en particulier. Des Etats-Unis en passant par l’Europe, l’Ouganda et le Rwanda, l’auteur établit les responsabilités de chacun, sur base des documents et d’analyses. Pour l’auteur, l’invasion de la RDC n’a pas commencé en 1997 mais quelques années plus tôt. En remontant au génocide rwandais de 1990, Charles Onana explique que l’enjeu n’était autre que l’exploitation minière du Zaïre. “L’idée principale était d’installer un dirigeant à la tête du Rwanda, qui serait en mesure d’envahir le Congo et de s’emparer de ses richesses au profit des entreprises minières occidentales et des intérêts privés anglo-américains soutenus par certains dirigeants occidentaux. (…) Pour réussir cette phase, une offensive militaire fut donc menée contre les populations rwandaises pour les contraindre à fuir vers le Congo. (…) ils vont présenter l’arrivée massive des refugiés au Zaïre comme conséquence directe du génocide au Rwanda ». Paul Kagame a alors présenté ces refugiés comme génocidaires pour empêcher toute interrogation sur l’afflux massif de ceux-ci en RDC. Après l’opération turquoise de la France dans la région, les Etats-Unis expriment le souhait d’envoyer des troupes au Rwanda pour aller porter secours aux refugiés qui se trouvent déjà au Zaïre, une idée “illogique”: “refuser l’intervention de l’ONU pour arrêter les massacres et le génocide au Rwanda mais laisser ensuite l’afflux de refugiés envahir le territoire zaïrois pour prétendre envoyer des troupes protéger ces mêmes refugiés que l’on considère à Washington et à Kigali comme génocidaires ne parait pas très cohérent”. Cette mission humanitaire américaine presque clandestine car elle n’avait pas été soumise à l’appréciation du Conseil de sécurité de l’ONU était dénommée Support Hope et était un ordre direct du président américain Clinton. Il s’exprima en ces mots pour rassurer le Congrès qui se questionnait: ‘‘nous n’avons pas l’intention de voir les forces armées américaines déployées au Rwanda impliquées dans des hostilités. Néanmoins, la majorité des quelques 200 soldats déployés sur le terrain seront affectés à la protection des troupes et à la sécurité de l’aéroport de Kigali(…)”, alors même qu’ils avaient déclaré qu’il n’y avait plus de danger à Kigali, s’étonne l’auteur. Le gouvernement américain décida par la suite d’envoyer des troupes américaines à Goma ainsi que des logisticiens, psychologies…en appui à l’opération turquoise menée par la France. Bien plus tard, le Maréchal Mobutu ne répondant manifestement plus aux attentes américaines avec notamment l’arrivée du démocrate Clinton à la Maison blanche, “une fois l’idée maitresse installée, il ne reste plus qu’à trouver celui qui acceptera de livrer le Congo-Zaïre à l’appétit des investisseurs étrangers”. L’auteur explique qu’au mois d’août 1996, les populations de la région des hauts plateaux d’Uvira (Sud-Kivu) commencent à voir plusieurs personnes sillonner leur territoire affirmant être des techniciens venus en prospection pour préparer des projets de développement. Il s’agissait en fait de militaires de l’APR infiltrés sur le territoire du Zaïre; d’autres soldats rwandais pénètrent également au Zaïre au mois de septembre et le 18 octobre 1996 nait officiellement l’AFDL, abritant Tutsis rwandais, des Ougandais et des Angolais dans le but de renverser Mobutu. Avec l’arrivée de Laurent-Désiré Kabila au pouvoir suite aux accords conclus avec ses alliés de circonstance, l’impunité a été volontairement organisée à travers l’infiltration ou l’intégration des criminels de guerre et des criminels contre l’humanité dans l’armée congolaise, comme l’explique l’auteur: ”le major tutsi rwandais, James Kabarebe prend dès son arrivée à Kinshasa, les commandes de l’armée congolaise en devenant chef d’Etat major, à cette occasion il nomme plusieurs Tutsis rwandais à des postes stratégiques au sein des forces terrestres, du renseignement militaire, des forces aériennes et même au sein de la marine(…)avant d’entrer dans l’armée congolaise, ces criminels ont essayé d’effacer les preuves de leurs crimes en incinérant les corps de leurs victimes, en creusant des fosses communes ou en jetant les corps dans le lac Kivu”. En 1998, quelque temps après la victoire de Laurent-Désiré Kabila, celui-ci comprend que ses alliés de circonstance en veulent à sa vie, il s’agit des Américains et de Paul Kagame. Selon l’auteur, ils cherchaient un Congolais plus réceptif au diktat de Kigali et Kampala car Laurent-Désiré trouvait de plus en plus inacceptable l’injustice faite aux Congolais et à la RDC malheureusement pour lui le 16 janvier 2001, il fut assassiné dans des circonstances non encore élucidées jusque-là. L’auteur décrit alors l’arrivée de Joseph Kabila “formé par l’Armée patriotique rwandaise de Paul Kagame, Joseph Kabila lui succède immédiatement avec l’aide de Paris et de Washington”. En 2004, les Banyamulenge reprennent la guerre à Bukavu, au Sud-Kivu sous couvert du RCD conduit par Jules Mutebutsi soutenu par le Rwanda. Malgré la ferme résistance du général congolais Nabyolwa, celui-ci se heurte au gouverneur du Sud-Kivu Xavier Ciribanya qui lui propose de participer au coup d’Etat, chose que le général congolais refuse. Bien plus tard, la même proposition lui est faite par Azarias Ruberwa, à l’époque vice-président du pays. Malgré les arrestations que le général congolais effectue dans le chef des rebelles, il se heurte au soutient des cadres de la Monuc aux rebelles et de la communauté international qui exerçait une pression sur le président pour la libération des rebelles. Le général Nabyolwa sera attaqué mais sauvé de justesse par Joseph Kabila. Dans la conclusion de son ouvrage, l’auteur rappelle que si le gouvernement congolais et la société civile ne se montrent pas plus incisifs et offensives sur la question de l’impunité, tous ces criminels resteront libres et continueront leurs actions criminelles afin d’écraser définitivement les Congolais dans leur pays.
Dans le but d'améliorer les compétences de ses employés, cultiver des talents composés et internationaux mais aussi faciliter la collaboration entre ses agents congolais et chinois, la Sino-congolaise des mines, SICOMINES S.A., a initié l’atelier de formation et d'apprentissage des langues chinoise et française. Cet atelier a débuté en mars dernier avec les cours en langue chinoise. Pour la première phase de la formation, les cours de langue chinoise ont été divisés en quatre (4) parties et chaque partie répartie en quatre (4) sessions, chacune comportant huit (8) cours. Les sujets traités ont principalement porté sur les expressions relatives aux normes des opérations de production sûres, les signaux d’alerte à la sécurité, l’identification des articles quotidiens, les salutations quotidiennes et autres. Des enseignants de qualité ont été recrutés pour dispenser les différents cours. C'est notamment l'enseignante congolaise Harless, assistante de l’usine de concentration, qui a étudié en Chine et aime la langue et la culture chinoise. Bien avant de démarrer les cours, elle a rencontré le personnel de l'usine pour s'enquérir de leur volonté d'apprendre le chinois, puis a soigneusement préparé le matériel d'enseignement et élaboré le cours PPT avec le site réel.
Pendant la leçon, elle a soigneusement expliqué le matériel pédagogique et, par le biais de démonstrations vivantes et d'interactions intéressantes, expliqué la signification des expressions chinoises en chinois et en français, et a donné une leçon de chinois unique au personnel du site. Au terme de la première étape de cette formation, les apprenants ont été soumis à un examen, du 10 au 15 mars 2023, dans le but de vérifier l’efficacité de la formation et d’améliorer les compétences professionnelles des agents. Cette évaluation qui s'est déroulée sous la forme de dialogues en chinois de la vie réelle, visait à permettre aux agents de s'exprimer correctement en chinois dans le cadre de leur travail et de communiquer sans obstacle. Elle a connu un taux de réussite de 87,74%. Michel, agent au département des ressources humaines, qui a participé à la session d'apprentissage, a déclaré avoir acquis des compétences en langue chinoise qui lui ont permis d'apporter une nouvelle et une plus grande contribution au développement de l'entreprise. Arrivé à la Sicomines S.A. en 2011, et témoin du développement de la société depuis le début de la phase I du Projet Minier jusqu'à la pleine production de la phase II, Michel a avoué avoir connu, peu avant la formation, des cas des malentendus et des plaisanteries qui ont été causés par la barrière langagière lorsqu'il travaillait avec des collègues chinois. De l'atelier de formation en langue française La formation en langue française a, quant à elle, été lancée le 21 juin dernier dans la concession de l'entreprise. Pour ce faire, la société a mis en place un groupe d’enseignants de langue chinoise composé des talents chinois francophones provenant de différents postes afin de développer conjointement des programmes de formation en langue française. Le but étant d'améliorer la qualité des compétences de l'ensemble du personnel, cultiver des talents composés et internationaux, améliorer la capacité d’utilisation du français et créer une forte atmosphère d'apprentissage du français. Cette formation est destinée à l'ensemble des cadres de l’entreprise et basée sur l'application pratique de la compréhension orale, de l'expression orale et de la lecture en français, en utilisant comme matériel pédagogique des expressions courantes dans la vie quotidienne, de la production et du travail. Comme pour la formation de la langue chinoise, des examens seront également organisés pour consolider les résultats de la formation de la langue française et établir un mécanisme à long terme pour améliorer efficacement le niveau de français du personnel et renforcer les compétences générales du personnel. Par ailleurs, la Sicomines prévoit dans les prochaines étapes de combiner la formation en langue française avec l’atelier de formation en langue chinoise afin de poursuivre le développement d'une plateforme de formation, de promouvoir les compétences et la communication du personnel, d'améliorer la communication globale et la capacité de coordination de la main-d'œuvre, et de s'efforcer de constituer une équipe de talents internationaux de haute qualité dans le secteur minier, maîtrisant à la fois les connaissances professionnelles et les langues étrangères, afin de contribuer au développement de haute qualité de l'entreprise.
‘’Pérenniser davantage les chansons de Feu Alain Moloto’’ est l’objectif visé par le festival Alain Moloto, FAMO, dont la première édition interviendra le 6 août prochain à l’espace Moto na Moto dans la commune de Bandalungwa. L’annonce a été faite le lundi 24 juillet par Auguy Kabeya, Coordonnateur dudit festival.
Dans la matinée du 24 juillet 2023, un fait plutôt banal a pris des proportions étonnantes. Une jeep est entrée en légère collision avec une moto, suite à quoi les passagers de cette dernière sont tombés sur la chaussée. De la poche de l’un des passagers est alors tombé un sachet qui a laissé échapper du sang ; ce qui a alerté la population et, par la même occasion, les éléments de la Police Nationale Congolaise.
Après son entrée en fonction au commissariat provincial de la police de Kinshasa, Blaise Kilimbalimba, a pris une ferme décision portant interdiction des tracasseries policières, mesure qui a été saluée par la population kinoise. C’est ce qu’a constaté le jour La Prospérité au cours d’un micro trottoir ce lundi 24 juillet 2023 sur le boulevard Lumumba.
Samedi 22 juillet de la semaine qui vient de se clôturer, le groupe Saint Michel Archange de la Cathédrale Notre Dame du Congo a totalisé 5 ans, jour pour jour. Voilà ce qui justifie le sens de la conférence-débat qu’a organisée, dimanche 23, dans la salle paroissiale de ladite cathédrale, son président, le Docteur Joyce Mvulizi, autour du thème : la place des archanges Michel, Gabriel et Raphaël au sein de l’église catholique.
Durant six jours, le Fonds National REDD+ (FONAREDD) a organisé au site SELI Safari à Zongo (Kongo Central), en présence des délégués des ministères de l’Agriculture, Aménagement du territoire, une retraite dans le but d’établir un rapport d’actions ainsi qu’un document projet fixant les orientations d’actions des ministères sectoriels. A la fin de cette retraite, la satisfaction était au rendez-vous. En effet, les travaux de cette retraite ont permis d’établir un cadre de collaboration entre les différents ministères et organismes qui entrent dans le champ d’action du Fonaredd. Ce cadre d’action a été matérialisé par l’adoption du prodoc (document programme) par les différents ministères sectoriels qui reprend les grandes orientations de mise en œuvre des jalons pour la période 2021-2026. Le premier draft du prodoc doit encore subir la mise en commun des recommandations relevées. Pour Appolinaire Biloso, représentant du Ministère de l’Agriculture : ‘‘Maintenait il y a un cadre de travail, de collaboration, on ne travaille plus de manière éparse, on est ensemble et on converge, nous connaissons nos attentes et objectifs, ce qui peut nous permettre de les réaliser». Le délégué du Ministère de l’Aménagement du territoire pense, quant à lui, que «Le travail réalisé couvrira notamment, les actions pour les trois prochaines années en lançant les ministères dans la réalisation de l’ensemble des jalons nécessaires pour combler et rendre effective les réformes prises». Benjamin Bombe, représentant du ministère du Plan soutient que «Les attentes à ces travaux étaient notamment qu’on arrive à terminer le programme et qu’on puisse avoir un programme prêt à opérationnaliser effectivement ; ces attentes sont atteintes parce que durant les 6 jours nous sommes à la phase de finalisation des derniers documents de programmation». Le draft du prodoc sera soumis aux organes de gouvernance du Fonaredd pour son instruction car, après le travail fait entre les différents ministères sectoriels, il appartient au Fonaredd de mettre en place un mécanisme souple pour permettre les missions sur terrain. Bavon N’sa Mputu, secrétaire exécutif national du Fonaredd, a salué la ferveur et l’engagement dont a fait montre chaque participant et n’a pas manqué d’inviter chaque acteur à s’impliquer pour la mise en pratique des résolutions prises : « tout au long de nos travaux jusqu’ici, j’ai noté personnellement la ferveur et l’engagement de tout un chacun de vous pour la production d’un travail de qualité. Le travail qui nous a réunis ici à Zongo s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du volet réformes sectorielles des partenariats que le gouvernement de la République a signés avec son partenaire financier CAFI. J’émets le souhait de voir les différents services du gouvernement s’investir pour que globalement le travail puisse aller de l’avant ». Déborah Nitu
Lundi de la XVIème Semaine de Temps Ordinaire TEXTES : Exode 14, 5-18 ; Exode 15 ; Matthieu 12, 38-42 MEDITATION Frères et sœurs, En ce début de semaine, deux questions peuvent nous être posées pour notre méditation : 1) Pourquoi Pharaon ne veut pas laisser-aller Israël malgré diverses corvées et souffrances qu'il lui inflige. 2) Pourquoi Israël ne comprend pas qu'il est mieux pour lui de mourir libre que de mourir esclave. Frères et sœurs, Pharaon comme tout autre autorité, malgré la souffrance de peuple, ne tient qu'à son pouvoir, à son autorité. Il est content de la souffrance d'Israël, du peuple et ne veut pas le laisser-aller, ne veut pas laisser tomber son pouvoir. Pharaon malgré que rien ne marche pour Israël, tient toujours à son pouvoir et il est prêt à tout même à verser le sang, à rendre esclave. Face à cette terreur de Pharaon, son intimidation, Israël comme ce peuple d'aujourd'hui a peur et oublie la Toute-Puissance de Dieu, sa force et sa protection, sa liberté de Fils et Enfants de Dieu. Ainsi, Moïse lui rappelle qu'il doit tenir et ne pas avoir peur car, Dieu est toujours de son côté. Le signe est toujours là grâce à la libération, au salut que Dieu accorde par sa victoire. En Egypte tu as vu le signe. Quel signe encore veux-tu avoir pour que tu sois un homme de foi, un homme capable de dire non au mal, à la compromission, à la souffrance, au mensonge, etc. Tiens fort et dis non à ce Pharaon qui te veut esclave, qui te réprime, qui t'intimide, qui te maltraite, qui te fait souffrir et ne veut pas te laisser-aller. N'aie pas peur, libère-toi avec Dieu, ne regarde plus en arrière mais avance jusqu'à traverser à pied sec la mer. Frères et Sœurs, Dites non à ce Pharaon, à ce président, à ce politicien qui ne veut pas votre liberté. N'ayez pas peur, mieux vaut mourir au désert libre que de mourir esclave en Egypte sous la domination de ce Pharaon avide et assoiffé du pouvoir et de l'autorité. Quel signe voulez-vous encore plus que votre liberté et la victoire que vous donne Dieu en Jésus Christ le Signe Parfait du Père dans la Lumière et dans la Vérité. Père Matthieu Yezu
Dans la perspective de promouvoir l'unité, l'amour, le partage, le développement et la conservation de la culture songye, propre au peuple portant le même nom, localisé dans la province de la Lomami, des notables locaux ont décidé de s’associer en travaillant ensemble pour assurer le développement de cette région du pays. Créant tout récemment, dans cet élan, la Génération Musongye Asbl, « GM-Asbl », ces derniers demeurent convaincus que ces valeurs sont essentielles pour l'émergence de leur province et le renouvellement de leur culture où qu’elle se trouve. Ci-dessous, retrouvez l’intégralité de leur présentation, domaines d’activité et leurs règles d’or.
On l'appelle «L'homme du chef ! » pour traduire sa proximité et surtout sa loyauté à John Kabeya Shikayi, Gouverneur du Kasaï Central, dont il serait l'exécutant des missions « spéciales ». Léon Beya, alias « Sundindin », un personnage devenu rapidement et tristement célèbre sur la ville de Kananga par la cruauté et la violence qu'il inspire. Délinquant mieux identifié et redouté à Kamayi, un des quartiers populaires et ambiants du chef-lieu du Kasaï Central, cet homme semant la terreur serait le bras séculier du gouverneur du Kasaï Central et visiblement une réponse à ses détracteurs.
Elle a 65 ans et travaille depuis près de trois décennies comme Assistante comptable dans un établissement d'enseignement supérieur de la Capitale, Kinshasa. Lisbeth (pseudonyme) a décidé de poursuivre ses études à l'université. En 2019, lorsqu'il a passé le test d'anglais, il était en dernière année de graduation. Alors qu'elle répondait aux questions de l'examen, la voisine de derrière, une étudiante de 20 ans, lui a fait signe qu'elle n'avait pas étudié et a voulu que Lisbeth lui donne les réponses.
Avec le concours du collège des délégués facultaires et la coordination estudiantine de l’Université de Kinshasa, Patrick Onoya, stratège en investissement et lobbyiste a procédé hier, mercredi 19 juillet 2023, au lancement du projet de coopérative agricole des étudiants de cette Alma Mater. Un projet qui se veut une solution durable pour une autosuffisance alimentaire et qui va impliquer particulièrement les étudiants congolais, intellectuels et futurs cadres du pays.