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Le Mouvement International Russophile se structure lors du deuxième Congrès

Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, Président National de l'UDS, suivant les travaux du Deuxième Congrès du MIR

*Le Deuxième Congrès du Mouvement International Russophile, MIR, a vécu du 26 au 27 Février 2024 à Moscou. Plus de délégués venus de quatre coins de la planète s'y sont retrouvés dans une ambiance fraternelle. Du point de la participation, il a été un grand succès. Et le travail de qualité a été aussi abattu sous la direction du Bulgare Nikolaï Milanov, ancien Président devenu désormais Secrétaire Général du MIR.

En mars 2023 dernier quand le Mouvement International Russophile a vu le jour, il n'y avait qu'une quarantaine de filiales. Aujourd'hui, le MIR qui a plus de 130 pays parmi ses membres, s'impose comme une force incontournable avec laquelle il faut compter. Des délégués ressortissants des États-Unis d'Amérique, de la Grande-Bretagne et de l'Union Européenne étaient très nombreux.

Et parmi les orateurs, il y a lieu de citer l'Archevêque Vigano qui, à partir des États-Unis d'Amérique, n'a pas mâché ses mots pour condamner les orientations et pratiques sataniques des autorités des USA.

Pour sa part, le Président russe Vladimir Poutine a, dans un message adressé aux Congressistes et lu par le ministre russe des affaires étrangères, monsieur Sergueï Lavrov, félicité la direction du Mouvement International Russophile pour les résultats réalisés en si peu de temps, s'est réjoui de constater que la Fédération de Russie a de partisans éparpillés à travers le monde entier, a noté l'échec de la politique de diabolisation et d'isolement de la Russie.

Le Président Vladimir Poutine a poursuivi, dans ledit message, en louant la Fédération de Russie comme un pays amical et respectueux de la Charte des Nations-Unies qui lutte effectivement pour la mise en place d'un nouvel ordre mondial juste.

Il a, enfin, invité tous les dirigeants du MIR, à tous les niveaux, à se charger de la diffusion de la langue russe, à œuvrer en faveur de la diplomatie des jeunes, à privilégier les intérêts de nos peuples respectifs, à revenir à la diplomatie traditionnelle et rejeter toutes les sanctions d'où qu'elles viennent.

S'agissant des travaux proprement dits et après avoir entériné les différents rapports d'activités, le Deuxième Congrès du Mouvement International Russophile a adopté les Statuts du MIR, son Manifeste et son Programme d'action. Il a, en outre, décidé du lancement d'une pétition devant recueillir plus d'un million de signatures à déposer à l'Union Européenne pour la levée des sanctions illégales contre la Russie. On en dénombre plus 15.000 à ce jour.

La question de l'octroi de la nationalité russe aux Russophiles du monde et celle du soutien aux pays des BRICS ont été également abordées. 

Par ailleurs, le Deuxième Congrès du MIR a institué le Bureau Exécutif de 23 membres qui remplace l'ancien Bureau de Coordination, créé le poste de Secrétaire Général et des Commissions dont celles des personnalités éminentes et de révision. Chaque Commission sera chapeautée par un Président. Le poste de Secrétaire Général a été confié à monsieur Nikolaï Milanov, un Bulgare qui occupait la présidence du MIR avant cette réforme.

Il est important de souligner le grand rôle joué dans le déroulement des travaux par Madame Maria Zakharova, journaliste et diplomate de talent, qui officie actuellement comme Porte-parole du ministère russe des affaires étrangères.

Quant à la République Démocratique du Congo, elle a été représentée par monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, Président National de l'Union des Démocrates Socialistes, UDS, et Membre Co-Fondateur du Conseil d'Affaires Crimée-Afrique, CABC.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/CP

Le Mouvement International Russophile se structure lors du deuxième Congrès
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A propos de la guerre des mines en République Démocratique Congo

(Par Primo Mukambilwa)

*‘’La guerre des mines ne concerne pas que le Kivu. Le Katanga aussi. Le Kasaï, la Province Orientale, et partout où s'est enfoui un gisement rare et précieux. Les Congolais doivent se liguer pour s'en sortir. Sinon, comme a alerté Mzee Laurent Désiré Kabila, les Congolais seront les esclaves d'autres peuples des grands lacs africains. Faire surtout attention aux peuples transfrontaliers !’’, rappelle Primo Mukambilwa, dans une analyse interceptée sur la toile concernant la guerre des mines en RD. Congo.

La République Démocratique du Congo s'est toujours trompée de stratégie de guerre. Le Rwanda et l'Ouganda nous poussent vers une fausse guerre de territoire à occuper et de pouvoir à prendre. Ils ont ciblé des carrés miniers riches en matières très rentables. Ils empêchent l'armée des patriotes et républicaine de les sécuriser ou de les contrôler si les commandants des troupes déployées par le gouvernement ne collaborent pas. Dans le cas où c'est possible, ils (Rwanda Uganda) achètent, mettent en poche des commandants à esprit faible, cupides, affairistes. 

En temps de paix, ils exploitent ensemble. Tandis qu'en temps de guerre, le terrain est balisé pour étendre le cercle de défense et de sécurisation des voies d'évacuation de coltan, piroclore et autres matières exploitées dans les zones ciblées et occupées. 

Les troupes de la MONUSCO jouent le rôle d'armée d'interposition aussi subtile que seuls les initiés détectent le jeu et les joueurs sur le théâtre des opérations. 

La diplomatie use sciemment des déclarations de cessez-le-feu pour reposer les troupes en débandade, évacuer les produits d'exploitation illicite et réorganiser des nouvelles offensives des  conquêtes  des zones tampon pour de travaux miniers loin des bruits de balles.

Entre temps, le travail souterrain d'affaiblissement des forces loyalistes se poursuit, par la corruption et autres subtiles méthodes cartaginois d'infiltration par le sexe. L'ennemi consolide alors ses forces en plusieurs lignes de défense, autour des collines surplombant les cités minières ou surveillant les agglomérations d’où viendraient les attaques gouvernementales.

Dans cette confusion, chaos organisé, les Occidentaux ont finalement trouvé mieux de financer celui qui contrôle les mines.

C'est la guerre des mines.

Du côté congolais, ils couvrent leurs forfaits en finançant l'humanitaire pour les dégâts collatéraux. Tout l'humanitaire se mobilise, entraîne le gouvernement dans l'alerte générale pour trouver les moyens et tous, nous tombons dans le filet, où les rôles sont bien distribués : le Rwanda et l'Ouganda fournissent les minerais de sang, chassent les yeux curieux et dénonciateurs de la société civile-forces vives des paysans, poussés à abandonner leurs villages, champs et fermes. Ils trouvent désormais des abris de fortune, pratiquement comme les Hutus refoulés du Rwanda en juillet 1994 et se sont retrouvés sur les rues entre Uvira-Bukavu-Goma-Rutshuru ; puis des camps de réfugiés ont été aménagés pour eux. Des véritables villes en bâches estampillées UN (UNITED NATIONS). Les bantous sont pris en otage dans la région des grands lacs. En 2024, on a l'impression que les Congolais ont remplacé les Hutus rwandais refoulés de chez eux en 1994.

Trente ans après, à l'écoute du plaidoyer Mutinga et OCHA à Genève, il y a lieu d'avoir froid au dos : 8,7 millions de personnes en besoin de secours dans le pays !

Il nous faut trouver la voie de sortie, sans nous faire soigner dans l'hôpital du sorcier. Ne nous trompons pas de celui qui organise la guerre, orchestre et distribue les rôles aux Africains néo-colonisés du 21ème  siècle. Les têtes pensantes du Kivu sont décimées pour entretenir le silence total sur les suceurs du sang bantous pour l'enrichissement des multinationales à l'ère de la révolution numérique où les minerais du Kivu et du Katanga attirent tous les prédateurs insoucieux d'aucune éthique prétendument universelle des droits humains, ni de loi commerciale mondiale ou nationale. 

La guerre des mines ne concerne pas que le Kivu. Le Katanga aussi. Le Kasaï, la Province Orientale, et partout où s'est enfoui un gisement rare et précieux. Les Congolais doivent se liguer pour s'en sortir. Sinon, comme a alerté Mzee Laurent Désiré Kabila, les Congolais seront les esclaves d'autres peuples des grands lacs africains. Faire surtout attention aux peuples transfrontaliers !

A propos de la guerre des mines en République Démocratique Congo
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Bruno Lemarquis (ONU): «Ce plan de réponse humanitaire vise à apporter assistance à 8.7 millions de personnes» en RDC

 

Bruno Lemarquis, représentant spécial adjoint en République démocratique du Congo, Coordonnateur résident et Coordonnateur des opérations humanitaires. © un.org

En RDC, les combats (entre l'armée congolaise et le M23 que le Rwanda est accusé de soutenir) font rage depuis le début de ce mois de février autour de Saké, à une vingtaine de km seulement de Goma, provoquant un nouvel afflux de déplacés vers les sites déjà surpeuplés de la capitale du Nord Kivu. Un plan de réponse humanitaire pour 2024 a été lancé la semaine dernière. Les besoins de financement sont immenses : 2,6 milliards de dollars. Notre invité ce matin est Bruno Lemarquis, représentant spécial-adjoint du secrétaire général de l’ONU en RDC et coordonnateur de l’action humanitaire.

RFI : Bruno Lemarquis, comment qualifiez-vous la situation humanitaire dans l'Est de la RDC, notamment dans le Nord-Kivu ? 

Bruno Lemarquis : On peut la qualifier de dramatique. Il y a eu une aggravation de la situation sécuritaire en 2023, début 2024. Et forcément, ça entraîne une aggravation de la situation humanitaire qui est déjà, elle-même, une des plus graves, une des plus sérieuses au monde, une des plus complexes et elle est une des plus négligées au monde. Il y a un 1,2 million de personnes qui ont été déplacées au Nord-Kivu du fait de cette crise du M23, depuis la résurgence de ce mouvement en 2022.

Un million de personnes. 

C’est 1,2 million avec une seule crise, juste avec cette crise. Au total, en RDC, il y a 6,7 millions de personnes qui sont déplacées internes. C'est absolument gigantesque et je vais vous donner d'autres chiffres, qui sont encore plus effrayants. Pour la province de l’Ituri, 40% de la population de la province de l’Ituri est déplacée interne. Et pour la province du Nord-Kivu, 28% de la population est déplacée interne. Donc ce sont des chiffres qui sont vraiment hors de proportion. 

On parle peu des violences sexuelles, combien de cas ont été signalés en 2023 ? 

Alors en 2023, les cas qui ont été rapportés, mais c'est certainement la pointe de l'iceberg, c'est 110.000 cas de violences sexuelles, violences basées sur le genre, notamment à l'Est et notamment dans les sites de déplacés autour de Goma. 500.000 personnes sont autour de la ville de Goma sur un espace géographique très réduit, dans des conditions de promiscuité vraiment très mauvaises. Il y a énormément de problèmes pour fournir l'aide humanitaire, il y a énormément de défis à ce niveau-là. Et donc dans ces sites-là, en particulier, il y a eu une augmentation exponentielle des cas de violences sexuelles.

Face à tous ces drames, vous avez lancé la semaine dernière un appel à la mobilisation de 2,6 milliards de dollars. Pour faire quoi ? Pour sauver combien de personnes ? 

Il y a 25 millions de personnes, un peu moins d'un Congolais ou d’une Congolaise sur 4, qui sont en situation d'insécurité alimentaire. C'est le chiffre le plus grand au monde. Ensuite, il y a des personnes qui ont des vulnérabilités multiples et donc ce plan de réponse humanitaire vise à apporter une assistance d'urgence à 8,7 millions de personnes, ce qu'on appelle les personnes ciblées. 

Ça veut dire que la survie de presque 9 millions de personnes dépend aujourd'hui de cette aide humanitaire ? 

Voilà, tout à fait. 

Mais,  l'an dernier, votre appel de fonds n'a été financé qu'à hauteur de 40%, comment l'expliquez-vous ? La lassitude ? L'indifférence ? 

C'est une crise qui dure depuis trente ans avec les mêmes causes. Une des causes principales, c'est l'exploitation des ressources naturelles, c'est le manque de solutions politiques, etc. Donc oui, il y a une crise qui dure depuis 30 ans, c'est la crise humanitaire la plus prolongée au monde. Donc forcément, il y a un peu de lassitude. C'est un mélange de lassitude et aussi de la pression sur les ressources. Et ça s'explique notamment par la multiplication, la multiplicité, des crises dans le monde entier, notamment des crises qui ont beaucoup plus d'attention au niveau géopolitique, au niveau médiatique, au niveau politique, telles que la crise en Ukraine, la crise au Moyen-Orient. Donc il y a vraiment une pression sur les ressources. En RDC, on parle de montants considérables, donc le fait qu'on ait été financé à 40% en 2023, ça veut tout de même dire que près d'un milliard de dollars a été octroyé par les bailleurs de fonds et ils font énormément d'efforts ici. Mais il y a une grosse pression sur les ressources et les besoins sont bien trop élevés.

Donc on fait constamment un plaidoyer pour augmenter ce taux de réponse. 40%, ça veut dire qu’on est obligés de faire des choix. C'est très difficile de faire ces choix – Où est-ce qu'on alloue les ressources ? A  quelle province ? À quelle communauté ? Pour quelle crise ? – tellement il y a de besoins. Moi, je visite de manière assez régulière ces sites de déplacés. Les gens sont fatigués, fatigués, fatigués. Ils veulent la paix, ils veulent la sécurité, ils veulent rentrer chez eux, ils veulent travailler leur terre, les enfants veulent aller à l'école, les adolescents parlent beaucoup de formations professionnelles, ils veulent apprendre des métiers, ils veulent avoir une autre alternative que de rejoindre des groupes armés pour gagner leur vie. 

Et c'est dans ce contexte de montée des tensions que la Monusco va se désengager. Comment vivez-vous les récentes manifestations anti-occidentales ? 

Ces récentes manifestations n'ont pas visé que des chancelleries occidentales, elles ont visé au-delà et ont également touché les Nations unies. C'est un peu une exaspération de ce qui se passe à l'Est qui a entraîné ces mouvements. Le gouvernement a depuis pris des mesures assez fortes pour que la situation soit apaisée à Kinshasa.

Rfi

 

Bruno Lemarquis (ONU): «Ce plan de réponse humanitaire vise à apporter assistance à 8.7 millions de personnes» en RDC
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La Cour d'Appel de Kinshasa/Gombe fait peau neuve, RDC : Me Clément Kisaka félicite Félix Tshisekedi !

Me Clément Kisaka kia-Ngoyi

Les travaux en cours dévoile déjà, non seulement la beauté qu’elle revêtira, mais aussi, son futur caractère imposant.

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C'est un bon début.

Que cela se fasse, dans le temps, sur toute l'étendue de la RDC.

Bravo Fatshi !

Me Clément Kisaka kia-Ngoyi

Le pari acoustique de Tiken Jah Fakoly

La Cour d'Appel de Kinshasa/Gombe fait peau neuve, RDC : Me Clément Kisaka félicite Félix Tshisekedi !
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Après 8 mois d’enquête, Le Parquet Général près la Cour de Cassation conclut au suicide de Chérubin Okende

Il a fallu 8 mois pour que finalement le Parquet général près la Cour de Cassation se prononce sur les circonstances ayant entourée la mort de Chérubin Okende. Au cours d’une conférence de presse de ce jeudi 29 février, le Procureur Général près la Cour de Cassation a officiellement annoncé qu'après enquête approfondie, la conclusion du rapport démontre que Feu Chérubin Okende s'est suicidé. Il y a lieu de rappeler que cette enquête a eu à bénéficier de l’apport des experts étrangers et locaux ainsi que l’appui de la MONUSCO et les experts du Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l'homme.

Un des experts a présenté en détail le déroulement de l’enquête menée par une équipe d’experts mixtes, comprenant des professionnels sud-africains et congolais, ainsi que d’autres experts internationaux. Les résultats de l’autopsie et les constatations effectuées sur la scène du crime ont conduit à la conclusion que M. Okende s’est suicidé. L’arme utilisée, un pistolet, a été retrouvée à proximité de son corps.

En outre, le PGR a fait savoir que le bureau privé de l’ancien ministre des Transports a été perquisitionné. Il a été révélé la découverte d’une lettre où le Regretté ministre des Transports s’avouait être au bout du rouleau. Difficile d’interpréter la suite étant donné que les pages suivantes ont été arrachées.

Selon les données du téléphone de l’ancien porte-parole du parti de Katumbi, exploitées par les enquêteurs, Chérubin Okende était, le 11 juillet 2023 vers 16 heures, la veille de sa mort, aux environs de l’avenue Sendwe dans la Commune de Kalamu. Une version qui bat en brèche celle de sa présence aux mêmes heures dans les locaux de la Cour Constitutionnelle. Plus tard, le même jour, son téléphone s’est connecté à une antenne relais vers l’aéroport de Ndolo dans la commune de Barumbu.

Vive réaction

Le parti de Moïse Katumbi a vivement contesté cette annonce du PGR, le qualifiant de mensongère et dépourvue de toute base procédurale. Selon Hervé Diakiese, porte-parole du parti politique Ensemble pour la République, seul un rapport d’autopsie pourrait éclaircir véritablement les circonstances de la mort de Chérubin Okende.

“À part les assassins, ni le PGR ni qui que ce soit d’autre n’a vécu les derniers instants de Feu Chérubin Okende. La version sidérante du parquet ne repose sur aucun élément procédural. Seul le rapport d’autopsie peut relater les causes et les circonstances probables de la mort”, a-t-il déclaré.

Assassiné le 13 juillet dernier à Kinshasa, le corps de Chérubin Okende attend toujours pour être inhumé. La famille et son entourage ont pris la décision d’organiser les funérailles de l’ancien ministre des Transports et Voies de communication. Cette décision a été annoncée jeudi 1er février 2024 après une rencontre avec le Procureur général près le tribunal de grande instance de Gombe.

La Pros.

Après 8 mois d’enquête, Le Parquet Général près la Cour de Cassation conclut au suicide de Chérubin Okende
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Secrétariat Général aux PTNTIC : , L’Intersyndicale réclame la paie de la nouvelle grille barémique de la prime permanente en faveur des Agents et Cadres

 

Par la lettre du 19 février 2024, l'Intersyndicale du Ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l'Information et Communication (PTNTIC) a demandé au Ministre d'Etat, Ministre du  Budget, d'ordonner dès le mois d'avril 2024, la paie de la nouvelle grille barémique de la prime permanente en faveur des Agents et Cadres du Secrétariat Général aux PTNTIC. Faute d'ordonner l'application du barème du 25 août 2022 qui ne coûte pas les yeux de la tête, souligne l’Intersyndicale dans une déclaration signée par son président le 28 février 2024, les Agents du Ministère des PTNTIC ne tarderont pas de se ranger derrière leurs Organisations Syndicales Représentatives constituées en Intersyndicale, pour faire valoir leurs droits par les actions syndicales de grande envergure, et ce conformément aux textes légaux et réglementaires en vigueur en la matière. Ci-après, la déclaration de l’Intersyndicale du Ministère des PTNTIC.

 

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