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Alors que l’Ambassadeur Atundu vient de tourner la page FCC :Ngoy Mulunda, Ferdinand Kambere… réaffirment leur soutien à Joseph Kabila

Le jeu politique se corse en République démocratique du Congo à quelque 9 mois des joutes électorales. Les alliances se font et se défont. L’annonce du départ de l’ambassadeur Alain Atundu est un coup dur pour le Front commun pour le Congo (FCC). Ça continue à faire jaser au sein de cette ancienne plateforme de la majorité présidentielle. Plutôt que de verser dans les jérémiades, ceux qui sont restés fidèles à Joseph Kabila, ont choisi de se serrer les coudes en réaffirmant leur loyauté à leur autorité morale.
Daniel Ngoy Mulunda et Ferdinand Kambere ont choisi de réaffirmer à haute et intelligible voix leur loyauté à Joseph Kabila. L’ancien président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) dit rester aux côtés de Joseph Kabila sans clignoter les yeux. Pasteur de l’église Méthodiste a martelé : « Je suis bien-là où je suis. Je reste avec Joseph Kabila Kabange. Je ne viendrai jamais à l’Union sacrée. Vous attendrez très longtemps».
Tandis que Ferdinand Kambere, secrétaire général adjoint du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), a tenu à rappeler aux « déserteurs » que l’adhésion au sein de l’Union Sacrée de la nation n’aura « aucun impact positif » dans le vécu quotidien de la population.
«L’Union sacrée nous a montré ses limites dans la gestion des questions essentielles qui concernent la vie de la Nation, comme les questions sécuritaires, économiques du pays. Tous ceux qui partent aujourd’hui, ils ne vont rien apporter comme solution, et la sanction sera sévère. Les élections transparentes, démocratiques vont être organisées. Si les gens pensent que c’est à l’Union Sacrée qu’ils vont se retrouver, nous ne pouvons souhaiter que bon vent », a-t-il rappelé.
Pour Ferdinand Kambere rapporte la même source, cette transhumance politique frise un manque de constance de la part de certains leaders politiques congolais. À l’en croire, le FCC reste imperturbable et va demeurer dans la résistance, même avec un nombre réduit de membre, jusqu’à l’avènement d’un nouveau régime.
“J’ai tourné la page Mobutu puis la page Kabila, et aujourd’hui j’écris la page Tshisekedi”
André-Alain Atundu continue de défrayer la chronique après l’annonce de son départ du FCC. Dans une récente interview à Jeune Afrique, il revient sur son parcours et explique son ralliement au chef de l’État, qu’il voit comme une ‘nouvelle page’ de l’histoire de la RD Congo après Mobutu et Kabila.
Atundu se souvient de son arrivée au pouvoir avec Mobutu, de son ascension au sein du régime. Il reconnaît les ‘erreurs’ et les ‘dérives’ du système Mobutu, tout en soulignant les investissements réalisés à l’époque dans l’éducation et les infrastructures.
Aujourd’hui, Atundu soutient Félix Tshisekedi et son projet de réformes. Il appelle les Congolais à ‘tourner la page des extrêmes’ et à ‘consolider les acquis démocratiques’. Il se dit ‘fier d’écrire une nouvelle page de l’histoire de la RD Congo’ aux côtés de Tshisekedi, dans la continuité d’une ‘deuxième indépendance’ du pays amorcée en 2019.
Cet engagement reflète la volonté d’Atundu de rester un acteur politique de premier plan en RD Congo, en naviguant entre les régimes qui se sont succédé au pouvoir depuis plus de 40 ans».
Emma Muntu

 

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Elections 2023 : la CENI entame l’opération de toilettage du Fichier Electoral

Tout est fait pour respecter scrupuleusement le calendrier électoral, afin de permettre d’organiser, dans le délai constitutionnel, le scrutin électoral. Pour ce faire, le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, a visité, mercredi 22 mars 2023, le Centre National de Traitement (CNT), à la Direction Informatique du Secrétariat Exécutif National de la CENI, situé au siège de ladite institution, où s'effectue actuellement l'opération de toilettage du Fichier Électoral.
Conformément à son calendrier publié le 26 novembre 2022, la CENI a démarré le traitement des données statistiques pour détecter les cas des doublons, les cas d'enfants et les photos des photos, en vue de les supprimer pour avoir un Fichier Électoral consolidé et fiable.
Après cette visite de travail à l'interne, le Numéro un de la CENI a expliqué la pertinence de cette opération. «Nous sommes dans cette salle où les équipes de la CENI s'occupent maintenant du dédoublonnage. Nous avions dit que les gens pouvaient s'enrôler autant de fois qu'ils veulent, mais à un certain moment, à partir d'une technologie très avancée, nous allons détecter les enfants, les photos des photos et autres problèmes indésirables sur base desquels nous allions faire l'adjudication », a explicité Denis Kadima Kazadi.
A l’en croire, il y a des cas qui seront rejetés et d'autres qui seront confirmés. «C'est ici l'occasion de préciser que les enfants ont été utilisés pour gonfler le nombre des électeurs dans certaines circonscriptions. Laissez-moi vous répéter que cette pratique ne passera pas grâce à la technologie que la CENI a développée au fil des années ».
Pour conclure, Denis Kadima a tranquillisé les requérants qui ont respecté les prescrits de la loi. « Que les personnes qui se font enrôler de façon honnête se tranquillisent, seul les cas illicites seront écartés. En revanche, nous n'allons retenir que les personnes légitimes qui ont répondu aux exigences de la loi », a-t-il déclaré.
Pour rappel, l'opération du toilettage du Fichier Électoral a été programmée dans le calendrier électoral à l'intervalle de mi-avril et mi-mai, c'est-à-dire du 15 avril au 14 mai 2023.
MB

Elections 2023 : la CENI entame l’opération de toilettage du Fichier Electoral
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Non au glissement, non au dialogue, non à la transition, 2023 : Junior Mambembe Tshiaki et l’APCN prêts à offrir un deuxième mandat à Félix Tshisekedi

Junior Mambembe Tshiaki, Président du Parti politique Alliance pour un Congo Nouveau (APCN), affûte ses armes en perspective de prochaines joutes électorales, fixées au mois de décembre prochain par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Il fustige des appels à la transition qui fusent de toute part depuis un temps. Pour lui, en effet, la RDC n’a aucunement vocation à briser l’élan démocratique dans lequel elle a pu, contre vents et marées, poser des bases après l’alternance pacifique survenue au sommet de l’Etat en 2019.
Junior Mambembe Tshiaki appelle la classe politique à se préparer en conséquence pour les élections et prévient, toutefois, ceux qui penseraient damer le pion au Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo que la pilule sera à la fois dure et amère à avaler au vu des actions réalisés par le fils du sphinx au cours de son premier quinquennat. Junior Mambembe rassure qu’il mettra tout en œuvre, avec son parti l’APCN, pour offrir un deuxième mandat à Félix Tshisekedi, Chef de l’Etat, pour permettre à ce dernier de poursuivre sa bataille visant à réveiller le géant au cœur du continent de son profond sommeil après le passage de tous ses prédécesseurs à la tête du pays. Dans une communication faite hier, jeudi 24 mars 2023, le Géniteur de l’Alliance pour un Congo Nouveau (APCN) exhorte le Président Tshisekedi à ne pas prêter attention aux fournisseurs d’illusions qui ne jurent manifestement que par le partage du gâteau pendant que le peuple congolais attend et entend désigner ses nouveaux dirigeants au niveau du Parlement.
La Pros.

COMMUNICATION DE PRESSE DE L'ALLIANCE POUR UN CONGO NOUVEAU (APCN)
L'Alliance Pour un Congo Nouveau, APCN en sigle, Parti cher à l'honorable Junior MAMBEMBE TSHIAKI, ne jure que par la conquête du pouvoir qui émane de la volonté populaire par voie électorale.
A 8 mois de la tenue des élections libres, crédibles et transparentes en République Démocratique du Congo, l'APCN invite toute la classe politique consciencieuse à se préparer pour les prochaines échéances, prévues en décembre 2023, en vue du rajeunissement de la classe politique, mettant en scène la jeunesse ainsi que la femme.
N'en déplaise aux ennemis de la démocratie, aux idées limitées, qui n'ont rien à offrir à la République et obnubilés par un obscurantisme qui ne dit pas son nom.
Dans une quête inlassable de l'électorat, l'APCN travaille dur comme fer afin d'offrir une majorité écrasante au chef de l'état, Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, dont le second mandat est garanti par la constitution, fort d'un bilan jugé largement positif par le regard optimiste.
Vouloir le partage du pouvoir par la volonté d'un glissement, est tout à fait antidémocratique, suicidaire et aberrant, car la vraie légitimité est une émanation des élections et non des arrangements politiques à la congolaise, comme le proposent certains opposants et quelques thuriféraires en perte de vitesse, voyant leur avenir politique s’obscurcir par manque des stratégies politiques.
En effet, la constitution est claire en son article 70, qu'en cas d'élection ou non, le chef de l'état reste en fonction jusqu'à l'organisation des nouvelles élections et l'installation du nouveau président élu.
Du reste, nous encourageons le Président Fatshi à ne pas céder à des propositions démoniaques qui ne visent que le partage du gâteau pour satisfaire des intérêts égoïstes. Quant à la situation de nos compatriotes de l'est nous sommes de cœur avec eux, et espérons que techniquement, la CENI pourra, dans le délai, organiser les élections dans cette partie du pays encore sous contrôle des ennemis.
Pour le Congo, décidons ensemble. Pour Alliance Pour un Congo Nouveau(APCN)
Junior MAMBEMBE TSHIAKI Président National

 

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En prévision des élections de 2023 : L’UDPS ne va pas payer la caution pour ses candidats

A quelques 9 mois des élections en République démocratique du Congo, le parti présidentiel, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) vient de fixer les règles du jeu sur les conditions de participation de ses candidats à ces joutes électorales. Toute facilité de payer pour chaque postulant la caution est exclue. Cette décision se trouve éclaircie dans une circulaire signée lundi 20 mars par son secrétaire général, Augustin Kabuya, invitant les candidats à payer chacun sa caution du reste non-remboursable.
Et d’ajouter : “Après le retrait et le remplissage de la fiche de candidature, son dépôt à la Commission Electorale Permanente est subordonné au versement de la caution fixée en francs congolais et non remboursable”.
De ce fait, pour la députation nationale la caution est fixée à 550.000 FC, députation provinciale : 250.000 FC et l’élection municipale et communale : 45.000 FC.
Il sied de préciser que le montant de la caution n’est pas encore fixé par la CENI en attendant l’examen et adoption par le parlement de la loi sur la répartition des sièges.
Par ailleurs, le président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima qui vient de séjourner en France et en Belgique a eu à procéder à l’évaluation du déroulement du processus d’identification et d’enrôlement des Congolais résidant dans ces pays avant sa clôture le 21 mars 2023.
En conclusion, la CENI rassure que le 20 décembre 2023, il y aura élection. Et d’indiquer : «Nous avons un calendrier et si vous le consultez, vous aller voir que nous sommes à jour, les choses évoluent telle que prévues et nous sommes optimistes».
Emma Muntu

En prévision des élections de 2023 : L’UDPS ne va pas payer la caution pour ses candidats
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Nouvelle plateforme électorale, RDC : Laurent Batumona porté à la tête de ‘‘L’Alliance et Action pour l’Etat de droit’’

L’Honorable Laurent Batumona est l’Autorité Morale de la nouvelle plateforme électorale dénommée ‘’Alliance et Action de l’Etat de droit’’. Plus de cinquante forces politiques, des dignitaires et des personnalités ont procédé, mardi 21 mars 2023, dans la matinée, à la signature de la Charte pour la réélection de Félix Tshisekedi Tshilombo au poste de Président de la République pour un deuxième mandat. Les personnalités politiques et dignitaires de la République s’accoudent sur leur longue expérience pour apporter de l’eau au moulin de Félix Tshisekedi dans sa volonté politique de revêtir la RDC de sa plus belle robe de progrès.
L’objectif, c’est la réélection de Tshisekedi Tshilombo pour lui permettre de parachever les actions sociales et de développement qu’il a déjà entamées depuis son premier mandat, soit de 2018 à 2023. Car, l’épanouissement de la population dépend du programme du développement du Pays à travers les 145 territoires que les signataires de la charte tiennent mordicus à son aboutissement pour l’intérêt de tous. Le document de ladite Charte souligne les principales missions assignées aux signataires. C’est, entre autres, l’obtention d’une majorité à l’Assemblée Nationale et au Sénat afin de donner une réponse aux problèmes de développement.
La mise en place de cette plateforme électorale dénommée ‘’Alliance et Action pour l’Etat de Droit’’ en République Démocratique du Congo tombe à point nommé selon le superviseur Laurent Batumona. Ceci, pour élaborer des stratégies électorales qui visent à la réélection de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à l’élection présidentielle de 2023.
La signature de cette Charte constitue, dit-il, une nouvelle étape dans le processus de développement à la base que le Président de la République a entamé depuis qu’il est au pouvoir. Après de laborieuses discussions, plus de Cinquante partis politiques, des personnalités, dignitaires de la République et du genre se sont convenus à apposer leur signature pour offrir à Félix Tshisekedi une majorité confortable au Parlement.
Toutes les parties concernées par cette Charte devront dès à présent s’entretenir collectivement autour de l’Honorable Laurent Batumona, qui supervise ‘’l’Alliance et Action pour l’Etat de Droit’’ afin de monter des stratégies électorales pour parvenir à atteindre le but qu’ils se sont fixés.
En outre, la Charte s’arrange pour avoir une écrasante majorité au sein de l’Assemblée nationale, au Sénat et avoir une mainmise sur les provinces.
Les signataires se sont convenus à se serrer les coudes dans l’amitié comme un seul homme, s’investir pour la cohésion nationale, en s’inspirant de la vision du Président Félix Tshisekedi.
A la différence de l’Union Sacré de la Nation qui œuvrait pour la promotion des actions du Président Fatshi, l’Alliance et Action pour l’Etat de Droit se charge d’une mission électorale. Plusieurs leaders de taille dans l’agora politique de la RDC sont un renfort de poids au sein d’AE pour mettre en place des stratégies efficaces en vue de la réélection de Félix Tshisekedi. Les figures de proue tel l’ancien gouverneur de la Banque Centrale du Congo, Jean-Claude Masangu, Mbelenge, Jean-Marie Elesse, Lambert Mende, Jean-Marie Bomboko, Madame Kitembo, Madame Ngalula et autres ont posé pour une photo de famille.
La Pros.

 

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Coopération entre formations politiques de l'International Socialiste : L’UDPS et l’ANC de Nelson Mandela participent à un séminaire d’échanges d’expériences politiques à Kinshasa

Le Congrès national africain, formation politique du héros Sud-africain Nelson Mandela et l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) décident de convoler en justes nonces. En effet, depuis quelques jours, une forte délégation des représentants de l’ANC séjourne à Kinshasa, pour passer à la phase de matérialisation de ce pacte. Ils ont été reçus par Augustin Kabuya, secrétaire général du parti au pouvoir, avec qui, ils ont longuement échangé.
Déjà, les deux formations politiques au pouvoir, respectivement l’ANC en Afrique du Sud et l’UDPS en République démocratique du Congo ont ouvert, depuis ce lundi 20 mars 2023, un atelier de trois jours dénommé ‘’école mixte UDPS-ANC’’ à Kinshasa, soit du 20 au 23 mars, dont l’objectif se révèle le partage des expériences vécues sur le plan politique.
La délégation Sud-africaine est conduite par M. David Makhura, membre du Conseil exécutif de l'ANC et Gouverneur Honoraire de la province de GAUTENG, en Afrique du Sud. Dans la délégation, se trouve aussi Mme BATHABILE DLAMINI, Membre du Conseil Exécutif de l'ANC et présidente honoraire de la ligue des femmes, mais aussi les experts des élections et campagne et le chargé des Affaires Internationales, tous membres de l'ANC.
A leur arrivée à Kinshasa, le secrétaire général de l’UDPS les a fait visiter quelques endroits mémorables de la capitale congolaise dont la place Echangeurs de Limete, à la tombe du héros national Patrice Emery Lumumba ainsi qu’au mausolée du Dr Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, fondateur du parti au pouvoir. Augustin Kabuya a retracé à ses hôtes quelques des moments épineux qu’a passé l’UDPS durant les 37 ans de lutte dans l’opposition. « Notre histoire est vraiment complexe, explique-t-il. Nous avons connu plusieurs zones de turbulences avant d'arriver au pouvoir. Les régimes dictatoriaux qui se sont succédés avant nous, nous ont causé beaucoup de tort. Entre 2011 et 2016, nos sièges ont été régulièrement saccagés et incendiés.
Particulièrement le 19 et le 20 septembre 2016, nos militants ont été brûlés vifs ici à la permanence simplement puisqu'ils réclamaient la convocation du Corps électoral dans le délai constitutionnel, tandis que plusieurs de nos membres ont été exécutés sommairement, enterrés dans des fosses communes et mis dans des sacs pour être jetés dans les rivières. Certains ont, par ailleurs, fait l'objet de la ségrégation dans les milieux professionnels à cause de leurs origines et appartenances politiques à l'UDPS. Et, ne pouvant pas travailler dans ces conditions, la plupart d'entre eux s'étaient vus dans l'obligation de changer leurs origines pour conserver leurs jobs ou avoir des promotions (...) », a-t-il relaté.
Enfin, le numéro 1 du parti au pouvoir a conclu que « Malgré les atrocités que nous avons traversées, nous avons tout de même copié le modèle de la politique de pardon appliquée en Afrique du Sud par Nelson Mandela. Car, notre histoire tragique décrite succinctement ci-haut ne pouvait pas, en réalité, nous permettre de nous asseoir avec nos supplicier. Si donc nous devions revenir au passé, plusieurs ferons la prison ».
Fidel Songo

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Union sacrée de la Nation, RDC : André-Alain Atundu prêt à offrir de loyaux services à Félix Tshisekedi

Pour contribuer à la cohésion nationale et au leadership du Président de la RDC, Félix-Tshisekedi dans la conduite de l’action du développement du pays, André-Alain Atundu Liongo, Président national du parti politique convention pour la démocratie et la république, CDR en sigle, a annoncé son adhésion à l’Union sacrée de la nation. C’était au cours d’une conférence de presse tenue dans l’enceinte du cercle de Kinshasa, le 20 mars dernier.
Devant les chevaliers de la plume et du micro, Alain Atundu a exprimé tout haut son désir de rejoindre la famille politique du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi, afin d’offrir ses services. « L’évolution de l’Etat détermine le comportement de l’homme politique en fonction des dispositions constitutionnelles de gouvernance et de sa perception individuelle de l’intérêt majeur et structurel des populations. Le développement du pays et l’épanouissement de nos populations établissent que leur intérêt majeur et bien compris réside dans le programme du développement pays à partir de 145 territoires. Une version économique et managériale de la décentralisation politique. Cette conviction profonde m’amené aujourd’hui à opter à œuvrer avec le Chef de l’Etat dans ce cadre et partant à intégrer la mouvance présidentielle à travers la structure qu’il a mise en place : l’Union sacrée de la Nation », a-t-il déclaré, avant toutefois de préciser que la cohésion nationale et la synergie d’action de tous les acteurs politiques s’imposent comme condition sine qua non pour la survie de l’Etat et pour que la voix de la République Démocratique du Congo soit discordance dans une belle production symphonique grâce à une coexistence plurielle et démocratique telle que reconnue par la Constitution.
A l’en croire, le développement du pays et l’épanouissement des populations sont conditionnés par la paix. Il a affirmé qu’il va œuvrer sous l’éminente direction du Chef de l’Etat, pour l’effectivité de son leadership par la conquête des territoires congolais occupés par les agresseurs.
Cet ancien cadre du PPRD a justifié sa décision par sa volonté de travailler aux côtés du Président Tshisekedi pour la cohésion nationale. « Je suis convaincu de travailler avec le Chef de l’Etat pour la Cohésion nationale et l’opinion sera bientôt fixée sur notre adhésion à un regroupement politique de l’Union sacrée », a-t-il déclaré.
Ronsard Malumalu, Elise Assumani et Sarah Tamfumu

 

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Sous l’encadrement de Laurent Batumona, MSC : Virginie Lifoa, femme leader de la DVL suscite l’admiration à Kimbanseke

*Le leadership de la femme est au centre de débats qui se déroulent actuellement dans le cadre de la journée internationale des femmes 2023 sur le thème : « Pour un monde digital inclusif : innovation et technologies pour l’égalité des sexes ». La Dynamique Virginie Lifoa Liembe (DVL) fait entendre sa voix inspirante aux femmes de la commune de Kimbanseke, district de la Tshangu sur le bien de l’adhésion de sa fondation au MSC. Avec sa ténacité et sa capacité de mobilisation. Elle draine derrière le Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC), des milliers des femmes pour soutenir la vision salutaire de son Autorité Morale, Laurent Batumona. Selon elle, l’Honorable Laurent Batumona incarne la conviction et le travail de terrain pour le social qu’il considère comme priorité des priorités. ‘’ Si la DVL a porté son dévolu sur le MSC, de l’honorable Laurent Batumona, la raison est que ce Parti politique au-delà de son idéologie place l’Homme au centre de son action ; ce Mouvement ainsi que son Président brillent dans le pragmatisme’’.
Les femmes de la Tshangu regroupées au sein de la Dynamique Virginie Lifoa se sont appropriées la vision de la Coordonnatrice de la DVL. Cette vision consiste à adhérer au Mouvement de Solidarité pour le Changement, en sigle MSC, de l’Honorable Laurent Batumona. A l’occasion de la cérémonie d’adhésion, qui coïncide avec le mois de la Femme, la Coordonnatrice de la Dynamique Virginie Lifoa avait sensibilisé les femmes de Kimbanseke et décideurs sur leurs droits et l’égalité pour un monde digital inclusif avec  l’innovation sur le changement technologique et l’éducation à l’ère du numérique pour réaliser l’autonomisation des femmes et des filles.
En Présence de l’Autorité Morale du MSC, Laurent Batumona, la Coordinatrice de la Dynamique Virginie LIFOA a expliqué que la DVL est une Fondation d’utilité publique qui a son fief à Kimbanseke, dans le District de la Tshangu. Fixant l’opinion sur sa décision d’adhérer au MSC elle explique : ‘’La signification profonde de l’adhésion de la DVL n’est autre que de le partage des valeurs qui nous lient’’. Nous avons un dénominateur commun : l’amélioration du social de nos communautés par le biais d’une approche holistique, a-t-elle souligné. Conjointement, les deux structures mèneront des actions concrètes d’utilité publique sur terrain à travers la mutualisation des forces et des intelligences. ‘’Le District de Tshangu, a-t-elle poursuivi, a toujours été relégué au second plan. Que des promesses sur promesse ce qui n’est pas le cas avec Laurent Batumona. ‘’Si la DVL a porté son dévolu sur le MSC, la raison est que ce Parti politique au-delà de son idéologie place l’Homme au centre de son action ; le MSC ainsi que son Président brillent dans le pragmatisme.
Diriger selon des principes féministes, c’est redéfinir les concepts de valeur et de succès, bâtir une communauté et nouer des relations, et, au final, remédier aux causes de la mise en place de normes sociales qui ne peuvent pas entraver le progrès des femmes et des filles.
Elle a insisté sur le besoin d’un leadership féministe transformateur pour relever les défis sans précédent que connaît la population de Kimbanseke. « Cette transformation ne sera possible que si nous changeons notre manière de prendre des décisions, de communiquer avec nos téléphones et à travers l’inclusion et la participation, notamment des femmes défavorisées et de celles qui sont souvent sans voix. » Selon elle, un leader féministe reconnaît que toutes les femmes et tous les hommes méritent, à chances égales, de poursuivre une vie qui épanouie et de mettre en place des structures visant à aider les autres, à réaliser leur potentiel et à provoquer un véritable changement », a soutenu la Coordinatrice de DVL.
Faire entendre les voix des femmes afin d’améliorer leur situation
La cérémonie d’adhésion de DVL au MSC constitue en effet pour beaucoup de femmes une opportunité d’échanger sur les questions de société et surtout d’examiner le pas franchi avec le Parti cher de l’Honorable le Mouvement de Solidarité pour le Changement dans le domaine de la promotion des femmes et autres. Il s’agit aussi d’analyser les atouts et les obstacles afin de les contourner, pour aboutir à l’émergence effective de la femme dans la commune de Kimbanseke. La cérémonie a permis également de se prononcer en particulier sur le soutien des actions du Président de la République dans le processus électoral de 2023. Pour la Coordinatrice de la DVL, Virginie Lifoa Liembe a fait un plaidoyer pour améliorer les conditions socio-économiques pour la Tshangu. Elle a attiré l’attention sur la participation des femmes congolaises au destin commun de la RDC.
Présent à la cérémonie, l’Autorité Morale du MSC Laurent Batumona a délivré un message aux femmes de la DVL. Il a insisté sur le soutien à 100% de la candidature de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour lui accorder un deuxième mandat. L’Honorable Laurent Batumona a, ensuite, salué les femmes de la Tshangu pour « les actes de courage et de détermination qu’elles accomplissent au quotidien, notamment en matière de recherche de la paix, de réconciliation nationale et surtout de cohésion sociale ». Il a invité la plus haute autorité provinciale de Kinshasa à accorder davantage l’attention à l’amélioration du sort des femmes en réhabilitant les infrastructures routières, et de services tels la Regideso et la Snel. Une manière d’inviter les plus hautes autorités du pays à mettre en place des politiques favorables à l’épanouissement des femmes.
La Pros.

 

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Assemblée nationale : la FDC insiste sur l’alignement à la plénière de la loi Tshiani

La Force du changement (FDC), parti politique cher à Noël Tshiani, a battu le pavé le 17 mars dernier pour demander à l’Assemblée nationale d’aligner, pour débat et vote, la Loi Tshiani, au cours de cette session de mars 2023. Cette loi portée par le député national Nsingi Pululu, a pour but de protéger la République Démocratique du Congo contre les infiltrations au sommet de l’Etat et dans certaines fonctions de souveraineté nationale, d’après son initiateur, Noël Tshiani.
«A la suite de la marche de souveraineté que nous avons organisée ce 17 mars pour demander à l’Assemblée nationale d’aligner, pour débat et vote pendant cette session, la proposition de la loi Tshiani. C’est pour informer la communauté tant nationale qu’internationale que nous sommes pour la souveraineté nationale, l’intégrité territoriale, l’unité nationale, le développement économique et social, dire non au tribalisme, au racisme et à la balkanisation planifiée de notre très cher et beau Pays. Le peuple congolais en un seul, vous adresse le mémorandum que je vous prie de trouver en annexe à la présente», soutient celui que l’on surnomme de père et de mère, au sommaire de son initiative.
Poursuivant sa démarche, le professeur Tshiani a lancé un appel interpellateur au nom du peuple congolais sur les personnes malveillantes qui ne cessent de convoiter les richesses de la RD. Congo. «Nous, peuple congolais, soucieux de la sécurité et de la protection de l’ensemble du territoire congolais où l’idée de la Balkanisation demeure un projet par ceux qui ne cessent de convoiter son immense richesse, sa grandeur d’un pays continent et ses diverses cultures (…), nous demandons aux pays étrangers et leurs groupes de lobbyistes de ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures de la République Démocratique du Congo en cherchant à nous imposer des dirigeants qui seraient à leur solde et travailleraient contre les intérêts supérieurs du peuple souverain. Disons non au tribalisme, au racisme, à la xénophobe et la balkanisation planifiée», peut-on lire encore.
D’après lui : « Nous sommes pour la coopération gagnant-gagnant avec tous les pays étrangers et toutes les institutions internationales bilatérale et multilatérale qui veulent sincèrement participer à nos efforts de développement pour le bénéfice de nos populations appauvries et clochardisées depuis des décennies ».
Pour finir, ce dernier a convié les honorables députés nationaux et sénateurs à prendre leurs responsabilités en tant que représentants légitimes du peuple souverain pour sauver le pays contre ces infiltrations, « mobilisons-nous tous pour défendre la terre de nos ancêtres en protégeant la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale de la République Démocratique du Congo », insiste-t-il.
Israël Boma

 

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Prochaine décennie 2024-2035 : Adolphe Muzito annonce le réveil du Grand Congo !

‘’La RDC rattrapera ainsi, en une décennie, son retard de six dernières décennies dans le domaine des infrastructures de base, en affectant à cette rubrique 20% de ses rentrées fiscales de la période (2024-2035)’’, affirme-t-il. ‘’Le coût global de la construction et du développement de la RDC de notre projet s’inscrit dans un plan global de 30 ans. Le budget de la première décennie comprend le coût du plan décennal de la construction et celui des réformes qui l’accompagnent. Les diverses sources de financement du plan et des réformes (y compris externes) font partie du projet de notre offre. Ladite offre, en cours d’élaboration au contact avec les forces sociales, sera déclinée et exposée au fur et à mesure’’, annonce-t-il.
‘’Selon les calculs et les premières hypothèses retenues dans notre offre politique, en cours d’élaboration, la décennie prochaine (2024-2035) sera celle de la libération et du réveil du Géant Congo, sous réserve de l’application des réformes essentielles que nous préconisons. Ayant franchi son seuil de souveraineté budgétaire de 10 milliards $US en ressources propres, l’Etat Congolais présente des perspectives de réalisation au courant des années prochaines, de deux fois plus de ressources budgétaires en une décennie, soit 165 milliards $US, comparées à celles de six dernières décennies de notre indépendance, soit 82 milliards $US (1961-2020)’’, précise-t-il.
A l’en croire, ‘’la RDC rattrapera ainsi, en une décennie, son retard de six dernières décennies dans le domaine des infrastructures de base, en affectant à cette rubrique 20% de ses rentrées fiscales de la période (2024-2035).
‘’Notre prospective, en partant des données actuelles du cadrage macroéconomique 2023 du Gouvernement, repose sur une double hypothèse, peu ambitieuse dans un premier temps, d’un taux de croissance annuel moyen de 7% pour la période et d’une pression fiscale de 17,5% sur le PIB’’.
Le coût global de la construction et du développement de la RDC de notre projet s’inscrit dans un plan global de 30 ans’’, renchérit-il.
LPM
Annonce du projet d’offre politique d’Adolphe Muzito et du Nouvel Elan
ELECTIONS 2023
DOC. 1
Selon les calculs et les premières hypothèses retenues dans notre offre politique, en cours d’élaboration, la décennie prochaine (2024-2035) sera celle de la libération et du réveil du Géant Congo, sous réserve de l’application des réformes essentielles que nous préconisons. Ayant franchi son seuil de souveraineté budgétaire de 10 milliards $US en ressources propres, l’Etat Congolais présente des perspectives de réalisation au courant des années prochaines, de deux fois plus de ressources budgétaires en une décennie, soit 165 milliards $US, comparées à celles de six dernières décennies de notre indépendance, soit 82 milliards $US (1961-2020).
La RDC rattrapera ainsi, en une décennie, son retard de six dernières décennies dans le domaine des infrastructures de base, en affectant à cette rubrique 20% de ses rentrées fiscales de la période (2024-2035).
Notre prospective, en partant des données actuelles du cadrage macroéconomique 2023 du Gouvernement, repose sur une double hypothèse, peu ambitieuse dans un premier temps, d’un taux de croissance annuel moyen de 7% pour la période et d’une pression fiscale de 17,5% sur le PIB.
Le coût global de la construction et du développement de la RDC de notre projet s’inscrit dans un plan global de 30 ans.
Le budget de la première décennie comprend le coût du plan décennal de la construction et celui des réformes qui l’accompagnent.
Les diverses sources de financement du plan et des réformes (y compris externes) font partie du projet de notre offre. Ladite offre, en cours d’élaboration au contact avec les forces sociales, sera déclinée et exposée au fur et à mesure.
Fait à Kinshasa, le 20 mars 2023
Pour le Nouvel Elan,
Adolphe MUZITO

Prochaine décennie 2024-2035 : Adolphe Muzito annonce le réveil du Grand Congo !
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