All Stories

Clôture du mois de la Femme, MSC/Lukunga : Thierry Maya Muwala honore les Femmes de Kindele

‘’J’avais promis à nos mamans de MSC de Kindele et de l’Asbl Les Amis de Thierry Maya que le mois de mars dédié à la Femme ne se terminera pas dans l’anonymat à Lukunga. Je rends hommage à notre Autorité Morale Laurent Batumona pour son soutien. Un cadeau de 1000 pagnes vous sera donné pour vous honorer’’, a déclaré Thierry Maya dans son message. On nous a beaucoup trompés par des gens venus d’autres horizons. Cette fois-ci c’est terminé, avait-il fait savoir aux Femmes. ‘’Les travaux de construction de l’avenue Bel Air se sont arrêtés du coté où les indiens travaillent à cause de financement. Ce genre des choses arrivent à Kindele parce qu’il n’y a pas un interlocuteur valable du terroir de Kindele au Parlement. Il souligne que ‘‘Kindele n’a pas de marché ni un terrain de football, moins une école pour faire bénéficier nos enfants de la gratuité prôné par le Président de la République, Félix Antoine Tshilombo’’. Pour lier l’utile à l’agréable, 1000 femmes bien identifiées selon les 12 bases ont reçu de ses propres mains un pagne.
Comme annoncé dans le programme, depuis la semaine passée, le Mouvement de Solidarité pour Changement a consacré, le vendredi 31 mars 2023, à la clôture du mois de la Femme à Kindele. Une foule immense des Femmes de la Lukunga, engagées et loyales à l’honorable Laurent Batumona, a été honorée par Thierry Maya Muwala, un Haut Cadre du Mouvement de Solidarité pour le Changement et Président de l’Asbl ‘’Les Amis de Thierry Maya’’. Plus de 1000 pagnes ont été distribués aux femmes de douze bases bien identifiées, lors de cette manifestation commémorative de la clôture de la Journée internationale des Femmes organisée dans son quartier général de Kindele, en présence de personnalités invitées, tant du quartier que des organisations féminines et fidèles des églises.
Avant d’accorder la parole à l’hôte du jour, la secrétaire de l’Asbl ‘’Les Amis de Thierry Maya, s’est fait le devoir de motiver les femmes et les encourager à rester fidèles dans la lutte pour les droits de la femme. Elle a rappelé l’importance du principe et l’intérêt de la femme à l’heure du numérique. ‘’Pour ce jour du 31 mars 2023 qui marque la clôture de tout ce qui a été organisé pour l’intérêt des femmes, il a plu au pasteur Thierry Maya de vouloir manifester sa solidarité aux Femmes veuves et autres en guise de son attachement indéfectible à la lutte des droits de la femme et au courage qu’elles ont manifesté pendant 114 ans pour faire valoir leurs droits bafoués dans la société’’.
Dans ce contexte, elle a fait savoir que le Pasteur Thierry Maya, avec sa double casquette d’homme d’Eglise et Homme politique, a inscrit cette journée dans le cadre de soutien aux valeurs d’éthique et valeur de la Femme, en se basant sur le livre des Actes des Apôtres au chapitre 9 versets 36-42. Selon la secrétaire, Thierry Maya répond à cette occasion aux besoins de la communauté de Kindele et de Lukunga qui sont de sa circonscription électorale. Selon elle, Thierry Maya : ‘’ veut ramener la femme à la prise de conscience pour qu’elle use de son droit de vote afin de lui accorder un suffrage important lors des élections de 2023’’. Faisant allusion à l’habillement, elle a souligné que Thierry Maya demande à ce que les femmes et jeunes filles puissent construire un portrait respectable car habiller une femme c’est la valoriser. ‘’L’habillement est aussi une valeur significative de son identité comme un être sacré sur le plan socioculturel comme le souligne Proverbes 31 : 10-31’’.
Le moment le plus mouvementé de cette cérémonie a été la prise de parole de l’hôte du jour, Thierry Maya, Haut cadre du MSC. Dans son mot, il a commencé par encourager les Femmes à mener un bon combat car, la Femme a la capacité d’assumer des responsabilités de prise des décisions et exceller dans tous les domaines y compris le numérique. Comme haut cadre du parti, il a fait un point sur l’actualité de l’heure notamment, sur les échéances électorales à venir en invitant les Femmes à prendre une bonne décision pour qu’elles aient un interlocuteur valable qui peut porter la voix des Femmes de Kindele au Parlement.
C’est ainsi qu’il a recommandé aux femmes ‘’ cette fois-ci, qu’il pleuve ou qu’il neige, les quartiers Tchad, Kimwenza, Lukunga et Kindele Thierry Maya, doivent avoir le même moral. On n’acceptera plus jamais les gens d’ailleurs qui viendront pour nous tromper’’. Likambo ya mabele sangwema, c’est-à-dire Kindele est son fils Thierry même moral’’, a-t-il lancé comme défi.
Dans le cadre de son Asbl ‘‘Les Amis de Thierry Maya’’, il a lancé un projet de formation sur l’alphabétisation. Il faut rappeler que cette Asbl a mis sur pied un projet qui fonctionne notamment : ‘’ Merci Thierry Maya’’, un projet qui octroie des crédits sans intérêt ; achat de cercueil aux familles éprouvées membres de son association et en cours d’exécution, un centre de santé.
La Pros.

Clôture du mois de la Femme, MSC/Lukunga : Thierry Maya Muwala honore les Femmes de Kindele
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Unité, réconciliation et refondation, Udps/Tshisekedi : le Groupe de combattants historiques exige la convocation urgente du Conclave !

*’’Le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI prend ses responsabilités devant Dieu, l’histoire et les Fondateurs du Parti en exigeant la convocation, toutes affaires cessantes, du Conclave de l’unité, de la réconciliation et de la refondation de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS’’, lit-on, dans une Déclaration politique publiée dimanche 2 avril 2023. ‘’Etant donné que le mandat du Président du Parti élu au Congrès Extraordinaire du 31 Mars 2018 a expiré, le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI constate la FIN du mandat, et par voie de conséquence, toutes les Combattantes et tous les Combattants ont l’obligation politique, historique et morale de tout mettre en œuvre pour sauver l’UDPS de la disparition certaine, corps et biens’’, précise-t-on.
Déclaration politique
Le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI rend public la Déclaration Politique suivante après sa réunion extraordinaire tenue ce dimanche 02 Avril 2023 et portant sur la situation générale du Parti :
1. Le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI constate, non sans regret, que suite à l’anarchie créée par le mandat spécial, l’UDPS/TSHISEKEDI est en proie à un terrible dysfonctionnement qui menace dangereusement les fondements mêmes de son existence en tant que Parti Politique.
2. Le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI rappelle, au terme des Statuts en vigueur que le Congrès est l’organe suprême selon les articles 16, 17, 18 et 19 des Statuts. Il définit la politique générale du Parti, en détermine les objectifs, modifie et adapte les Statuts, élit et démet, le cas échéant, le Président du Parti, investit son Candidat à l’élection présidentielle, confère légitimité et légalité aux organes du Parti et à leurs animateurs. Il se tient tous les cinq ans à date échue.
3. Le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI rappelle également que, après le décès du Président du Parti, Docteur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, d’heureuse mémoire, le 1er Février 2017, un Congrès Extraordinaire, tenu le 31 Mars 2018, avait élu le Combattant Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, en qualité de Président du Parti, et en décembre de la même année, élu Président de la République Démocratique du Congo.
4. Le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI souligne que cette élection du Président du Parti à la Magistrature Suprême de notre pays, a, de facto, entraîné un vide au niveau de l’organe le plus important après le Congrès, à la suite de l’incompatibilité temporaire d’exercer des responsabilités au sein du Parti, et de Président de la République concomitamment, consacrée par l’article 96 alinéa 2 de la Constitution du 18 Février 2006. Ainsi, au pied de l’article 26 des Statuts de l’UDPS/TSHISEKEDI, le Président du Parti est frappé d’interdiction d’exercer, et d’empêchement temporaire.
5. Le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI considère que l’UDPS est un Parti Politique constitué conformément aux valeurs cardinales de la social-démocratie dont le respect des textes en est le socle. Mais, la Direction résiduelle qui s’est illustrée par des actes de sournoiserie, d’arrogance et de violence, a sonné le glas de la liquidation du Parti, notre patrimoine commun, en neutralisant toutes les structures formelles et informelles du Parti telles que les Parlementaires-Debout, les Forces du Progrès, en dédoublant les organes du Parti à tous les niveaux, en institutionnalisant la corruption, le monnayage des postes, le népotisme et le tribalisme au sein du Parti.
6. Etant donné que le mandat du Président du Parti élu au Congrès Extraordinaire du 31 Mars 2018 a expiré, le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI constate la FIN du mandat, et par voie de conséquence, toutes les Combattantes et tous les Combattants ont l’obligation politique, historique et morale de tout mettre en œuvre pour sauver l’UDPS de la disparition certaine, corps et biens.
7. Eu égard à ce qui précède, le Groupe des Combattants Historiques de l’UDPS/TSHISEKEDI prend ses responsabilités devant Dieu, l’histoire et les Fondateurs du Parti en exigeant la convocation, toutes affaires cessantes, du Conclave de l’unité, de la réconciliation et de la refondation de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS.
Fait à Kinshasa, le 02 Avril 2023
Le Groupe de combattants historiques
de l’Udps/Tshisekedi

Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Adhésion populaire au MSC, Matadi : Laurent Batumona signe l’adhésion de l’Honorable Müller Luthelo et 5000 membres de sa Fondation

5000 adhérents ont obtenu de l’Honorable Laurent Batumona leur fiche d’adhésion au MSC à Matadi. Une adhésion populaire qui a mobilisé une foule immense avec à la clé l’adhésion de l’Honorable Müller Luthelo avec sa Fondation. Un long processus de négociation, selon Laurent Batumona, qui vient de connaitre un couronnement avec satisfaction.
A l'approche des élections présidentielle et législatives, le Mouvement de Solidarité pour Changement poursuit sa campagne de mobilisation des membres au sein de parti politique. Pour les échéances électorales à venir, les têtes d'affiches sont déjà connues. L'identité du candidat à la présidentielle déclaré par le MSC ne fait pas de doute. C’est Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, ne cesse de clamer Laurent Batumona. Il est plus facile, en plus, de juger l'état des forces militantes au sein de la principale formation politique de l’AMSC, Alliance du Mouvement de Solidarité pour le Changement, un regroupement politique charrié par Diatabau.
Sans doute, conscient de l’importance et du charisme de l’Autorité Morale du MSC, l’élu du Kongo Central et patron de la Fondation qui porte son nom, le Député Müller Luthelo, a signé son adhésion devant l’Honorable Laurent Batumona vendredi 31 mars 2023, en ralliant également les 5000 membres de sa Fondation.
En séjour dans la province du Kongo Central, l’Honorable Laurent Batumona est à la conquête de candidatures potentielles pour les échéances électorales qui pointent à l’horizon. En présence du Président Provincial de l’Assemblée Provinciale du Kongo Central, l’honorable Vuemba Luzamba et autres cadres et personnalités de Matadi, la signature de l’adhésion populaire au MSC de Laurent Batumona de l’honorable Müller Luthelo et des membres de sa Fondation comptés à 5000 adhésions a été un évènement salué par tous.
‘‘Il y a une année que nous sommes en pourparlers avec l’honorable Müller Luthelo pour qu’il adhère à notre formation politique le Mouvement de Solidarité pour le Changement’’, a déclaré Laurent Batumona. Le Député Müller a suivi depuis près de 12 mois notre comportement sur le terrain, notre vision, notre idéologie socialiste et aujourd’hui c’est le couronnement d’une longue négociation. Je le porte à cœur avec tous les membres qui ont adhéré au MSC’’, a déclaré l’honorable Laurent Batumona devant une foule immense de Matadiens.
Accompagné d’une forte délégation, Laurent Batumona avait été reçu par le Président de l’Assemblée provinciale du Kongo central. Leur échange a porté sur le mega rassemblement qui a bougé tout Matadi. La précision est d'importance majeure, car le parti MSC a eu beaucoup à travailler sur terrain dans la transparence. Gagné plus 5.000 adhérents est considéré par plusieurs comme une hausse considérable, attribué à "l'esprit managérial et à la construction du programme de la vision sociale du Président de la République". L'ambition du MSC est de devenir une deuxième force politique en RDC d'ici fin 2023.
La Pros.

 

Adhésion populaire au MSC, Matadi : Laurent Batumona signe l’adhésion de l’Honorable Müller Luthelo et 5000 membres de sa Fondation
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

D’ici le 11 avril au plus tard, Lamuka : Nouvel Elan invite Fayulu à la passation du bâton de commande

Des propos mensongers, montage fait à l’approche de la date de passation de flambeau au NOUVEL ELAN en vue de détourner LAMUKA pour ses intérêts partisans... Telle est la réaction musclée de Nouvel Elan d’Adolphe Muzito, fustigeant les allégations contenues dans le communiqué de son exclusion de la plateforme Lamuka, signé par le président de l’ECIDé, Martin Fayulu. De la bouche de son secrétaire général Blanchard Mongomba, ce samedi 1er avril 2023, cette formation politique dit avoir constaté ‘’ l’indignité et l’incompétence intellectuelle de l’auteur de ce complot qui ne l’honore pas’’.
Ladite lettre d’exclusion étant signée au nom du collège des présidents, Nouvel Elan fustige la ‘’supercherie’’ de la part du signataire qui dit agir au nom de l’organe (collège des présidents), organe jamais mis en place. «Les membres de cet organe, appelés membres adhérents, n’ont présenté ni leurs noms, ni leurs dossiers pour homologation auprès du Présidium via les Coordonnateurs, comme le prévoit la Convention. Que ce soit sous le mandat de M. Adolphe Muzito ou sous celui de M. Martin Fayulu. Ils n’ont jamais été entérinés », a précisé le parti, rappelant qu’il n’a jamais été convoqué un Présidium pour la validation des mandats d’adhérents ou l’entérinement de ceux-ci par le Présidium.
Quelque part, Nouvel Elan fait comprendre que le collège des Présidents est un organe consultatif et de conseil, comme le prévoit la Convention. «Il n’a pas pouvoir de décision. Les résolutions de leurs travaux sont prises par consensus et transmises au Présidium pour entérinement et décision», a-t-il souligné.
C’est ainsi que ce parti cher à Adolphe Muzito se pose les questions de savoir : « En vertu de quelle compétence, le Collège des Présidents aurait-il pris acte, le 23 janvier 2023, de la décision de retrait de LAMUKA de M. Adolphe Muzito et du Parti du Nouvel Elan ? Par qui le Collège des Présidents a-t-il été saisi à propos d’une lettre supposée destinée au Coordonnateur de LAMUKA ? Où est l’acte de convocation de la plénière de ce Collège ? Où est le procès-verbal des travaux relatifs ? Quelle est la date de la publication, ne fut-ce que dans le média de la décision, en son temps ? Où sont les notifications des incriminées (Adolphe Muzito et NOUVEL ELAN), en leurs temps ? Où est l’acte de transmission de la résolution de ladite décision au Présidium ? ».
Nouvel Elan se considère encore membre fondateur de cette plateforme de résistance et dit attendre la reprise du fableau à son initiateur en tant que coordonnateur de la plate-forme le 11 avril comme le prévoient les textes. «Le Nouvel Elan attend la passation du flambeau comme le prévoit la Charte, le 11 avril 2023. Faute de quoi, il prendra acte du départ volontaire de M. Martin Fayulu de LAMUKA, car celui-ci entrera dans un processus d’illégalité et d’illégitimité et ne pourra pas représenter la lutte pour la vérité, VERITE DES URNES », note le secrétaire général de cette formation politique.
La Pros.

 

D’ici le 11 avril au plus tard, Lamuka : Nouvel Elan invite Fayulu à la passation du bâton de commande
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Sama II : l'uppercut Kamerhe met à mal le plan de l'Opposition !

Le Vice-Premier ministre à l'Economie nationale, Vital Kamerhe, est au cœur de l'actualité depuis la publication, ce dimanche 2 avril 2023 de la seconde partie de l'interview accordée au magazine « Jeune Afrique ».
Cette interview, affirme Michel Moto, son directeur de communication, a été réalisée en octobre dernier, peu après l'acquittement de l'ancien directeur de cabinet du Président Félix-Antoine Tshisekedi.
Ce média a cependant signifié dans son contenu que l'interview date d'il y a « quelques semaines », laissant comprendre que VK, quoi qu'en pleines tractations pour la formation du gouvernement Sama II, n'aurait jamais pardonné à Félix Tshisekedi, pour le traitement lui réservé, lors de son interpellation et incarcération à la prison centrale de Makala.
« J’étais le numéro 2 du pays et on me traitait comme un va-nu-pieds. Je me suis dit que le monde était méchant », a écrit Jeune Afrique qui relaie ainsi un extrait des propos de Kamerhe dans la seconde version de cette vieille interview.
De quoi pousser les Kamerhistes à être suspicieux et à (re)mettre les points sur les i.
«Une première partie de cette interview a été publiée il y a 6 mois. L'honorable Vital Kamerhe y a réitéré sa disponibilité à collaborer avec le Chef de l'État », a précisé Michel Moto dans une mise au point publiée le même dimanche sous forme de thread sur son compte Twitter.

La seconde version de l'interview de VK, publiée dans un contexte bien particulier marqué notamment par une consolidation et/ou conclusion des alliances politiques en perspective des élections de décembre prochain, prête à Kamerhe des intentions présidentielles et revanchardes dans le but de provoquer la méfiance du chef du Président Tshisekedi vis-à-vis de son collaborateur de première heure.
«En plusieurs décennies de vie politique, j'avais déjà chuté de nombreuses fois, mais je m'étais toujours relevé. J'ai toujours su que je sortirais de Makala et que ma situation s'améliorerait. J'en suis convaincu, j'ai un destin, et mon destin est d'un jour diriger ce pays », peut-on lire dans la version de ce dimanche.
Michel Moto a, dans sa mise au point, replacé les choses dans leur contexte, partant de la question telle qu'elle a été formulée par le journaliste et adressée à Vital Kamerhe.
« La question était de savoir si, après 2011 et 2018, il serait à nouveau candidat en 2023. Comme d'habitude, sa réponse était : " La fonction présidentielle n'est pas une obsession, mais une vocation, un destin. " », a rétabli Moto, non sans « s'interroger sur l'opportunité ainsi que l’intention derrière la publication d'une interview vieille de 6 mois, sortie de son contexte ».
A la différence de Michel Moto, de nombreux observateurs s'interrogent sur les réelles intentions du rédacteur de la version de l'interview de Kamerhe à Jeune Afrique publiée ce dimanche alors que l'auteure de l'interview, Anna Sylvestre Treiner, n'est plus à Jeune Afrique.
Ils tentent en plus de cerner l'objectif de Jeune Afrique en trafiquant les propos du leader de l'Union pour la nation congolaise (UNC) tenus dans le cadre d'une interview réalisée six mois auparavant.
«Les personnes qui ont réalisé l'interview ont été surprises de voir leurs archives republiées six mois après », a appris Opinion-infos.
Dans l'entourage de Vital Kamerhe, l'on essaye de comprendre que cette initiative comme une campagne de sape contre VK pour avoir décliné une offre lui faite par l'opposition.
Cette offre, a-t-on appris, consistait à former un bloc de leaders de l'opposition originaires de l'Est du pays avec Matata, Katumbi et Kabila.
Ce qui réduirait sensiblement les chances de Félix Tshisekedi de remporter la présidentielle sans avoir le contrôle de ce coin de la République.
Fidèle au Président Tshisekedi, Kamerhe, qui, selon ses proches, ne fait pas de la magistrature suprême une obsession, a réservé un « non catégorique » à cette offre.

Désillusionnés, les concepteurs du deal, estime-t-on dans les rangs Kamheristes, ont entrepris de manœuvrer pour séparer, de gré ou de force, leur leader de Félix Tshisekedi.
LPM avec Opinion-infos.cd

Sama II : l'uppercut Kamerhe met à mal le plan de l'Opposition !
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Instauration de l’Etat de droit effectif en RDC, ULC : Willy Moka appelle les gouvernants au respect strict des lois de la République

A l’occasion de la 19e journée philosophique de Kimwenza, l’Université de Loyola du Congo, ULC en sigle, a organisé une conférence-débat sous la thématique : «Droit et démocratie : Qu’est-ce qu’un Etat de droit ? ». Au cours de cette journée scientifique, tenue le mardi 29 mars, dans la grande salle des conférences de cette alma mater, plusieurs professeurs des différentes universités de la RDC ont profité de cette opportunité propice pour expliciter le droit, la démocratie ainsi que l’instauration de l’Etat de droit effectif en République démocratique du Congo. Pour ce faire, le Professeur Willy Moka Mubelo, recteur de l’ULC, a invité les autorités congolaises ainsi que les subalternes au respect strict des lois fondamentaux de la République.
Dans son mot d’entrée, le Professeur Willy Moka a donné le sens du terme «droit», qui reste l’un des instruments privilégiés dans la gestion des sociétés humaines. Etant une catégorie de la médiation et de l’intégration sociale, il en a également ajouté que, l’on parle du droit, lorsqu’il existe une société bien organisée avec des objectifs partagés par tous. De ce fait, le droit n’est pas replié sur lui-même, il n’est pas aussi un système narcissiquement fermé sur lui-même, mais se nourrit à la fois de la morale sociale démocratique, des citoyens et d’une culture libérale qui en favorise le développement d’un pays. Sur ce, dans son exposé, le numéro 1 de l’Université de Loyola du Congo, a éclairé la lanterne de l’opinion publique sur le système de droit et l’instauration d’un Etat démocratique effectif dont il a pu suffisamment exploiter cette thématique qui reste actuellement l’un des piliers majeurs qui ronge la RDC.
« On ne peut pas parler de la démocratie, lorsqu’il n’y a pas un Etat de droit. Par ce fait, nous pouvons dire que l’Etat de droit est un régime ou une structure qui permette à ce que tout le monde soit redevable aux lois y compris les gouvernants donc ceux qui nous donnent des lois et nous autres qui sommes supposés à respecter ses lois. Donc, tout le monde doit respecter les lois de la République. Nous ne devons pas aller de gauche à droite pour passer à l’instauration de l’Etat de droit. Sur ce, les lois doivent être respectées par tout le monde. Aujourd’hui, vous allez voir que, lorsqu’il y a des embouteillages, c’est généralement les autorités du pays qui prennent le sens opposé dans le boulevard», a-t-il déclaré.
A l’en croire, pour instaurer effectivement l’Etat de droit en RDC, le gouvernant ainsi que le subalterne doivent tous passer, sans exception, au respect strict des lois qui régissent une nation dont tout le monde doit répondre de ses actes. Il en a également souligné que la loi doit être à la disposition de tout citoyen pour permettre à tout un chacun de l’étudier et l’intérioriser.
Pour sa part, l’un des intervenants de ladite journée philosophique, le Professeur Willy Bongo Pasi, a donné une nuance entre : «Droit et démocratie : la norme naturelle et la norme positive», thème qui a porté sur son intervention. Sur ce, il a indiqué que le droit naturel est un ensemble de principes immuables et universels, issus de la nature humaine, alors que le droit positif est juste les lois écrites. Par ailleurs, le droit naturel peut être conçu comme un idéal auquel aspire la société civile ou comme la source dont provient toute régulation juridique et morale.
« Le droit naturel est légitime, et grâce au droit naturel, le droit positif devient ‘’légal’’, légitime et efficace ainsi que la démocratie devient possible. Cette légalité n’est légitime que si elle se fonde sur ce droit naturel, qui constitue donc une norme idéale du droit. Les deux domaines se recoupent et peuvent permettre une vraie démocratie », a-t-il explicité le vrai sens du droit positif et droit naturel avant toutefois de stipuler que le droit positif et droit naturel sont juste opposés, aux promulgations de la société civile.
Il a poursuivi : «Pour l’exercice de la démocratie, si le droit positif court le risque de ne pas être un droit véritable, un droit légitime, il parait nécessaire de le référer au droit naturel. Ainsi, le droit naturel serait légitime, si et seulement si il est fondé dans ce droit naturel, s’il est en conformité avec lui ».
Ronsard Malumalu

 

Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Rabattage des cartes à l’AFDC et Alliés : Adèle Kayinda et Jean-Marie Kalumba quittent Bahati

Les contours politiques de l'Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC) subissent de graves distorsions à quelques 9 mois des joutes électorales en République démocratique du Congo. En effet, après sa reconduction au gouvernement, la ministre du Portefeuille, Adèle Kayinda, a annoncé l’adhésion à l’Union sacrée de son propre parti politique ‘‘Alliance des démocrates chrétiens au Congo’’, ALDEC. Le mardi 28 mars dernier, lors d’un échange avec les membres de son cabinet, elle a demandé à ses collaborateurs issus de l’AFDC-A de Bahati Lukwebo de rendre leur tablier.
«Tous ceux qui étaient venus au nom du regroupement AFDC-A sont contraints de rendre leur tablier. Car, j’ai adhéré à l’Union sacrée comme ALDEC», a indiqué Adèle Kayinda avant d’exprimer son mécontentement suite aux insultes et humiliation subies pendant près d’une année de la part des communicateurs de l’AFDC-A.
L'ex-ministre de l'Economie quitte aussi
Un peu plutôt, c’est l’ancien ministre de l'Economie nationale, Jean-Marie Kalumba Yuma, qui a quitté le président du Sénat, Bahati Lukwebo. Il a par la suite créé son propre parti politique dénommé : Alliance pour la République (AR). C’était le mercredi 29 mars dernier, qu'il a préféré commencer par présenter officiellement son parti sur le sol des ancêtres pour recevoir de la "bénédiction", avant de repartir à Kinshasa.
"Je viens de quitter l'AFDC. J'ai créé mon propre parti politique aux côtés d'autres co-fondateurs, Alliance pour la République. Toute bénédiction commence sur la terre des ancêtres. Raison pour laquelle, j'ai décidé de commencer au Maniema pour présenter le parti à mes frères et sœurs pour qu'ils sachent qu'ils viennent d'enregistrer un nouveau parti en province qui est dirigé par le fils du Maniema", a-t-il affirmé.
Il est à noter que l'ex-ministre de l'Economie nationale était jusque-là le seul représentant du Maniema dans le gouvernement Sama I. Il a été remplacé à ce portefeuille par Vital Kamerhe, ancien directeur de cabinet du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi.
Emma Muntu

 

Rabattage des cartes à l’AFDC et Alliés : Adèle Kayinda et Jean-Marie Kalumba quittent Bahati
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Enjeux électoraux : Le PPRD s’impose Joseph Kabila à la présidentielle de 2023

Le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) n’est nullement ébranlé après les nombreuses défections dans ses rangs. Le PPRD avait appelé ses membres à boycotter le processus électoral en cours. Certains de ses cadres n'ont cependant pas obéi au mot d'ordre et ont rejoint l'Union sacrée.
Contre toute attente, le secrétaire permanent adjoint de cet ancien parti de la majorité présidentielle, Ferdinand Kambere, a annoncé hier, mardi 28 mars, que Joseph Kabila est le candidat du PPRD et du FCC à la présidentielle de 2023.
Pour ce haut cadre du PPRD, "Joseph Kabila est encore jeune, il a une vision pour la RDC et a un agenda costaud. Son expérience, son carnet d'adresses… militent en faveur de sa candidature. Nous, en tant que parti et formation politique, notre leader reste Joseph Kabila. C'est le candidat du PPRD ou du FCC". Ce, avant d’insister que ces élections devront se tenir sans la configuration du bureau actuel de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Et de poursuivre que Denis Kadima et son équipe devront être préalablement remplacés par des personnes issues du consensus, en vue d'avoir des élections claires, démocratiques, transparentes, crédibles et apaisées.
Répondant à d’autres questions sur cette annonce, Ferdinand Kambere s’est dit fier de leur bilan au sommet du pays en fustigeant en tant qu’opposant la manière dont est dirigé le processus électoral en cours. " Ce qui est mis comme processus électoral bâclé, il devrait être revu si nous voulons les élections transparentes, démocratiques et pacifiques. La transparence passe par une neutralité de la CENI".
Le PPRD, a-t-il martelé, dénonce la manière dont la Commission Électorale Nationale Indépendante que pilote Denis Kadima avait été mise en place. "Cette CENI est comme une centrale d'un parti politique qui jouit cependant des avantages du pouvoir".
L’unique sortie de Kabila
L'ancien président Joseph Kabila qui a géré la RDC de 2001 à 2018, soit pendant 18 ans, ne s'est jamais exprimé de manière officielle. L’unique fois qu’il s’est fait voir officiellement en public fut sa rentrée lors de la rentrée parlementaire de septembre 2020. Il devenait ainsi le premier ancien chef de l’État de la République démocratique du Congo à siéger au sénat après avoir quitté la présidence.
Il a cédé le tablier le 24 janvier 2019 à 49 d’âge. La constitution congolaise accorde aux anciens présidents le statut de sénateur à vie. Autorité morale de la plateforme politique Front commun pour le Congo (FCC), resté en coulisse une figure centrale et influente de la vie politique congolaise.
Emma Muntu

Enjeux électoraux : Le PPRD s’impose Joseph Kabila à la présidentielle de 2023
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Elections 2023 : l'alliance pour un Congo Nouveau s’insurge contre toute tentative de glissement !

Déclaration
L'Alliance Pour un Congo Nouveau, APCN en sigle, Parti cher à l'honorable Junior MAMBEMBE TSHIAKI, ne jure que par la conquête du pouvoir qui émane de la volonté populaire par voie électorale.
A 8 mois de la tenue des élections libres, crédibles et transparentes en République Démocratique du Congo, l'APCN invite toute la classe politique consciencieuse à se préparer pour les prochaines échéances, prévues en décembre 2023, en vue du rajeunissement de la classe politique, mettant en scène la jeunesse ainsi que la femme.
N'en déplaise aux ennemis de la démocratie, aux idées limitées, qui n'ont rien à offrir à la République et obnubilés par un obscurantisme qui ne dit pas son nom.
Dans une quête inlassable de l'électorat, l'APCN travaille dur comme fer afin d'offrir une majorité écrasante au chef de l'état, Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, dont le second mandat est garanti par la constitution, fort d'un bilan jugé largement positif par le regard optimiste.
Vouloir le partage du pouvoir par la volonté d'un glissement, est tout à fait antidémocratique, suicidaire et aberrant, car la vraie légitimité est une émanation des élections et non des arrangements politiques à la congolaise, comme le proposent certains opposants et quelques thuriféraires en perte de vitesse, voyant leur avenir politique s' obscurcir par manque des stratégies politiques.
En effet, la constitution est claire en son article 70, qu'en cas d'élection ou non, le chef de l'état reste en fonction jusqu'à l'organisation des nouvelles élections et l'installation du nouveau président élu.
Du reste, nous encourageons le Président Fatshi à ne pas céder à des propositions démoniaques qui ne visent que le partage du gâteau pour satisfaire des intérêts égoïstes.
Quant à la situation de nos compatriotes de l'est nous sommes de cœur avec eux, et espérons que techniquement, la CENI pourra, dans le délai, organiser les élections dans cette partie du pays encore sous contrôle des ennemis. Pour le Congo, décidons ensemble.
Pour Alliance Pour un Congo Nouveau(APCN),
Junior Mambembe tshiaki
Président National

Elections 2023 : l'alliance pour un Congo Nouveau s’insurge contre toute tentative de glissement !
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)

Loi Tshiani, RDC : des organisations de la société civile s’inscrivent en faux contre la proposition et appellent les élus nationaux à la rejeter en bloc

Ça fait encore couler encre et salive. La proposition de la loi Tshiani Mwadianvita, prévoyant le verrouillage de quelques postes ‘’régaliens’’, continue de susciter des débats. Des Organisations de la société civile dont l’ACAJ, Association congolaise pour l’accès à la justice ; le CERDYSOC, Centre de Ressources et de Dynamisation de la Société Civile et Humanisme et Droits Humains, HDH en cigle, ont chacune réagi à travers des communiqués signés en fin de semaine passée, conjointement avec leurs organismes alliés, s’inscrivant en faux contre cette proposition de loi, tout en appelant les élus nationaux à ne pas la faire passer au parlement.
Ces organisations indiquent que cette proposition de loi de Noël Tshiani est une manière de légaliser la division entre les congolais et la qualifient de projet de loi discriminatoire, risquant de créer le désastre et de freiner la cohésion nationale.
Le HDH note que «cette initiative de monsieur Noël TSHIANI, obscure et égoïste conçue pour se régler les comptes politiques, pourrait conduire à des graves violations des principes de non-discrimination, de l’égalité devant la loi et à une égale protection des lois (article 12 de la Constitution de la RDC, de droit d'élire et d'être élu (article 5 de la Constitution de la RDC) et de la filiation à l'égard d'un ou des deux parents congolais) ». Cette organisation de la société civile rappelle que parmi les deux principes relatifs à la nationalité prévus par la loi, le premier attribue à une personne physique la nationalité de ses père et/ou mère; le second permet d'acquérir la nationalité d'un Etat par la naissance sur son territoire.
Elle précise plus loin que la nationalité congolaise est soit d'origine, soit d'acquisition individuelle. « Aux termes de la loi n 04/024 du 12 novembre 2004 relative à la nationalité congolaise, on peut être congolais d'origine par appartenance (article 6, par filiation (article 7)3 ou par présomption de la loi (article 8 et 9). La nationalité congolaise d'origine est donc fondée sur le droit du sang (iussanguinis) et sur le droit du sol (ius soli) », démontre le HDH.
A son tour, l’ACAJ dit craindre que cette réforme ne remette en cause la fragile unité nationale ‘’maintes fois mise à l’épreuve par des frustrations réelles ou supposées’’ alors que son initiateur, Noël Tshiani Mwadianvita définit sa proposition de loi comme une barrière limitant l’accès à certaines fonctions stratégiques en République Démocratique du Congo notamment, la magistrature suprême, qu’à ceux qui sont nés d'un père et d'une mère congolais. Cela, précise le candidat malheureux, pour barrer la route à toute forme d’infiltration et d’hiatus sur fond d’ingérence extérieur de quelque manière qu’elle soit. Il souligne que sa proposition est loin de ce que pensent bien de gens. Pour lui, elle vient pour renforcer la cohésion nationale.
Fidel Songo

 

Loi Tshiani, RDC : des organisations de la société civile s’inscrivent en faux contre la proposition et appellent les élus nationaux à la rejeter en bloc
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)
Image

Download Our Mobile App

Image
Image