Le centre d'apprentissage de langue New Hope College annonce l'ouverture de sa dernière session d'apprentissage d'anglais pour l'année 2023 en date du 23 octobre prochain, dans l'enceinte du complexe Silikin Village. Cela fait maintenant 4 ans que l'école de langues New Hope College enseigne la langue anglaise, avec à son actif des centaines d'apprenants au centre - plusieurs cadres et agents formés en entreprise ainsi que plusieurs personnes encadrées à domicile.
Des prestations sur mesure, ayant permis à cette école de formation en anglais à gravir les échelons et à se positionner comme l'une des meilleures dans ce domaine à Kinshasa, capitale congolaise.
Cet établissement est né à l'initiative de Christian Biaya K., Professeur d'anglais - Activiste social et environnemental et économiste, qui le dirige d'une main de fer. Entre les cours dispensés, le cadre de rencontre et de réseautage, et le programme d'échange du club d'anglais ouvert à tous, qui reçoit des experts de différents domaines pour s'entretenir avec les apprenants sous la grande thématique intitulée TellUsMore : New Hope College fait chaque jour ses preuves et continue d'accueillir de plus en plus d'apprenants de différents secteurs de la société.
Les inscriptions pour la prochaine session se font au travers du numéro +243 894 700 007, et elles sont gratuites moyennant le paiement des frais des cours qui s'élèvent à 160 dollars américains par niveau, dans un contexte où chaque niveau dure 8 semaines d'enseignement et d'entraînement.
Retrouvez le long de cet article, quelques visuels renseignant sur la prochaine session de formation et une série de témoignages partagés par des apprenants passés à New Hope College. Quand comptez-vous apprendre l’anglais ?
Directeur Général de l’Office des Routes, Jeanneau Kikangala a effectué une grande tournée d’inspection des travaux de construction, réhabilitation et modernisation entrepris, il y a peu, dans l’espace Grand Katanga. Tour à tour, il s’est rendu au site historique de l’assassinat du Héros National Patrice-Emery Lumumba dans le cadre de la construction d’une route reliant Lubumbashi-Shilatembo. Il a inspecté les travaux de réhabilitation en terre battue et d'entretien de la route Nationale n°35, avant de visiter les unités de la Direction Provinciale de l’Office des Routes/Haut-Katanga et réconforté son personnel. Pour finir, il a inspecté les chantiers en cours dans la province du Lualaba. Dans cet article, retour en détails sur cette tournée inscrite dans le cadre de la mission officielle du Chef de l’Etat dans cet espace et traduisant la matérialisation de sa vision dans ce secteur.
Calvaire conjugué au passé…
Au village de Shilatembo, le mercredi 4 octobre 2023, le DG Jeanneau Kikangala a salué le savoir-faire de la Direction Provinciale de l’Office des Routes qui a permis de gagner le pari de défricher la brousse en vue de la construction d'une route en terre battue sur l'axe allant de Lubumbashi à ce site historique. Un travail de qualité qui a gardé la route en l'état une année après les travaux.
Accompagné de l'Administrateur du site, du Directeur provincial du Haut-Katanga et du Directeur de chaussée, le Premier des génies civils a été satisfait de la qualité du travail abattu par les ingénieurs du bras droit du Gouvernement en matière d'infrastructures routières.
Car, outre la construction de la chaussée, l'office des Routes Haut-Katanga avait facilité la tâche au gouvernement pour rendre viable le lieu du martyre du premier héros national congolais.
Patriote inscrit dans la vision du Chef de l'Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui a ramené les reliques du tout premier Premier ministre congolais et lui a offert enfin des funérailles à la hauteur de son combat pour l'indépendance de la RDC, il a visité le site Lumumba et a suivi le récit des événements de la nuit funeste du 17 janvier 1961 de la bouche du petit fils du témoin oculaire de l'assassinat de Lumumba.
Concevoir, construire et entretenir les routes et autres ouvrages de génie civil telles sont les missions de l'Office des Routes, et son Directeur Général s'est réjoui de la qualité des travaux effectués dans le Haut-Katanga pour matérialiser la vision du Chef de l'Etat.
La Nationale n°35 en phase de réhabilitation
Longtemps restée dans un état de délabrement très avancé, la route nationale numéro 35 reliant la ville de Lubumbashi à la cité de Kasenga refait finalement peau neuve.
Ce travail a été abattu en un temps record grâce au dynamisme avéré du n°1 de l'Office des routes qui ne ménage aucun effort pour traduire en acte la vision clairvoyante du Président de la République, Chef de l'Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Cet axe routier d'intérêt national et régional a vocation de faciliter des échanges commerciaux importants entre la RDC et la Zambie, en particulier pour la communauté Lushoise.
En marge de son séjour à Lubumbashi, le DG Jeanneau Kikangala a profité pour admirer le travail de titan qu'abat l'Office des Routes dans ce coin du pays. Longue de 94 km, cette route relie les territoires de Kasomeno, Kasenga et Chalwe.
Pour la circonstance, il s’est révélé visiblement très satisfait du travail réalisé sur terrain par l'Office des Routes qui ont permis au Chef de l'Etat, en provenance de Lubumbashi, d'atteindre le site de la cérémonie de lancement des travaux de construction du pont Chalwe sur la rivière Luapula.
Les travaux d'asphaltage dudit axe routier seront réalisés dans le cadre d'un contrat de concession signé entre la RDC et la société GED. Il s'agit des assurances données par le premier génie civil de l'Office des routes, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy à Lubumbashi.
En effet, le projet de construction de la route Kasomeno - Kasenga - Chalwe - Mwenda est une alternative à la sortie de la RDC par Kasumbalesa pour la Zambie. Il revêt, à ce titre, une importante capitale dans le cadre de la mise en œuvre de la vision du Président de la République qui place la question du désenclavement de la RDC au centre de sa politique.
Visite d’inspection et de réconfort
Lors de cette tournée, Jeanneau Kikanga a également visité toutes les unités de la Direction Provinciale 610 de l'Office des Routes Haut-Katanga. Son périple a débuté par le centre médical qui prend en charge la santé des agents et de leurs familles.
Ensuite, il s'est rendu au centre de formation de l'office des routes. Le Directeur Général s'est soigneusement entretenu avec le chef de centre qui lui a fait l'état des lieux du centre. Le numéro Un de l’Office, de son côté, a donné certaines orientations pour rendre très performant le centre et faire face aux défis de l'évolution technologique.
Le laboratoire national a été la troisième unité visitée. Le Numéro 1 de l'office des routes a apprécié l'infrastructure. Il a rappelé la responsabilité qui incombe aux laborantins quant à la durée de vie des routes sur base de leurs études. Toujours inscrit dans la vision du Chef de l'Etat qui milite pour l'égalité des genres, le DG de l’Office des Routes a salué et encouragé les femmes ingénieurs qui évoluent au sein de cette structure. Le centre matériel et la brigade ont été le point de chute de cette visite, pour le moins surprise et galvanisante pour le personnel des unités de l'office des routes Haut-Katanga.
A la Brigade, il a relevé aux gestionnaires les défis qui sont les leurs en mettant l'accent sur la mise à jour des connaissances au regard des défis qui attendent l'office des routes, un service qui fait partie des priorités du Chef de l'Etat qui prône le développement à la base.
Dans la foulée, il a réconforté le personnel de la Direction de l'Office des Routes Haut-Katanga. Il s'est dit satisfait du travail qu'abat le personnel de l'Office des Routes sur place. L'Office des Routes exécute en ce moment plusieurs projets dans la province du Haut-Katanga dans le cadre du programme de développement de 145 territoires dans son volet réhabilitation et construction des routes ainsi que des ponts modulaires.
Le premier génie civil de l'Office des routes Jeanneau Kikangala Ngoy a promis à la direction de l'Office des Routes Haut-Katanga l'arrivée des matériels nécessaires des travaux publics (génie civile), grâce notamment à l'appui du Gouvernement congolais, qui tient coûte que coûte à rendre palpables les traces indélébiles du premier quinquennat du chef de l’Etat Félix Tshisekedi.
« Le Gouvernement central est en train de nous équiper en matériels de génie civile que nous allons ensuite remettre aux différentes directions de l'Office des Routes à travers le pays », disait-il. Cela permettra aux différentes directions de l'Office des Routes de bien remplir leurs tâches.
Manager avisé et bon père de famille, le Numéro 1 a réuni les agents et cadres. Le DG Jeanneau Kikangala les a encouragé à bien cultiver l'esprit de qualité et d'excellence pour soutenir la vision du Chef de l'Etat.
Chantiers du Lualaba
Il était encore sur terrain dans la ville de Kolwezi, Chef-lieu de la province du Lualaba, jeudi 5 octobre dernier.
Il a débuté sa visite d'inspection des chantiers au quartier Lupundu dans la commune de Manika. La brigade 625 de l'Office des Routes Lualaba y effectue le traitement de l'érosion Lupundu. L'opinion publique garde encore le souvenir de cette érosion qui avait avalé toute une chaussée et menaçait d'engloutir beaucoup de maisons pendant la saison pluvieuse.
Aujourd'hui, grâce à la technicité de l'Office des Routes, les têtes d'érosion ont disparu et sont totalement remblayés au grand bonheur des riverains.
Ce travail intense débuté depuis le mois d'avril est à l'étape de la construction des drains. Et le Directeur Général de l'Office des Routes a encouragé la Gouverneure intérimaire à poursuivre le financement des travaux.
Homme de terrain, il s'est rendu sur l'avenue Dilolo dans la même commune où l'office des routes Lualaba pose de buses toujours pour combattre les têtes d'érosion.
Bien avant la visite des chantiers, il a visité le siège de la Direction Provinciale de l'Office des Routes Lualaba pour palper les réalités et les conditions de travail du personnel.
La vie d'un homme se mesure à l'impact qu'il laisse derrière lui." Cette citation résonne particulièrement en cette journée sombre où la RD. Congo se rassemble pour pleurer la disparition de Me Placide Yoko Yakembe, un grand homme dont la vie fut un témoignage éloquent de courage, d'intégrité et de dévouement envers son pays. Né en 1939 à Tshofa, dans le territoire de Lubao, province de Lomami, Me Yoko Yakembe a suivi une trajectoire académique exceptionnelle, obtenant plusieurs diplômes en droit et en relations internationales à l'Université de Paris et à l'Université de Dijon. Sa recherche perpétuelle du savoir et sa passion pour la justice l'ont amené à devenir l'un des avocats les plus respectés et influents du pays.
Sa carrière brillante a été jalonnée d'expériences professionnelles variées, allant de son rôle de consultant pour la réforme institutionnelle à son engagement dans l'enseignement supérieur en tant que professeur à la Faculté de Droit de l'Université de Kinshasa. Me Yoko Yakembe a également servi son pays dans plusieurs cabinets ministériels notamment, en tant que Ministre de la Justice et des Réformes Institutionnelles en 1991, laissant une marque indélébile dans l'histoire du Congo.
Mais, au-delà de ses accomplissements professionnels, c'est l'homme derrière le costume qui mérite d'être salué. Me Placide Yoko Yakembe était connu pour son humilité et sa simplicité, s'efforçant toujours de mettre les autres avant lui-même. Son dévouement envers la cause de la justice et de l'égalité était sans équivoque, et il était prêt à affronter toutes les difficultés pour défendre les principes auxquels il croyait ardemment.
Sa disparition laisse un vide profond dans le cœur de ses proches, mais son héritage continuera de briller à travers les nombreuses personnes qu'il a influencées positivement. "Un homme bon laisse une empreinte qui ne peut jamais être effacée", dit un proverbe congolais, et cela est particulièrement vrai pour Me Placide Yoko Yakembe.
Les obsèques de Me. Yoko Yakembe ont été un moment de recueillement et de commémoration de toute une vie dédiée au service du peuple congolais. La veillée mortuaire, tenue au Palais du Peuple, a été ponctuée de moments de témoignages poignants de la famille, des collègues et des amis du défunt. Les éloges ont afflué, chaque personne soulignant le caractère exceptionnel de Me Yoko Yakembe et la marque indélébile qu'il a laissée sur leur vie.
Lors de l'audience solennelle à la Cour d'Appel de Kinshasa/Gombe, les hommages rendus à Me Yoko Yakembe ont souligné son rôle en tant qu'avocat intrépide et défenseur des droits de l'homme. Sa connaissance juridique inégalée et sa passion pour la vérité ont fait de lui une figure respectée et admirée dans la communauté juridique congolaise.
La séance académique qui a suivi a permis à de nombreux étudiants et collègues de Me Yoko Yakembe de rendre hommage à un mentor et à un guide qui les a inspirés tout au long de leur parcours. Les hommages étaient empreints d'émotion, chacun soulignant l'impact durable que Me Yoko Yakembe a eu sur leur vie et leur carrière.
Enfin, la cérémonie parlementaire au Palais du Peuple a été un moment solennel où les différentes institutions de l'État ont rendu hommage à ce grand homme d'État qui a consacré sa vie au service de la nation congolaise. Les discours prononcés lors de cette occasion ont souligné l'importance de l'héritage de Me Yoko Yakembe et l'importance pour les générations futures de s'inspirer de son engagement indéfectible envers la justice et la démocratie.
Ainsi, nous disons adieux à Me Placide Yoko Yakembe, un homme dont la vie a été un exemple de dévouement, de principe et de compassion. Comme le dit un proverbe congolais, "la mort ne peut effacer les traces d'un grand homme". Son héritage restera vivant dans le cœur de tous les Congolais, et il continuera d'inspirer les générations futures à poursuivre le combat pour une République démocratique du Congo juste, équitable et prospère.
"Au-revoir, cher Placide Yoko Yakembe. Tu as combattu le bon combat, tu as terminé ta course, tu as gardé la foi. Que ton âme repose en paix."
TEXTES : Ezekiel 18, 25-28; Psaumes 24; Philippiens 2,1-11; Matthieu 21, 28-32 Méditation Mes frères, mes sœurs, Le dire ne suffit pas, il faut la volonté et les dispositions de s'y conformer, la décision d'obéir au Seigneur. Le Chrétien doit imiter le Christ en obéissant à Dieu tous les jours de sa vie. Pour cela, il faut chaque jour chercher à plaire au Seigneur, toujours progresser dans le bien, refuser tout mal et opter pour le bien. Celui qui cherche le bien et obéit au Seigneur sera sauvé et recevra la miséricorde de Dieu. Demandons la Grâce de la repentance et d'être à l'image du Christ qui chaque jour, a obéi au Père. Disposons-nous à marcher en présence du Seigneur dans la Lumière et dans la Vérité. Père Matthieu Ngongo Yezu
*La RD. Congo pleure aujourd'hui l'un des ses plus grands fils, le Grand Avocat Jean Placide Yoko Yakembe décédé ce samedi 30 septembre 2023 à l'âge de 84 ans. Sa vie d'exception témoigne en un mot comme en mille, sa volonté inébranlable à servir son pays et à défendre la justice et la dignité humaine qui, littéralement, auront été des valeurs ayant marqué chaque étape de son parcours professionnel et personnel.
Miteko Kapenga Stanis, l’Initiateur de la FOMIKAS La vision d'un homme selon le cœur de Dieu pour transformer sa communauté *Lubao, un territoire riche en potentiel et en ressources, a longtemps attendu un leader visionnaire pour stimuler son développement et réaliser son plein potentiel. Cet homme providentiel, Miteko Kapenga Stanis, se présente comme un choix divin, un David moderne, prêt à affronter les défis et à conduire sa communauté vers un avenir meilleur. La Fondation Miteko Kapenga Stanis, FOMIKAS en sigle, dirigée par cet homme d'exception qui incarne l'espoir et la détermination nécessaires pour transformer Lubao en un modèle de progrès et de prospérité. Inspiré par le principe biblique "apprends-moi à pêcher", il met ainsi l'accent tout particulier sur l'autonomisation des habitants de Lubao, en leur fournissant des outils et ressources nécessaires afin qu’ils deviennent rapidement des rapidement de leur propre développement. Son approche novatrice consiste, en effet, à encourager l'éducation, la formation professionnelle et l'entrepreneuriat local, afin de créer des opportunités économiques durables pour les habitants de Lubao. En s'appuyant sur les richesses naturelles de ce grand territoire, Miteko Kapenga Stanis vise, à l’en croire, à stimuler l'agriculture, l'industrie et le tourisme, en créant ainsi des emplois et améliorant les conditions de vie de la population. La vision de Miteko Kapenga Stanis pour Lubao s’inscrit dans celle du Président national de l'UDPS, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui reconnaît en lui, toutes les caractéristiques d’un partenaire précieux pour la mise en œuvre du projet de société de ce parti phare dans cette partie du pays. Cette collaboration témoigne, une fois de plus, la confiance accordée à Miteko Kapenga Stanis et la reconnaissance de son leadership exceptionnel. A travers ses actions concrètes et son engagement sans faille, il incarne les qualités d'un leader inspirant et charismatique. Son dévouement envers le peuple de Lubao est évident dans chaque initiative qu'il entreprend. Sa capacité à mobiliser et à unir les communautés autour d'un objectif commun est un exemple à suivre pour tous les leaders congolais. Il est bien plus qu'un simple homme politique. Il est un visionnaire, un bâtisseur et un catalyseur du développement pour Lubao. Grâce à sa fondation et à son leadership inspirant, il ouvre la voie à un avenir prometteur pour cette région autrefois négligée. Le Congo a besoin des leaders, tels que Miteko Kapenga Stanis, qui mettent le peuple au premier plan et œuvrent pour son changement positif et durable. Célestin Lubo
‘‘La Congrégation des Prêtres du Sacré-Cœur de Jésus a la joie de vous annoncer que le Révérend Père Blaise BONKONDI BIANE, SCJ, injustement accusé et emprisonné depuis le 1er avril 2023 pour un prétendu viol sur mineure à Mambasa, a été déclaré innocent et acquitté par l’auditorat militaire de garnison de Bunia depuis le 21 août dernier. Nous vous remercions ainsi tous ceux et celles qui ont apporté leur soutien au Père pendant cette dure épreuve et assurons en même temps notre pardon aux auteurs de cette supercherie’’.
COMMUNIQUE
La Congrégation des Prêtres du Sacré-Cœur de Jésus a la joie de vous annoncer que le Révérend Père Blaise BONKONDI BIANE, SCJ, injustement accusé et emprisonné depuis le 1er avril 2023 pour un prétendu viol sur mineure à Mambasa, a été déclaré innocent et acquitté par l’auditorat militaire de garnison de Bunia depuis le 21 août dernier. Nous vous remercions ainsi tous ceux et celles qui ont apporté leur soutien au Père pendant cette dure épreuve et assurons en même temps notre pardon aux auteurs de cette supercherie.
Par ailleurs, nous tenons à dénoncer l’attitude irresponsable de certaines ONGs et médias qui, sans aucune preuve, se sont empressés de faire la propagande de cette fausse accusation, portant ainsi atteinte à la réputation de notre confrère et de la Congrégation. Tout porte à croire, en effet, que le Père Blaise BONKONDI est simplement victime de sa rigueur dans la gestion de l’institut Bernard Longo dont il avait la responsabilité jusqu’au moment de son arrestation.
Tout compte fait, nous rendons grâce à Dieu pour l’aboutissement heureux de ce dossier et saluons la neutralité de notre justice qui s’est appliquée à dire le droit sans aucune influence extérieure.
Que le Sacré-Cœur de Jésus nous tienne en sa bénédiction !
Au cours d'un entretien accordé au quotidien La Prospérité, Serge Kabisoso, initiateur du festival Fashion Without borders Africa, a confirmé la tenue effective de la 3ème édition de ces assises, qui se tiendra du 29 au 30 septembre 2023 à la salle polyvalente La perle de Ste Anne. Il a également précisé que, ce festival va réunir autour d'une même table, plusieurs mannequins de divers pays africains afin de promouvoir de nouvelles modes africaines et les vendre sur la vitrine mondiale. Cette vitrine exclusive de la mode se veut un cadre où les différents stylistes auront l'occasion de célébrer, non seulement la mode africaine, mais aussi de faire connaître les nouveaux stylistes et les talents des mannequins africains partout dans le monde. Ce, en vue de promouvoir la culture africaine. Pour ce faire, le festival "Fashion Without Borders’’ sera donc une occasion de partage et d’échange des cultures à travers la mode en Afrique et de la vente de la plus belle manière, sur la vitrine mondiale, de la culture congolaise et africaine. A en croire Serge Kabisoso, cette activité s'organise en vue de booster la culture et la mode congolaise pour hisser ces dernières au niveau africain ainsi que mondial. C'est aussi pour partager la mode de différents pays africains afin de montrer à la face du monde qu'il y a un vibrant échange des cultures à travers la mode en Afrique et d'assurer un développement au quotidien de la culture africaine. Il a, en outre, précisé que plusieurs activités sont prévues lors de cet événement de grande envergure, entre autres, le défilé de mode, des échanges sous forme d’atelier ainsi que des expositions. Il y a lieu de signaler que cette 3ème édition se déroulera sous la thématique «Diversité de la mode africaine», et connaîtra la participation des designers stylistes de l'Afrique du sud, Botswana, Mozambique, Ghana, Kenya, Zimbabwe ainsi que de la République démocratique du Congo. Ronsard Malumalu
Félix Tshisekedi et Gentiny Ngobila au lancement de l’opération Kin Bopeto (Photo d’archives) *Dans le cadre de son partenariat avec le Groupe Albayrak signé depuis près de deux ans, la ville de Kinshasa est sur une lancée de pouvoir mettre en place une solution de gestion durable et pérenne des déchets, conformément à la vision du programme Kinshasa Bopeto initié par le gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka. Aujourd'hui, l'heure est aux derniers réglages avec le Groupe Albayrak. Dans 10 jours, l'équipe technique de cette société turque arrive à Kinshasa pour débuter les travaux de collecte des déchets à partir des ménages et de nettoyage de la ville. L'annonce est faite par la Commissaire générale en charge de l'Environnement de Kinshasa, Laetitia Bena Kabamba, dépêchée par le gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka à Istanbul pour suivre de près l'effectivité de la fabrication des engins qui doivent servir à la matérialisation de ce projet à Kinshasa. "Je suis satisfaite de ce qui est fait ici par notre partenaire. Je me rends effectivement compte que le Groupe Albayrak a mis toutes les batteries en marche conformément au contrat signé et à nos attentes techniquement. Dans 10 jours, une équipe technique du Groupe Albayrak va rejoindre celle qui séjourne déjà à Kinshasa pour débuter les travaux. Ces techniciens seront appuyés par près de 700 travailleurs recrutés sur place à Kinshasa. Les engins déjà fabriqués vont arriver à Kinshasa d'ici 40 jours. Nous avons donc finalisé cette phase ainsi que les derniers réglages", a expliqué la Commissaire générale Laetitia Bena Kabamba depuis Istanbul. Au nom du gouverneur de la ville de Kinshasa, elle a remercié le gouvernement central pour son accompagnement au travers l'implication personnelle du Chef de l'Etat ainsi que du Premier ministre pour que la ville de Kinshasa se dote des moyens nécessaires pour réussir ce partenariat qui permettra aux kinoises et kinois d'avoir une ville propre. Le partenariat entre l'hôtel de ville de Kinshasa et le Groupe Albayrak consiste en la collecte des déchets à partir des ménages mais aussi au nettoyage de la ville. Ce sera ainsi une première fois dans l'histoire de Kinshasa, qu'un système de gestion durable et pérenne des déchets soit implanté dans la capitale RD-congolaise. Et, en vue d'une bonne appropriation du projet, la Commissaire générale en charge de l'Environnement a invité la population kinoise à poser des gestes écologiques responsables afin de faciliter le travail d'assainissement sur le terrain. Cellcom/HVK
La famille Musengeshi-Kompany et la communauté Ndalamumba réunies pour rendre hommage à Apolline Musengeshi Musau C'est avec une profonde tristesse que la famille Musengeshi-Kompany et la communauté Ndalamumba ont commémoré le 40ème jour depuis le décès, le 18 août 2023 à Abidjan, en Côte d’Ivoire, de leur chère mère, grand-mère et présidente de Ndalamumba-Asbl, Apolline Musengeshi Musau. Ce mercredi 27 septembre 2023 restera à jamais gravé dans les cœurs des membres de la famille Musengeshi et Kompany. En effet, ce jour marquait le 40ème jour depuis le décès, le 18 août 2023 à Abidjan, en Côte d’Ivoire, de leur sœur, mère, grand-mère, tante et présidente Apolline Musengeshi Musau. Une messe d’action de grâce a été organisée en sa mémoire en leur domicile familial situé à Limete, 4ème rue, côté résidentiel, au 800/C de l’avenue Révolution. La cérémonie s’est déroulée dans une ambiance empreinte d’émotions, des larmes mais aussi, des sourires en se remémorant des moments heureux passés avec l’illustre disparue. Des hommages ont été nombreux, témoignant ainsi de l’affection et de l’estime qu’elle suscitait auprès de ses proches et de ceux qui ont eu la chance de la connaître.
Apolline Musengeshi était connue pour sa grande générosité et son dévouement envers les autres notamment, envers les plus démunis. Elle ne manquait jamais une occasion pour leur venir en aide et leur apporter son soutien, que ce soit en temps normal ou dans des moments les plus difficiles. Sa gentillesse, sa bienveillance et sa bonté d’âme étaient saluées de tous. Pendant la messe, les intervenants se sont succédé pour partager leurs souvenirs et rendre un dernier hommage à leur sœur, leur mère, leur grand-mère, leur tante et leur présidence. Tous étaient unanimes pour la décrire comme une personne exceptionnelle, généreuse, aimante, dévouée et pleine de vie. La cérémonie a été marquée par des chants religieux et des prières en son souvenir. Des témoignages ont été accompagnés des larmes, de rires, mais surtout, d’émotions, témoignant ainsi de l’importance de cette femme virtuose, même après son pèlerinage sur cette terre des hommes. La famille Musengeshi et Kompany et les mamans Ndalamumba garderont à jamais les souvenirs d’une femme qui, contre vents et marées, aura su marquer de son empreinte la vie de ceux qui l’ont côtoyée. Cette messe d’action de grâce restera dans les mémoires comme un moment indélébile. A tout prendre, Apolline Musengeshi Musau laisse ainsi, derrière elle, un vide immense dans les cœurs de tous ceux qui l’ont aimée mais, ses bienfaits ne disparaîtront jamais de leurs consciences. Célestin Lubo