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Libérer la justice congolaise des mains de tous les groupes maffieux , Mouvement pour le Renouveau : Clément Kanku exige des sanctions sévères contre les magistrats véreux !

Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, Leader du Mouvement pour le Renouveau

‘’Il est temps de libérer notre justice des mains de tous ces groupes maffieux qui l'ont prise en otage, en engageant des réformes courageuses et en infligeant des sanctions exemplaires à l'égard de toutes les brebis galeuses à l'instar de Mzee Laurent-Désiré Kabila qui n'avait pas hésité d'en révoquer un grand nombre, en son temps.

Le mal étant profond, une thérapie de choc s'impose et nous soutenons toute initiative allant dans ce sens-là’’, soutient, dans un communiqué de presse, le Mouvement pour le Renouveau, parti de l’Honorable Kanku Bukasa wa Tshibuabua.  ‘’La vie humaine étant sacrée, nous exigeons des enquêtes sérieuses pour établir des responsabilités et présentons nos condoléances aux familles éprouvées.

Nous recommandons, une fois de plus, au gouvernement d'améliorer les conditions de vie des prisonniers par une bonne prise en charge et de construire des infrastructures appropriées’’, précise le même communiqué.

La Pros.

Mouvement pour le Renouveau

COMMUNIQUÉ N°MR/SG/04/2024

Le Mouvement pour le Renouveau, MR en single, a suivi avec beaucoup de regrets les événements malheureux survenus au Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (prison central de Makala) causant des pertes énormes en vies humaines.

Ces événements viennent, une fois de plus, révéler, d’une part, les mauvaises conditions d'incarcération des détenus et, d’autre part, le dysfonctionnement d'un système judiciaire malade suite au comportement malhonnête de certains responsables qui abusent de leurs autorités pour instrumentaliser la justice à des fins personnelles.

Certains se permettant même de priver à beaucoup de nos compatriotes leurs libertés de façon cavalière, aggravant ainsi les conditions d'incarcération des prisonniers en surnombre dans différents établissements pénitenciers.

Il est temps de libérer notre justice des mains de tous ces groupes maffieux qui l'ont prise en otage, en engageant des réformes courageuses et en infligeant des sanctions exemplaires à l'égard de toutes les brebis galeuses à l'instar de Mzee Laurent-Désiré Kabila qui n'avait pas hésité d'en révoquer un grand nombre, en son temps.

Le mal étant profond, une thérapie de choc s'impose et nous soutenons toute initiative allant dans ce sens-là. 

La vie humaine étant sacrée, nous exigeons des enquêtes sérieuses pour établir des responsabilités et présentons nos condoléances aux familles éprouvées.

Nous recommandons, une fois de plus, au gouvernement d'améliorer les conditions de vie des prisonniers par une bonne prise en charge et de construire des infrastructures appropriées.

Fait à Kinshasa, le 04 septembre 2024

Valentin Kabengele

Secrétaire Général

 

Libérer la justice congolaise des mains de tous les groupes maffieux , Mouvement pour le Renouveau : Clément Kanku exige des sanctions sévères contre les magistrats véreux !
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La Cour Constitutionnelle a proclamé les résultats définitifs de 2024 mais, Me Kalala Muena Mpala réhabilite d’abord Pacho Panda et Jean Goubald dans leurs mandats à l’Assemblée provinciale de Kinshasa

(RPP 005 Conseil d’Etat)  

(Par Me Kalala Muena Mpala)

En lisant la publication critique du RPP 005 devant le Conseil d’Etat, on y a découvert la pertinence des critiques de ce juriste de cassation.

Une décision judiciaire n’engage le Magistrat Suprême que si et seulement si tout juge était resté sous l’autorité de toute loi destinée à régir soit la compétence territoriale soit la qualité de l’avocat qui comparaît devant une des hautes juridictions alignées à l’article 223 de la Constitution.

Tous ces avocats dont les noms et qualité apparaissent, devant le Conseil d’Etat doivent avoir fait acté, sur le PV d’audience, leurs qualité, mandat et enfin les couleurs de leur épitoge comme le fait Maître KALALA MUENA MPALA à chacune de ses comparutions devant toutes les juridictions de la RDC et même devant le Conseil National de l’ordre.

Il y insiste sur le respect strict des articles 71 et 73 de la loi du barreau que les avocats et les magistrats violent en admettant des qualités, couleurs et formes de mandat inappropriées.

Ce sont les mêmes tares procédurales qui sont observées aussi devant la Cour Constitutionnelle avec des conséquences juridiques allant jusqu’à la nullité de la décision judiciaire au frontispice de laquelle doit figurer les identités du Magistrat Suprême pour certifier que, sous serment, les Officiers du Ministère Public et les juges étaient restés sous l’autorité de la seule loi en vigueur applicable pour accepter les avocats, représenter les parties.

Il s’agit, pour tout juge sous serment, de la compétence territoriale de l’avocat, son habillement et la forme légale de son mandat devant la haute juridiction qui a proclamé ou invalidé le Député National, provincial ou le Sénateur et le gouverneur.

Messieurs et Dames les avocats qui, comme celui qui avait signé la requête contre Patcho PANDA et Jean KALALA  ont violé leur loi, de l’article 103 à 111, et la loi organique en son article 105 al. 2.

Le Conseil d’Etat doit, dans ses Arrêts, viser aussi la loi du barreau, la procédure de 1982 à ses articles 2 à 27, et les dispositions transitoires et abrogatoires de sa loi organique d’octobre 2016.

En 2024, il a reçu les requêtes signées et déposées au greffe du Conseil d’Etat par des avocats à la Cour d’Appel alors que les articles 14, 29, 38, 51 et 103 à 111 limitent ces avocats dans les ressorts de serments ou d’inscription complémentaire.

Après cet Arrêt, ceux qui ont suivi présentent les mêmes tares procédurales : usurpateurs, les avocats à la Cour d’Appel ont été admis à y représenter les parties alors que c’est le monopole des avocats près la Cour Suprême de Justice. Il n’y a que les Défenseurs judiciaires qui se respectent et respectent les avocats inscrits au petit tableau sous leur authentique qualité d’avocat au barreau près la Cour Suprême de Justice.

Quand le Magistrat Suprême dit que la justice ne fonctionne pas comme il faut, c’est certainement cet aspect du respect de la Constitution, de toutes les lois signées par le Magistrat Suprême y compris la loi du barreau à ses articles 103 à 111.

Le Magistrat Suprême ledit tout haut ; le Conseil Supérieur de la Magistrature doit ouvrir des dossiers contre les hauts magistrats qui violent leurs serments en admettant devant eux les avocats de fond et les parties.      

KALALA MUENA MPALA

  • Avec robe professionnelle et qualité conformes aux articles 7, 71 et 111 de la loi du barreau.
  • Chercheur judiciaire, légaliste et indépendant.
  • Eco-garde de la dénomination authentique de son barreau de cassation ainsi que des procédures spécifiques devant les hautes juridictions alignées à l’article 223 de la Constitution et du Règlement de procédure devant la CCJA tous les délais des Avis, des Jugements et Arrêts.
La Cour Constitutionnelle a proclamé les résultats définitifs de 2024 mais, Me Kalala Muena Mpala réhabilite d’abord Pacho Panda et Jean Goubald dans leurs mandats à l’Assemblée provinciale de Kinshasa
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Elections Présidentielles du mardi  5 novembre/2024 aux USA, Lutte contre les antivaleurs, le mensonge et la manipulation politicienne dans la campagne électorale américaine

 L’HONNETETE, LA JUSTICE, LA VERITE, LA CULTURE DE L’EXCELLENCE, DE L’INTEGRITE, DE LA MERITOCRATIE BREF LES VALEURS MORALES ET REPUBLICAINES DOIVENT ETRE SAUVEGARDEES ET ETRE PLACES AU DESSUS DES ENJEUX ET DES CALCULS POLITIQUES, POLITICIENS, ELECTORALISTES, EGOÏSTES ET PARTISANS AFIN D’EVITER DES DISCOURS DE LA HAINE, DU RACISME, DU MENSONGE, DE LA TROMPERIE, DE LA RUSE, DE LA FOURBERIE, DE L’ESCROQUERIE MORALE, INTELLECTUELLE ET POLITIQUE, DE LA DIABOLISATION ET DES COMPORTEMENTS DE MANIPULATIONS DES ELECTEURS AMERICAINS SUCCEPTIBLES D’ENTRAINER ET DE CONDUIRE A DES CONTESTATIONS ELECTORALES COMME CE FUT LE CAS DES ELECTIONS PRESIDENTIELLES DE 2020.

C’est vraiment regrettable, déplorable, et c’est vraiment une très grande honte, fourberie, escroquerie morale et intellectuelle une véritable tricherie, une malhonnêteté, une manipulation politicienne et électoraliste et une véritable escroquerie électorale sans précédent et sans commentaire dans l’histoire des élections présidentielles aux Etats – Unis d’Amérique de continuer de soutenir ouvertement et tout haut à travers les média et les réseaux sociaux les arguments, les idées, les hérésies, les contre – vérités, le mensonge et la thèse selon laquelle ou de dire ouvertement et tout haut et cela sans aucun gène, ni honte que la candidate démocrate KAMALA HARRIS à l’élection présidentielle américaine du Mardi le 05/Novembre/2024 est noire, or dans la vérité tels n’est pas le cas, KAMALA HARRIS est de couleur blanche pour ne pas dire métisse de par sa morphologie et sa physionomie et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là -  dessus.

Il est à noter que la couleur noire de la peau d’un homme ou d’une femme américaine soit – ils ou pas reste noire et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là -  dessus.

Il est aussi à noter que la couleur blanche de la peau d’un homme ou d’une femme américaine soit – ils ou pas reste blanche et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là - dessus.

Et enfin Il est aussi à noter que la couleur métisse de la peau d’un homme ou d’une femme américaine soit – ils ou pas issue d’une hybridation ou du métissage ou encore mieux de l’union entre un noir et une blanche vice – versa reste métisse et c’est clair comme de l’eau pure et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là - dessus.

La personne métisse issue du brassage ou de l’hybridation ou encore de l’union entre un blanc et une noire et inversement est hybride et intermédiaire et n’est ni blanc, ni noir et ce sont des notions fondamentales et élémentaires de base de la Biologie apprises depuis très longtemps et à enseigner calmement et ouvertement et en toute simplicité et à rappeler tout haut au peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre.

Toutes ces notions élémentaires de l’hérédité nous les avions apprises il ya plus de 30 ans à l’école secondaire et ne peuvent être contestés ou déformés aujourd’hui par le Parti Démocrate Américains ou une frange parti des démocrates américains ou encore des leaders très influents éternels et omni présents du Parti Démocrate Américains pour faire croire et avaler aux Citoyens américains et particulièrement les Afro - américains ou les Noirs américains ou encore la Communauté noire américaine vivant très longtemps aux Etats – Unis qui représente à coup sur treize pourcent (13%) de l’électorat américain des mensonges, des hérésies, des contre- vérités comme quoi, la candidate Démocrate KAMALA HARRIS est noire, les noirs américains votent toujours démocrates, tels n’est malheureusement pas toujours le cas et tout cela dans le seul but des calculs politiques et électorales afin d’attirer la confiance, les voix et vote de l’électorat noire américain qui représente treize (13%) de l’électorat global américain et qui peut changer le cours des événements et de vote lors de l’élection présidentielle américaine du Mardi le 05/Novembre /2024.

Cette façon de dire, de déclarer publiquement à travers la Presse américaine , à travers les réseaux sociaux et de faire les choses et de se comporter, cette façon délibérée de déformer et de tordre intentionnellement la vérité pour des bénéfices et profits ou dividendes purement politiques et électoralistes, gène considérablement et indispose beaucoup les Noirs d’Afrique qui ne sont pas restés indifférents et qui suivent de très prêts et dans les moindres détails le processus, le déroulement et le développement de la campagne électorale présidentillielle américaine, c’est pourquoi, pour des raisons purement humanitaires et de non-assistance en personne en danger et pour des raisons géostratégiques, pour des motifs de conscience pure, les Noirs d’Afrique s’invitent désormais dans la campagne électorale américaine afin de sensibiliser, de conscientiser et de moraliser les noirs américains, les afro - américains et la communauté noire vivant depuis très longtemps aux Etats – Unis d’Amérique de ne pas se laisser faire et de se laisser distraire et séduire par des discours, par la tentation et par les sollicitations du Parti Démocrate Américains ou de certains leaders très puissants, omni présents et éternels du Parti démocrate américain et de certains média américains et des réseaux sociaux qui osent dire que les noirs américains votent toujours démocrate ou du côté démocrate et que la Candidate démocrate KAMALA HARRIS à l’élection présidentielle américaine du Mardi 05/Novembre/2024 est noire et par conséquent et en conclusion du syllogisme philosophique, les Noirs américains ou les Afro - américains ou la Communauté noire vivant depuis longtemps au Etats – Unis voteront Démocrate ou une Démocrate, donc KAMALA HARRIS puisqu’elle est noire. Vraiment si tels est vraiment le cas, quelle hérésie, quel sophisme et faux raisonnement.

Le fait pour le citoyen américain qu’il soit noir ou blanc ou métissé de voter durant les élections américaines sur base des considérations de la peau ou de la race ou de la richesse est une forme du racisme, c’est du racisme et ce sont ces antivaleurs longtemps décriés que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE à travers sa Branche Internationale, Planétaire et Mondiale à savoir : LE CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE ne cessent jamais et ne cesseront jamais de dénoncer et de condamner ouvertement et énergiquement ce genre d’antivaleurs en RDC, en Afrique et partout à travers le monde.

Il est à noter qu’un métissé issue de l’union entre un blanc et une noire et vice versa est un hybride selon la théorie de l’hérédité, n’est pas noir, mais il est plus blanc de par la couleur de sa peau et tout le monde scientifique ou pas s’accordent pour dire ouvertement ainsi soit t – il et cela de par sa morphologie et sa physionomie et il n’a plus rien à discuter ou à tergiverser là -  dessus.

C’est pourquoi, aujourd’hui, nous devons briser ce mythe, ces hérésies dangereuses, cette tradition et ce discours de la honte, du mensonge, de la corruption et de l’escroquerie morales et intellectuelles, de la manipulation politique et électorale qui serait développé par le Parti Démocrate, par certains leaders politiques très influents omniprésents et éternels du parti Démocrate Américain ainsi que la Presse américaine et les réseaux sociaux comme quoi, les noirs d’Amérique, les Afro – Américains ou la Communauté noire vivant depuis très longtemps aux Etats – Unis ne votent généralement et toujours que du côté démocrate et que le vote des noirs ou des Afro – Américains et l’électorat noire américain est automatiquement acquis, d’ipso facto et sans commentaire et sans contredit à la cause du Parti Démocrate Américain, si tels est vraiment le cas, si les faits seraient avérés, alors c’est vraiment très dangereux, c’est vraiment de la tromperie, de la ruse, de la fraude, de la fourberie, du mensonge, de la distraction, des hérésies, de la pure farce et du théâtre de chez nous et pour ne pas dire de la tragi – comédie, de la mise en scène sans précédent, de la manipulation politique et politicienne du Parti Démocrate Américain et de certains leaders politiques très influents omniprésents et éternels du parti Démocrate Américain ainsi que de la Presse américaine et des réseaux sociaux qui sont des antivaleurs que le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE à travers sa Branche Internationale, Planétaire et Mondiale à savoir : LE CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE fortement spécialisé dans des réflexions et dans des études géostratégiques et des questions de la Défense, de la sauvegarde, de la surveillance, de la protection et de la promotion des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales, de la Démocratie, de l’Etat de droit, de la bonne Gouvernance, de la Paix, Sécurité et Stabilité Internationale et Mondiale, de la géopolitique, de la Géostratégie, de l’environnement, du développement durable et Intégral, du mieux-être social, des élections, du Commerce International, de la Nouvelle Technologie de l’Information et de la Communication et du numérique et de l’Intelligence artificielle, de la lutte contre le réchauffement climatique, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre le racisme, de la lutte contre le terrorisme International, de la lutte contre l’impunité et du détournement des deniers publics, de la lutte contre le blanchissement des capitaux, de la lutte contre l’Antisémitisme, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre l’Islamophobie, de la lutte contre la Russophobie ,de la lutte contre la Sinophobie et autres ne peuvent pas accepter, tolérer, supporter, admettre et condamne tout haut, sans ambages et sans commentaire et sans complaisance, vigoureusement et énergiquement en RDC, en Afrique et partout à travers le monde.

Alors, de ce fait, cette façon délibérée et intentionnelle de présenter les choses, d’agir et de torde la vérité n’est pas bonne si ce n’est que pour des raisons purement politiques et des calculs électoralistes afin d’attirer par la tromperie, la ruse, le mensonge, la fourberie, la tricherie, la manipulation politicienne et électorale les treize pourcent (13%) de l’électorat noir américain qui peut facilement changer la donne et le cours des événements durant l’élection présidentielle américaine du Mardi 05/Novembre/2024 en faveur de la candidate KAMALA HARRIS. 

C’est pourquoi, si tels est vraiment le cas , si les fait sont avérés et sans commentaires, alors cette façon de faire les choses et d’agir doit immédiatement s’arrêter au plus vite aux Etats – Unis d’Amérique d’autant plus que ca n’honore pas la grande nation américaine, championne et modèle de la démocratie mondiale, de l’Etat de Droit et de la Bonne Gouvernance politique et cela au nom de la justice, de la vérité, de l’honnêteté et de l’équité, d’autant plus que les ténèbres ( à savoir : le mensonge, le discours de la haine et de l’exclusion, le discours raciste et séparatiste, la ségrégation, la fraude électorale, la tromperie, la ruse, la fourberie, la tricherie, la manipulation politicienne et électorale) ne régneront pas toujours aux Etats – Unis d’Amérique autours des élections présidentielles (Esaïe 8 : 1-23).

C’est pourquoi, le CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC,EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE à travers sa Branche Internationale, Planétaire et Mondiale à savoir : LE CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE fortement spécialisé dans des réflexions et dans des études géostratégiques et des questions de la Défense, de la sauvegarde, de la surveillance, de la protection et de la promotion des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales, de la Démocratie, de l’Etat de droit, de la bonne Gouvernance, de la Paix, Sécurité et Stabilité Internationale et Mondiale, de la géopolitique, de la Géostratégie, de l’environnement, du développement durable et Intégral, du mieux-être social, des élections, du Commerce International, de la Nouvelle Technologie de l’Information et de la Communication et du numérique et de l’Intelligence artificielle, de la lutte contre le réchauffement climatique, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre le racisme, de la lutte contre le terrorisme International, de la lutte contre l’impunité et du détournement des deniers publics, de la lutte contre le blanchissement des capitaux, de la lutte contre l’Antisémitisme, de la lutte contre la xénophobie, de la lutte contre l’Islamophobie, de la lutte contre la Russophobie ,de la lutte contre la Sinophobie et autres à travers son programme spécialisé et permanant d’EDUCATION CIVIQUE, DE SENSIBILISATION, DE CONSCIENTISATION ET DE MORALISATION DES PEUPLES PARTOUT A TRAVERS LE MONDE attirent ouvertement l’attention des Noirs américains ou des Afro - américains ou de la Communauté noire vivant depuis longtemps au Etats – Unis, d’être très vigilants et très éveillés, de ne pas se laisser distraire, berner et tromper facilement par de genres des discours qu’ils proviennent soit du Parti Démocrate Américain, ou de ses leaders politiques très influents, omniprésents et éternels ou encore de la Presse américaine ou en plus des réseaux sociaux et le jour de l’élection présidentielle américaine du Mardi le 05/Novembre/2024 qu’ils doivent désormais voter sur base de la voix de leurs consciences personnelles et individuelles et non voter sur base des sentiments négatifs, de zèle amers, des émotions et des mots d’ordre du Parti démocrate Américain ou de certains leaders politiques démocrates très influents, omniprésents et éternels, ce qui sera une erreur stratégique grave, fatale, impardonnable, inexcusable et très regrettable pour eux, pour leurs vies, pour leurs enfants, pour leurs postérité et pour leurs consciences qui resteront longtemps troubles et très agitées et n’auront que leurs deux yeux pour pleurer mais de voter pour un candidat président des Etats – Unis seulement sur base de son programme de la campagne électorale, sur base de son projet de société qui doit inclure la défense des droits et des intérêts majeurs et stratégiques des Afro – américains et de la Communauté noire d’Amérique face au racisme, à la discrimination, aux injustices sociale, à la criminalités, à la sécurité des personnes et de leurs biens, à l’homosexualité, au coût de la vie, au chômage, à la santé, à l’éducation, au pouvoir d’achat, à l’inflation galopante, à la récession de l’économie américaine ainsi que d’autres questions stratégiques qui tracassent les Afro- Américains liés au logement, au chômage et autres et qui tracassent aussi l’ensemble du peuple américain sans exception et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre.

A titre de rappel, selon les us et coutumes américaines des conventions américaines républicaines et démocrates qui représentent la fin et l’aboutissement d’un long processus des élections primaires organisées dans tous les 52 Etats Américains et le candidat vainqueur est officiellement  investi à la convention Démocrate ou Républicaine, ce qui le confère une légitimité incontestable parc qu’il a été élu aux élections primaires directes par la majorité des membres du parti Démocrate ou Républicain, accepté par la majorité des membres du parti de manière à devenir officiellement le candidat valable du Parti aux élections présidentielles, tels malheureusement n’a pas été le cas de la Candidate KAMALA HARRIS qui n’est pas passé officiellement par cette épreuve de baptême de feu des primaires démocrates bien qu’à quatre (4) Mois des élections présidentielles le Parti Démocrate pouvait encore bel et bien organiser les élections primaires pour se choisir un candidat valable de son choix, élu par les membres du Parti démocrate, et qui serait investi  par la Convention démocrate, et qui serait accepté et soutenu par tous au lendemain de l’éviction et du retrait forcé du Candidat Joe Biden à cause de la pression de certains hommes forts, les influents et les plus considérés du Parti Démocrate qui l’ont tous contrait malgré lui et contre sa volonté et ses attentes à se retirer de la course à la présidence afin de propulser à sa pace la Vice – Présidente KAMALA HARRIS sans passer par les élections primaires américaines.

James Andersson NZALE LONGBANGO MONGA TSHAMBU

ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS

Président – Fondateur et Président Exécutif International

du CIEGS RDC AFRIQUE ET ASBL

Grand Défenseur des Droits de l’Homme

Journaliste Manager et Professionnel

Char du Feu, Char d’Israël et sa Cavalerie

Le Vaillant Héros et le Grand Lion

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Elections Présidentielles du mardi  5 novembre/2024 aux USA, Lutte contre les antivaleurs, le mensonge et la manipulation politicienne dans la campagne électorale américaine
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L’UDPS à la Croisée des Chemins : Un Appel Urgent à la Réconciliation et à l’Unité

(Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza, MPA, Vice- Président Fédéral en Charge de la Politique et de la Diplomatie, Fédération Des Etats-Unis d’Amérique)

 

Introduction

L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) se trouve à un carrefour déterminant de son histoire, il devient impératif de réaffirmer les valeurs fondamentales qui ont construit l’essence même de ce grand parti.

La crise interne actuelle, caractérisée par une absence de vision stratégique claire et une gestion chaotique, met en péril l’intégrité et l’efficacité de l’UDPS, menaçant ainsi sa capacité à jouer un rôle prépondérant dans la politique de la République Démocratique du Congo (RDC).

Les récentes accusations portées contre le secrétaire général, Augustin Kabuya, révèlent une série de défaillances de gouvernance qui aggravent la crise. La critique répétée de Kabuya concernant le manque de cohérence dans la direction et le manque de leadership exemplaire au sein de ses équipes expose des lacunes profondes dans la gestion du parti. Ces tensions mettent en lumière des déficits critiques dans le leadership et la stratégie, entravant non seulement la stabilité interne de l’UDPS, mais aussi son rôle stratégique au sein du paysage politique national.

Dans ce climat de méfiance croissante et de division exacerbée, les factions rivales au sein du parti ne se contentent pas de remettre en question la direction actuelle ; elles sapent également la cohésion nécessaire pour formuler des politiques efficaces et maintenir un soutien populaire crucial.

 La fragmentation croissante menace de détourner l’attention des véritables enjeux politiques, compromettant la capacité du parti à assumer ses responsabilités dans le processus démocratique de la RDC.

Face à cette situation alarmante, il devient vital pour les membres de l’UDPS de réévaluer leur engagement envers les principes fondateurs du parti. Une réconciliation authentique et une unité retrouvée sont non seulement nécessaires pour restaurer la crédibilité et l’intégrité du parti, mais également pour garantir sa pertinence et son efficacité dans l’arène politique nationale.

C’est à ce prix que l’UDPS pourra continuer à jouer son rôle de leader dans le développement démocratique et social de la République Démocratique du Congo.

1. Constat de la Situation

L'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) se trouve actuellement en proie à une crise interne profonde et complexe, mettant en péril le bon fonctionnement de ses institutions et sa cohésion. Cette crise est marquée par une fracture notable entre plusieurs factions rivales, chacune affichant une loyauté distincte envers le président Félix Tshisekedi. Cette division interne accentue les tensions et perturbe gravement la dynamique du parti.

Les factions rivales au sein de l’UDPS sont caractérisées par des conflits de pouvoir exacerbés et une méfiance généralisée. Les membres du parti se trouvent dans des positions antagonistes, avec des alliances opportunistes qui aggravent la situation.

Ces luttes de pouvoir ne se limitent pas aux arènes privées ; elles sont également manifestées à travers des manœuvres politiques subtiles, incluant des stratégies de dénigrement et de manipulation.

 En public, cependant, certains membres prétendent à une unité qui est de plus en plus fragile en réalité. Cette hypocrisie masque une réalité complexe où les divisions internes sapent les bases mêmes de la gouvernance et du leadership au sein du parti.

Ce climat de discordance entraîne des répercussions graves sur la capacité du parti à fonctionner de manière cohérente et efficace. Les querelles internes empêchent la formulation de politiques constructives et nuisent à la présentation d'initiatives claires et convaincantes à l’électorat. La direction actuelle du parti, en proie à ces conflits, est incapable de naviguer au-delà de ces obstacles et d’élaborer une stratégie unifiée pour l’avenir.

Cette situation a conduit l’UDPS à une position de vulnérabilité accrue. Le soutien populaire, jadis solide, est en déclin, et la crédibilité du parti s’effrite. La capacité de l’UDPS à maintenir son influence politique pendant et après le mandat de Félix Tshisekedi est gravement compromise.

 Le parti, qui a longtemps été un pilier du développement politique en RDC, se trouve désormais à risque de perdre son rôle de leadership.

L’aspect le plus alarmant de cette crise est la tendance croissante de certains membres à perpétuer la division, même au sein des institutions. Paradoxalement, ces individus agissent publiquement comme si tout allait bien, dissimulant les véritables fractures internes sous un vernis d’unité de façade. Cette hypocrisie non seulement érode la confiance en la direction du parti mais empêche également de traiter les problèmes de manière constructive et transparente.

Pour que l’UDPS puisse retrouver sa force et son intégrité, il est crucial que chaque membre reconnaisse la gravité de la situation et fasse preuve d’un engagement sincère envers la réconciliation et l’unité. La capacité du parti à surmonter cette crise est essentielle pour préserver son rôle crucial dans le développement politique et social de la République Démocratique du Congo. Il est impératif que les membres cessent de masquer les véritables problèmes sous des apparences trompeuses et se consacrent à résoudre les conflits internes pour restaurer la cohésion et la crédibilité du parti.

2. Conséquences sur la Conservation du Pouvoir

La crise interne de l'UDPS entraîne des répercussions significatives sur sa capacité à conserver le pouvoir après le mandat de Félix Tshisekedi. La fragmentation actuelle du parti affaiblit considérablement sa capacité à présenter un front uni, essentiel pour capitaliser sur les succès et les acquis réalisés pendant le mandat présidentiel. Un parti divisé est moins capable de maintenir une stratégie cohérente et de mobiliser un soutien populaire essentiel lors des prochaines élections.

Historiquement, les partis politiques confrontés à des crises internes sévères ont souvent rencontré des difficultés lors des périodes électorales, notamment en raison de l’émergence de divisions internes qui nuisent à l’efficacité de la campagne.

Cette situation engendre des erreurs stratégiques, une perte de soutien populaire, et un manque de ressources nécessaires pour une campagne électorale réussie. Pour l’UDPS, résoudre ces conflits internes est une condition sine qua non pour éviter une érosion de sa position dominante sur la scène politique de la RDC.

La fragmentation du parti pourrait également permettre à des adversaires politiques de capitaliser sur ces faiblesses internes, en exploitant les divisions pour renforcer leur propre position et gagner en influence.

3. Gestion des Ambitions et Accusations Mutuelles : Vers une Réconciliation Urgente au sein de l’UDPS

La crise interne au sein de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a atteint un niveau critique, exacerbée par des ambitions divergentes et des accusations réciproques qui minent gravement la cohésion du parti.

La lutte pour les positions de pouvoir, alimentée par des ambitions personnelles incontrôlées, a non seulement intensifié les tensions au sein du parti mais a aussi conduit à une fragmentation désastreuse de ses structures. Ces rivalités exacerbées ont engendré un climat d'accusations mutuelles et de méfiance, compromettant ainsi le fonctionnement harmonieux du parti.

La situation est aggravée par un regard complice, voire indifférent, de la part de l'autorité morale du parti et des cadres influents. Ce soutien tacite ou passif à ces divisions internes a permis à la crise de se développer sans véritable opposition ou intervention corrective. Le manque d’action décisive pour adresser les conflits internes a laissé le parti vulnérable, fragilisant ses institutions à tous les niveaux.

Pour éviter une détérioration supplémentaire de cette crise, il est impératif que les membres de l’UDPS se mobilisent en faveur d’une réconciliation sincère et d’une consolidation interne. La reconstruction du parti doit commencer par une réaffirmation claire des valeurs fondamentales qui ont historiquement soutenu l’UDPS. Il est crucial de mettre de côté les ambitions personnelles au profit des intérêts collectifs et de l’avenir du parti.

Un processus de réconciliation efficace devrait inclure plusieurs éléments clés. Premièrement, un dialogue constructif entre les factions rivales doit être instauré, avec l’aide de médiateurs neutres pour faciliter la communication et la compréhension mutuelle. La mise en œuvre de mécanismes de décision démocratiques au sein du parti est essentielle pour restaurer la confiance et promouvoir une véritable unité.

De plus, l’établissement d’accords temporaires de partage du pouvoir et de responsabilités pourrait offrir une solution pour équilibrer les intérêts divergents tout en préservant la cohésion du parti.

Ces accords doivent être conçus pour garantir une représentation équitable de toutes les factions tout en évitant des déséquilibres qui pourraient raviver les tensions.

Parallèlement, il est nécessaire de mettre en place des formations spécifiques en gestion des conflits pour les membres du parti. Ces formations, accompagnées de sessions de sensibilisation sur les principes de respect mutuel et de coopération, joueront un rôle crucial dans la résolution des tensions et la restauration d’un climat de respect et de collaboration.

Ces démarches visent non seulement à surmonter les conflits internes immédiats mais aussi à préparer le parti pour une transition politique efficace et à maintenir son influence sur la scène politique nationale.

En somme, il est impératif que l’UDPS prenne des mesures audacieuses pour surmonter cette crise. L’avenir du parti et son rôle dans le développement politique de la République Démocratique du Congo dépendent de sa capacité à adresser ces défis internes avec sérieux et détermination.

La réconciliation et la consolidation interne sont les clés pour restaurer la force et l’intégrité de l’UDPS, garantissant ainsi sa pertinence et son efficacité dans les années à venir.

4. Conclusion

L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) s’est toujours imposée comme le bastion de la démocratie et du progrès en République Démocratique du Congo. Aujourd’hui, alors que le parti se trouve à un tournant décisif, il est impératif que chaque membre et cadre fasse preuve de la même détermination qui a forgé notre histoire. Les conflits internes persistants ne sont pas une simple crise organisationnelle ; ils menacent l’intégrité du parti et l’avenir politique de notre nation.

Chaque jour qui passe sans une résolution claire de ces disputes accroît la division et fragilise la position stratégique de l’UDPS. Il ne suffit pas de déplorer la situation ; il est urgent d’agir.

Nous devons nous mobiliser collectivement pour restaurer l’unité, réaffirmer nos principes fondateurs et mettre en œuvre une gouvernance transparente et inclusive.

 La réconciliation n’est pas une option, mais une nécessité impérieuse pour éviter une crise inutile qui sacrifierait non seulement l’avenir du parti, mais aussi celui du peuple congolais.

L’heure est à l’action déterminée. Nous devons transcender nos différends personnels et travailler ensemble pour réinventer notre parti, pour que l’UDPS puisse continuer à jouer son rôle crucial dans le développement de la RDC.

Cette crise interne est un test de notre engagement envers les valeurs que nous avons défendues avec tant de courage. Le succès de notre démarche de réconciliation sera non seulement déterminant pour la survie du parti, mais aussi pour la stabilité et le progrès de notre pays dans les années à venir.

 Ne laissons pas le destin de notre parti et de notre nation entre les mains de quelques-uns. Agissons maintenant, pour un avenir politique stable et prospère pour la République Démocratique du Congo.

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L’UDPS à la Croisée des Chemins : Un Appel Urgent à la Réconciliation et à l’Unité
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Les Etats-Unis en voie de congolisation

(Par le Prof.  Patience Kabamba)

Cette année, j’ai eu le privilège de passer une moitié de l’année aux États-Unis et l’autre moitié à Kinshasa. Après vingt ans de vie en Amérique et les trois dernières années à Kinshasa, où j’ai publié un livre sur le Congo intitulé Comment en finir avec la crise multiforme en République démocratique du Congo, chez L’Harmattan, je voudrai dans ce MDW esquisser des observations sur les États-Unis et la direction politique que prend ce pays, selon mes observations. Je voudrai commencer cette analyse en racontant une histoire de Madame Tolsi Gabbard, une politicienne américaine qui fut déployée comme soldate en Irak.

Elle a été représentante du Second district d’Hawaii de 2013 à 2021. Elle est la première Américaine de Samoa à siéger à la Chambre des Représentants. Elle fut candidate aux primaires démocrates de 2020. Et pendant un débat, elle lança une critique très articulée contre une autre candidate au nom de Kamala Harris, l’actuelle vice-présidente et candidate à la présidentielle de 2024. Mrs Galbbard reprochait à la vice-présidente Harris qu’alors qu’elle avait la possibilité de faire la différence lorsqu’elle fut procureure de la Californie, elle avait plutôt laissé les prisonniers noirs qui avaient déjà purgé leurs peines rester en prison pour être utilisés comme employés bénévoles par le système pénitentiaire. Elle avait reproché à Madame Harris de n’avoir aucune personnalité, de n’avoir montré aucun leadership quand elle était procureure de la Californie. Plus récemment, lors d’un commentaire à la télévision nationale, elle a conclu qu’une future administration Harris serait un jouet entre les mains du complexe militaro-industriel qui va continuer la guerre en Ukraine parce qu’ils y engrangent beaucoup de profits. En effet, plus ou moins 80 % de l’argent des contribuables américains destiné à l’Ukraine resterait aux USA pour l’achat d'armes. Pour avoir dit ce qu’elle a dit, Tultsi Gabbard se retrouve sur la liste des terroristes domestiques. Elle est soumise à une surveillance draconienne à chaque fois qu’elle voyage. Trois « air marchals » (gardes voyageant incognito) lui ont été assignés à chaque fois qu’elle prend un vol. La militarisation de la politique américaine n’est pas sans rappeler le sort des opposants politiques congolais. Les exemples des arrestations de Jean-Marc Kabund et des journalistes me viennent à l’esprit. 

Les journalistes américains se sont transformés en activistes politiques ; la grande majorité des chaines de télévision et des journaux se rangent derrière le Parti Démocrate. En lieu et place de donner des nouvelles, les journalistes s’adonnent à cœur joie à critiquer le Parti Républicain et son candidat aux présidentielles, Donald Trump. Les mêmes médias ont couvert pendant plusieurs années l’état cognitif défaillant du président Biden. En se révélant au grand jour lors du débat présidental, les médias ont incidemment insinué que le pays n’était pas dirigé par Biden étant donné l’état de santé de ce dernier. Et on a le droit de se demander qui dirige les USA aujourd’hui. En effet, le débat présidentiel avait démontré que le Président Biden ne dirigeait pas le pays. Les médias sont devenus des alliés du Parti Démocrate, exactement comme en R.D. Congo où la chaine de Radio et  Télévision Nationale (RTNC) est devenue l’organe de propagande du parti au pouvoir. A la télévision nationale congolaise, tout est fait pour présenter le gouvernement sous un beau jour. 

Enfin, le FBI, le très puissant Bureau fédéral d’investigation, est aussi devenu complice d’un parti politique. Le FBI a participé à la suppression sur Twitter des messages des membres du Parti Républicain.  Tweeter, avant son acquisition par Elon Musk, avait reçu des injonctions du FBI pour systématiquement élaguer les messages du Parti Républicain. Le message le plus emblématique est celui de l’ordinateur de Hunter Biden, le fils du Président, qui aurait abandonné son ordinateur chez un réparateur. Ce dernier, après avoir copié le disque dur, l’a remis au FBI. Le FBI a informé Twitter et Facebook de faire attention aux fausses informations en provenance de la Russie. En fait, le FBI avait récupéré le laptop du fils du Président Biden et avait pris connaissance du contenu et a préventivement ordonné aux médias de ne pas relayer cette information. Le FBI a participé à la propagation de mensonges en faveur d’un parti politique. Plus récemment, lors de l’assassinat manqué de Trump, le même FBI a reconnu des failles et de la négligence à protéger un candidat qu’il ne porte pas. Le FBI serait passé, comme le dit si bien Michael Waller, des héros de la Guerre froide aux vilains de l’État profond d’aujourd’hui (Cf. Waller’s Big Intel). L’État profond est l’ensemble des fonctionnaires non-élus, pour la plupart des Démocrates, qui finissent par prendre des décisions importantes sur les affaires de l’État. Au Congo, nous nous rappelons le nom de maman Marthe, la mère du président, qui décide parfois des postes à donner à tel ou à tel autre. 

Aujourd'hui, en Amérique, le FBI, les médias et le Parti démocrate sont de mèche pour déterminer les élections présidentielles, décider de la poursuite de la guerre en Ukraine pour que le complexe militaro-industriel engrange des bénéfices pécuniaires. Il y a des compagnies américaines qui se positionnent déjà pour la reconstruction de l'Ukraine, à l’exemple de BlackRock, et qui auraient tout intérêt à ce que la guerre puisse se poursuivre pour engranger le plus d’argent possible dans la reconstruction. La guerre sur les champs de bataille est évidemment la continuité de la production dans les usines ou dans la reconstruction. Au Congo, on confie à des compagnies amies d’énormes sommes d’argent pour des projets de l’État, qui, malheureusement, ne sont jamais achevés. Il est devenu courant au Congo que, sans passer par des appels d’offre, on passe les marchés de gré à gré ou mieux d’amis à amis. Le pouvoir utilise les moyens de l’État pour enrichir ses amis. On nomme ambassadeur une personne qui a soutenu financièrement la candidature du Chef. On nomme ministre des Affaires étrangères une personne qui a réuni 51 signatures des anciens directeurs de la CIA pour dire que ce qui se trouvait dans le laptop de Hunter Biden était de provenance russe. Au Congo comme aux USA, les choses se passent de la même manière.

Normalement, en pareil cas, les universités s’impliqueraient pour théoriser la situation et présenter aux hommes d’action, comme le disait Max Weber, les propositions pour sortir des moments difficiles. Malheureusement, au Congo comme en Amérique, les universités ont pris fait et cause pour le pourvoir. Aux USA, les professeurs d’université sont disproportionnellement de gauche et votent pour le Parti Démocrate. Certaines universités vont encore plus loin dans leur lien avec le Parti Démocrate. La faculté de Droit de l’université Georgetown dirige une équipe bien sélectionnée de personnes, qui sont pratiquement toutes de la gauche, pour assurer une transition paisible ‒ ce qui est un euphémisme pour dire autrement ce que Nancy Pelosi, l’ancienne présidente du Parlement, a dit en public : « Trump shouldn’t be near the White House », i.e. « Il ne faut pas que Trump soit proche de la Maison Blanche. » On comprend facilement que l’université, avec cette équipe d’une transition respectueuse composée pour la plus grande partie de personnes de la gauche, fera la police pour bloquer une transition si jamais Trump gagnait les élections. De plus, on sait que la Chine s’inquiète beaucoup du retour de Trump au pouvoir, car avec Biden, elle a pu avancer facilement ses pions aux USA ; elle a fait circuler un ballon sur le sol américain, elle a fait du business avec la famille présidentielle, etc. La Chine aurait remis près de 30 millions de dollars à la faculté de Droit de Georgetown University. On comprend que cette équipe de transition, quand bien même elle émanerait d’une université, sera difficilement neutre.

En conclusion : nous avons une alliance des médias, du Parti démocrate, du FBI, de Hollywood et des universitaires pour s’assurer que madame Kamala Harris, qui selon les mêmes médias était une candidate faible avant son élévation pour remplacer Biden, puisse gagner les élections. Nous sommes loin des Bill Clinton et Barak Obama, candidats et présidents démocrates extrêmement intelligents et capables de formuler de manière articulée des politiques gouvernementales claires. Aujourd’hui, on a des candidatures de gauche très moyennes et qu’il faut garder le plus longtemps possible loin de toute exposition intellectuelle et publique. Biden était dans sa cave pendant toute la campagne à cause de la COVID-19 et Kamala Harris est protégée contre toute interview qui l’éloignerait du téléprompteur ; une pratique qui paye sans doute, pourquoi pas. Au Congo, nous n’avons jamais eu un président qui a suivi une éducation formelle, à l’exception de Joseph Kasa-Vubu. Comme me disait un collègue après plusieurs visites en Afrique du Sud, «l’Afrique du Sud ressemble plus à l’Afrique qu’à l’Europe», je dirai que l’Amérique et le Congo ne présentent pas beaucoup de différences sur le plan politique et social.

Les Etats-Unis en voie de congolisation
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