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Mort en raison de son honnêteté , Floribert Bwana Chui, 3ème Congolais bientôt Bienheureux après Bakanja et Anuarite

Le Pape François a autorisé lundi 25 novembre, la béatification d’un jeune congolais, le serviteur de Dieu Floribert Bwana Chui Bin Kositi, fidèle laïc. Né le 13 juin 1981 à Goma, il a été tué dans la même ville, en haine de la foi, le 8 juin 2007.

Le martyre de Floribert Bwana Chui Bin Kositi, laïc originaire de la République démocratique du Congo a été reconnu. Le Saint-Père a autorisé lundi 25 novembre sa béatification. Né le 13 juin 1981 à Goma dans l’Est de la RDC, il a été assassiné dans la même ville en 2007, en haine de la foi. Floribert Bwana est issu d'un milieu aisé et a étudié le droit et l'économie.

Ce jeune chrétien catholique âgé de 25 ans, a été enlevé puis tué dans la nuit du 7 au 8 juillet 2007, pour n’avoir pas cédé à la corruption. Ce jeune congolais débuta sa vie professionnelle à Kinshasa comme commissaire aux réclamations au sein de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), organisme de l'autorité nationale de contrôle des marchandises où il était chargé d’évaluer la conformité des produits passant la frontière Est de la République démocratique du Congo. Il fut ensuite transféré au poste de Goma comme chef de bureau de l’OCC. Durant ses années d'études, Bwana Chui a rejoint la Communauté de Sant'Egidio. Il a aidé comme bénévole et s'occupait des enfants de la rue.

Dans l’exécution de sa mission, Floribert Bwana est confronté au problème moral d’autoriser l’entrée au Congo Kinshasa de denrées alimentaires venant du Rwanda voisin, et qui n'avaient pas obtenu les autorisations nécessaires pour leur commercialisation et leur consommation. Selon des témoignages, «Bwana Chui a préféré mourir en refusant de faire passer de la nourriture qui aurait pu empoisonner un grand nombre de personnes».

Quatre martyrs ont été béatifiés à Uvira

Quatre martyrs ont été béatifiés à Uvira en RD Congo. L’Eglise universelle, et particulièrement celle de la RDC, compte quatre nouveaux Bienheureux. Trois missionnaires xavériens et un prêtre diocésain, témoins de la foi, viennent d’être béatifiés.

Le refus de « l’argent sale » lié à des transactions illicites a été la cause de sa mort. Il jugeait immoral de laisser passer des tonnes de denrées avariées et toxiques à destination des populations en échange de quelques milliers de dollars. Il avait fait détruire des lots de riz périmés et refusé des pots-de-vin. Cette intégrité lui a coûté un enlèvement suivi de son assassinat. Des témoins affirment qu’il disait souvent : «L’argent disparaîtra vite. Quant à ces personnes qui auraient consommé ces produits, que serait-il advenu d’elles ?» « Est-ce que je vis pour le Christ ou pas ? Voilà pourquoi, je ne puis accepter. Mieux vaut mourir que d'accepter cet argent».

Selon le témoignage de Mgr Faustin Ngabu, alors évêque de Goma, « Floribert Bwana Chui Bin Kositi est mort en raison de son honnêteté. C’est quelqu'un qui a su conserver sa liberté dans une situation extrêmement difficile. Ce qu'il a vécu a été une manifestation forte de sa foi chrétienne».

La Pros.

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Radioscopie sommaire de l’émission Pie Tshibanda-Bob Kabamba sur la situation politico-sécuritaire à l’Est

(Par l’Ambassadeur André-Alain Atundu Liongo)

La notoriété du Prof Kabamba, son rôle dans l’élaboration de la Constitution de 2006 et l’intérêt ainsi que l’actualité ont donné un relief particulier à sa prestation. Aucun Acteur politique et Patriote ne peut rester indifférent aux propos du Prof Kabamba, en réponse aux questions de Pie Tshibanda. C’est dans ce cadre que j’interviens pour noter les observations suivantes :

  1. Dans ses déclarations, le Prof Kabamba semble minimiser, voire banaliser la place de l’état psychologique des populations congolaises dans l’élaboration de la Constitution.

En effet, les explications et la rationalisation de certains faits traumatisants vécus dans leurs chairs par les populations de l’Est ne peuvent éliminer dans l’âme et l’esprit des congolais les inquiétudes vis-à-vis de Kigali ni les appréhensions de balkanisation projetée par la Communauté Internationale.

En tant que Garant de la Nation, le Président Tshisekedi se doit, comme il l’a fait à Kisangani et à Lubumbashi, de rassurer l’opinion nationale en annonçant et en prenant des dispositions adéquates pour apaiser les congolais.

  1. Une interprétation sociologique confuse et douteuse. En établissant une équation surprenante entre le comportement des familles régnantes coutumières et le comportement de l’ethnie tutsi, le Professeur fait une regrettable confusion des genres qui ne contribue nullement à la connaissance et à la solution des rapports entre l’ethnie tutsi et les tribus environnantes au Kivu.

La réalité que vivent les populations est simple : les Autorités de Kigali instrumentalisent la présence des tutsi pour réaliser leurs visées prédatrices et hégémoniques sous le couvert d’une intervention humanitaire en faveur des tutsi du Congo qu’elles décrètent comme la seule et unique population minoritaire du Congo.

  1. L’argumentation selon laquelle il suffit de répliquer aux prétentions territoriales au Congo qu’à une date donnée, le Rwanda et l’Ouganda faisaient partie du Congo manque de pertinence dès lors que ce sont les Dirigeants rwandais qui sont à la base de cette psychose en RDC par le souvenir des raids contre Kitona, Kinshasa (Tshangu) et des massacres à répétition à travers leurs hommes liges notamment après leur expulsion par M’zee.

Ne dit-on pas que contre les faits, les arguments ne valent rien ! Les exemples de l’Erythrée et du Sud Soudan devraient inciter le Président Tshisekedi à plus de vigilance et d’ardeur – la balkanisation est une option qui risque de se réaliser si nous sommes distraits.

De toutes les façons, la prudence n’est pas un vice surtout au niveau des responsabilités Du Chef de l’Etat.

  1. L’équation établie entre Nouvelle Constitution et Coup d’Etat est aléatoire à la lumière de notre Histoire : la Constitution de Luluabourg n’a pas nécessité un coup d’Etat pour sa légitimation et celle de 1967 d’ailleurs.

Il n’est pas exact d’affirmer qu’un coup d’Etat crée un vide juridico-constitutionnel, alors que la première déclaration des auteurs des coups d’Etat, c’est de rassurer sur la continuité de l’Etat tant sur le plan interne qu’externe.

A ce propos, il conviendrait de déterminer la notion de coup d’Etat.

Du point de vue sociologique et juridique, un coup d’Etat est une interruption brusque et brutale du processus de gouvernance sous la légalité constitutionnelle ancienne ou la neutralisation par un organe dirigeant des autres organes qui participent au pouvoir de décision.

Dans tous les cas, l’adoption d’une nouvelle Constitution ne signifie ni coup d’Etat ni vide juridico-institutionnel puisqu’il y est déterminé sa date d’entrée en vigueur.

  1. De toute évidence, la Constitution en vigueur fait partie d’un plan de mise sous tutelle de la RDC et du Peuple congolais.
  2. Les propos du Prof Kabamba poussent malignement par mimétisme vers la voie de l’Union Européenne par sa lecture de l’article consacré à l’abandon de souveraineté… alors que le Rwanda mène une guerre en RDC. Etait-il pensable d’envisager l’Union Européenne lorsque l’Allemagne occupait l’Alsace ?

Dans ces circonstances, il n’est pas judicieux de condamner le Président Tshisekedi à cause de sa méfiance légitime vis-à-vis de cet article pour la protection du Territoire national.

  1. Pour le reste et pour l’Histoire, le Prof Kabamba ne peut que se battre bec et ongles pour sauver sa Constitution.

Bref, le mimétisme constitutionnel et le droit comparé comme motivation ultime et profonde n’est pas un argument massue qui enlève au Président Tshisekedi et aux Congolais toutes raisons à réfléchir sur l’efficacité de sa Constitution, à l’épreuve des faits pour concevoir une réponse crédible à leurs inquiétudes et à leurs aspirations concernant la République Démocratique du Congo, d’après leur génie propre.

Fait à Kinshasa, le 25 Juillet 2024

Ambassadeur André-Alain ATUNDU LIONGO

Président National de la CDR

Radioscopie sommaire de l’émission Pie Tshibanda-Bob Kabamba sur la situation politico-sécuritaire à l’Est
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3 Questions à…Trump et l’AGOA, place de l’Afrique dans le monde, « Sud Global » : l’Afrique à deux mois pour se préparer avant la prise de pouvoir officielle par Trump

La Prospérité – L’élection de Trump constitue-t-elle une menace pour l’Afrique ? L’Afrique ne peut-elle pas, au contraire, voir dans cette élection une opportunité pour affirmer sa souveraineté ?

Christian Gambotti Le 20 janvier 2025, Trump sera officiellement le 47è président des Etats-Unis. Or, les Africains le savent, l’Afrique n’est pas une priorité pour Trump. Le message du slogan « America First » est clair : réduire l'abyssal déficit commercial américain. Trump cherchera à renégocier tous les accords commerciaux de libre-échange, y compris avec l’Afrique. Trump va-t-il annuler, suspendre ou limiter les accords de l’AGOA, dont on célèbrera, en 2025, le 25è anniversaire ? L’objectif de l’AGOA (African Growth and Opportunity Act) est de promouvoir la croissance économique de l’Afrique subsaharienne. Les pays éligibles ont un accès au marché américain avec, pour plus de 6 500 produits, la suppression des droits de douane et des quotas d'importation. L'AGOA a permis de stimuler la croissance économique et la création d'emplois dans certains pays. Cependant, l’impact de l’AGOA reste faible pour les pays n’ayant pas, pour de multiples raisons, une capacité d’exportation suffisante. Alors que l’administration Biden envisageait de prolonger l'AGOA de 16 ans, Trump pourrait supprimer cet accord commercial historique, ce qui, bien entendu, fragiliserait encore plus l’économie subsaharienne déjà fragile. L’élection de Trump constitue une menace pour l’Afrique, si  les Etats africains sont incapables de développer les échanges commerciaux intra-africains et lever les obstacles qui retardent le projet de la ZLECAF (Zone de Libre Echange Continentale Africaine), projet phare de l’Union Africaine. L’élection de Trump est un avertissement envoyé aux Etats africains. Cet avertissement leur dit : « Les échanges intra-africains constituent une véritable opportunité économique et stratégique pour l’Afrique et l’affirmation de la souveraineté. ». Les Africains ont deux mois pour se préparer.

La Prospérité – Vous parlez d’opportunité économique et stratégique pour l’Afrique. La question qui se pose n’est-elle pas celle de la place de l’Afrique dans le monde actuel ?

Christian Gambotti – Longtemps tenue à l’écart des affaires du monde, l’Afrique a été niée dans son identité avec la colonisation, dépossédée de sa souveraineté pendant la période de la « Guerre froide ». L’indépendance politique des années 1960 a été une étape nécessaire, mais le continent a continué à porter le lourd fardeau de l’Histoire. Avec la fin de la « Guerre Froide », l’Afrique qui n’est plus un enjeu géopolitique, est marginalisée. Elle n’existe qu’à travers l’APD (Aide Publique au Développement), une aide sans véritable enjeu d’efficacité avec des prêts et des restructurations de dettes sans fin. Aujourd’hui, c’est un monde nouveau qui se construit, le monde de l’Après-Yalta. L’Afrique, devenue un formidable enjeu géoéconomique, géopolitique et géostratégique, est courtisée par toutes les puissances étrangères, grandes et moyennes. Face à l’urgence des réponses qu’elle doit apporter aux défis qui se présentent à elle, l’Afrique est tentée de se vendre à la coupe à des puissances étrangères auxquelles elle soustraite son développement et sa sécurité. Or, le continent doit apporter aux questions qui se posent à lui des réponses africaines, ce qui signifie qu’il doit trouver en lui les ressources et les capacités de son développement, de sa sécurité et de sa souveraineté. Le continent dispose de 3 atouts : des richesses naturelles qui semblent inépuisable, un poids démographique considérable (la puissance est aujourd’hui liée au poids démographique) et un vaste marché avec des centaines de millions de consommateurs d’ici la fin du XXIè siècle. Mais, le continent doit faire face à un handicap majeur : l’Afrique n’existe pas, il existe 54 Etats différents avec des intérêts divergents et des approches idéologiques actuellement irréconciliables. L’Afrique peut-elle sortir du piège que représente le mythe trompeur du panafricanisme politique et faire en sorte que les Etats africains se rangent sous la bannière d’un panafricanisme économique pragmatique ? Le chef d’orchestre des relations intra-africaines ne doit être ni l’Occident, ni Moscou ou Pékin, mais l’Afrique elle-même à travers l’Union Africaine. C’est à cette condition que l’Afrique prendra la place qui lui revient dans les dynamiques nouvelles du nouvel ordre mondial multipolaire qui se construit aujourd’hui.

La Prospérité – Vous dites que l’Afrique n’existe pas, mais qu’il existe 54 Etats souverains, dont les intérêts sont divergents. Comment l’Afrique doit-elle se situer dans ce « Sud global » devenu une réalité géoéconomique et géopolitique ?

Christian Gambotti – Le « Sud global » est un concept nouveau certes, mais il recouvre une réalité ancienne, celle qui renvoie à  l’ensemble des pays appelés autrefois « Tiers-Monde ». Cet ensemble est devenu « pays en développement ». Soyons concrets : la plupart des pays du « Sud global » sont des pays pauvres, voire très pauvres, et en retard de développement par opposition à un « Nord global », qui regroupe les pays riches occidentaux. Pour moi, il n’est pas scandaleux que se constitue un « Sud global » qui nous oblige à réinventer le monde. Le danger est le suivant : ce « Sud global » est en train de devenir sous l’impulsion de certaines puissances un monde militant en guerre contre l’Occident. Or, le « Sud global » est un ensemble très hétérogène, dont les membres doivent refuser de s’aligner sur l’une ou l’autre des grandes puissances  du « Nord global », - je pense aux Etats-Unis -, ou du « Sud global » - je pense à la Russie ou à la Chine. L’Afrique doit se situer dans le droit fil de l’ancien mouvement des pays non-alignés. Je ne prends qu’un exemple : la lutte contre le terrorisme. Pour que l’Afrique occidentale ne devienne pas un nouveau califat, qu’elle est la meilleure réponse dans la lutte contre le djihadisme ? La CEDEAO ou l’AES (Alliance des Etats Sahéliens) ? La meilleure réponse est évidente : il s’agit de la coopération entre la CEDEAO et l’AES pour offrir, dans l’ensemble de la sous-région, des opportunités de financement, de meilleurs équipements et un partage de renseignements. La CEDEAO avait un centre antiterroriste au Nigéria. La Chine considère qu’il faut y associer le Mali, Niger et le Burkina Faso, qui sont en première ligne dans cette lutte. C’est une bonne idée, mais c’est évidemment plus facile à dire qu’à faire, tous les pays de la sous-région ayant des intérêts différents et divergents. Mais, il faut retrouver l’élan de l’Initiative d’Accra, lancée en 2017 par les pays du golfe de Guinée. L’expérience montre que le G5 Sahel n’était pas la bonne solution. Le développement et la sécurité, comme les réponses aux crises climatiques, sont des enjeux globaux qui nécessitent, dans l’intérêt des populations, le refus de tout enfermement géographique et politique.

3 Questions à…Trump et l’AGOA, place de l’Afrique dans le monde, « Sud Global » : l’Afrique à deux mois pour se préparer avant la prise de pouvoir officielle par Trump
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Le principe moniste et la souveraineté nationale : Une réflexion sur la République Démocratique du Congo et au-delà

(Par le Sénateur Prof Faustin Luanga)

Le principe moniste, qui établit une hiérarchie des normes en plaçant les accords et traités internationaux au-dessus des législations nationales, suscite des débats intenses au sein des États souverains. En République Démocratique du Congo (#RDC), comme dans d'autres régions du monde, cette dynamique soulève des interrogations cruciales concernant la souveraineté nationale. Comment concilier l'engagement d'un pays envers la communauté internationale avec le besoin de préserver son indépendance législative et politique ? Dans cette note, je me propose d'explorer ces questions en examinant le principe moniste, ses implications pour la souveraineté nationale en RDC et les enjeux globaux qui en découlent.

Le principe moniste : définition et implications

Le principe moniste repose sur l'idée que le droit international et le droit national forment un tout intégré. Les traités et accords internationaux, une fois ratifiés, ont force obligatoire au même titre que les lois internes. Cela signifie que, dans les cas de conflits, les normes internationales doivent prévaloir. En théorie, ce principe vise à assurer une cohérence dans le respect des droits humains, de l'environnement et d'autres normes globales. Cependant, cette hiérarchie des normes pose un défi pour les États, notamment en matière de souveraineté.

La situation en République Démocratique du Congo

La Constitution de la RDC contient des dispositions qui déterminent son rang normatif. Il s’agit principalement des articles 215, 216 et 217 de la Constitution. L'article 215 confirme le caractère moniste du droit congolais. Cet article 215 met en exergue l’autorité supérieure des traités sur les lois tandis que l’article 217 conditionne la ratification des traités internationaux à leur conformité à la Constitution. Quant à l’article 216, il prévoit un contrôle préventif de la constitutionnalité qui porte sur tous les traités ou accords internationaux, c'est-à-dire aussi bien sur ceux qui sont soumis à l'approbation parlementaire avant leur ratification.

En RDC, la question de la souveraineté nationale est particulièrement sensible. Le pays, riche en ressources naturelles, a souvent été confronté à des interventions étrangères, tant militaires, politiques qu'économiques. L'application du principe moniste pourrait signifier que des décisions prises à l'échelle internationale, comme celles concernant l'exploitation des ressources ou les droits des peuples autochtones, aient un impact direct sur les lois congolaises. Ainsi, la RDC se retrouve à naviguer entre ses engagements internationaux et la nécessité de protéger ses intérêts nationaux.

Les enjeux globaux

Au-delà de la RDC, d'autres régions du monde partagent des préoccupations similaires. Les États en développement, souvent soumis à des pressions extérieures pour adopter des législations conformes aux normes internationales, craignent une dilution de leur souveraineté. Par ailleurs, la montée du nationalisme dans divers pays remet en question l'adhésion à des traités internationaux, illustrant une tension entre les impératifs globaux et les aspirations locales. La question se pose alors : jusqu'où un État peut-il se conformer à des normes extérieures sans compromettre son autonomie ?

Vers un équilibre entre souveraineté et coopération internationale

Pour la RDC, il est impératif d'envisager des mécanismes qui permettent de concilier les exigences du droit international avec les besoins spécifiques du pays. Cela nécessite une approche proactive, où la RDC pourrait jouer un rôle actif dans la formulation des normes internationales, afin de s'assurer que celles-ci tiennent compte des réalités locales. Pour cela le pays doit se doter d’une législation et de structures sur la normalisation qui n’existent pas en RDC. Je prépare un projet de loi dans ce sens au Sénat.

Renforcement des capacités nationales

Un autre aspect essentiel est le renforcement des capacités institutionnelles et juridiques au sein de la RDC. En investissant dans la formation des juristes et en améliorant le système judiciaire, le pays peut mieux intégrer les normes internationales dans son cadre législatif sans sacrifier son autonomie. Cela passe également par la sensibilisation des acteurs politiques et de la société civile sur les enjeux liés au droit international et à la souveraineté nationale.

La voix des citoyens et des acteurs locaux

Enfin, il est crucial d'inclure la voix des citoyens et des acteurs locaux dans le débat sur le principe moniste et la souveraineté. Les populations congolaises, souvent les premières affectées par les décisions prises à l'échelle internationale, doivent avoir l'opportunité de participer activement aux discussions sur les traités et accords qui les concernent. Une approche participative permettra non seulement de renforcer la légitimité des décisions, mais aussi de garantir que les intérêts locaux soient pris en compte.

Conclusion

Le principe moniste, en plaçant les accords et traités internationaux au sommet de la hiérarchie des normes, offre une vision intégrée du droit qui favorise la coopération entre les Etats.

Le principe moniste représente un couteau à double tranchant pour la RDC. S'il offre des opportunités de coopération et de développement à l'échelle internationale, il pose également des défis significatifs pour la souveraineté nationale.

A l'aube d'une nouvelle ère de relations internationales marquées par l'interconnexion et l'interdépendance, il est crucial que la RDC et d'autres Etats en développement trouvent des solutions innovantes pour naviguer ces tensions. Cela nécessitera une vision stratégique, un engagement sincère envers les droits fondamentaux et un équilibre délicat entre l'adhésion aux normes internationales et la préservation de l'intégrité nationale.

La route à suivre est complexe, mais elle est essentielle pour garantir un avenir où la souveraineté et la coopération peuvent coexister en harmonie.

Le principe moniste et la souveraineté nationale : Une réflexion sur la République Démocratique du Congo et au-delà
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PROPOSITION DU PLAN D’ACTION PRIORITAIRE, GEOPOLITIQUE ET GEOSTRATEGIQUE A INSERER ET A ENRICHIR LE PROGRAMME DE LA GOUVERNANCE POLITIQUE DU PRESIDENT DONALD TRUMP A EXECUTER DURANT SON DEUXIEME ET DERNIER MANDAT POLITIQUE DE 2025 A 2028 A LA TETE DES ETA

« MAKE AMERICA GREAT AGAIN OU AMERICA FIRST »

(Par James Andersson NZALE, Président du CIEGS RDC AFRIQUE)

Avant toute chose, avant toute écoutons tous et partageons ensemble ces versets bibliques qui du reste représentent une petite exhortation pour nous, pour notre vie et pour notre mieux être social :

  • Ne vous y trompez pas, on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera (Galates 6 : 5, 7 - 8) ;
  • Qui sème le vent récolte la tempête (Osée 8 : 7 - 8) ;
  • On vous mesura de la même façon que vous mesurez les autres (Matthieu 7 : 1 - 2) ;
  • Les Egyptiens que vous voyez aujourd’hui, vous ne le verrez plus (Exode 14 : 11 - 14) ;
  • Quand les gens crieront paix, paix sur la terre, une ruine soudaine les surprendront (1 Thessaloniciens 5 : 3) ;
  • La tour de Babel Dieu dit : Descendons et confondons-les (Genèse 11 : 1 - 9) ;
  • Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore, et que le juste pratique encore la justice et que celui qui est saint se sanctifie encore, voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son œuvre. (Apocalypse 22 : 11 - 12).

Voilà la PROPOSITION DU PLAN D’ACTION PRIORITAIRE,  GEOPOLITIQUE  ET GEOSTRATEGIQUE A INSERER ET A ENRICHIR LE PROGRAMME DE LA GOUVERNANCE POLITIQUE DU PRESIDENT DONALD TRUMP A EXECUTER DURANT SON DEUXIEME ET DERNIER MANDAT POLITIQUE DE 2025 A 2028 A LA TETE DES ETATS – UNIS D’AMERIQUE : « MAKE AMERICA GREAT AGAIN OU AMERICA FIRST » du CIEGS RDC AFRIQUE faisant suite et complétant les deux MEMORANDUMS  DES NOIRS D’AFRIQUE  VIVANTS SUR LE CONTINENT AFRICAIN ET DU CIEGS RDC AFRIQUE : ONG DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU DEVELOPPEMENT  DURABLE  ET INTEGRAL ET MIEUX ETRE SOCIAL EN RDC, EN AFRIQUE ET PARTOUT A TRAVERS LE MONDE ET ASBL A L’ATTENTION DU PEUPLE AMERICAIN SANS EXCEPTION ET EXCLUSION ET PARTICULIEREMENT AUX AFRO - AMERICAINS DES ETATS – UNIS D’AMERIQUE, AUX MEDIA AMERICAINS (PRESSE  ECRITE ET AUDIOVISUELLE), AUX MEDIA EUROPEENS (PRESSE ECRITE ET AUDIOVISUELLE), AUX INSTITUTS DE SONDAGES AMERICAINS ET EUROPEENS, AUX INFLUENCEURS  ET INFLUENCEUSES DE TIK TOK AMERICAINS ET EUROPEENS, AU PARTI DEMOCRATE AMERICAIN, AU PARTI REPUBLICAIN AMERICAIN, AUX ASSOCIATIONS SOCIO - CULTURELLES AMERICAINS, AUX ASSOCIATIONS SOCIO - ECONOMIQUES AMERICAINS, AUX ASSOCIATIONS SOCIO - PROFESSIONNELLES AMERICAINS, AUX SYNDICATS DES EMPLOYEURS ET DES EMPLOYES AMERICAINS, AUX EGLISES AMERICAINES, AUX ENTREPRISES AMERICAINES, AUX ONG AMERICAINES, AUX FONDATIONS AMERICAINES, AUX STARS DE MUSIQUE AMERICAINS ET AUTRES EN RAPPORT AVEC LE COMPORTEMENT A OBSERVER ET A DEVELOPPER, LES BONNES ATTITUDES JUSTES, VERIDIQUES, HONNETES, CORRECTES, CREDIBLES, INTEGRES, IMPARTIALES, NON PARTISANES ET TOTALEMENT DEMOCRATIQUES A CULTIVER A INCARNER, A DEVELOPPER ET A ENCOURAGER DURANT LA PERIODE DE LA CAMPAGNE ELECTORALE AMERICAINE QUI AURA POUR ABOUTISSEMENT FINAL L’ELECTION DU 47ème PRESIDENT DES ETATS UNIS D’AMERIQUE LE MARDI LE 05/NOVEMBRE/2024  ainsi que les conclusions générales des grands enjeux de l’élection présidentielle du Mardi le 05 Novembre 2024 aux Etats – Unis d’Amérique.

Sans préjudice des principaux thèmes phares de la campagne électorale de 2024 qui devraient être développés par des candidats présidents des Etats – Unis d’Amérique pour expliquer, persuader, convaincre et faire comprendre à tout citoyen américain ou peuple américain sans exception  et exclusion : grand et petit, homme et femme, jeune et vieux, libre et opprimé, riche et pauvre, ce que devrait être son projet de société et son programme de gouvernance dans les quatre (4) années à venir de 2025 à 2028, malheureusement, cela n’a pas été fait et cela n’a pas été le cas, les candidats à la présidence des Etats – Unis d’Amérique de cette année 2024 ont parfois versé directement ou indirectement ou par personne interposés dans des escalades verbales, dans les polémiques, dans le dénigrement et la diabolisation de l’autre adversaire politique jusqu’ à jeter le discrédit et l’opprobre sur l’autre sans se rendre effectivement compte de ce qu’ils étaient en train de faire et de dire au public et au peuple américain et ce que cela entrainera effectivement directement ou indirectement dans le subconscient, dans la tête et dans la conscience individuelle et personnelle du peuple américain au lieu d’aborder directement des questions majeurs, très sensibles et très stratégiques qui touchent directement la vie socio - économique du peuple américain auxquelles il est confronté au quotidien, des véritables problèmes et difficultés auxquels le citoyen et le peuple américain est quotidiennement confronté nuit et jour à savoir : la santé, l’éducation, l’environnement, l’économie, les mécanismes de la lutte contre l’immigration illégale, clandestine et abusive, ainsi que les enjeux locaux à savoir : le pouvoir d’achat du peuple américain, le logement, octroi des crédits au logement et la construction des logements sociaux, la lutte contre l’inflation, la crise de logement, pour des classes sociales démunies etc.

Ce qui est bien triste, regrettable, dommage, pitié, très ridicule et très honteux pour une très grande démocratie mondiale et planétaire qu’est les Etats – Unis d’Amérique. Alors qu’ils ont eu beaucoup ou suffisamment du temps et des moyens matériels et financiers pour le faire et développer aussi des thèmes hautement géopolitiques et géostratégiques durant leurs campagnes électorales à la présidentielle américaine de 2024. Il s’agit en effet essentiellement des thèmes, des matières et des questions clés sur le plan national et international que le peuple américain voulait aussi bien écouter leur avis, leur opinion, leur projet de société et leur programme de gouvernance politique et économique des Etats – Unis d’Amérique pour les quatre (4) années à venir de 2025 à 2028 durant la campagne électorale de 2024 que voici que le CIEGS RDC AFRIQUE à travers sa branche Internationale, planétaire et mondiale le CIEGS INTERNATIONAL ET PLANETAIRE considèrent et propose au Président Elu des Etats – Unis DONALD TRUMP de les insérer et intégrer totalement et globalement dans son plan d’action et programme de gouvernance politique durant son deuxième et dernier mandat et durant les quatre (4) années à venir de 2025 à 2028 à la tête des Etats – Unis d’Amérique :

  • La lutte contre le terrorisme international ;
  • La situation de la paix et la sécurité internationale au proche, moyen et extrême orient et la zone indo – pacifique ;
  • La situation de la paix et la sécurité internationale en République démocratique du Congo et dans la région des grands lacs et à travers le monde ;
  • Le processus de paix Israélo - palestinien ou le plan de paix Israélo - palestinien ;
  • Les grands enjeux géopolitiques et géostratégiques des USA en Russie, en Syrie, en Israël, au Liban, en Turquie, en Iran, en Irak, en Palestine, en Lybie, au Soudan et en République Démocratique du Congo ;
  • Le transfert officiel de l’Ambassade des Etats – Unis d’Amérique de Tel - Aviv (Jaffa) à Jérusalem (Stratégies, mécanismes de mise en œuvre) ;
  • Les USA et le G7 ;
  • Les USA et le G20 ;
  • Les USA et le BRICS ;
  • Les USA, la Crimée et l’Ukraine ;
  • Les USA, l’OTAN et l’acte fondateur OTAN – Russie ;
  • Les USA, l’Union Européenne et la nécessité de sa réforme et restructuration après le Brexit ;
  • Le Brexit ou la sortie du Royaume Uni de l’Union Européenne ;
  • Les USA et les Etats Américains (Organisation des Etats Américains) ;
  • Les USA et traité de non-prolifération des armes nucléaires ;
  • Les USA et l’accord avec l’Iran sur le nucléaire ;
  • Les USA et la préservation de la planète, de l’environnement, le dérèglement et le réchauffement climatiques ;
  • Les USA et les relations économiques transatlantiques, le Commerce mondial et l’Organisation Mondiale de Commerce (OMC), OCDE, OSDE et le BRICS ;
  • Les USA et les relations politiques, diplomatiques, géopolitiques et géostratégiques que voici : USA – Royaume Uni (UK), USA – Union Européenne (UE), USA – Union Africaine (UA) ;
  • La maitrise de l’immigration américaine et européenne et le respect des frontières nationales comme mesures difficiles à prendre pour protéger les citoyens face au terrorisme international ;
  • L’accord de libre-échange Nord-Américain et transatlantique ;
  • La diplomatie agissante des USA en Europe, Afrique, Proche Orient, Moyen Orient, Extrême Orient et en Amérique du Nord et du Sud ;
  • Les relations bilatérales : Usa – Mexique, Usa – Russie, Usa – Israël, Usa – Chine, Usa – Royaume Uni, Usa – Allemagne, Usa – Bruxelles, Usa – Japon, Usa – Corée du Nord, Usa – Corée du Sud, Usa – les Balkans et l’Europe de l’Est, Usa – Afghanistan, Usa – Pakistan, Usa – Inde, Usa – Birmanie, Usa – Ukraine, Usa – Crimée, Usa – Géorgie, Usa – Turquie, USA – OTAN, Usa – Union Européenne, Usa – Turquie, Usa – Iran, Usa – Irak, Usa – Afrique, Usa – Syrie, Usa – Liban, Usa – Union Africaine, Usa – Egypte, Usa – République Démocratique du Congo et autres ;
  • La réforme, la suppression ou pas d’OBAMACARE et son remplacement par une autre Loi de Santé ou de Couverture Médicale Universelle ;
  • La réforme fiscale aux USA tels que vu par le nouveau Président élu des Etats - Unis d’Amérique DONALD TRUMP ;
  • La problématique, la possibilité et la mise en œuvre de la poursuite de la construction du mur de séparation avec le Mexique dans le cadre du programme du Président élu des Etats - Unis d’Amérique DONALD TRUMP dans la lutte contre l’immigration clandestine des sujets mexicains aux USA ;
  • La réduction des impôts aux USA ;
  • La guerre commerciale avec la Chine et la taxation des produits chinois (Made in China) fabriqués en Chine à la douane américaine ;
  • L’Energie et la relance de l’industrie de charbon, du pétrole et du gaz sur le sol américain ;
  • L’engagement des USA en rapport avec la Défense, la sauvegarde, la surveillance, la promotion, la protection planétaire de la Démocratie, des Droits de l’Homme, de l’Etat de Droits, de la primauté de la Loi et des Droits, de la liberté d’expression, de la liberté d’opinion, de la liberté de culte, de la liberté de manifestation, de l’autodétermination et le droit au développement des peuples de la planète ;
  • L’engagement spécial des USA face à l’Afrique dans la problématique de la démocratisation des régimes politiques, du respect des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales, Non et plus question des soutenir politiquement les dictateurs éternels africains qui sont restés longtemps au pouvoir politique et qui oppriment leurs peuples, de l’alternance démocratique, du respect de la Constitution ou Loi Fondamentale et les Lois de la République, de la fin des mandats éternels et à vie des Présidents Africains.
  • L’engagement spécial des USA en rapport avec la reforme et la restructuration de l’OTAN ;
  • L’engagement spécial des USA en rapport avec la Reforme, la REFONTE TOTALE et la RESTRUCTURATION DE L’UNION EUROPEENNE ;
  • L’engagement spécial des USA en rapport avec la Reforme, la refonte totale et la restructuration de l’Union Africaine et de toutes les Organisations politiques, régionales non démocratiques et qui n’appuyent pas le principe de la démocratisation des régimes politiques des Etats membres, et le strict respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, de la déclaration universelle des droits de l’Homme, de la Charte des Nations Unies et de la Charte de l’Union Africaine à savoir : la CEEAC, la CEMAC, la CEPGL, la SADC, la COMESA, l’EAC, la CIRGL et autres pour ainsi se conformer aux impératifs et exigences mondiales et internationales de la démocratie, de l’Etat de Droit, des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales, de la paix et sécurité internationale, de la lutte contre le terrorisme international et enfin le REFUS ABSOLU ET CATEGORIQUE des USA de tout soutien moral, politique et diplomatique et d’appui logistique et financier aux dictateurs africains, aux seigneurs de guerre des rebellions armées ainsi que la légitimation politique et diplomatique des pouvoirs non démocratiques issues des rebellions, des coups d’état et renversement par les armes des régimes démocratiquement élus ;
  • Etudes des mécanismes, des voies et moyens et des possibilités du retrait total et définitif des USA de l’OTAN ;
  • Retrait des toutes les troupes américaines dans les bases de l’OTAN en commençant par la base aérienne de l’OTAN de Ramstein en Allemagne ;
  • Mettre définitivement fin à l’élargissement de l’OTAN ;
  • Retour de l’OTAN dans les limites de 1991 conformément au compromis qui a été trouvé autrefois entre les Etats – Unis et la Fédération de Russie au lendemain de la chute de l’ex – Union Soviétique, ce qui contribuera à la paix, à la sécurité et à la stabilité en Europe ;
  • Rétablissement et reprise du dialogue direct et sans intermédiaire et de partenariat et cadre de concertation direct OTAN – Russie ;
  • Retrait définitif des Etats –Unis d’Amérique de l’OTAN ;
  • Arrêt total de financement des Etats – Unis d’Amérique de l’OTAN ;
  • Dissolution pure et simple de l’OTAN, ce qui contribuera à la paix, la sécurité et la stabilité internationale et particulièrement en Europe.
  • Etudes des mécanismes, des voies et moyens et des possibilités du retrait total et définitif des USA de l’ONU ;
  • Etudes des mécanismes, des voies et moyens et des possibilités de reconsidérer et de revoir à la baisse le financement des USA de l’ONU ;
  • Reconsidérer et diminuer la part et la contribution financière des USA aux charges de l’ONU et que l’argent récupéré servira désormais à améliorer les conditions sociales du peuple américain conformément au discours de campagne, au programme électoral et au projet de société du Président DONALD TRUMP et de sa gouvernance politique durant son deuxième et dernier mandat de 2025 à 2028 à la tête des Etats – Unis d’Amérique ;
  • Retrait des toutes les troupes américaines de toutes les missions de maintien de la paix de l’ONU à travers le monde ;
  • Mettre définitivement fin au financement des certaines Agences et branches spécialisées de l’ONU et cet argent doit désormais servir pour le mieux-être du peuple américain dans le domaine de la santé, de l’éducation, de la création des emplois, des infrastructures, de logement, de la lutte contre la misère et la pauvreté des citoyens américains du pouvoir d’achat des citoyens américains etc. ;
  • Retrait définitif des Etats –Unis d’Amérique des NATIONS UNIS ;
  • Arrêt total de financement des Etats – Unis d’Amérique des NATIONS UNIS ;
  • Etude des mécanismes de dissolution pure et simple des NATIONS UNIS pour avoir échoué de maintenir la paix et la sécurité internationale à travers le monde particulièrement en République Démocratique du Congo, en Ukraine, en Palestine, à Haïti, au Liban etc., ce qui contribuera à la paix et la sécurité internationale ;
  • Reconsidérer rapidement les relations de collaboration et de coopération multilatérales entre les USA et l’Union Européenne en rapport avec des procès contre les géants technologiques et les grandes entreprises américaines du GAFA (Google, Amazone, Facebook et Apple) parfois abusivement condamnés dans des Cours et des Tribunaux européens à des très fortes amandes pour violation des normes de concurrences déloyales et abusives et que l’argent qui sera récupéré servira à relancer ces entreprises de la GAFA en vue d’améliorer les conditions sociales du peuple congolais au regards de discours de campagne, au programme électoral et projet de société du Président DONALD TRUMP de sa gouvernance politique durant son deuxième et dernier mandat de 2025 à 2028 ;
  • Etude des mécanismes et des modalités pratiques de la restitution des milliards des dollars américains du peuple américain ou des contribuables américains dépensés par le Gouvernement ou l’Administration BIDEN pour financer la guerre en Ukraine par l’Union Européenne et par l’Europe collectif selon les promesses de campagne électorale du Président Elu DONALD TRUMP ;
  • Reconsidérer rapidement les relations de collaboration et de coopération multilatérales entre les USA et la Cour Pénale Internationale (CPI) en rapport avec des procès politiques et des mandats d’arrêts internationaux politiques, politisés, illégaux et arbitraires et totalement dénoué de fondement juridique lancés contre certains leaders politiques de certains pays à travers le monde qui n’ont pas ratifié le statut de Rome de la Cour Pénale Internationale (CPI) au regard du discours de campagne, du programme électoral et du projet de société du Président DONALD TRUMP et de sa gouvernance politique durant son deuxième et dernier mandat de 2025 à 2028 ;
  • Faire voter des lois au niveau du Congrès américains assorties des très fortes sanctions américaines contre toute forme d’abus de pouvoir et d’autorité de la Cour Pénale Internationale et de certains de ses animateurs dans leurs prise de décision en rapport avec des procès politiques et des mandats d’arrêts internationaux politiques, politisés, illégaux et arbitraires et totalement dénoué de fondement juridique lancés contre certains leaders politiques de certains pays à travers le monde qui n’ont pas ratifié le statut de Rome de la Cour Pénale Internationale (CPI).
  • La politique du Président élu des Etats - Unis d’Amérique DONALD TRUMP en rapport avec le soutien à la classe moyenne américaine désœuvrée ;
  • Le bilan de 100 jours du nouveau Président élu des Etats – Unis DONALD TRUMP à la maison blanche ;
  • La préparation spirituelle, morale, politique et stratégique du nouveau Président élu DONALD TRUMP après son élection le Mardi 05 Novembre 2024 à assumer valablement ses fonctions et ses responsabilités politiques de diriger les Etats – unis d’Amérique durant les Quatre (4) années avenir de 2025 à 2028.

Que la grâce du Seigneur Jésus - Christ, l’amour de Dieu le Père Céleste et Eternel des Armées et la Communication du Saint Esprit soient avec vous (2 Corinthiens 13 :13).

Que Dieu le Père céleste et Eternel des Armées vous bénisse abondamment au nom puissant de notre Seigneur et Sauveur personnel et Maître Suprême JESUS - CHRIST (Actes 2 :21 ; 4 :11-13 ; 3 Jean 2 ; Ephésiens 1 :1-3).

Fait à Kinshasa, le 16/Novembre/2024

James Andersson NZALE LONGBANGO MONGA TSHAMBU

ISRAEL VAINQUEUR DES NATIONS

Président – Fondateur et Président Exécutif International

Et Chercheur du CIEGS RDC AFRIQUE ET ASBL

Grand Défenseur des Droits de l’Homme

Journaliste Manager et Professionnel

Char du Feu, Char d’Israël et sa Cavalerie

Le Vaillant Héros et le Grand Lion

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PROPOSITION DU PLAN D’ACTION PRIORITAIRE, GEOPOLITIQUE ET GEOSTRATEGIQUE A INSERER ET A ENRICHIR LE PROGRAMME DE LA GOUVERNANCE POLITIQUE DU PRESIDENT DONALD TRUMP A EXECUTER DURANT SON DEUXIEME ET DERNIER MANDAT POLITIQUE DE 2025 A 2028 A LA TETE DES ETA
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Où va l'argent de la taxe carbone ?

(Par Isidore KWANDJA NGEMBO, Analyste des politiques publiques)

La tarification du carbone est un moyen de lutte contre le changement climatique qui suscite un intérêt croissant. Un nombre important et croissant de pays visés ou non à l’annexe I de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) se sont dotés de systèmes d'échange de quotas d'émission (ETS) ou de taxes sur le carbone.

Comme nous n’avons cessé de le dire, en RDC, la taxe carbone, en plus de jouer un rôle central pour le financement des actions d'atténuation et d'adaptation liées au changement climatique, au renforcement de la résilience aux risques climatiques et à l’amélioration de notre capacité à répondre aux catastrophes naturelles et à les prévenir par des bonnes politiques publiques en la matière, elle pourrait bien être une mesure économique et une source nouvelle de revenus essentiels qui comptera significativement dans le budget global de l’État.

Nous croyons fortement qu’avec une bonne politique publique en la matière et une saine gestion de la taxe carbone, la RDC pourrait, avec ses immenses réserves des forêts tropicales humides riches en carbone, recueillir abondamment des nouveaux fonds qui seront réinjectés dans l'économie nationale.

En effet, les recettes provenant de la tarification du carbone, comme mécanisme de financement novateur, contribueraient de manière significative au budget de l’État. Mais l'enjeu crucial est la mise en place d'une gouvernance permettant de garantir la plus grande transparence, l'intégrité et la saine gestion des ressources financières provenant de cette tarification du carbone.

Parmi les plus grands pollueurs ayant historiquement émis le plus de CO2, il y a notamment les pays occidentaux avec les États-Unis d’Amérique en tête.

Mais actuellement, c’est la Chine qui est le premier pays émetteur mondial de CO2, suivie des États-Unis d’Amérique, de l'Union européenne, de l'Inde, de la Russie, du Japon, de l’Iran, de l’Allemagne, de la Corée du Sud, de l’Arabie saoudite et de l’Indonésie, etc.

Isidore KWANDJA NGEMBO

Analyste des politiques publiques

Où va l'argent de la taxe carbone ?
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La victoire de Donald Trump aux USA laisse à chaque pays la possibilité de jouer sa partition

(Dr David MENGE)

Qu’on ne se trompe pas, la victoire de Donald Trump aura inévitablement des répercussions sur tous les domaines de la politique dans le monde. Aux USA, la famille démocrate est en deuil. Les femmes qui ont voté majoritairement Kamala Harris ne décolèrent pas. Elles pensent que si leur championne était du genre masculin, elle aurait remporté l’élection haut la main face à un homme qui ne voulait se faire élire que pour échapper à ses déboires judiciaires. 

En 2016, la secrétaire d’Etat, Hilary Clinton, première candidate de l’élection présidentielle des USA, pensait briser les codes et les convenances face à Trump mais, le handicap du genre, estime certains militants démocrates, a contribué à son échec malgré sa victoire en nombre de voix populaires. Ce malheur d’Hilary Clinton a poursuivi Kamala Harris et cela de la pire de façon. La vice-présidente a perdu l’élection en nombre de voix et en nombre de délégués. Aujourd’hui, l’Amérique est plus que jamais divisée et la réconciliation sous l’administration Trump semble compromise !

A l’inverse des Démocrates qui pleurent leur défaite, en Afrique, le royaume du Maroc jubile ! Le journal en ligne le 360, réputé proche du palais royal, et la presse marocaine en général se sont très largement félicités de la victoire du magnat de l’immobilier, élu à l’issue de la présidentielle américaine du 5 novembre 2024. Ce soutien de la presse marocaine s’explique par le fait que lors du premier mandant de Trump, en 2016, il a reconnu officiellement la souveraineté de Rabat sur le Sahara occidental, en décembre 2020. Cette joie visible sur le visage de la presse ne va pas arranger les affaires entre le Maroc et son géant voisin, l’Algérie, qui soutient le combat du Front Polisario dans sa lutte pour l’indépendance du Sahara Occidental.

En Europe la pilule est difficile à avaler ! Face à Trump, le saut dans l’inconnu de l’Organisation du traité de l’atlantique (OTAN). Le président américain élu menace de se désengager de l’Alliance atlantique, dont Washington est le principal contributeur. Ce désengagement peut avoir des conséquences fâcheuses sur la guerre en Ukraine surtout que la Corée du Nord vient de s’engager aux côtés de la Russie de Poutine avec l’envoi d’un millier d’hommes. Cette contribution coréenne, mal venue, complique la donne géopolitique des Européens. Au siège de l’OTAN, à Bruxelles, le silence est de mise. Certains diplomates chevronnés estiment que si les pays européens ne consacraient pas au moins 2% de leur PIB à leurs dépenses de défense, Trump risque de mettre sa menace à exécution même si ce dernier propose une solution irréaliste de créer une zone tampon, pour la paix, entre l’Ukraine et l’espace conquis par la Russie et dont la force européenne garantirait la sécurité. Si nous lisons entre les lignes ce que je viens de souligner ci-dessus, on peut interpréter cette déclaration de Trump comme une volonté politique de la balkanisation de l’Ukraine et cela peut faire réfléchir la RDC au regard des territoires occupés actuellement par l’ennemi (Voir l’article 217 de notre constitution et son ambiguïté) en référence avec ce qui se passe à l’Est même si la situation ukrainienne n’est pas comparable à celle de la RDC. 

Au Brésil, enfin, les succès de Donald Trump galvanisent les partisans de l’ancien président Jair Bolsonaro. Ces derniers espèrent que leur champion reviendra aux affaires même s’il est frappé par une sanction d’inéligibilité jusqu’en 2030. D’ailleurs, Bolsonaro, par imitation de ses compairs Viktor Orban (Hongrie) et Benyamin Nétanyahou (Israël), a rapidement congratulé Donald Trump. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, comme l’écrit le journal le monde (France), l’ancien président brésilien (2019-2023) a pris la pose, une rougeoyante casquette « Make America Great Again » sur la tête. « Nous sommes ensemble ! », jubile-t-il ?

La victoire de Donald Trump et l’espoir des nationalistes de revenir au pouvoir vont bouleverser l’ordre du monde dans les années à venir. Les guerres, le repli sur soi et l’expropriation des terres sont autant des défis auxquels nous seront confrontés. C’est le retour à la loi du plus fort qui va prévaloir !

La victoire de Donald Trump aux USA laisse à chaque pays la possibilité de jouer sa partition
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