Les activités hebdomadaires à la Société nationale d’électricité (Snel S.A) pour la semaine du 1er au 7 juillet 2024 ont été marquées par des travaux visant à améliorer la fourniture de l’énergie électrique à travers la République démocratique du Congo (RDC).
Les équipes de la Snel ont procédé tout au long de la semaine à l’exécution des travaux de réhabilitation de la liaison moyenne tension ayant causé la rupture de l’énergie dans 4 communes de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), après qu’un camion remorque ait percuté, mardi 2 juillet, un poteau de transport du courant moyenne tension à la 16ème rue-Limete à Kinshasa.
Dans la province du Sud-Kivu, le directeur de département de distribution de la Snel M. Clément Tshimpaka Ngandu s’est imprégné de l’évolution de l’opération d’installation et d’activation des compteurs à prépaiement « cash power, » dans la ville de Bukavu.
Il a par ailleurs, exprimé la nécessité et l’urgence d’instaurer l’opération de payement des factures par voie électronique pour faciliter la tâche aux abonnés de cette entreprise publique.
Les équipes de la Snel sont intervenues dans plusieurs postes et sur le réseau électrique, pour assurer la stabilité et la fiabilité de l’approvisionnement énergétique, les travaux ont été réalisés par les différentes équipes dans la ville de Kinshasa, notamment, la reprise de l’exploitation normale du poste de Funa après les travaux de réparation de la ligne 220kV Postes de Liminga – Funa ainsi que la remise en service de la cabine Ndobe, dans la commune de Selembao, où le transformateur était avarié depuis le 17 juin 2024.
La Snel et son équipe restent dynamique et engagée à fournir une énergie électrique de qualité à ses abonnés.
La plus difficile mission dans la vie du prophète est de pouvoir prophétiser contre son peuple et son roi.
Chez plusieurs prophètes, l'on peut trouver la peur et le vouloir plaire aux gens cachant ainsi la volonté de Dieu.
Amos est devant ce dilemme.
On l'interdit de prophétiser contre le roi et contre son peuple.
Mais, lui ne se laisse pas faire car, il parle au nom du Seigneur.
Dans l'Evangile de ce jour, Jésus se révèle encore le Médecin de l'âme et du corps. Il manifeste la puissance et la justice de Dieu qui veut le bonheur, le salut de tous.
Malgré le piège et murmures de ses ennemis, Jésus ne décourage pas, mais il continue à agir par la volonté de Dieu.
Comme Prophète, Prêtre et Roi, Dieu nous investit d'un pouvoir extraordinaire pour dénoncer tout mal et appeler à la conversion.
Engageons-nous donc, à vivre unis au Seigneur afin qu'aucune erreur ne nous plonge dans les ténèbres mais fortifiés par Dieu nous puissions rayonner de sa Lumière et de sa Vérité.
La vie chrétienne nous fait entrer dans une seule fraternité qui, depuis Jésus, la tête, continue son long chemin par les Apôtres jusqu'à nous.
Tous, nous sommes frères et il n'y a plus d'étrangers grâce à la foi qui nous vient des Apôtres.
Les Apôtres ont reçu mission d'aller et d'annoncer au monde entier l'Évangile. Cette foi pour certains vient souvent de diverses expériences.
Pour Thomas, c’est après le doute et ayant vu Jésus, il croit.
Comme lui, chacun connaît l'élément déclencheur de sa foi : pour certains, une maladie grave, un accident, une guérison, une naissance, une rencontre, une bénédiction...
Aujourd'hui, rentrons en nous-mêmes et essayons de voir Dieu dans notre histoire et confessons notre foi en disant "Mon Seigneur et mon Dieu".
Puisse Dieu nous donner la grâce de croire aux témoignages de nos frères et sœurs et de nous engager à Lui rester fidèles pour toujours dans la Lumière et dans la Vérité même sans n’avoir, visiblement, rien vu de nos propres yeux.
La vie chrétienne nous fait entrer dans une seule fraternité qui, depuis Jésus, la tête, continue son long chemin par les Apôtres jusqu'à nous.
Tous, nous sommes frères et il n'y a plus d'étrangers grâce à la foi qui nous vient des Apôtres.
Les Apôtres ont reçu mission d'aller et d'annoncer au monde entier l'Évangile. Cette foi pour certains vient souvent de diverses expériences.
Pour Thomas, c’est après le doute et ayant vu Jésus, il croit.
Comme lui, chacun connaît l'élément déclencheur de sa foi : pour certains, une maladie grave, un accident, une guérison, une naissance, une rencontre, une bénédiction...
Aujourd'hui, rentrons en nous-mêmes et essayons de voir Dieu dans notre histoire et confessons notre foi en disant "Mon Seigneur et mon Dieu".
Puisse Dieu nous donner la grâce de croire aux témoignages de nos frères et sœurs et de nous engager à Lui rester fidèles pour toujours dans la Lumière et dans la Vérité même sans n’avoir, visiblement, rien vu de nos propres yeux.
Gécamines s’est opposée, mardi 2 juillet dernier à la vente de la société minière de cobalt Chemaf SA et de ses actifs congolais à Norin Mining. Il s’agit d’une unité de la China North Industries Corp (Norinco), soutenue par l’État chinois, qui loue ses actifs à la Gécamines. Elle avait déclaré jeudi dernier avoir accepté la vente afin de régler des dettes, principalement financées par son partenaire de longue date, le négociant en matières premières Trafigura. Cette transaction nécessite l’approbation de la Gécamines, qui a exprimé son refus.
Dans un communiqué officiel publié mardi 02 juin dernier, la Gécamines a affirmé son droit d’approbation sur de telles transactions et a indiqué que son conseil d’administration avait voté contre cette vente. « La Gécamines n’approuvera pas la vente des actifs de Chemaf à Norin Mining, une décision prise alors que Chemaf n’avait pas encore répondu aux demandes de commentaires. Lors du lancement de la vente, ladite entreprise avait précisé que l’opération restait soumise à certaines conditions, incluant l’approbation de la Gécamines et les autorisations réglementaires chinoises. Fondée en tant qu’entreprise familiale, Chemaf s’est spécialisée dans l’extraction de cuivre et de cobalt. Elle s’est mise en vente l’année dernière en raison de difficultés financières qui entravaient l’expansion de ses projets Etoile et Mutoshi en République démocratique du Congo, exacerbées par la baisse des prix du cobalt.
Les entreprises minières chinoises, souvent soutenues par l’État, ont renforcé leur présence en République démocratique du Congo, un pays prépondérant pour l’approvisionnement en cuivre et cobalt, des matières essentielles à l’industrie des véhicules électriques en plein essor en Chine. La décision de la Gecamines d’opposer son veto à cette transaction souligne les tensions et les enjeux géopolitiques croissants autour des ressources naturelles stratégiques en Afrique centrale, alors que les nations et les entreprises mondiales cherchent à sécuriser leur accès à ces matériaux critiques.
Rappel
Initiée en septembre 2023, la recherche d’investisseurs visait à surmonter les défis financiers rencontrés par Chemaf en raison de la baisse des prix du cuivre et du cobalt, ainsi que des pressions inflationnistes mondiales. Après une évaluation stratégique approfondie, Contribution annuelle sur les revenus locatifs (CRL) a choisi Norin Mining Limited, une entreprise minière et commerciale bien établie, pour reprendre ses opérations. La transaction devrait être finalisée au quatrième trimestre 2024, sous réserve de la satisfaction des conditions préalables.
Cette acquisition permettra à Chemaf de régler ses emprunts existants et de répondre à ses obligations envers ses créanciers. Plus important encore, elle introduira un nouveau propriétaire disposant des ressources financières et des capacités techniques nécessaires pour achever l’expansion de la mine d’Etoile (Phase 2) et le développement du projet Mutoshi. Ces projets, une fois réalisés, ont le potentiel de produire collectivement plus de 75 000 tonnes de cuivre et 20 000 tonnes d’hydroxyde de cobalt par an, renforçant ainsi la position de la RDC sur le marché mondial des minerais.
Fondée en 2001 par Shiraz Virji, Chemaf a produit plus de 300 000 tonnes de cuivre et 55 000 tonnes d’hydroxyde de cobalt au cours de deux dernières décennies. Shiraz Virji, président et fondateur de Chemaf, a exprimé sa gratitude envers la famille Chemaf pour leur dévouement et a salué l’engagement de Norin Mining à poursuivre les projets de développement. « Chemaf a été une entreprise familiale fière pendant plus de deux décennies. Nos opérations ont apporté des avantages économiques et sociaux significatifs aux communautés locales et à la RDC en général. Je suis très fier de ce que notre équipe a accompli et je suis confiant que Norin Mining continuera sur cette lancée, » a déclaré Shiraz Virji.
Norin Mining, avec des revenus de 4,3 milliards USD en 2023, possède déjà des opérations en RDC à Comika et Lamikal. Son expertise et son engagement dans le secteur minier garantiront la réussite des projets Etoile Phase 2 et Mutoshi. Jeremy Meynert, conseiller de Shiraz Virji et des Chemaf Group of Companies, a souligné l’importance de cette transaction pour le futur de Chemaf et ses parties prenantes. « Cette transaction permettra à Chemaf de respecter ses obligations envers les prêteurs et les créanciers tout en assurant le développement continu de nos projets miniers, » a-t-il ajouté.
Les conditions préalables à la clôture de la transaction incluent l’approbation de Gécamines S.A., partenaire de Chemaf à Mutoshi, ainsi que des régulateurs chinois. La transaction entre Chemaf et Norin Mining est une avancée majeure pour l’industrie minière de la RDC. Elle permettra non seulement de stabiliser la situation financière de Chemaf, mais aussi de poursuivre les développements miniers cruciaux pour l’économie du pays. Les employés, les fournisseurs et les communautés locales continueront de bénéficier des initiatives sociales et économiques soutenues par Chemaf sous la nouvelle direction de Norin Mining.
Dans une note d’information technique signée par son Directeur de Transport Ouest a.i, Monsieur Bukasa Tshibuabua, la Société Nationale d’Electricité a annoncé le retrait d’exploitation de la ligne 220 kV Liminga-Funa, à Kinshasa. Ces travaux se sont déroulés, signale-t-on, entre 7h00’ et 14h00’, hier dimanche 7 juillet 2024.
« Sur demande de PKB et compte tenu de l’urgence, il sera procédé ce dimanche 7 juillet 2024, de 07h00’ à 14h00’, au retrait d’exploitation de la ligne mieux spécifiée en concernce en vue d’exécuter les travaux de réparation du conducteur de la phase S effiloché sur les portées de pylônes n°12 & 13 et 14 & 15 par l’équipe de maintenance PKB/DTO », indiqué cette note d’information.
A Kinshasa, la Coopérative des Agriculteurs du Congo (Coagrico), une structure connue pour ses nombreuses activités dans le domaine agricole, veut apporter son expertise en matière de lutte contre la famine en RD. Congo. Dieudonné Musulu, Coordonnateur national de cette Coopérative, a appelé, samedi 6 juillet 2024, le Gouvernement, au travers le Ministère de l’Agriculture, à saisir cette main tendue, le plus vite que possible, pour accélérer la revanche tant vantée du sol sur le sous-sol en RDC, conformément à la vision du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Le Coordonnateur Musulu a exprimé cet engagement en marge du lancement des journées portes-ouvertes au niveau du site de Coagrico basé à Mont-Ngafula, non loin de Kimwenza-gare. Il a sollicité, cependant, un appui financier conséquent, de la part des autorités congolaises, des bailleurs de fonds et autres mécènes patentés pour permettre à la Coopérative des Agriculteurs du Congo de répandre ses activités et combattre l’insécurité alimentaire sur l’ensemble du territoire national. Il a parlé, concrètement, de près de 33 millions de dollars américains en termes d’enveloppe globale devant couvrir toutes les initiatives envisagées. Mais, dans un premier temps, à l’en croire, la structure espère en la bonne foi des partenaires qui pourraient l’aider à atteindre ses objectifs immédiats. Comme, à titre indicatif, se doter des outils de travail adéquats, disposer des engins modernes au niveau des sites de Kinshasa, étendre et diversifier les activités au niveau de l’ensemble du pays.
« La coopérative a été créée dans l’objectif d’aider le Gouvernement, premièrement, à remettre notre pays sur le bon chemin du développement économique, social et durable. Deuxièmement, nous l’avons créée pour aider notre Gouvernement à diminuer le taux de chômage parce que nous voulons recruter au moins mille jeunes par provinces. Le troisième objectif est celui de lutter contre la famine. Nous voulons, ensemble avec les structures œuvrant dans le secteur agricole, créer un Congo sans famine », a-t-il indiqué, exclusivement, à La Prospérité, sur place, au site A de la Coopérative.
Appel pressant au Gouvernement et à tous les partenaires
A en croire Dieudonné Musulu, la Coagrico manque des sites propres pour exercer ses activités en dépit de ses multiples appels lancés aux partenaires internationaux et au Gouvernement.
«On n’a pas de fonds. Nous sommes en train de louer. Nous avons négocié avec nos bailleurs pour cinq ans. On n’a pas de partenaires qui peuvent nous aider à avoir des sites propres. Nous demandons aux partenaires financiers de venir nous assister pour que nous puissions atteindre nos objectifs. Nous avons lancé un appel au FAO, au PAM, à l’Enabel, aux hommes d’affaires, les gens qui ont des moyens dans notre pays pour qu’ils viennent soutenir la Coopérative pour que nous puissions atteindre les objectifs», a-t-il soutenu, affirmant, au passage, la détermination de son équipe à offrir des produits de qualité à la population.
«Comme organisation, nous avons des sites. Ici, à Kinshasa, nous avons quatre sites en location. En provinces, nous avons également des sites. Nous sommes à Mont-Ngafula, au niveau de Takizala, après Kimwenza-gare. Au niveau de chaque site, nous avons des activités précises. Au site A, nous produisons des légumes-feuilles et des légumes-fruits. Chaque mois, nous produisons au moins deux tonnes de produits alimentaires par hectare. Comme ici, nous avons 7 hectares au site A, nous produisons chaque mois, 14 tonnes de produits alimentaires. Nous travaillons ainsi pour lutter contre la famine dans notre pays… Concernant les journées portes-ouvertes, nous avons deux objectifs. Nous avons remarqué que les congolais ne savent pas la valeur de l’agriculture dans notre pays. Les gens ont une conception erronée de ce secteur. C’est difficile pour un pays de se développer sans l’agriculture. Nous voulons sensibiliser les congolais à travailler la terre pour un Congo sans famine. Nous avons organisé cette activité pour appeler les autorités du pays à visiter ce site qu’elles comprennent l’importance de l’agriculture », a souligné Dieudonné Musulu, qui appelle le nouveau Ministre de l’Agriculture à visiter, lui-même, les plantations de la Coopérative, à Kimwenza-gare, pour se faire, personnellement, une idée concrète de la portée de cette nouvelle bataille contre l’insécurité alimentaire en RD. Congo.
Malheur à ceux qui prononcent des ordonnances iniques, et à ceux qui transcrivent des arrêts injustes, pour refuser justice aux pauvres, et ravir leur droit aux malheureux de mon peuple, pour faire des veuves leur proie, et des orphelins leur butin !
Que ferez vous au jour du châtiment et de la ruine qui du lointain fondra sur vous ? Vers qui fuirez-vous, pour avoir du secours, et où laisserez vous votre gloire ?
Les uns seront courbés parmi les captifs, les autres tomberont parmi les morts. Malgré tout cela, sa colère ne s'apaise point et sa main est encore étendue. "
Esaie 55,11
Ainsi en est il de ma parole, qui sort de ma bouche : elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins."
Pensé du jour et méditons avec foi pour la bénédiction de notre nation. Dieu est l'auteur de la justice. La justice doit élever une nation. Toute autorité vient de Dieu, une autorité doit respecter ses paroles car il incarne la vérité, et la vérité est le nom authentique de Dieu.
Malheur aux magistrats injustes qui prononcent des arrêts et jugements en échange de l'argent pour condamner injustement des pauvres, ravir des maisons aux veuves et aux orphelins. Malheur à vous. Dieu l'auteur de la justice vous réserve la ruine et la mort. Votre petite gloire d'avoir de l'argent souillé par la corruption pour avoir des jeeps, des villas et des vestes seront bientôt en ruine. Des maisons des veuves et des orphelins que vous êtes entrain de leur ravir via vos jugements avec des billets verts dans vos poches t'apporteront que ruine et malheur. Malheur à vous, fuyez la colère divine, Dieu de justice, viendra rétablir une bonne justice sur la terre, l'enfer est votre villa éternel.
Malheur aux églises qui souilleront le nom de Dieu pour corrompre les agents du ministère de la justice afin d'échapper au contrôle de ceux qui n'ont pas de personnalité juridique. Le nom de Dieu est souillé par vos comportements iniques. Vous êtes comme des magistrats injustes. Ceux qui n'ont pas de personnalité juridique doivent savoir que le respect de l'autorité est un principe de Dieu, un principe sacré. On ne peut pas négocier avec l'ordre établi par l'autorité pour la réglementation de la société. Malheur aux magistrats et chefs des églises qui souilleront la nation par la CORRUPTION. Malheur aux autorités qui ne seront pas à mesure de respecter leur engagement et décision. La ruine est proche dans les maisons des magistrats injustes. Malheur, malheur, malheur et malheureux à vous !
Les amoureux de l’art dramatique ont passé des moments émouvants et d’immense découverte, à l’Institut français de Kinshasa, à la Gombe, à l’occasion de la présentation de Congo Jazz band, une pièce de théâtre qui retrace profondément l’histoire coloniale de la RD. Congo. L’Ambassadeur de la République française en poste à Kinshasa a, personnellement, participé à cette présentation qui s’est déroulée sous une atmosphère détendue.
Œuvre du dramaturge français d'origine algérienne Mohamed Kacimi, Congo jazz band est une véritable merveille qui se veut pédagogique. Elle revisite l’histoire de la RDC, en tant que propriété privée du Roi des Belges, avant 1908, jusqu’à remonter à l’assassinat de Patrice Emery Lumumba, au lendemain de l’indépendance du pays.
Lors de la cérémonie de présentation, il a été démontré par le metteur en scène congolais David-Minor Ilunga et sa troupe théâtrale « théâtre du fleuve », le rôle que peut jouer la musique particulièrement la rumba et le jazz dans la mémoire africaine. Il s'agit notamment comme moyen de résistance culturelle et de préservation de celle-ci.
« C’était passionnant et émouvant ! », telle est l'une de réaction entendue, émanant d’un jeune spectateur à la fin du spectacle. Sur place, enfants, parents, activistes culturels ont manifesté un réel enthousiasme pour cette pièce déjà présentée en France où elle a été aussi écrite, il y a 5 ans.
Un silence absolu ponctué de fous rires a caractérisé l’activité, mais aussi des discussions entre public les acteurs. Une première étape du travail qui intéresse et amène à se poser des questions, alors qu'il ne s'agit pas encore du spectacle proprement dit.
David-Minor Ilunga, le metteur en scène de la pièce, a expliqué que l'intégralité du travail sera présentée entre les mois de septembre et octobre à Kinshasa. Mais, dans l’entre-temps, le travail va se poursuivre entre juillet et août au centre Wallonie Bruxelles.
« Moi personnellement, j’ai toujours eu envie de raconter l'histoire de mon pays. C'est ce qui m'intéresse de plus en plus dans ma démarche artistique. Le seul problème est que, parfois, on a toujours pas de conditions à la fois psychologiques et physiques d'écrire sa propre histoire, c'est toujours bien quand quelqu'un d'autre s'en empare, et donc c'est qui m'a intéressé dans cette pièce c'est de voir Mohamed s'en emparer et parler de ce qui nous concerne, et qu'effectivement plusieurs ne connaissent pas », a déclaré David Minor Ilunga.
Donc, a-t-il renchéri, on pallie un peu à un déficit historique, pas parce que les congolais n’ont pas mais parce que beaucoup ne lisent pas, combien de personnes ont lu par exemple, le livre du professeur Ndaywel Isidore.
«Pour le citoyen lambda, c'est toujours important de lui apporter les connaissances qu'il n'avait pas », a-t-il conclu.
Pour sa part, l'auteur de la pièce théâtrale Mohamed Kacimi, est revenu sur les motivations réelles du choix porté sur l’histoire de la RD. Congo pour réaliser son œuvre, lui qui, pourtant, n’est pas congolais.
« J’ai écrit ce texte parce que je pense que c'est important que la colonisation soit au centre du débat de la jeunesse », a t-il déclaré. Selon lui, en tout cas, l'histoire coloniale au Congo est la plus intéressante qui puisse exister en Afrique.
En marge d’un arrêté ministériel relatif à l’assainissement des églises de réveil du Congo, l’Archevêque et Représentant Ejiba Yamapia a, au cours d’une conférence tenue ce lundi 1er juillet 2024 au Cepas, soutenu la décision prise par le ministre de la Justice, Constant Mutamba.
Le partenariat entre cette corporation des églises en RDC et l’Etat congolais vise à mettre fin aux antivaleurs dans ce secteur. Pour l’Archevêque Ejiba : « Les églises de réveil sont tenues de soutenir le ministre de la Justice afin de l’aider à réussir là où ses prédécesseurs ont échoué».
Conformément à l’article 37 de la Constitution, l’Etat garantit la liberté d’association. Pour ce, a-t-il renchéri, le pouvoir public collabore avec les associations qui contribuent au développement social, économique, intellectuel, moral et spirituel des populations ainsi qu’à l’éducation des citoyennes et des citoyens.
Cette collaboration peut revêtir la forme d’une subvention. En tant que partenaire social de l’Etat, les églises de réveil du Congo qui existent depuis 2008, ont mis en place un système éducatif qui a permis d’avoir une coordination nationale des églises conventionnées avec plusieurs écoles opérationnelles, a-t-il rappelé avant d’ajouter que cette coordination gère une centaine d’établissements des cycles complets de la maternelle jusqu’au secondaire en passant par le cycle primaire, sans oublier que les enseignants et les personnels administratifs sont pris en charge par l’Etat congolais.
Les églises de réveil du Congo ont un engagement socio-pastoral à travers leurs objectifs statutaires dont notamment, son implication dans la dynamique sociale qui consiste à mettre l’homme au centre de son action. Créé à l’image de Dieu, l’homme satisfait par des besoins physiologiques non négligeables s’explique, après satisfaction, sa raison de croire et d’espérer.
Les églises de réveil du Congo font promouvoir le bien-être de l’homme. C’est dans ce même ordre d’idées qu’un département de santé avait été mis en place avec près de 130 centres de santé autonomes sur toute l’étendue du territoire national. Entretemps, au travers son département, il a mis en œuvre des projets sur la communication, sur le changement des comportements dans la lutte contre VIH/SIDA
Toujours dans leur engagement socio- pastoral, ces églises œuvrent depuis 2003 au sein de la plateforme des confessions religieuses. S’agissant de l’observation électorale, elles avaient conduit une mission depuis des années où elles sont déployées comme observateurs sur toute l’étendue de la RD. Congo. Dotées d’une expertise diversifiée, ces églises opèrent dans divers secteurs vitaux de la République : Médecin, Juriste, économiste, sociologue, expert en leadership etc.
C’est l’occasion pour les église de réveil d’appeler le gouvernement à ne pas les regarder seulement sous le prisme des prophéties, de délivrance mais aussi d’une institution ecclésiastique comme une pépinière des cadres capables de bien gérer la chose publique.
*Loin sans faux, la bonne gouvernance demeure une valeur cardinale unissant le Conseil d’Administration et la Direction Générale de la Société Nationale d’Electricité (SNEL S.A). Dénonçant une fausse alerte autour des actes de mégestion propagés à travers les réseaux sociaux, le Cabinet du Président du Conseil d’Administration de cette entreprise du Portefeuille rappelle que ses instances de gouvernance travaillent de concert avec la Direction Générale, pour accroître son efficience et assurer ainsi l’amélioration sensible de la desserte en électricité, comme cela est, désormais, le cas depuis quelques mois à travers le territoire national. Conclusion : fausse alerte ! Aucune mégestion ! Lisez, ci-dessous, l’intégralité du communiqué officiel.
La chanteuse Orphée Shungu Wembadio, fille de Papa Wemba, Roi de la Rumba Congolaise, vient de sortir ce 27 juin 2024, sur le marché des musiques son tout premier single intitulé ‘‘Ma scène’’ pour se lancer officiellement dans la carrière musicale, a-t-on appris jeudi d’un communiqué.
«Orphée Shungu entame sa carrière musicale professionnelle à partir de ce jeudi 27 juin 2024 avec un single intitulé “Ma scène”. Cette œuvre de haute qualité artistique est disponible dans toutes les plateformes digitales de vente de musique. Ce premier single est une déclaration d’amour qu’Orphée fait à la musique. C’est elle qui l’a sauvée, consolée et édifiée dans ses moments de doute. Et depuis sa tendre enfance, elle savait que c’était l’endroit où comme son père, elle allait se sentir vivante, mais la vie et ses aléas les ont éloignés », confirme la même source.
Sur le plan artistique, ‘‘Ma scène’’ est une chanson Rn’b aux accents Pop et Soul à travers laquelle la jeune chanteuse célèbre ses retrouvailles avec l’art des sons. « Alors laissez-vous emporter par cette mélodie et ce texte qui vous rappelleront peut-être à vous aussi qui vous êtes vraiment ce qui vous rend heureux dans cette vie.La chanteuse est déterminée à réussir et s’apprête à conquérir le milieu avec un style unique, fusionnant habilement R&B, pop, néo-soul et afro-beat », a indiqué le communiqué
Et d’ajouter : « son premier fleuron artistique permet aux mélomanes de découvrir sa véritable voix et voie. C’est-à-dire son timbre vocal et aussi son destin ».
Pour le communiqué, les compositions d’Orphée Shungu ne se contentent pas de divertir mais elles racontent des histoires.
« Ses chansons touchent des thèmes universels tels que l’amour, l’acceptation de soi et les épreuves nécessaires pour s’épanouir. L’artiste incarne une renaissance libératrice, une femme courageuse, pleine d’espoir et d’envie, prête à partager son récit avec le monde à travers son art ».
Par ailleurs, le communiqué a également rappelé les ambitions d’une artiste engagée et prête à conquérir les cœurs et les esprits avec son authenticité et son histoire captivante. « Restez à l’écoute, car son ascension musicale promet d’être aussi exceptionnelle que son parcours hors du commun », a-t-on conclu.
Musique dans les veines !
Née le 14 septembre en Bretagne en France, Orphée Shungu Wembadio a vite développé sa passion dans l’art depuis sa tendre enfance dans la maison familiale. Son père, Papa Wemba sans le vouloir l’a initié indirectement à travers ses mélodies et lui a offert sa première scène à l’Olympia de Paris à l’âge de 6 ans.
Au-delà de son père biologique, elle a été également inspirée par d’autres grandes stars planétaires de la musique telles qu’Alicia Keys, Stevie Wonder et Etta James. A 12 ans, elle plonge dès son plus jeune âge dans l’univers envoûtant de la musique. La jeune chanteuse façonne son adolescence au rythme de ces légendes et cultive secrètement le rêve de suivre leurs pas. Armée de son baccalauréat, elle s’envole vers Bordeaux pour poursuivre des études en communication, où elle y décroche son master.
Cependant, son destin est chamboulé lorsque son père meurt subitement sur scène, le 24 avril 2016 durant le Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA) à Abidjan, en Côte d’Ivoire. C’est à son enterrement à Kinshasa (Congo RDC) que ses yeux s’ouvrent sur son histoire et son identité profonde.
Son retour en France a provoqué un déclic pour s’engager de plein pied dans la musique jusqu’à éditer son premier single « Ma scène » qui confirme un destin devin.
Talenteuse et optimiste, Orphée Shungu compte évidemment du soutien des fanatiques de son défunt père et de l’orchestre Viva-la- Musica. Grâce à sa voix captivante et ses potentialités artistiques, la fille biologique de Jules Shungu Wembadio et Marie Rose Luzolo Amazone croit à faire une carrière émergente pour plaire aux amoureux de la bonne musique et aussi pour défendre le nom de son père qui restera une légende de la Rumba congolaise.
Ecrire pour changer votre environnement, écrire pour instruire votre société, écrire pour sortir votre génération de l'atrocité et des manipulations identitaires, écrire pour libérer les esprits en captivité, écrire pour promouvoir une société de créativité économique et politique, écrire pour une société des femmes et des hommes debout en Afrique.
Ecrire pour la mobilisation sociale et changement positif des mentalités individuelles et collectives en RDC. Ecrire pour participer à la consolidation de la paix et de la cohésion sociale en Afrique et dans la région des grands lacs en particulier. Ecrire pour le genre Positif, écrire pour une jeunesse critique et pragmatique. Ecrire pour la bonne gouvernance et la promotion du management institutionnel à résultat durable dans les pays africains. Ecrire pour le développement intégral dans la région des grands lacs et en RDC en particulier. Voilà le combat littéraire des écrivains engagés. Mapenzi Manyebwa