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Tout est bien qui finit bien :Les étudiants de l’UCC outillés pour affronter les écueils du métier de Journalisme

Aussi bien qu’une ville située au sommet d’une montagne ne peut être cachée, la lumière qui se dégage du quotidien "La Prospérité" ne peut qu’attirer le regard de quiconque désire être impacté. C’est dans ce cadre que se sont inscrits les étudiants de l’Université Catholique du Congo pour un stage académique qui a duré un mois travaillant sans relâche.

Il est temps pour l’équipe de stagiaires de l’UCC de prendre congé de la rédaction du Journal La Prospérité, qui, depuis le samedi 20 avril 2024 leur était familière jusqu’au lundi 20 mai dernier.

De la collecte des informations à la rédaction, ces étudiants ont vécu des expériences exploratrices comme ils l’ont bien signifié lors de la manifestation d’au revoir pour la fin de leur stage à La Prospérité. Des enseignements ont été donnés pour renforcer la connaissance des stagiaires en ce qui concerne la presse mère. Les courses d’expédition des courriers dans plusieurs institutions de la place, sans compter, des colloques, des conférences-débat de tout genre, qu’ils ont couvert durant cette période.

Pour immortaliser leur passage, Marcel Ngoyi Ngoyi Kyengi, Editeur-Directeur Général de La Prospérité, ainsi que tout le personnel de cet organe de presse, ont partagé un repas de famille avec tous les stagiaires, au cours duquel le mot de remerciement au nom de tous les stagiaires a été lu par l’étudiant Néhémie Mwene en ces mots :"Monsieur l’Editeur Marcel Ngoyi, vos conseils, vos expériences, vos orientations, vos encouragements, vos suggestions et vos contributions nous ont accompagné, nuit et jour, tout au long de notre stage. Votre soutien nous a été précieux, et nous espérons que cela continuera même après cette période de stage. Vous nous aviez formés et enseignés pour réussir dans la vie. Il faut se sacrifier, sortir de l’ordinaire, abandonner la fameuse thèse de la « chance eloko pamba » et oser sortir des sentiers battus pour apercevoir le soleil à l’horizon. C’est pourquoi au nom de tous les stagiaires de l’UCC ici présents, nous vous disons un grand merci !». Un discours pour témoigner de leur reconnaissance à l’orfèvre de ce grand œuvre d’esprit.

Bedie Ilengola

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Eveil de conscience nationale ; Freddy Mulumba lance un cri d’alarme face à la situation de l’Est

Dans le souci de bâtir un Congo plus beau qu’avant, et de remédier à la situation sécuritaire de l’Est du pays,  Freddy Mulumba a animé, samedi 25 mai dernier, une conférence à la paroisse Notre Dame de Fatima sous le thème : rôle nocif joué par Kagame au Congo. C’était en présence de plusieurs invités de marque.

La République Démocratique du Congo longtemps considérée comme une proie pour les grandes puissances, à cause de sa riche et de son immense territoire, a indiqué Freddy Mulumba, est confrontée à de sérieux problèmes dans sa partie Est où Paul Kagame veut occuper par défi des terres congolaises en complicité avec les USA. Objectif : Profiter des richesses de la RDC.

Et de poursuivre que le pays de Lumumba est considéré comme une affaire à gérer par tout le monde et non comme un Etat remettant ainsi en cause sa souveraineté. L’orateur a enchainé en ajoutant : « Depuis près de trois décennies, une tragédie sécuritaire persiste dans l’Est du pays, ignorée par la communauté internationale. A chaque manifestation de cette violente armée deshumanisante, un nom résonne invariablement : le Rwanda, qui depuis longtemps considère la RD. Congo comme un pays ennemi ».

Le silence de la communauté internationale, a-t-il renchéri, est remarquable et profitable au pays agresseur. Rwanda qui continue à mettre le fer au feu pour déséquilibrer et voler de façon ininterrompue les richesses congolaises alors que les USA en appui, font le double jeu en s’écartant pour laisser libre champs au  Rwanda.

S’offrant une analyse approfondie de la manière dont un Etat de taille modeste, enclavé et pauvre en ressources, a pu ériger l’une des forces militaires les plus redoutables d’Afrique, l’ancien directeur général intérimaire de la RTNC a expliqué que cette consolidation identitaire des Rwandais est tributaire des richesses pillées en RDC au terme des accords signés avec les occidentaux.

Malgré ses limitations en ressources minérales, le Rwanda a su exploiter le chaos congolais pour s’approprier ses richesses, forgeant ainsi sa réputation, de miracle économique. Le silence de la communauté internationale face aux invasions rwandaises de 1996 et 1998 a été interprété comme validation; une validation tacite, octroyant au Rwanda le droit de mener ses actions régionales.

Michel Okaso

Eveil de conscience nationale ; Freddy Mulumba lance un cri d’alarme face à la situation de l’Est
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Après son brillant passage à Madeleine à Bruxelles :Le trophée ‘‘Rumba Prize’’ décerné à Nyoka Longo pour sa longévité sur la scène musicale

Le choix porté sur Joseph Roger M’vula Nyoka Longo dit Jossart Mfumu wa Longo se justifie non seulement par rapport à sa ténacité  dans la gestion du groupe musical Zaiko Langa Langa mais aussi par ses prouesses artistiques. Il est aujourd'hui l'une des âmes vivantes de la rumba congolaise. De mains de maître, cet artiste musicien, de haut de ses 70 ans d’âge, conduit et gère avec perspicacité toujours cet orchestre devenu pratiquement patrimoine national.

C’est dans ce contexte que le trophée Rumba Price, initié pour récompenser les artistes musiciens congolais ayant excellé dans la promotion de la musique congolaise, a été décerné, à Bruxelles, à Jossart Nyoka Longo. Cette cérémonie de remise du prix est intervenue après le succès récolté par l’artiste et Zaiko le 19 mai dernier en la salle Madeleine dans la Capitale belge. 

«C’est de son vivant que nous avons décidé de célébrer sa carrière musicale qui s’étend de 1969 à l’éternité. Ce  trophée d'hommage constitue une expression simple et officielle de l'amour que nous portons pour la culture. Nous avons voulu célébrer votre longue carrière musicale dans l'amitié familiale et vous remercier pour la fierté que vous apportez à la communauté », a déclaré Mme Lydia Mutyebele, échevine de la ville de Bruxelles au Logement, au patrimoine et à l'égalité des chances, lors de la remise du trophée à Nyoka Longo.

Bien avant, Klay Mahungu, producteur musical et initiateur du  Rumba Prize, avait loué les qualités du chanteur qui s'est distingué par sa discipline, sa longévité et sa prestation comme chanteur et danseur particulier tout au long de sa carrière dans Zaiko Langa Langa, depuis la création de cet orchestre en 1969 jusqu’à nos jours.

« Cinquante-cinq ans après, cet homme d'exception qui, en compagnie de ses jeunes collègues, a influencé la rumba congolaise, en accélérant son tempo et en supprimant le saxophone dans la musique jeune, devait, sous d'autres cieux, circuler en jet privé et dans des véhicules de légende», a-t-il souligné.

La cérémonie d'hommage à l’artiste musicien Nyoka Longo a été marquée par plusieurs témoignages, dont celui écrit par le sénateur Didier Mumengi et lu par Klay Mahungu, dans lequel l'auteur retrace l'historique de Zaiko depuis sa création.

L’assistance a également salué la présence du Professeur et écrivain congolais  André Yoka Lye Mudaba, qui, dans son mot, est revenu sur l’histoire de Zaiko. Pour lui, la naissance de cet ensemble musical des jeunes ‘‘fondamentalement anticonformiste’’, est venue bousculer la rumba Odemba pour imposer la rumba soft.

« Dans cette dynamique novatrice, un nom émerge, Jossart Nyoka Longo, qui mène seul la barque, traversant des vagues  malgré les défections et tenant en haleine les générations », a commenté Yoka Lye Mudaba.

C’est depuis l’âge de 16 ans, que Nyoka Longo a intégré  Zaiko où il fait partie des premières recrues qui ont participé au premier concert marquant la sortie officielle du groupe le 24 décembre 1969 à Kinshasa. Malgré les multiples défections qui ont émaillé l'histoire de cet orchestre, ‘‘Mfumu wa Longo’’ est le seul musicien dans l’histoire de Zaiko de n’avoir jamais quitté le groupe  pour aller ailleurs.

Il est resté fidèle à lui-même et à cette formation musicale qu'elle continue de diriger sur la scène nationale et internationale. Sa politique de gestion a fait de Zaiko l’orchestre le plus stable et ancien de la République.

55 ans d’existence, Zaiko tient la route et continue de parcourir le monde pour distiller de la bonne musique made in Congo.

Très charismatique, ce chanteur grandi dans les enseignements catholiques a écrit les plus belles pages de Zaiko. Sa vie se confond avec celle de cet ensemble. On ne peut jamais parler de ce groupe sans évoquer le nom du Président N’yosh qui est réputé comme une grande icône que les jeunes considèrent comme un sage dans l’histoire de la Rumba congolaise et aussi comme une référence pour  la génération future dans la musique.   

Jordache Diala   

 

 

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Mike Kalambay en concert d’action de grâce dimanche au Zénith de Paris

Le chanteur Mike Kalambay de la République Démocratique du Congo, va livrer un concert d’action de grâce le dimanche 26 mai prochain au zénith de Paris en France, a-t-on appris mercredi au cours d’un entretien.

«Le concert du 26 mai au Zénith de Paris est avant tout un concert d’action de grâce et ensuite une occasion pour moi de communier avec tous ceux qui sont en  Europe.  Le public européen en général ne cesse de nous promettre sa présence», a déclaré Mike Kalambay, le chanteur.

Il a, par ailleurs, révélé que ce concert,  est aussi une occasion de présenter son tout dernier album intitulé «Dieu en toute circonstance».

«C’est quand même un album qui a une portée assez particulière pour ma carrière parce que ça faisait un bout de temps que je n’avais presque pas mis d’album sur le marché. Le seigneur a fait grâce que cet opus soit bien accueilli non seulement par le public congolais mais aussi partout dans le monde».

Et d’ajouter : « Il y a aussi des invités qui sont attendus, nous en avons déjà annoncé quelques-uns mais ça doit rester aussi quelque part comme une surprise  sinon on ne peut pas tout divulguer».

En lice également pour un autre spectacle inédit, prévu au mois de juillet prochain au stade des martyrs de Kinshasa, juste après le Zenith de Paris, le pasteur Mike Kalambay a réitéré les mêmes propos afin d’inviter les kinois à se tenir prêt pour ce rendez-vous.

«Pour une carrière aussi émaillée de difficultés comme la mienne, ce sera pour moi une manière de vraiment rendre grâce à Dieu qui me permet justement de tenir malgré les vents et marées. Nous reviendrons sur Kinshasa après Paris, cher public kinois, soyez juste prêts, à très bientôt», a-t-il dit.

Des dispositions prises pour le bon déroulement du spectacle

Par ailleurs, Mike Kalambay a rassuré que plusieurs dispositions ont été prises par l’organisation dans le cadre de cette soirée de louanges et d’adoration, en dépit d’une vive controverse, donnant lieu à des pétitions.

Notamment, une pétition pour boycotter l’événement faisant suite aux fausses accusations des violences sexuelles et conjugales selon le chanteur congolais, portée contre lui par son ex-femme.

Musicien, auteur et compositeur, pasteur d’une église à Kinshasa en RDC, Mike Kalambay compte à présent près d’une dizaine d’albums à succès dont le plus récent «Dieu en toute circonstance» qui a été dévoilé l’année dernière. 

Il a été élu plusieurs fois, meilleur artiste gospel africain et révélation aux trophées Muana Mboka ainsi que Ndule Award, mais aussi plébiscité meilleur artiste gospel du cinquantenaire des églises de réveil au Congo en 2019.

ACP

Mike Kalambay en concert d’action de grâce dimanche au Zénith de Paris
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Obtention gratuite des cartes roses, RDC : la Sonas SA passe à la vitesse supérieure !

La Société Nationale d’Assurances (SONAS sa), en accord avec la Direction Générale des Impôts (DGI), facilite l’obtention gratuite des cartes roses à travers ses Agences implantées sur l’ensemble du territoire national.  Dans un communiqué de presse du 10 mai dernier, la Direction Générale de cette société d’Assurance indique que cette faveur concerne les requérants détenteurs ou non d’un contrat d’assurance automobile. Cette mesure fait suite à lettre n°0583/CAB/MIN.FINANCES/CMR/ALL/2024 du 05 avril 2024 du Ministre  des Finances portant sur le nouveau système de demande en ligne des plaques d’immatriculation et des cartes roses.

Pour les provinces, les requérants peuvent désormais s’adresser à l’Agence le plus proche de leur milieu d’activités.

Cependant, ceux de la Ville de Kinshasa pourront se dépêcher à l’Agence de proximité selon leurs districts respectifs. En effet, les requérants détenteurs ou non d’un contrat d’assurance automobile résidant dans le district de Lukunga vont se diriger aux Agences du 30 juin, de Socimat, de Gombe, du Commerce, du Beach-Ngobila, de Ngaliema, de Libération, de Kinsuka et de Kintambo. Tant dis que ceux du district de la Funa emprunterons le chemin des Agences de Bandalungwa, de Kalamu et de Ngiri-Ngiri.

Les Agences de Limete 7e rue place commerciale, Sonas-DGI et de Kingabwa accueilleront à bras ouvert les requérants du district de Mont-Amba. Et l’Agence de Masina quartier 1 fera la même chose pour ceux du district de Tshangu.

Cette facilitation est un exemple éloquent qui témoigne la volonté de la SONAS à mettre tout en œuvre pour simplifier les démarches administratives pour sa clientèle.

Enock Mwaka

Obtention gratuite des cartes roses, RDC : la Sonas SA passe à la vitesse supérieure !
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Jean-Pierre Bokole invite les jeunes congolais au respect de leur identité culturelle

A l’occasion de la célébration de la Journée nationale du musée sur le thème «musée, éducation et recherche», Jean-Pierre Bokole Ompoka, directeur général du Musée national, a invité les jeunes congolais à protéger leur identité culturelle et à établir un parallélisme entre la spiritualité ainsi que la culture. Il a, en outre, appelé les enseignants de la République Démocratique du Congo à apprendre aux élèves leur culture. 

Les organisateurs de cette activité ont insisté sur l’importance des musées dans la construction de nos sociétés modernes. Ce, avant que le directeur Bokole appelle la jeunesse à s’intéresser aux œuvres ancestrales à travers les différents musées de la RDC. Il s’est exprimé en ces termes : «C’est pour nous une façon de dire à cette génération de ne pas oublier les œuvres des ancêtres. Il est important pour elle de venir chercher les repères au musée» avant de renchérir : «Le musée a un rôle à jouer dans la société. Le musée inculque l’esprit de maintenance, l’esprit de conservation. Dans nos langues maternelles, il n’y a pas le mot maintenance, c’est ça la difficulté que nous avons même pour nous développer puisque nous sommes incapables de maintenir ce qu’on met à notre disposition».  

Les invités de différentes marques qui étaient présents à cette cérémonie, ont affirmé que le musée n’était pas connu du public et promet de mener des recherches dans le souci de donner des valeurs à la culture congolaise. Pour certains Congolais, ont-ils renchéri, la création des musées dans les 26 provinces qui composent la République Démocratique du Congo, serait une bonne réponse pour respecter la culture de chaque individu et faire valoir l’identité culturelle des Congolais, nonobstant que cela ne relève pas de la compétence des responsables de cette institution.

Cette journée, a réuni plusieurs personnes, à savoir : le représentant du ministre des Art, le comité national du musée de la République Démocratique du Congo, les chefs coutumiers venant de différentes provinces, les élèves des différentes écoles dans l’objectif d’éveiller la conscience des Congolaises et Congolais à protéger la culture congolaise qui est un socle du progrès.

 A l’issue de cet évènement, il a été remarqué que le musée revêt une importance capitale dans une société parce qu’il établit un pont entre le passé, le présent et le futur. Donc la maintenance de cette identité culturelle est un chemin vers le développement du pays, ont-ils conclu.

Jackson Mutamba

Jean-Pierre Bokole invite les jeunes congolais au respect de leur identité culturelle
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Mercredi de la VIIè Semaine de Pâques

 

15/05: Denise, Primaël

TEXTES : Actes 20, 28-38; Psaumes 67, Jean 17, 11b-19

MÉDITATION

Chers frères et sœurs, 

Dans plusieurs sociétés, lorsque le Leader n'est plus, il y a risque du désordre et de compromission. Le Christ le sait et prie Dieu pour que ses Apôtres restent focus sur la joie de l'Évangile, qu'ils demeurent dans l'unité, la vérité et l'amour. Paul, par ses conseils et sa prière, recommande aux nouveaux chrétiens de rester vigilants et éviter de compromettre par la recherche d'argent et de biens matériels. Ils doivent être à la défensive contre les loups extérieurs et intérieurs qui viendront pour détruire et disperser l'unité acquise au prix d'un grand sacrifice. Pour cela, il faut chaque jour demander la volonté de Dieu et se confier à sa constante protection, vivre dans l'unité, la vérité et l'amour. Puisse Dieu nous garder dans l'unité et vigilants dans notre foi. Qu'il nous accorde la grâce de l'Esprit Saint afin de témoigner et de protéger l'Eglise dans la Lumière et dans la Vérité. 

Père Matthieu Yezu rsv

Bon Mercredi et bénédiction fraternelle

 

Mercredi de la VIIè Semaine de Pâques
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8ème anniversaire de la mort du père fondateur de l’orchestre : New Collège des nobles s’active pour des hommages vibrants à Sony Sadate

 

Toutes les batteries sont mises en marche par le Président Arthur Beye afin que le nom de son grand-frère Sony Sadate Selemani Ecce Uomo ne disparaisse pas dans la nature. L’actuel patron du groupe New Collège des Nobles est mobilisé pour rendre un hommage digne au père fondateur de cet orchestre qu’il a créé pour l’encadrement et l’épanouissement des talents des jeunes artistes en République Démocratique du Congo.

Evidemment, des hommages en mémoire du mécène Sony Sadate Selemani, fondateur de Collège des Nobles, sont prévus ce 23 mai, à l’occasion de la commémoration du huitième anniversaire de sa mort.

«L’orchestre Collège des Nobles fondé par Sony Ecce homo selemani actuellement dirigé par Arthur Bêye rendra hommage à son géniteur par une descente à la nécropole entre Terre et Ciel de la commune de la N’sele, ce 23 mai, date de sa disparition. Tous les musiciens, les administrateurs du groupe ainsi que les fans et  la famille de l’illustre disparu  vont tous se retrouver au cimetière pour s’incliner et déposer les gerbes de fleurs sur sa tombe », a confirmé Armand Buka, responsable de Marketing et communication de cette formation musicale.

Et d’ajouter : « Après la visite à sa dernière demeure, une messe des suffrages sera dite en mémoire de notre Feu Président fondateur dans l’après-midi en la paroisse Saint Joseph de Matonge, dans la commune de Kalamu».

La même source renseigne que cette commémoration sera sanctionnée par un concert qui aura lieu le dimanche 26 mai 2024 à l'espace ‘‘Béni le visionnaire’’, dans la commune de Kasa-Vubu.

Décédé le 23 mai 2016 à Kinshasa de suite d'une crise de santé, Sony Ecce Uomo fut opérateur économique, homme d’affaires et entrepreneur culturel réputé dans le secteur du mécénat en RDC.

Au-delà de sa casquette de fondateur et président de Collège des Nobles, il était également propriétaire des boîtes de nuit "Boyoma Boyoma " et d'autres établissements à succès à Kinshasa.

Huit ans après sa mort, l'orchestre New Collège des nobles renaît de ses cendres de la plus belle manière. Après son passage à l’espace Village chez Ntemba à Kinshasa dans le cadre de la reprise de ses activités musicales, l’orchestre s’est également rendu à Brazzaville où il a fait une belle prestation scénique dans la salle Makosophie au quartier Moungali, à l'occasion de la fête du travail.

Sur le plan discographique, les musiciens de New Collège des Nobles se préparent pour lancer leur premier opus intitulé ‘‘Carte mémoire’’ pour confirmer et marquer leur retour sur la scène musicale.

C’est un album de 14 chansons qui sortira en deux volumes. Le premier est fin prêt. Deux clips ont été tournés à Brazzaville. A l’occasion du 8ème anniversaire de la mort de son  Président, le groupe va mettre un clip vidéo d’une chanson sur toutes les plateformes de téléchargement de musiques.», a conclu  le responsable de Marketing de Collège des Nobles. 

JD

8ème anniversaire de la mort du père fondateur de l’orchestre : New Collège des nobles s’active pour des hommages vibrants à Sony Sadate
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Avec son nouveau single sur le marché : Licelv Mauwa se démarque dans « Moticha »

 La chanteuse Licelv Mauwa, auteure de la chanson ‘‘Moticha’’

‘‘Moticha’’ est le titre du nouveau single lancé sur le marché des musiques par la chanteuse et philanthrope congolaise Licelv Mauwa qui raconte sa vie et ses expériences à ses fans. Dans cette œuvre, elle a également réservé une part belle à la protection de l’environnement en République Démocratique du Congo, a indiqué l’artiste au cours d’un entretien avec Libéral.

«Moticha en swahili signifie motivation. Ce projet artistique porte, d’une part, sur le thème du développement durable. A travers la chanson, j’ai voulu apporter ma pierre dans la sensibilisation  pour la préservation de la nature», a souligné la chanteuse Licelv Mauwa.

Et d’ajouter : «Vous allez constater qu’au niveau même de l’affiche du single, nous avons utilisé la couleur verte qui représente la nature et notre environnement que nous sommes appelés à protéger et à bien assainir pour notre bien-être ».  

L’artiste indique que l’essentiel de ce projet porte sur un message d’espoir à travers la chanson qui est chantée dans un style métaphorique sous format d’un prologue dans lequel elle raconte aussi l’histoire de sa vie.  

«Cette œuvre introductive raconte une partie de mon histoire, de mon vécu, de mon expérience que j’ai partagé vu les différentes difficultés auxquelles je viens de traverser. J’ai voulu plus me mettre au-devant de la scène pour dire que c’est vrai j’ai enduré certaines difficultés mais je ne peux pas continuer à m’apitoyer sur mon sort.  Mais plutôt regarder ce que l’avenir me réserve devant et l’affronter avec rage et courage», a-t-elle  expliqué.

Et de poursuivre : « Moticha est non seulement un projet musical, mais aussi une véritable œuvre d’art visuelle, narrative et auditive, un brunch décontracté, qui offre l’occasion aux mélomanes d’échanger avec moi  dans un cadre intime et inspirant. C'est l'épopée de la résilience qui va de l'abandon à l'envol.».

Selon Licelv Mauwa, la version vidéo (clip) de son nouveau single est déjà disponible en ligne sur toutes les plateformes de téléchargement des musiques. Et la version audio est également à la disposition du public depuis le week-end dernier.

« Il faudra l’écouter pour entrer dans une immersion d’expérience visuelle et sonore de ‘‘Moticha’’ afin de ressentir pleinement l’intensité émotionnelle et la profondeur créative de mon œuvre», lance la cantatrice congolaise.

Et de conclure : « J’invite tous ceux qui aiment la bonne musique d’aller streamer et télécharger ma nouvelle chanson sur toutes les plateformes légales.  Consultez également ma chaîne You tube et rester branchez sur mes pages dans les réseaux sociaux pour ne pas rater aucune information et pour voir aussi  les  différents projets que nous avons eu à lancer avant»

Licelv Mauwa, une voix et une mélodie pour défendre la société

Vingtaine révolue, Licelv, de son vrai nom, Linda Mauwa, est avant tout une voix et une mélodie. 

Évoluant à cheval entre la Capitale et l’Est de la République Démocratique du Congo, cette jeune chanteuse est également auteure-compositrice, interprète, entrepreneure et philanthrope.

Son parcours artistique renseigne qu’elle a toujours évolué dans un univers musical où se mêlent harmonieusement les musiques traditionnelles du Kongo, les rythmes urbains et les courants modernes.

Licelv Mauwa définit son style unique comme le ‘‘Groove  tropical du Kongo’’ qu’elle défend et considère comme expression qui fait écho à son héritage ancestral et  culturel diversifié et à sa capacité à fusionner les genres de manière innovante.

La chanteuse est également engagée dans diverses initiatives sociales, visant à améliorer les conditions de vie dans les communautés moins privilégiées et marginalisées à travers des projets éducatifs et culturels.

En tant qu’ambassadrice de la bonne musique, sa présence sur la scène internationale et ses brillantes participations à des événements professionnels majeurs sur le continent africain illustrent sa passion et son engagement  envers son art.   

Jordache Diala  

Avec son nouveau single sur le marché : Licelv Mauwa se démarque dans « Moticha »
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ACP : Romain Sumbula au panthéon des immortels !

Bienvenue-Marie Bakumanya, Directeur Général de l’Agence Congolaise de Presse (ACP), s’est incliné, samedi 18 mai 2024, devant la dépouille de Romain Sumbula, journaliste de talent et son collaborateur au sein de l’agence, décédé dernièrement des suites d’une courte maladie. C’était au cours des funérailles tenues dans l’enclos de l’hôpital du Cinquentenaire, avant l’inhumation.

Dans son discours, Bienvenue-Marie Bakumanya, a rendu des hommages difficiles à l’illustre disparu pour ce qu’il aura été durant toute sa vie. Il a également remercié l’assistance par la marque de sympathie dont l’ACP a bénéficié durant cette dure et douloureuse épreuve. « Nous vous remercions d’être venus nombreux rendre hommage à notre confrère, collègue, père de famille, Romain Sumbula, qui, dans ses faits et gestes était devenu membre intégral de la famille ACP, capable, déterminé, sociable et disponible au service de la population », a-t-il reconnu.

Et puis, au nom de l’Agence de presse dont il dirige, Bienvenue-Marie Bakumanya n’a pas fait l’économie du verbe pour présenter ses condoléances à toutes les personnes éplorées. « C’est avec profonde douleur que nous adressons nos condoléances à la famille de notre très cher collaborateur. Adieu Romain Sumbula, tu nous as été très cher », a-t-il complété.

La disparition de ce journaliste talentueux reste un vide non seulement dans l’ACP, mais aussi surtout dans le paysage médiatique congolais. Que son âme repose en paix !

Miriam Ngimbi

ACP : Romain Sumbula au panthéon des immortels !
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Bombardement des camps des déplacés de Mugunga : Deux parents en soins intensifs pendant que leurs enfants ont été inhumés à la nécropole de Kibati

M. Fidèle SINAMENYE

Deux parents de différentes familles se trouvent encore aux soins intensifs alors que leurs enfants ont été inhumés mercredi 15 mai dernier.  En effet, le bilan de 35 cas de décès et de plusieurs blessés reste provisoire. Le gouverneur militaire du Nord-Kivu, le général Peter Cirimwani a procédé aux inhumations de toutes les victimes de cette tragédie du camp de Mugunga. 

Entretemps, le journaliste Israël Mutombo a communiqué par son compte X, le rapport de ses visites et les témoignages de cette tragédie du vendredi 3 mai dernier, rendus par deux blessés de ce bombardement. Il s’agit d’un père de famille qui s’appelle Fidèle Sinamenye âgé de 34 ans, et de Mme Mapendo, une mère de quatre enfants.

M. Fidèle Sinamenye, est un enseignant et père de deux enfants dans la localité Kilulu. Pour rappel, en avril dernier à la suite des attaques du M23, il a abandonné son milieu de vie pour se réfugier à Saké. Il s’est de nouveau déplacé à Mugunga avec ses deux enfants pour échapper aux atrocités du M23.

Fort malheureusement, lors de l’explosion de la bombe larguée par les rebelles du M23, ses deux enfants ont été pris au piège. Il a décidé de les secourir alors qu’ils étaient touchés par les éclats d’obus. Sa fille de 4 ans en est sortie avec une blessure au bras droit tandis que l’autre a été touchée à la hanche. Lui-même blessé au bas ventre et au pied gauche. Ils ont été conduits à l’hôpital CBCA/NDOSHO et placés aux soins intensifs. Les deux filles vont succomber à leurs blessures deux jours plus tard.

Mutombo a également visité une femme mariée répondant au nom de Mme Mapendo qui a fui au début du mois de février pour se mettre à l’abri à Saké avant de se réfugier au camp de Mugunga. Portant une grossesse à terme, elle a donné naissance à un enfant dans même camp des déplacés.

La bombe du mercredi dernier a blessé son bébé et un autre enfant qui en sont morts. Tandis que la maman et le troisième enfant en sont sorti grièvement blessés.

Abed-négo Ibanda

 

Bombardement des camps des déplacés de Mugunga : Deux parents en soins intensifs pendant que leurs enfants ont été inhumés à la nécropole de Kibati
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