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Kinshasa Interio Design show, RDC : Fifi Kikangala fait découvrir à la Ministre Yolande Elebe les œuvres d’arts des congolais

 C’est en présence de la ministre de la Culture, arts et patrimoine, du recteur de l’Académie des Beaux-arts et de plusieurs autres invités qu’est intervenue, mercredi 28 août dernier, l’inauguration de la première Edition de Kinshasa Interior Design show.

Dans son mot de circonstance, la représentante des structures des œuvres d’art, Fifi Kikangala, s’est dite honorée par la présence de la ministre Yolande Elebe. Elle a fait savoir sur ce, l’intérêt porté à cet évènement qui met en lumière le talent et la créativité des acteurs du cadre de vie, à savoir : ingénieurs, architectes d’intérieur, designers d’intérieurs et artisans.

Fifi Kikangala a profité de cette occasion pour faire visiter à son hôte et à toute sa délégation les œuvres d’arts, fruit des talents des congolais et congolaises. Elle a affirmé, à cet effet, que leurs matériaux de construction, du bureau comme armoires etc. ne sont pas seulement écologiques, mais aussi, économiquement avantageux offrant une alternative durable sans compromettre la qualité ou la sécurité.

Dans le même ordre d’idées, elle a présenté au public un appareil appelé «ECONUDGE DRC» qui s’attaque au fléau de la pollution, aux déchets plastiques via trois 3 axes, à savoir : la sensibilisation et l’éducation environnementale, la collecte et le recyclage des déchets plastiques considérés comme rebuts des matériaux de construction et d’embellissement durables offrant des solutions innovantes pour le bâtiment.

Par rapport à la personnalité et à la création d’emplois locaux, il est crucial de comprendre qu’avec ECONUDGE DRC, la personnalisation des matériaux est possible tout en suivant la forme ou la couleur désirée par le client.  Cependant, il existe sur le marché une gamme de produits variés et diversifiés à des prix accessibles à toutes les bourses créés par des congolais.

Madame Fifi Kikangala a ensuite abordé d’autres aspects de la vie en l’occurrence, l’éducation environnementale, l’amélioration de la santé communautaire ou ECONUDGE DRC apporte une solution à la création d’une génération des acteurs écoresponsables en instruisant les élèves sur l’importance du tri sélectif en amont afin d’éviter le fléau de la pollution plastique. Par ailleurs, il réduit les inondations et prévient de nombreuses conséquences sanitaires environnementales et sociales.

La ministre Yolande Elebe a affirmé être séduite par le niveau des talents que les jeunes congolais développent, et invite tous les citoyens congolais à aimer la culture et à accompagner les jeunes talentueux.

Jackson Mutamba

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Bahati Lukwebo : Un bâtisseur modeste !

N'en déplaise à quiconque mais, la vidéo a fait le tour du monde où l'actuel deuxième Vice-Président de la Chambre Haute visitait le chantier dénommé : ‘‘Cité de la science moderne de la Fondation Modeste Bahati LUKWEBO, en sigle MBL’’.

Les questions fusent au vue de ce chantier : c'est où ce chantier ? Est-ce au Congo ? Qui est le géniteur ?

Partant de ces questions, nous avons trouvé des réponses grâce à nos investigations dans les milieux proches de l'Honorable Sénateur Modeste Bahati.

Il s'agit bel et bien d'un chantier en construction à Nyakadaka Katana, territoire de Kabare au Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo par le génie créateur de l'Honorable Sénateur Professeur Modeste Bahati Lukwebo. Oui ! Il s'agit d'un digne fils du pays qui a songé marquer de son nom les actes à impact visible pour les générations. Il a reçu de Dieu, il donne avec son cœur à ses descendants congolais car, animé d'un sens patriotique d'investir au pays de ses ancêtres et chez lui, son village natal de Muganzo, groupement de Bugorhe, en territoire de Kabare ! Bravo !

Ce chantier comprend un complexe hospitalier moderne avec un centre de diagnostic qui sont des locaux techniques, un service d'administration, un grand laboratoire, une salle des soins intensifiés qui sera équipée des matériels de dernière génération, d'une pharmacie, d'une salle de consultations, des blocs opératoires, de la maternité, des bureaux et une partie aussi des locaux techniques et au deuxième et au troisième niveau pour l'hospitalisation des patients;  et d'une école polytechnique dénommée ‘‘la modestie’’ qui comprend au rez-de-chaussée une salle de professeurs, une bibliothèque, des bureaux et 7 salles pour différents ateliers ; tandis qu'au premier niveau il y a 12 salles de classes aussi au deuxième niveau 12 classes de quoi réjouir les apprenants dans ce domaine de la polyclinique. L'école ‘‘la Modestie’’ comprend également un grand parking pouvant contenir plus de 50 véhicules, un terrain de basketball et une grande verdure et allées pour les piétons et une cour de récréation, un auditorium, et 10 jolies villas chacune comprenant un séjour, un coin de repas, trois chambres chacune avec sa salle de bain, une cuisine avec une réserve communément appelée dépôt, une toilette pour visiteurs, un parking accueillant au moins deux véhicules légers, une verdure et voies de passage pour piétons déjà achevées que devront habiter les enseignants ainsi que les médecins.

Depuis 2022, précisément en date du 11 avril que les travaux avaient commencé pour la réalisation de ce projet ambitieux au bénéfice de ses concitoyens.

Qu'a-t-il encore à offrir ? Sinon, le bien être en étant philanthrope malgré sa casquette politique, le Professeur Modeste Bahati Lukwebo est un modèle de la résilience, de la perfection artistique et de l'art du beau.

C'est un complexe merveilleux qui sort de la terre dans un coin perdu de la République, où il a toujours pris la mesure d'investir chez lui, dans son pays contrairement aux autres qui se construisent des châteaux et villas à l'étranger.

Le Maniema s'est construit grâce aux fils de la province, le Nord et Sud-Kivu se construisent grâce aux fils des provinces notamment,  Katana, Kabare, Goma, Bukavu, Nyangezi, Kaziba, Beni, Butembo. Hélas ! L'ancien KIVU à travers ses génies créateurs se métamorphose.

A en croire les ancêtres, un Kivutien n'est pas un immigrant d'une province à une autre comme certains de nos compatriotes qui détestent chez eux au détriment du Katanga. Un Kivutien est fière de chez lui et le Professeur Modeste Bahati Lukwebo donne le ton. ‘‘Construisez chez vous’’. Tel est le challenge lancé par ce compatriote pour le développement de toute la RDC.

A travers le Sénateur Modeste Bahati Lukwebo, la phase suivante comportera la construction d'un grand supermarché ainsi que le stade moderne, une station de service et ses propres villas comme résidences.

La même cité va constituer le siège social de sa Fondation dénommée MBL.

Rome n'a pas été construite le même jour. Le Grand KIVU non plus. Mais, à travers ses dignes fils, nous avons la certitude de ceux qui disent d'avoir envie de passer des vacances dans ce que les occidentaux appellent  ‘‘la Suisse d'Afrique’’, le KIVU montagnard, le KIVU écologique, le KIVU agricole, le KIVU moderne.

Pius Romain Rolland

Bahati Lukwebo : Un bâtisseur modeste !
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A un jour de son spectacle à Paris : Fabregas en quête des visas pour ses musiciens  

La salle Casino de Paris, en France, va accueillir ce samedi 31 août le concert du chanteur congolais Fabregas Maestro, confirme l’artiste au cours d’une conférence de presse tenue dans la capitale française.

«Je suis content que, dans deux jours, nous allons faire un spectacle au Casino de Paris. Venez nombreux et réserver surtout les places pour qu’on célèbre ensemble cette soirée inédite. Et nous n'avons que deux heures du temps du spectacle. Je ferai un effort de fouiner dans chacun de mes albums une chanson pour faire plaisir à mes fans »", a déclaré Fabregas dans une vidéo.

Et d’ajouter : « Normalement, je fais les démarches pour la  délégation de 22 musiciens mais jusqu’à présent leurs passeports sont bloqués au niveau de l’ambassade et nous sommes déjà à deux jours du concert, mais les passeports ne sont pas remis.

« Les musiciens devraient prendre vol depuis mercredi 28 août 2024. "Cela n'empêche pas que je joue mon concert, dans l'entre-temps je suis déjà avec d’autres personnes ici et dès qu’ils arrivent ce vendredi ils vont prester. Dans ce cas, je ne donne la faute à personne puisque l’ambassade n’a pas refusé de nous donner les visas », a conclu celui qu’on appelle ‘‘l’homme de la danse Ya Mado’’.

Le but de son concert est  celui de promouvoir son album Gomme volume 2, un opus qui est  sorti depuis l’an 2023 dont certains clips continuent à sortir, et le tout dernier est intervenu le mois passé.

Rappelons que Fabregas avait pris l'avion en juillet pour préparer son concert à Paris et aussi l’arrivée de son groupe. Son déplacement s’inscrivait également pour lancer les clips vidéo de  ses deux nouveaux tubes "Embombo" et "Kisakata" dans les plateformes numériques de ventes de musique. Ces chansons  ont été déjà mises en ligne en version audio depuis le mois de juillet dernier.

JD

A un jour de son spectacle à Paris : Fabregas en quête des visas pour ses musiciens  
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Lors d’un sit-in devant l’immeuble du Gouvernement, RDC : Jean-Pierre Bemba saisi des doléances des agents de la Mettelsat

Un jeudi chaud et déterminant pour les agents de la Mettelsat en sit-in devant l’immeuble du Gouvernement pour réclamer leur dû.

Après avoir passé plusieurs années à réclamer l’amélioration de leurs salaires et primes ainsi que leur traitement dégradant de la part des autorités, précisément le ministère des Transports et voies de communication, qui ne prêtent pas attention à leurs revendications, les agents de l’Agence nationale de Météorologie et de Télédétection par Satellite (Mettelsat), sont arrivés aux environs de 10 heures devant l’immeuble du Gouvernement pour présenter, au Vice-Premier Ministre, Ministre des Transports et Voies de Communication, leurs doléances.

Un agent qui a requis l’anonymat a pris la parole au nom de tous en ces termes : « S’il faut dire un mot en rapport avec le sit-in d’aujourd’hui, nous sommes descendus ici pour voir le VPM des Transports et voies de communication, Jean-Pierre Bemba, pour lui dire premièrement que nous en avons marre avec ce salaire maigre et médiocre que nous percevons depuis plus de dix ans. Deuxièmement, il existe un arrêté de coordination départageant la Mettelsat de la RVA que le VPM doit signer. Le projet de la lettre a été déposé sur la table du VPM depuis plusieurs jours déjà mais jusqu’à présent nous observons un silence total. C’est pourquoi nous venons ici lui demander d’examiner notre situation et de nous trouver une solution durable ».

Et à un autre d’ajouter : « Ça fait 2 ans que notre prime n’est pas revue à la hausse pendant qu’ailleurs, dans d’autres agences et institutions publiques, nous constatons un traitement louable en permanence des agents publics de l’Etat. Ne sommes-nous pas tous égaux selon la loi régissant les agences, établissements et institutions publics ? Le treizième mois d’ailleurs n’a jamais vu le jour chez nous. Nous sommes donc les plus oubliés des fonctionnaires. Pouvez-vous imaginer qu’un directeur puisse toucher 169.000 FC qui ne valent même pas 100 USD de nos jours. Et moi qui suis Attaché 1, je ne perçois que 130.000 FC à la fin du mois, cela du début à la fin de l’année. Somme maudite qui ne peut nullement me permettre de relier les deux bouts du mois. Comment voulez-vous que nous puissions vivre heureux dans notre propre pays ? Nous devons avoir une mesure spéciale avant de quitter ce lieu parce que nous en avons vraiment marre ».

« L’application de la loi sur l’Aviation Civile, seule la Régie des Voies Aériennes (RVA) en bénéficie pleinement pour avoir créée un département de Météorologie en son sein. Alors que la Mettelsat est la responsable de la météorologie nationale. Pourquoi un dédoublement des agences dans un même ministère aussi longtemps que nous nous avons un champ d’activités au niveau national ? Cela nous coûte la vie. Tous les avantages dont nous devons être bénéficiaires sont canalisés à la RVA et nous en subissons les conséquences tous les jours », a-t-il renchéri.

Rappelons néanmoins que l’Agence Nationale de Météorologie et de Télédétection par Satellite », a été créée par Décret n°12/040 du 02 octobre 2012 portant statut d’un établissement public, signé par Matata Ponyo Mapon, Premier Ministre à l’époque, et exécuté par Me Justin Kalumba Mwana-Ngongo, Ministre des Transports et Voies de Communication.

César Nkangulu

 

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Focus sur la musique et l’industrie créative en Afrique

Entretien à cœur ouvert avec Ruddy Kwakye

Q1. Les festivals de musique peuvent-ils générer des revenus et du tourisme dans les différentes économies africaines, ou risquent-ils d’aggraver les inégalités ? Comment pouvons-nous adapter efficacement ces événements aux différentes régions ?

R1. Les festivals, par leur nature même, sont un rassemblement inclusif qui aide à introduire et à diffuser la culture parmi les passionnés, c’est pourquoi son potentiel économique est verrouillé dès le départ. Les curieux paient pour participer tout au long de la chaîne de valeur et les communautés où ils se déroulent fournissent une partie des besoins économiques de ce rassemblement. Au contraire, ils créent un moyen de rassembler les peuples. Ce qu’il faut, c’est une différenciation claire et une diversification des expériences. Le continent est orné de tant de sites culturels qui ont une renommée et une popularité mondiales, qu’il appartient aux communautés de se connecter avec des groupes comme l’ACA et ses membres pour travailler ensemble pour libérer cette valeur.

 Q2. Les partenariats avec les géants mondiaux de la musique risquent-ils d’éclipser les talents africains locaux ? Comment pouvons-nous nous assurer qu’ils autonomisent plutôt que de diminuer les artistes locaux ?

R2. C’est plutôt le contraire ; les partenariats apportent beaucoup de choses, car ils permettent d'accéder à de nouveaux marchés. Ils permettent également de mettre en valeur les talents locaux sur les mêmes scènes et avec les mêmes niveaux de production.

Q3. Est-il réaliste de compter sur l'industrie créative pour l'emploi des jeunes ? Que se passe-t-il si le secteur ne se développe pas comme prévu, et quelles sont nos alternatives ?

R3. Pour les gouvernements africains, le secteur a la barrière d'entrée la plus basse mais le potentiel non minier le plus élevé. Il pourrait absorber les gens en masse. Lorsque nous produisons un festival de taille moyenne typique, 11 des 16 services de l'industrie culturelle créative sont mis à contribution, notamment des architectes, des artisans, des musiciens, des vidéastes, des écrivains, des designers, des producteurs techniques, etc.

Q4.  Des initiatives musicales locales peuvent-elles créer un changement durable, ou risquent-elles de devenir simplement performatives ? Comment devrions-nous mesurer leur véritable impact ?

R4. Le risque qu'elles ne soient que performatives est réel et menaçant à moins que nous ne fassions des efforts conscients pour non seulement préserver leur espace, mais aussi les élever et les développer. C'est là que le soutien du gouvernement central est crucial et nécessaire. Le financement des infrastructures et la création de plateformes pour les mettre en valeur sont absolument nécessaires. Pour les acteurs privés, les retours commerciaux sont la plupart du temps au cœur des discussions, mais il existe un moyen pour que les intérêts commerciaux et publics s’alignent et c’est là qu’intervient l’ACA avec sa portée et ses curateurs dévoués qui ont intérêt à assurer un équilibre.

Q5. Comment pouvons-nous garantir que les collaborations entre le gouvernement et le secteur privé dans les industries créatives profitent à la base et empêchent les détournements de fonds ? Quel rôle la société civile devrait-elle jouer ?

R5. La meilleure pratique consiste à ce que chacun joue bien son rôle dans le cadre d’un objectif commun. Les gouvernements doivent être clairs quant à leurs livrables, et ils doivent correspondre aux réalités commerciales sur le terrain. Des indicateurs de performance clés plus stricts doivent être définis, une gestion transparente des décaissements et des rapports d’après-action cruciaux sont quelques-uns des moyens de garantir la conformité. Entre les parties.

Q6. L’Afrique est-elle prête à devenir un pôle mondial de talents, ou négligeons-nous des défis tels que l’éducation, les infrastructures et l’accès aux technologies ? Comment pouvons-nous y faire face avant d’aller de l’avant ?

R6. Cette question a déjà trouvé une réponse dans les perspectives actuelles sur le terrain. Nous avons la population la plus jeune, une classe moyenne en pleine expansion dans la plupart des pays et un goût instantané pour nos talents. Bien que tous ces défis existent, ils sont des opportunités pour accroître notre participation à la culture mondiale. Si nous avons fait ce que nous avons avec moins, imaginez ce que nous pouvons faire avec une éducation plus structurée, des investissements dans les infrastructures, un accès ouvert aux dernières technologies autour de la culture ?

Q7. Alors que la musique africaine gagne en popularité mondiale, comment pouvons-nous l'empêcher d'être marchandisée et dépouillée de sa richesse culturelle ?

R7. L'essence même de la culture est son adaptabilité aux tendances changeantes mais,   elle reste la même dans son essence. Nous devons enquêter sur le passé pour répondre à cette question. Nous avons besoin de plus de sociétés de conservation pour sauvegarder les sites clés, d'un cadre réglementaire qui permette un accès géré à la culture avec un accent clair sur la préservation. Dans un autre ordre d'idées, la marchandisation se produira, il est de notre devoir de nous assurer que nous obtenons la plus grande part des bénéfices et qu'une partie du mandat de l'ACA nous défend.

Propos recueillis par NLC

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Père Matthieu Ngongo Yezu : ‘’Il ne faut pas que le christianisme soit un conglomérat de vaux rien, de vautours, d'hypocrites, de menteurs et de gens d'apparence’’

Mercredi de la XXIè Semaine de T.O

28/08: Augustin, Vivien

TEXTES: 2Thessaloniciens 3, 6-10.16-18 ; Psaumes 127; Matthieu 23, 27-32

MÉDITATION

Frères et sœurs,

Que dire en ce jour si ce n'est comme Saint Paul, appeler chacun,  chacune,  à se mettre au travail et à vivre sa foi dans l'action, à être vrai et actif. Que celui qui ne travaille pas ne mange pas non plus. Il ne faut pas que le christianisme soit un conglomérat de vaux rien, de vautours, d'hypocrites, de menteurs et de gens d'apparence. Le Christianisme est une religion de gens à l'œuvre, vrais, sincères, et qui par leurs œuvres, par leur travail permettent une action de grâce à Dieu qui seul est toujours à l'œuvre. 

Il faut donc éviter toute hypocrisie et toute apparence mais vivre vraiment selon la Parole de Dieu en devenant des hommes de la vie intérieure sans chercher à paraître dans la Lumière et dans la Vérité.

Père Matthieu Ngongo Yezu : ‘’Il ne faut pas que le christianisme soit un conglomérat de vaux rien, de vautours, d'hypocrites, de menteurs et de gens d'apparence’’
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De la banane plantain

La banane comme l’ananas zinnias sont les plantes dont la culture est meilleure dans les pays à climat chaud d’Afrique ou d’ailleurs.

Pour l’ananas zinnias sa culture n’a pas été bonne au climat froid de l’Europe après que l’explorateur Christophe Colomb l’a amené de l’Amérique en 1480. 

La plante de banane pousse au bout de son tronc qui est son axe principal ainsi que celui de son régime de fruit ; ses longues feuilles servent d’emballage dégradable.

On dénombre plusieurs espèces dans sa végétation dont des bananes dures et douces à fruits longs ou courts.

Les bourgeons autour de sa racine seront replantés dans une nouvelle plantation. 

L’ONG nature santé de Kinshasa nous recommande de manger la banane pour un régime alimentaire à privilégier étant donné que sa densité énergétique est faible ainsi que celle de maïs, de riz, de patate douce, de pomme de terre, le thon, les crevettes, olive, avocat, lait écrémé, boisson de soja, des fruits et légumes non féculents et soupe de bouillon.

Les grandes et vastes plantations de banane se trouvent dans la région de l’Equateur et Mayombe dans le Kongo Central.

La grande quantité de la production de notre pays est destinée à la consommation nationale et non à l’exportation après 1960.

Une boisson alcoolique est tirée de ses fruits mous, pèles et fermentés dans les cuves pendant une semaine ; ensuite la solution fermentée est cuite au feu dans les mêmes cuves auxquelles sont joints de tuyaux de bambou de 7 mètres repliés pour obtenir  la solution gazeuse ensuite liquide qui est recueillie dans les bouteilles pendant la fabrication par les villageois.

C’est un alcool de bon goût comme celui de canne à sucre qui passionne les consommateurs avertis.

Un film documentaire à la télévision nous a montré des grands bateaux d’océan et de mers transportant les régimes de banane vers les pays d’Europe où il y a des consommateurs beaucoup plus nombreux.

Ces grands bateaux d’océan et de mers sont appelés aussi des bananiers.

Des fruits verts durs décortiqués sont préparés dans la marmite pour obtenir un met délicieux tandis que les fruits doux, jaunes servent de dessert après un repas copieux.

L’aliment délicieux de la banane se mange ou s’ajoute au repas de la viande sur la table. 

Les écorces de tronc de banane séchée au soleil servent de rubans pour transporter les bébés et les fardeaux dans les villages de l’équateur et de Mayombe du Kongo Central.

Les écorces des fruits verts durs sont aussi séchées au soleil pour la fabrication de savon à mousse dans les villages de la région de l’Equateur par les villageois.

Et ce, comme qui dirait rien ne se perd et rien ne se crée donc dans la banane, toutes les parties sont utilisées ou consommées par les hommes et les animaux (oiseaux) qui piquent les fleurs rouges au bout de régime.

Alegba Nzuanga Fabien de la RDC

Tél : 0895127562

De la banane plantain
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2 novembre 2024 : les professionnels des médias congolais appelés à appuyer le Plaidoyer pour la reconnaissance des Martyrs de la Liberté de la Presse

Le plaidoyer pour la reconnaissance des 22 journalistes congolais assassinés comme Martyrs de la liberté de la presse se poursuit avec force et détermination. Ce mouvement est désormais porté par une voix puissante et symbolique, celle de Grâce Israëlla MAMBU KANGUNDU NGYKE, elle-même orpheline de deux parents, Franck NGYKE KANGUNDU et Hélène MPAKA tombés pour avoir défendu la vérité et la liberté d'expression.

Grâce Israëlla, Présidente de l'Association Congolaise des Femmes Journalistes de la Presse Écrite et membre du groupe de Plaidoyer a lancé un vibrant appel aux professionnels des médias congolais, les exhortant à s'approprier ce plaidoyer et à ne pas laisser le sacrifice de leurs collègues sombrer dans l'oubli. Pour elle, il est crucial que la République Démocratique du Congo reconnaisse à titre posthume ces journalistes comme des martyrs de la liberté de la presse, honorant ainsi leur combat pour la démocratie et la vérité.

«Les journalistes congolais doivent se souvenir de leurs collègues partis injustement pour avoir défendu la vérité et la liberté d'expression», a déclaré Grâce Israëlla avec émotion. 

Elle rappelle que cette cause dépasse les simples commémorations, il s'agit d'une question de justice, de mémoire et de dignité. Pour elle, la reconnaissance officielle de ces 22 journalistes offrirait non seulement une forme de réparation symbolique, mais aussi un soulagement moral aux familles des victimes, trop souvent oubliées dans la douleur.

En cette année 2024, marquée par la montée des revendications pour la liberté de la presse et les droits humains, Grâce Israëlla et le groupe de plaidoyer ont insisté auprès du Ministre de la Communication et des Médias de soutenir cette lutte. Ils ont notamment proposé la construction d'un monument en mémoire de ces journalistes assassinés, un symbole fort qui se dresserait au cœur de Kinshasa, la capitale congolaise.

Ce monument, selon eux, ne serait pas seulement un lieu de recueillement, mais aussi un puissant rappel de l'engagement du gouvernement congolais envers la liberté de la presse, un pilier indispensable de tout État de droit. Conformément à la vision du Chef de l'État, qui prône un État de droit où les droits fondamentaux sont respectés et protégés, cette initiative s'inscrit dans une démarche de réconciliation et de mémoire collective.

Grâce Israëlla, avec courage et détermination, continue de mener ce combat, non seulement en mémoire de ses parents, mais pour tous les journalistes congolais tombés pour la vérité. Son interpellation aux médias congolais est un appel à l'unité, à la solidarité et à l'action. Elle incarne l'espoir d'un avenir où les sacrifices des martyrs de la presse ne seront plus vains, mais reconnus et honorés par la nation entière.

AcofepeNews

2 novembre 2024 : les professionnels des médias congolais appelés à appuyer le Plaidoyer pour la reconnaissance des Martyrs de la Liberté de la Presse
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Au-delà de sa passion pour la musique : L’Abbé Jean–Marie Konde fête ses 15 ans de sacerdoce !

(Abbé Jean-Marie Konde et le Cardinal Ambongo)

Le 15ème anniversaire de l’ordination sacerdotale de l’abbé-chanteur Jean-Marie Konde a été célébré à la paroisse Saint-Thomas dans la commune de Kisenso, au sud-est de Kinshasa, en République démocratique du Congo, a-t-on appris vendredi d’un entretien. Le dimanche dernier, le prêtre catholique a été également convié à la paroisse Saint Luc à Ma campagne où il a été honoré par les paroissiens de cette communauté.

« Bien avant, nous avons communié avec les fidèles de la paroisse Saint–Thomas de Kisenso. C’est dans cette paroisse que le jeune Jean-Marie Konde, appelé par ses amis Jeancy, avait reçu la première communion et la confirmation avant d’être consacré premier prêtre diocésain en 2009.  Merci Seigneur pour les 15 ans de sacerdoce. Ma carrière a commencé dans cette église comme choriste et guitariste avant de poursuivre ma passion dans la musique, au-delà de la vocation sacerdotale comme berger», a fait savoir l’abbé-chanteur  JM Konde.

Et d’ajouter : «nous étions accompagnés de Monsieur l’abbé François Lombi, mon confrère de promotion et curé de ladite paroisse».

Auteur-compositeur et interprète, l’Abbé Jean-Marie Konde est un artiste musicien et serviteur de Dieu, prêtre à l’église catholique. Il est également animateur-télé de l’émission culturelle «Cantate Domino» qui passe sous forme d’une compétition des chorales.

Cet homme de culture a écrit plusieurs cantiques avec de thèmes différents sur la société, l’église et la jeunesse.  Son dernier album intitulé «Ça me dépasse» est sorti en 2022 sur le marché. Cette aubade musicale compte huit titres, notamment «Africa louange», «Ça me dépasse», «Voyez vous-même», «Cœur joyeux», «Gloire à toi», «Ne crains point», «Jésus» ainsi que «Alléluia».

Sa mission pour Christ a commencé à la paroisse Saint-Thomas où il a évolué comme scout, servant de messe, jeune de lumière (BYM), choriste à la chorale Kaoze et guitariste au renouveau et chorale avant qu’il y devienne prêtre.

Jean-Marie Konde a été pendant  longtemps aumônier chargé de la culture à l’archidiocèse de Kinshasa avant d’être muté à Bangui en République Centrafricaine dans le cadre de l’apostolat.

JD 

Au-delà de sa passion pour la musique : L’Abbé Jean–Marie Konde fête ses 15 ans de sacerdoce !
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Université Pédagogique Nationale, RDC : Marie-Thérèse Sombo Ayanne nomme un nouveau Comité de Gestion

C’est sur base d’un arrêté rendu public ce lundi 26 août 2024 que la ministre de l'Enseignement supérieur et universitaire (ESU), Marie-Thérèse Sombo Ayanne, a procédé à la nomination de nouveaux membres du Comité de Gestion de l'Université Pédagogique Nationale (UPN). Au rectorat de cette alma mater, la professeure Yvonne Ibebeke Bomangwa Saila qui remplace Anastasie Masanga, rectrice depuis décembre 2021.

Dans ce même arrêté ministériel, les professeurs Lohaka Ndjonga Jean, Pongi Kingiela Albert, Niakakonga Cibonga Benita et Ilunga Ngoy Sympho, sont respectivement nommés secrétaire général académique, secrétaire général à la recherche, secrétaire général administratif et administrateur du budget de cet établissement universitaire.

Au cours de cette journée de lundi, des heurts ont éclaté à l'extérieur de cette institution universitaire. Des images, devenues virales sur les réseaux sociaux, montrent des étudiants en colère brûlant des pneus sur la chaussée tout juste devant l'UPN, brandissant des calicots mentionnés « sauvons l’UPN », « ESU sauve l’UPN », « non au dédouanement des comptes ». Devant la caméra, l'un d'eux lâche : « Masanga doit partir, l'UPN est morte ». D'après un étudiant sur place, qui s'est confié à notre rédaction, il s'agissait des étudiants en terminale qui protestaient contre le retard que prend leur délibération.

Rappelons qu’en juillet de l'an dernier, une autre vague de manifestations avait secoué cet établissement universitaire. Des étudiants, mécontents de la majoration des frais académiques, avaient exprimé leur ras-le-bol jusqu'à incendier des véhicules, dont l'un appartenant à l'université.  « Avant, nous payions 580.000 FC et maintenant, nous devons payer (en dollar) 350$.  Tel est le motif de ce soulèvement», il est important de croire que cette décision de la ministre apportera un vent nouveau au sein de cette institution qui forme des hauts cadres.

Jackson Mutamba

Université Pédagogique Nationale, RDC : Marie-Thérèse Sombo Ayanne nomme un nouveau Comité de Gestion
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RDC : l’Université de Goma lance les inscriptions pour l’année académique 2024-2025

Etablissement d’enseignement supérieur de renom en République Démocratique du Congo, l’Université de Goma (UNIGOM) a annoncé avec enthousiasme à la population de Goma et d’ailleurs, l’ouverture des inscriptions de nouveaux étudiants pour l’année académique 2024-2025. Pour cette nouvelle année académique, l’Unigom propose plusieurs filières, allant des sciences sociales aux sciences exactes, en passant par la médecine et la technologie. Ce lancement constitue une étape cruciale pour les étudiants en quête d’un parcours académique enrichissant dans divers domaines d’études.

UNIVERSITE DE GOMA

« UNIGOM »

B.P 204 Goma (RDC)

Site web : www.unigom.ac.cd

Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

SECRETARIAT GENERAL ACADEMIQUE

COMMUNIQUE N° UNIGOM/SGAC/JBM/013/2024

A L'ATTENTION DU PUBLIC

L'Université de Goma (UNIGOM) porte à la connaissance de la population de Goma et de partout ailleurs que les inscriptions des nouveaux étudiants pour l'année académique 2024-2025 sont en cours.

Les candidats désireux de se faire inscrire peuvent se présenter chaque jour du Lundi au Vendredi de 8h à 15h au Campus du Lac (ex Kinyumba) et au Campus du Lac vert (Mugunga) munis de :

1. Une photocopie du diplôme de baccalauréat (diplôme d'Etat) ou son équivalence : journal et ou confirmation de réussite aux examens d’Etat ;

2. Les photocopies des bulletins 3ème et 4ème ;

3. 4 photo passeports (voir imprimerie UNIGOM) ;

4. Une photocopie d'attestation de naissance ;

5. Une photocopie du certificat d'aptitude physique avec groupe sanguin obligatoire (à prendre au service médical de l'UNIGOM) ;

6. Une photocopie du certificat de bonne conduite vie et mœurs ; et

7. Une photocopie de la carte d'électeur.

L'université de Goma organise les domaines ci-après :

  • Domaine de Médecine
  • Domaine des sciences juridiques, politiques, Administratives et Management, Relations internationales
  • Domaine des sciences économiques et de Gestion
  • Domaine des sciences Agronomiques et Environnement
  • Domaine des sciences psychologiques et de l'éducation
  • Domaine des sciences et technologies
  • Domaine des sciences de l'homme et de la Société
  • Ecole de Santé publique
  • Ecole de Volcanologie, de gestion de risques et des catastrophes
  • Ecole de Genre
  • Ecole de Criminologie
  • La Spécialisation en médecine
  • Master complémentaire dans tous nos domaines.
  • Thèse d'agrégation en Médecine.

Pour plus d'éclaircissement, veuillez contacter les Apparaitorats du Campus du Lac et/ou Lac vert.

Fait à Goma, le 29/07/2024

Le Secrétaire Général

Dr. BIGIRIMANA MUGABUSHAKA John, PhD

 

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Bandal : SNEL S.A à pied-d’œuvre pour la relance de l’électricité au quartier Makelele

 

COMMUNIQUÉ SNEL/DDK/DKO/GRO

La Direction Régionale de Kinshasa Ouest informe son aimable clientèle de la commune de Bandalungwa qu'une panne de câble moyenne tension a été enregistrée ce dimanche 25 août 2024 sur le feeder F1507 de la sous-station Bandal, entre les cabines Bandal Sud et Centre. Cet incident perturbe la fourniture d’électricité dans la commune, en particulier dans une partie du quartier Makelele.

La SNEL rassure ses clients que ses équipes sont déjà à pied d’œuvre pour réparer et rétablir la fourniture d’électricité dans les meilleurs délais.

Numéros à contacter :

+243 817005665 (DKO)

+243 817005673 (GRO)

Fait à Kinshasa, le 25 août 2024

La Direction

Bandal : SNEL S.A à pied-d’œuvre pour la relance de l’électricité au quartier Makelele
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