L’ancien premier Vice-président du Sénat, Samy Badibanga, et son parti politique Les Progressistes vont échanger avec les kinois en général, et la population de la Tshangu, en particulier, à travers un meeting populaire prévu au stade municipal de Masina le vendredi 30 juin prochain. Au cours de cette rencontre, il sera question pour Samy Badibanga de sensibiliser cette population à s’aligner derrière Félix Tshisekedi pour de nouveaux horizons. Pour une première fois depuis son départ du poste du premier Vice-président du sénat, Samy Badibanga va communier avec la population de l’Est de la capitale congolaise le 30 juin, une date très symbolique pour la République démocratique du Congo. Ce sera une occasion propice pour le regroupement politique « Les Progressistes » et son Autorité Morale de se défaire des méthodes rétrogrades des politiciens et surtout de prêcher la paix et la cohésion nationale en cette période pré- électorale fort agitée. A en à croire cette formation politique, la réélection de Félix Tshisekedi se justifie par le satisfecit de son premier mandat. Ainsi, ils vont mobiliser toute la Tshangu à se mettre derrière le Président de la République afin de lui accompagner à la réussite totale à la magistrature suprême en 2023, afin d’amorcer le chantier qu’il a commencé et poursuivre sa vision, qui est l’amélioration de la situation socio-économique de la RDC, et voire un Congo fort et prospère. Par ailleurs, cette famille politique va capitaliser cette activité de grande envergure pour inviter tous les groupes armés, toutes les multinationales et tireurs de ficelles internes ou externes de préserver la paix et la sécurité dans le pays de Lumumba. Ronsard Malumalu
Accusé ‘’à tort’’ par certaines personnes après ses propos tenus au retour de son dernier voyage en Europe, Augustin Kabuya rétorque enfin contre ses ‘’détracteurs’’. Le Secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social a, au cours d’une matinée politique tenue à Kinshasa, donné le ‘’sens exacte’’ de ses mots ‘’déformés’’ par certaines personnes mal intentionnées, sur l’affaire tribalisme et la ‘’haine’’ que porteraient certaines personnes envers Félix Tshisekedi, Président de la République. Mordre l’hameçon ! En effet, en affirmant que « les gens ne combattent pas Félix Tshisekedi parce qu’il gère mal le pays, mais ils le combattent parce qu’il est Muluba », Augustin Kabuya s’est vu prendre au piège de l’opposition qui a tout de suite ‘’mal orienté’’ le sens de ses mots, à l’en croire, pour lui faire porter le lourd fardeau et ternir son image ainsi que celui du régime. Cependant, tout en niant toute forme d’incitation à la haine tribale tel qu’on l’accuse par l’opposition, le numéro un de l’UDPS a tenu à préciser que ni lui, ni son parti ne cautionnent le séparatisme. « La République démocratique du Congo appartient à toutes ses tribus. La RDC appartient aux Luba, Swahili, Bangala et Bakongo. Oui à la cohésion nationale, oui à l’unité », a-t-il répliqué. Par contre, il renverse la vapeur vers l’opposition, particulièrement aux élus Safu et Mukebay, deux cadres de Ensemble de Moïse Katumbi à qui il accuse à son tour de vouloir mettre en exécution un plan ourdi contre l’unité nationale et la cohésion entre congolais. Avec des propos ‘’venimeux’’ que ces deux députés ont tenus dernièrement à la télévision, Augustin Kabuya remet en cause le leadership du président de ce parti politique Moïse Katumbi, qu’il soupçonne d’ailleurs d’être du côté des ennemis de la République. Pour lui, la démarche de Daniel Safu ‘’était d’opposer toutes les zones linguistiques à la tribu Luba’’. Par ailleurs, Augustin Kabuya est également revenu sur l’affaire ‘’Force du Progrès’’, une structure des jeunes de son parti, aujourd’hui qualifiée de milice. Il a, à ce point, appelé tous les jeunes de cette structure à travailler pour la bonne image du parti, les invitant à se faire identifier dans leurs cellules respectives pour éviter toute confusion avec les infiltrés mal intentionnés. Fidel Songo
La République démocratique du Congo se dote, sous l’autorité du ministère des Affaires étrangères, d’une structure d’accréditation des observateurs électoraux internationaux avant de transmettre toutes les décisions à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) pour sa mise en application. Le travail de cette cellule concerne les élections présidentielle, législatives, municipales, urbaines et locales de 2023. Cette structure, sous la direction du vice-premier ministre Christophe Lutundula, aura également comme tâche principale d’examiner l’accréditation soumise au gouvernement par les organismes ou personnalités indépendantes étrangères désirant observer les élections. Ladite équipe est constituée d’experts issus des ministères et services notamment, les ministères des Affaires étrangères, de l’Intérieur, de la Justice, l’Agence nationale des renseignements (ANR), la direction générale des migrations (DGM), la CENI, l’état-major du renseignement militaire et la direction des renseignements généraux de la police nationale congolaise. L'Union européenne en mission d’exploration Le président de la Centrale électorale, Denis Kadima Kazadi, s'est entretenu avec une mission exploratoire de l'UE, conduite par Vincent Ringenberg, membre de la Division démocratie et observation électorale du service européen pour l'action extérieure (SEAE). L'Union européenne (UE) veut déployer une mission d'observation électorale en République démocratique du Congo pour les élections prévues en décembre prochain. Pour l’hôte du président de la CENI, l'objectif était de savoir si les conditions étaient réunies pour déployer une mission en RD Congo. "Nous avons rencontré le président de la CENI et les membres de son équipe dans le cadre de la mission exploratoire de l'Union européenne. Notre rencontre avait pour objectif de voir si les conditions sont réunies pour déployer une mission d'observation électorale en République démocratique du Congo pour les prochaines élections prévues en décembre 2023. Le président Denis Kadima Kazadi nous a donnés de plus amples explications sur le déroulement du processus électoral et les avancées réalisées jusqu'à maintenant", a-t-il déclaré. Et de renchérir : "Tout cela englobe les défis à relever, ce qui est déjà accompli et reste à faire. Le parcours n'est certes pas facile, mais nous constatons que la CENI progresse vers l'accomplissement de sa mission. Ce qui est à saluer, dans un contexte pas du tout facile. Nous pensons pouvoir apporter, le cas échéant, une valeur ajoutée à ce processus que nous suivons de près". En attendant, après l’enrôlement et l’identification des électeurs, le projet de loi sur la répartition des sièges a été adopté à l'Assemblée nationale. Cap sur la convocation de l'électorat pour la députation nationale. Emma Muntu
C’est dans la salle de spectacles Showbuzz, que le regroupement politique Alliance des Acteurs Attachés aux Peuples (AAAP) a officiellement été lancé jeudi 1er juin 2023. La plateforme électorale chère à Tony Kanku Shiku, dans l’un de ses objectifs, est déterminé à accompagner les actions du Chef de l'Etat, Félix-Antoine Tshisekedi et de lui donner un second mandat aux échéances électorales de 2023. A l’issue de cette cérémonie, les partis membres de ce regroupement politique ont signé l’acte d’engagement en présence de son autorité morale, Tony Kanku Shiku. Prenant la parole, Tony Kanku Shiku a présenté les cadres, militantes et militants des partis membres adhérant à ce regroupement politique. « …L’Initiative de la création de ce regroupement, s’inscrit dans le cadre de la vision de donner au Chef de l’État un second mandat…», a-t-il précisé. Et de continuer, « Nous nous rendons compte que, le Chef de l’État a la volonté manifeste et l’engagement irréversible d’organiser cette année des élections démocratiques, transparentes, libres et apaisées. Et nous, membres de l’AAAP, nous avons décidé de nous mettre ensemble afin de soutenir les actions du Président de la République», a-t-il souligné. Il sied, par ailleurs, de noter que la plateforme politique AAAP, compte déjà 62 partis politiques membres ainsi que plusieurs réseaux d’associations et organisations de la société civile. Hénoc Akano
Plusieurs initiatives devraient se concrétiser après la tournée de l’Autorité Morale de l’AMSC, APCCO et AE. En effet, à l'issue du périple dans le Grand Bandundu qui a conduit Laurent Batumona respectivement à Kenge, Kikwit et Masi-Manimba dans l’Ouest de la RDC, on peut à présent tirer certaines leçons. D'abord, il convient de relever que désormais, le Grand Bandundu est enrégimenté dans l'ordre des priorités du président Fatshi. A peine mentionnée pendant ses meetings, le Grand Bandundu est désormais "L'un des points centraux" de la politique sociale de Félix Tshisekedi. Cette randonnée de l’Honorable Batumona dans le Grand Bandundu a été marquée aussi par des réunions avec des notables, autorités provinciales et territoriales. S'agissant des élections, il a réitéré son appel de soutenir à 100% la candidature de Félix Tshisekedi. Il a demandé au peuple de Bandundu de cesser les tueries pour éviter au pays d'autres épreuves douloureuses et d'autres effusions de sang. Laurent Batumona a également parlé des centres d'intérêt que partage son Parti, le MSC, avec le Grand Bandundu. Il a déclaré que le MSC partage un engagement profond en faveur de l’industrialisation, lutte contre les érosions et la paix dans cette partie du pays. Bien plus, les actions palpables sont envisagées, à savoir: l’arrivée fin juillet du Président de la République dans le Kwango pour accomplir sa promesse faite à cette population lors de la campagne électorale de 2018. ‘’Je reviendrai dans le Grand Bandundu’’. L’Autorité Morale, Laurent Batumona, a rassuré que des nouveaux engagements seront pris notamment, dans les secteurs des infrastructures routières, l’adduction d’eau potable, lutte contre les érosions, la mise en œuvre du projet de la centrale hydro-électrique de Kakobola, Wamba. La Relance de la production agricole et l’amélioration de la vie sociale sont parmi les points qui seront mis sur la table des échanges. Félix Tshisekedi est le candidat unique du MSC, a annoncé Laurent Batumona partout où est passé. Une annonce qui a suscité de l’intérêt dans la large majorité de la population du Grand Bandundu. Saisissant l’occasion, Batumona a solennellement invité les filles et fils de ce terroir de voter utile pour permettre à ce que le président Fatshi obtienne un grand nombre de députés afin d’obtenir une majorité confortable. Heureux qui comme Batumona a bouclé cinq jours de tournée dans le Grand Bandundu avec de galons : ‘’Tu es notre porte-parole, notre leader’’. Cette tournée l’a conduit à Kenge, chef-lieu de la province du Kwango, puis à Kikwit, chef-lieu de la province de Kwilu et Masi-Manimba, une localité éponyme de la province de Kwilu. Objet de sa tournée: La dynamisation de son Parti, le MSC ; évaluer le processus électoral et l’invitation à la population au soutien indéfectible à l’élection de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en 2023, candidat unique. Laurent Batumona avait dans sa suite, les délégations de ses trois Regroupements : l’Alliance pour le Mouvement de Solidarité pour le Changement (AMSC), l’Alliance des Actions Politiques pour le Changement au Congo (AAPCCO) et l’Alliance et Action pour un Etat de Droit (AE) ainsi qu’une centaine de Cadres du Parti ont été en première ligne pour aplanir le chemin du deuxième mandat du Président Félix Tshisekedi Tshilombo. Les retombées de sa tournée sont, entre autres, la convocation prochaine du dialogue sur la paix dans l’espace Grand Bandundu, la présentation du candidat unique, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, de trois Regroupements dont il est l’Autorité Morale (AMSC, AAPCCO de AE), l’arrivée de Fatshi Béton dans le Grand Bandundu en juillet prochain et l’amélioration de la vie sociale. Dialogue pour la paix durable De Kenge, en passant par Kikwit avec un point d’orgue Masi-Manimba que le leader le mieux écouté a lancé son appel à la convocation d’un dialogue pour la paix durable réunissant des notables des provinces du Kwango, du Maindombe et de la commune de la N’sele pour mettre fin à l’insécurité dans cet espace. Selon lui : ‘’la convocation du dialogue aidera à comprendre comment un conflit personnel et coutumier est-il devenu un problème d’insécurité dans l’espace Bandundu et puis de la Communauté nationale ? Les auteurs et commanditaires des massacres doivent être identifiés, les notables doivent se parler pour que la paix règne’’. L’attention de tout le monde est désormais tournée vers la pacification et la consolidation de la paix dans l’espace Grand Bandundu. Le leader du Grand Bandundu, selon que le Peuple s’est exprimé dans un dialogue direct et interactif, Laurent Batumona a clôturé sa tournée non sans susciter le débat. Pour eux, cette tournée a produit des effets positifs. La population attend ce dialogue pour la paix dans le Grand Bandundu. «Nous travaillons pour la paix et le développement afin que dans l’espace Bandundu, la situation sécuritaire soit consolidée et stabilisée. Nous rentrons dans la paix et nous vous laissons la paix. Nous avons été dans les rue de Kikwit, de Masi-Manimba, Kenge, c’est un bon chantier, le Chef de l’Etat vient incessamment comme il avait promis pour donner un coup de pouce pour que le Grand Bandundu soit industrialisé pour qu’il puisse donner aux jeunes du travail pour leur d’épanouissement», a déclaré l’honorable Rombot Mulengi à la fin de la tournée avant de regagner Kinshasa. Elections 2023 : un seul candidat, Félix Tshisekedi La victoire est impérative pour notre candidat unique à l’élection présidentielle : Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a informé Laurent Batumona. Dans sa casquette de Chef de file des regroupements politiques alliés à l’UDPS et autorité morale AMSC, APCCO et AE, Laurent Batumona a, lors de sa tournée dans le Grand Bandundu mobilisé, sensibilisé sur les grands enjeux de l’heure. Autant de sujets évoqués. Les prochaines élections, la guerre d’agression du Rwanda à travers le M23, le bilan à mi-parcours de Félix Tshisekedi, le programme de la résilience de 145 territoires de la RDC, les infrastructures routières, la gratuité de l’enseignement de base… . Toutes ces thématiques ont été au centre de sa tournée. Le message de vérité a touché les cœurs. Ce qui a fait augmenter le taux d’adhésion au MSC ainsi que les ambitions exprimées pour postuler à la députation nationale et provinciale. A l’étape de chaque chef-lieu, il tenait des réunions de dynamisation du Mouvement de solidarité pour le changement. A Masi-Manimba, la population lui a posé beaucoup de questions liées au social, à l’économie, à la politique, aux élections de 2023 et à la guerre d’agression par le Rwanda à travers le M23. “C’est pourquoi, j’ai organisé des croisades d’armement patriotique et politique pour sensibiliser les jeunes à s’enrôler dans l’armée afin de soutenir les FARDC”, a soutenu Laurent Batumona. Social- raisons de la vie chère Il a fait comprendre les deux ans perdus avec la coalition Fcc-Cach. ‘’Le Fcc n’a pas voulu voir la réussite de la vision de Félix Tshisekedi. Après la rupture, vous avez remarqué comment il a manifesté la volonté de redresser la RDC’’, a fait comprendre Laurent Batumona à la population. L’autorité morale du MSC a également dressé un pré-bilan encourageant de la gestion de l’administration Félix Tshisekedi. Un bilan qui redonne l’espoir au peuple congolais, a-t-il dit, en démontrant combien Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo s’est focalisé sur les secteurs porteurs de croissance et pro-pauvres. A Kinshasa comme dans l’arrière-pays, des usines de captage d’eau champignonnent pour accroître le taux de la desserte en eau potable. Elle n’était que de 15% selon des estimations les plus optimistes quand Fatshi a accédé à la magistrature suprême. Par ailleurs, la RDC est devenue un gigantesque chantier routier, autant que la voirie dans les grandes agglomérations du pays, des infrastructures routières sont soit en reconstruction, soit ouvertes dans des contrées longtemps enclavées comme dans le centre du pays. C’est la plus grande action sociale qui va résoudre tous les problèmes sociaux. Des retombées positives Le Symbole de l’héroïsme, Laurent Batumona a aussi communiqué quelques projets qui seront pris en compte par le Chef de l’Etat lors de sa tournée au Grand Bandundu que d’aucuns qualifient des retombées positives. Le Président ‘’vous apporte des solutions à vos multiples problèmes en lien avec les infrastructures de base, l’eau potable, l’électrification, lutte contre les érosions et sur l’agriculture’’. C’est une mission accomplie. Pour le Prof Weloli Nzale, ‘’De retour à Kinshasa en provenance du Grand Bandundu, où il a balisé le chemin au Président de la République comme il a fait il y a quelques mois dans le Kongo Central. Le Porte-parole du MSC s’est dit, aussi, un homme heureux pour la réussite de cette mission dans le Bandundu annonçant que l’Honorable Laurent Batumona ait confirmé que le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi prendra de nouveaux engagements salutaires pour la population de cette partie du pays meurtrie par les affrontements entre les hommes se réclamant de teke et de yaka et les forces de l’ordre. Une stratégie malheureuse née à Kwamouth dans le Mai-Ndombe et qui a touché le Kwango et le Kwilu et les encablures de Kinshasa. La Pros.
C'est au centre de la commune de Kalamu, en son siège, à l'immeuble La Grâce en son 4ème étage, que la Jeunesse de l’Union Sacrée de la Nation s'est proposée, au cours d'une conférence-débat, d'inviter comme orateur le Docteur Noël Tshiani Mwadiamvita afin d'exposer sur la proposition de loi de père et de mère. Exposé à échanges scientifiques, l’assistance attentionnée n’a pas hésité à poser différentes questions dont les réponses ont été apportées. Toutefois, la Jeunesse de l’Union Sacrée de la Nation se réunira en plénière avant d'évaluer l'activité et lever l'option d’un soutien favorable ou non, par un point de presse, à cette proposition de loi qui fait jaser. La Pros.
Au cours d’un entretien accordé à La Prospérité, Bergy Lokole, Cadre du parti politique Alliance des Congolais pour le Renouveau, ACR en sigle, a réitéré son soutien indéfectible aux actions du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. C’était au cours d’une cérémonie de sortie officielle du regroupement politique Association des Acteurs Attachés aux Peuples (AAAP), qui a eu lieu jeudi 1er juin 2023, dans la salle de spectacle Show Buzz située sur l’avenue Colonel Mondjiba, dans la commune de Ngaliema. Dans son mot, cet acteur politique a fait comprendre, d’emblée, l’idée majeure qui hantait des responsables des partis politiques qui fondent cette méga plateforme politique. Cette coalition politique entend soutenir les actions du Chef de l’Etat, afin de lui permettre d’avoir un second mandat avec une majorité écrasante aux Assemblées nationale et provinciale pour les échéances électorales qui s’annoncent à l’horizon. Poursuivant ses dires, cet acteur politique a encore fait savoir que les actions de ce mouvement politique ne se fondent pas sur les discours ainsi que sur les paroles démagogiques mais, au contraire, elles tirent fondement dans une logique bien tracée. Cette logique est, a-t-il dit, déterminée par la vision du Président de la République qui, depuis son élection en 2018, veut que le Congo soit démocratique, uni et prospère : « Pour qu’un pays puisse atteindre l’idéal, il ne doit pas se positionner au niveau des discours mais plutôt, il doit se positionner dans la matérialisation d’une vision partagée par tous. Cette plateforme politique a pris donc l’initiative de se placer à côté de l’histoire », a-t-il dit. Ainsi, il a adressé une demande à toute la population congolaise pour accorder les actions du Président de la République et pour lui donner un second mandat car, dit-il, ensemble, nous pouvons faire quelque chose. Hénoc Akano
Ancien ministre des sports et loisirs, Serge Nkonde, a décidé de quitter le parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) du sénateur à vie Joseph Kabila et rejoint le parti Avenir du Congo (ACO), une formation politique membre de l’Union sacrée. Son adhésion au sein de ce parti cher à Dany Banza Maloba, ambassadeur itinérant du Chef de l’Etat, est intervenue jeudi 31 mai à Lubumbashi. Élu député national dans la province du Haut-Katanga au PPRD, Serge Nkonde n’est pas à présenter dans la scène politique congolaise. En présence de plusieurs cadres parmi eux, le secrétaire provincial exécutif de cette formation politique, Serge Nkonde a posé sa signature et son identité dans la fiche d’adhésion. Après cette étape, il a reçu des effigies et d’autres objets de l’Avenir du Congo (ACO) qui est un parti qui soutient la vision du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi. Après les autres, comme Tunda ya Kasende, Evariste Boshab etc., Serge Nkonde officialise son attachement à la famille politique du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, pour qui d’ailleurs il est appelé à travailler pour l’obtention d’un deuxième mandat. Eunice Maleka
Le Professeur Docteur Noël Tshiani Mudia Mvita, Président de ‘’La Force du Changement’’, a été, samedi 3 juin, dans la salle haute de l’immeuble Gracia, situé sur l’avenue Victoire à Matonge, l’invité de marque de la Jeunesse de l’Union Sacrée de la Nation, JUSN en sigle. JUSN est une fédération des jeunes issus de tous les partis de l’Union Sacrée de la Nation que coordonne, d’une tête bien posée sur les épaules, M. Patrick Kalonji Tshilombo. Ce dernier représente au sein de la dite jeunesse son parti ADECO, Alliance des Démocrates Congolais, du patriarche Jonas Mukamba Kadiata Nzemba, dont il est le Secrétaire Général. Il était question pour l’auteur de la loi dite ‘’de père et de mère’’ d’éclairer la lanterne des jeunes de l’Union Sacrée de la Nation sur le bien-fondé de sa proposition qui se trouve déjà à l’heure actuelle sur la table du bureau de l’Assemblée Nationale de la République Démocratique du Congo. Dans son exposé qui a été riche en explications et en dissipation de zones d’ombre, le Professeur Noël Tshiani a réussi à démontrer noir sur blanc les avantages liés à sa proposition de loi sous les trois rapports de la sauvegarde de la République, de la souveraineté nationale et de l’intégrité du territoire. En plus de la Présidence de la République, Noël Tshiani a évoqué plusieurs autres postes qu’il souhaite exclusivement réservés aux congolais nés de père et de mère. Parmi eux, il a cité, à titre indicatif, la Présidence du Parlement, celle du Sénat, la Primature, les ministères à prérogatives régaliennes (Finances, Justices, Affaires Etrangères, Intérieur…), le Haut Commandement de l’Armée, celui de la Police Nationale, la Direction Générale de l’Agence Nationale des Renseignements, la Direction Générale des Migrations, les Hauts magistrats de la République, le Premier Président de la Cour constitutionnelle, le Président de la CENI, les Gouverneurs des provinces, celui de la Banque centrale, les Ambassadeurs, sans oublier leurs épouses respectives. La question de Fiston Opotha Djome, Président national de Mouvement des Jeunes Conscients, MJC, ayant fait mention du cas de Mamadou Ndala, ce 50% ouest-africain, 50% congolais, mort sous le drapeau pour la cause de la RDC, a permis au Professeur Tshiani de trouver un exemple éloquent en faisant allusion à sa bravoure qui l’a amené jusqu’au sacrifice suprême, en guise de démonstration de son amour en faveur de son Congo maternel, Congo pour lequel il a lutté sans avoir conditionné sa lutte à un quelconque besoin d’occuper un poste de souveraineté. Dans ce même ordre d’idées, allusion faite aux conflits de sol qui exposent la République Démocratique du Congo au Rwanda, Noël Tshiani a évoqué le cas hypothétique d’un Haut Commandant de l’Armée congolaise qui serait de père rwandais et de mère congolaise ou vice-versa et a démontré noir sur blanc les difficultés auxquels il serait exposé pour décider. Foi sur sa démonstration, ce haut gradé militaire serait mis dans une situation des conflits d’intérêts, de contrariété voire de loyauté partagée entre les deux Etats. Sans aucune intention de vouloir faire de sa loi une application à sa propre personne, Noël Tshiani invite tous les autres congolais de père ou de mère à bien vouloir s’inspirer du cas du Colonel Mamadou Ndala, en regardant vers le bon côté de la chose, selon l’amour qu’ils doivent avoir pour la République Démocratique du Congo au même titre que celui que la République Démocratique du Congo a pour eux en tant que congolais. L’auteur de la loi de père et de mère reconnait l’existence en République Démocratique du Congo de pas mal de congolais issus de diverses combinaisons depuis l’époque de Bisengimana, ex-directeur de Bureau du Maréchal Mobutu qui profita de son haut rang pour larguer des rwandais dans des instances de prise de décision de l’ex-Zaïre où ils ont réussi à faire des millions d’enfants avec des femmes zaïroises. A ajouter à cela les rwandais, burundais et ougandais amenés au pays par la rébellion de l’AFDL pour combattre les Forces Armées Zaïroises et qui ont eux aussi, à leur tour, fait des enfants avec des femmes congolaises. C’est sans oublier les enfants laissés par des soldats angolais et zambiens auxquels le pays fit recours pour combattre les armées rwandaises, burundaises et ougandaises ci-haut évoquées, devenues indésirables. Noël Tshiani n’a pas ignoré le cas des enfants procréés sur le sol congolais par des casques bleus en convenance avec des femmes congolaises. Sa liste serait inachevée si on ne citait pas cette autre catégorie d’enfants nés des liaisons amoureuses entre les ouest-africains, voire les libanais, et les jeunes filles congolaises. Il y a aussi le cas des apatrides, allusion faites aux citoyens sans patrie retrouvés sur le sol congolais qu’il n’a pas laissé passer inaperçus. La loi Tshiani, selon son auteur, n’est pas venue refuser à ces ‘’enfants’’ la nationalité congolaise. A contrario, elle est tout simplement venue les préserver de l’embarra auquel ils pourraient être exposés un jour, une fois élevés à l’un des postes de souveraineté ci-haut évoqués. A mieux l’examiner, la loi Tshiani, loin d’être contre cette catégorie de congolais, elle est plutôt venue les aider à mener leur vie en toute tranquillité dans une République Démocratique du Congo où ils peuvent par exemple servir le pays comme hommes d’affaires, Professeurs d’Université, Colonel de l’armée et pourquoi pas à la tête d’un Ministère quelconque, parmi ceux qui ne sont pas régaliens. Il est question, foi sur la ‘’dite’’ loi, de protéger la République, sa souveraineté nationale ainsi que son intégrité territoriale qui doivent être assumées, de manière exclusive, par un congolais de père et de mère en faveur à la fois des congolais de père et de mère et ceux de père ou de mère. Le fait pour ces derniers de ne pas occuper des postes de souveraineté ne leur interdit pas d’être des congolais, encore moins de vivre en toute quiétude sur un sol congolais où pullulent plusieurs autres occupations. Il faut souligner que Noël Tshiani a tiré son inspiration dans l’article 72 de la Constitution congolaise où il est question de l’éligibilité aux postes de souveraineté que la ‘’dite’’ Constitution affirme être exclusivement réservée aux seuls congolais, de père et de mère. Foi sur le fils d’Edouard Tshiani, ce sont le belligérants, RCD, MLC et autres, lors de l’accord de Sun City qui ont biffé dans la constitution congolaise, pour leurs intérêts propres, la mention ‘’de père et de mère’’. Pour la petite comparaison qui ne serait pas ‘’sans raison’’, il y a lieu de souligner que la RDC n’est pas le seul pays au monde dans cette affaire de père et de mère. Il existe à l’échelle africaine la Zambie, le Maroc, la Tunisie, l’Algérie et l’Egypte. Ce dernier bat le record en allant même jusqu’à la 4e génération. ‘’Si Mamadou Ndala était en vie, bien que congolais seulement de mère, il aurait saisi le bien-fondé de cette loi de père et de mère, vu le grand amour qu’il avait pour la RDC’’, parole de foi du Professeur Noël Tshiani, allusion faite à ces autres 50% congolais qui ne veulent absolument rien comprendre. Ce qui rappelle un peu le cas de sa propre présence parmi les jeunes de l’Union Sacrée de la Nation, Union à laquelle n’appartient pas son parti politique : La Force du Changement. Ce fait ne les a pas empêchés d’échanger en vue du bien-être de la Nation. ‘’La RDC, c’est ce que nous avons en commun en dehors de tous ces petits clivages’’, a-t-il fait savoir. La loi Tshiani dans son deuxième volet C’est dans cet ordre d’idées qu’il y a lieu d’évoquer le 2e volet de la loi Tshiani dont on parle peu. Il s’agit des congolais de double nationalité qui sont en train de subir jusqu’ici les prescrits de l’article 10 de la Constitution qui stipule : la nationalité congolaise est une et exclusive. Pour le Professeur Noël Tshiani, cet article de la Constitution a valu à la RDC de perdre à peu près 7 millions de Congolais. C’est pendant que ces derniers constituent des ressources humaines très importantes avec de bonnes études faites et du bon travail à l’étranger qu’elles peuvent venir mettre au service de la RDC, pour autant qu’on leur reconnaisse la nationalité congolaise. Noël Tshiani parle d’eux comme étant des enfants perdus qu’il y a lieu de récupérer sur base d’une révisitation de cet article 10 de la Constitution. Il propose par là le principe de l’irrévocabilité de la nationalité congolaise, lequel permettra à la RDC de récupérer ces 15 millions de Congolais, à larguer dans le domaine des investissements. Au regard de ce nouvel article 10, Noël Tshiani trouve qu’un congolais peut avoir une double nationalité avec n’importe quel pays du monde, sauf avec ceux avec lesquels nous partageons les mêmes frontières, de peur qu’une fois élevé à un poste de souveraineté, comme souligné ci-haut, il ne sache pas trancher sur les conflits de sol, le cas échéant. Au-delà de ses échanges avec les jeunes de l’Union Sacrée de la Nation, Noël Tshiani a eu des mots sans équivoques pour remercier l’honorable N’singi Pululu d’avoir accepté de faire parvenir sa proposition de loi de père et de mère sur la table du Bureau de l’Assemblée nationale. Il a parlé de sa coïncidence avec la veille des élections comme ayant été fonction de la lenteur administrative au niveau de la Chambre basse du Parlement. Ses propos faisant foi, sa proposition de loi date de juillet 2021, pendant que sa position, il la maintient jusqu’ici. Pour tout celui qui peut croire que c’est à lui que s’adresse sa proposition de loi, Noël Tshiani, sans faire allusion à qui que ce soit, promet avec ce dernier un débat télévisé. Au sujet de sa candidature à l’élection présidentielle, il a affirmé qu’il ne l’annoncera qu’aussitôt après que sa proposition de loi aura été adoptée’’. Sans faire naufrage par rapport à sa foi, Noël Tshiani croit en même temps qu’il pourra arriver que cette proposition de loi soit l’objet d’une non-adoption au niveau de l’Assemblée nationale. Au regard de cette éventualité, Noël Tshiani a prévu un plan B : C’est le référendum. La JUSN promet d’accompagner la loi Tshiani dans toutes les provinces de la RDC Dans l’attente de leur sortie officielle prévue pour très bientôt, les jeunes de l’Union Sacrée de la Nation, sous la houlette de leur coordonnateur Patrick Kalonji, se déclarent déterminés à accompagner la loi Tshiani à travers toutes les provinces de la République Démocratique du Congo. La Jeunesse de l’Union Sacrée de la Nation, faut-il le souligner, a un bureau bien organisé qui a été présenté en marge de leur entretien avec le Professeur Tshiani. Ci-après sa composition : Patrick Kalonji Tshilombo, son Coordonnateur, qui n’est plus à présenter ; Hervé Mpela, son assistant ; Chançard Ngiama, Secrétaire ; Francis Kumu, Trésorier ; Thierry Tshimbombo Mukuna : porte-parole et chargé de communication ; Greg Kitenge Yezu, personnalité politique. Saint-Germain Ebengo
S’étant rendu compte que le Chef de l’Etat a la volonté manifeste et l’engagement irréversible d’organiser cette année 2023, des élections démocratiques, transparentes, libres et apaisées ; les membres du regroupement politique dénommé l’Alliance des Acteurs Attachés au Peuple (AAAP) ont décidé de se mettre ensemble et se mobiliser en vue d’atteindre l’objectif primordial qu’ils se sont fixé : donner un deuxième mandat au Président de la République Félix Tshisekedi. Le jeudi 1er juin 2023, dans la grande salle des spectacles Showbiz situé sur l’avenue colonel Mondjiba, en face du complexe commercial UTEX-AFRICA archicomble. Cadres et militants des partis, ceux des mouvements associatifs, ainsi que des personnalités indépendantes membres de l’AAAP étaient tous présents à la cérémonie de la sortie officielle de leur méga regroupement politique. Regroupant en son sein plus de 62 partis politiques, tous très motivés et déterminés à donner un second mandat au Président Félix Tshisekedi Tshilombo, lesdits membres ont signé leur acte d’engagement en présence du Haut représentant de l’autorité morale du regroupement, Tony KankuShiku. S’adressant à l’assistance, ce dernier a, rappelé que leur initiative s’inscrit dans le cadre de l’objectif visant à donner un second mandat présidentiel à l’actuel Chef de l’Etat. « Nous nous rendons compte que le chef de l’Etat a la volonté manifeste et l’engagement irréversible d’organiser cette année des élections démocratiques, transparentes, libres et apaisées. Et nous, membres de l’AAAP, nous avons décidé de nous mettre ensemble pour faire face à ces exigences électorales », a déclaré Tony Kanku. Sur cette même lancée, l’orateur a enchainé que « AAAP est un regroupement politique qui compte aujourd’hui 62 partis politiques, avec plusieurs réseaux d’associations et organisations de la société civile et de hautes personnalités politiques ». Le Haut représentant de l’autorité morale a lancé invité les Congolais à « se ranger comme un seul homme derrière le chef de l’État, pour son bien-être ». A la clôture de la cérémonie, plusieurs partis politiques, à l’exemple de : Alliance pour les Actions Citoyennes (AAC) d’Evariste Boshab ; Alliance pour le Progrès du Congo de Henriette Wamu ou l’Alliance des Congolais pour le Renouveau de Jacques IkungMbul, ont signé l’acte d’engagement de soutient à Félix Tshisekedi lors de la présidentielle du mois de décembre 2023. Au regard de l’affluence de la population à la cérémonie du jeudi 1er juin dernier, on peut affirmer que Tony Kanku a réalisé le plein. Il faudra compter avec l’AAAP aux prochaines échéances électorales. (Avec Le Libre Débat)