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Présente lors du plus attendu dépôt de candidature, UVT : Clarisse Baby Mwika pour la réélection de Félix-Antoine Tshisekedi à la magistrature suprême

Clarisse Baby Mwika est Vice-Présidente Nationale en charge de la Communication, implantation et idéologie de l’UVT, Union pour les Valeurs Tshisekeistes, un parti politique à la fois membre de l’Union Sacrée pour la Nation et défenseur des valeurs laisées par Feu Docteur Etienne Tshisekedi Wa Mulumba qu’ils considèrent comme seul modèle pour le développement intégral de la République Démocratique du Congo.

Sa présence dans les parages de la CENI, samedi 7 octobre dernier, parmi la foule venue nombreuse pour accompagner et soutenir la candidature du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, à la Présidencielle 2023, se justifie par leur choix porté sur ce dernier comme leur unique candidat à la ‘’dite’’ élection.

Dans sa brève intrerview accordée au journal La Prospérité, présent sur le lieu, Clarisse Mwika s’est présentée elle-même comme triple candidate aux élections législatives : Nationales, provinciales et municipales, dans la même liste que le Chef de l’Etat en exercice, allusion faite à Félix-Antoine Tshisekedi.

‘’Je suis moi-même triple candidate : aux élections législatives nationales pour le compte de la circonscription de Tshangu, aux législatives provinciales pour celui de la circonscription de Kimbanseke, ainsi qu’aux municipales, comme Conseillère communale au sein de la sus-évoquée commune’’, a-t-elle souligné avant de parler en bref de la raison d’être de leur présence massive au siège national de la centrale électorale congolaise.

‘’Nous sommes venus accompagner et soutenir la candidature du Président Félix-Antoine Tshisekedi sur qui nous avons porté notre choix comme notre unique candidat à la présidentielle 2023, lors de notre tout premier Congrès’’, a-t-elle expliqué noir sur blanc.

Ayant tiré parti de cette occasion qui s’est offerte, la VPN de l’UVT a trouvé des mots qui ne trompent pas pour prier la population électorale congolaise de bien vouloir arrêter de somnoler au sujet de la tenue bel et bien, qu’il pleuve ou qu’il neige, des élections à la date du 20 décembre prochain.

‘’Je demande à la population congolaise d’arrêter de somnoler, car le processus électoral est bel et bien une réalité. Ils ont donc intérêt à aller voter et faire de bons choix en vue du renouvellement de la législature congolaise’’, parole de la potentielle co-occupante de la Chambre basse du Parlement de la République Démocratique du Congo.

Clarisse Mwika reconnait en ces élections sous expectatives le mérite d’être à la fois crédibles et organisées dans un délai constitutionnel qui, à l’en croire, devra donner lieu à l’ouverture d’un deuxième mandat en faveur du Chef de l’Etat en exercice, Félix-Antoine Tshisekedi. Ses bonnes œuvres accomplies durant son premier mandat, foi sur ses propos, se révèlent riches en espérance pour le futur de la République Démocratique du Congo.

Saint-Germain Ebengo

 

 

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Inauguration du Centre de Négoce de Musompo à Kolwezi : l'essor de la filière cupro-cobaltifère en RDC

*Un pas de plus vers l'approvisionnement responsable des minerais de production artisanale.

Une avancée significative pour le secteur minier en RDC

Le 5 octobre 2023, Mme la Ministre des Mines, Antoinette N'SAMBA KALAMBAY, a prononcé un discours lors de l'inauguration du Centre de Négoce de Musompo à Kolwezi, en présence de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l'Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Cette cérémonie marque une étape majeure dans le développement de la filière cupro-cobaltifère artisanale en République Démocratique du Congo (RDC).

L'inauguration de ce centre de négoce, qui sera opérationnel dès ce jour, est le fruit des efforts conjugués du Président de la République et du Gouvernement provincial du Lualaba, sous la houlette de Madame la Gouverneure Fifi Masuka Saïni. Ce projet vise à assurer la traçabilité des minerais et garantir les conditions socio-environnementales de leur production artisanale, tout en facilitant leur accès aux marchés internationaux.

Un ambitieux projet au service des exploitants artisanaux

Le Centre de Négoce de Musompo constitue un maillon essentiel de la chaîne d'approvisionnement responsable des minerais. Il souligne la volonté du gouvernement congolais d'éliminer les intermédiaires véreux, de fixer des prix justes afin d'améliorer les revenus des exploitants artisanaux, et de mobiliser des recettes fiscales équitables.

Il permet également d'évacuer les dépôts informels de minerais le long des routes, contribuant ainsi à assainir le secteur.

Par le biais du Centre de Négoce de Musompo, les coopératives minières pourront commercialiser directement leurs produits, sans passer par des intermédiaires douteux. De plus, le laboratoire du CEEC, installé au sein du centre, permettra d'évaluer avec précision les teneurs réelles des minerais et de déterminer leur taux d'humidité, résolvant ainsi une problématique majeure de l'industrie minière.

Une gestion rigoureuse et une collaboration étroite

Le discours de Madame la Ministre des Mines souligne également l'importance d'une gestion rigoureuse du Centre de Négoce de Musompo. Sa gestion patrimoniale, assurée par la Province du Lualaba, consistera à entretenir les infrastructures et à assurer leur maintenance. La gestion technique, quant à elle, sera confiée aux services techniques du Ministère des Mines, qui veilleront au respect des normes nationales, régionales et internationales de traçabilité.

Mme la Ministre exhorte les différentes structures administratives et techniques à travailler de concert pour conserver les infrastructures en bon état et assurer des prestations techniques conformes aux exigences de la chaîne d'approvisionnement responsable des minerais de la filière cupro-cobaltifère.

Un espoir pour les exploitants artisanaux

Plus de 200 000 exploitants artisanaux opèrent dans la filière cupro-cobaltifère artisanale en RDC. Cependant, de nombreux défis les empêchent de tirer une juste rétribution de leur travail, les confinant à des conditions de vie sous le seuil de pauvreté.

Le Centre de Négoce de Musompo offre une lueur d'espoir pour ces exploitants artisanaux en éliminant les intermédiaires véreux, en garantissant des prix équitables et en améliorant les revenus. C'est une opportunité pour les coopératives minières de canaliser leurs produits vers ce marché structuré, favorisant ainsi leur essor économique.

L'inauguration du Centre de Négoce de Musompo à Kolwezi marque un véritable tournant dans le secteur minier congolais. Ce projet ambitieux, impulsé par le Président de la République et soutenu par le Gouvernement provincial du Lualaba, renforce la traçabilité des minerais et favorise l'approvisionnement responsable des grandes entreprises mondiales.

C'est grâce à la collaboration étroite entre les autorités nationales et provinciales ainsi qu'à une gestion rigoureuse que le Centre de Négoce de Musompo pourra contribuer efficacement à l'essor de la filière cupro-cobaltifère artisanale en RDC, et offrir de meilleures conditions de vie aux exploitants artisanaux.

A travers ce projet, la RDC consolide sa place en tant que fournisseur responsable de minerais sur la scène internationale. La réputation du pays en matière de respect des normes socio-environnementales et de traçabilité des minerais se voit ainsi renforcée, ouvrant de nouvelles perspectives économiques pour l'avenir du secteur minier congolais.

Célestin Lubo

 

 

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Environnement et Développement Durable , Eve Bazaïba lance les travaux du Comité Consultatif sur la mobilisation des ressources en faveur de la Biodiversité

*Eve Bazaïba, la Ministre d'Etat, Ministre de l'Environnement et du Développement durable, a officiellement lancé ce lundi 25 Septembre 2023, la première réunion du Comité Consultatif sur la mobilisation des Ressources en faveur de la Biodiversité.
Le principe du "Cadre mondial sur la biodiversité" adopté à l'issue de la 15ème Session de la Conférence des Parties à la Convention -Cadre des Nations Unies sur la Diversité Biologique (COP15) tenue en décembre 2022 à Montréal au Canada, prévoyait outre la restauration d'au moins 30% des écosystèmes terrestres et maritimes d'ici 2030, la création sur demande de la RDC, d'une nouvelle branche de financement dédié à l'application de cet accord historique de kunming-Montréal.
Ainsi, Eve Bazaïba Masudi qui a donné le go de ces assises de 5 jours à Kinshasa, a souligné dans son speech que cette rencontre constitue une voie de solution à la problématique du financement de ce Cadre mondial tel que décidé à Montréal.
Eve Bazaïba a également plaidé en faveur de la mise sur pied d'une stratégie par excellence de mobilisation des ressources fondée sur la base d'un partenariat public-privé novateur en vue de financer la préservation et la conservation de la biodiversité.
David Cooper, Secrétaire exécutif du Comité consultatif, a pour sa part, précisé que tout au long de ce processus, il serait mieux de comprendre les perspectives uniques et distinctes. Il dit privilégier le partenariat Nord-sud notamment la création d'un objectif commun entre les pays développés et en voie de développement d'une part, et entre la société civile, les peuples autochtones et les communautés locales, les entreprises, les femmes, les jeunes et les autres parties prenantes d'autre part à l'horizon de la tenue de la COP16.
Pour COOPER, l'organisation de cette réunion en RDC reflète l'importance que le pays accorde à la mobilisation des ressources en faveur de la Biodiversité. À Montréal rappelons-le, les négociations avaient été marquées par un long marchandage entre le Nord et le Sud : plus d'ambitions écologiques en échange de plus de subventions internationales.
Au final, le texte avait approuvé l'objectif pour les pays riches de fournir au moins 20 milliards de dollars par an d'ici 2025 et au moins 30 milliards de dollars par an d'ici 2030.
En outre, tirant les enseignements de l'échec de l'accord de 2010 à Aichi au Japon sur la planification commune, les pays à la COP15, avaient adopté le mécanisme de planification et de suivi commun avec des indicateurs précis.
(Avec la Cellcom/MEDD)

 

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Kinshasa : tête-à-tête Denise Nyakeru et l'envoyée spéciale du président de la Commission de l'Union africaine Bineta Diop

La Première dame de la République Denise Nyakeru Tshisekedi a reçu dans son cabinet de travail, Benita Diop, l'envoyée spéciale du président de la Commission de l'Union africaine, le jeudi 31 décembre 2023. Les deux personnalités ont passé en revue différentes réalisations de la Première dame en faveur de la RDC notamment, dans le domaine de la santé; à travers la prise en charge des drépanocytaires ainsi que son implication dans la lutte contre cette maladie grave qui affecte mais culturellement impacte la vie des femmes.
La lutte contre les violences faites aux femmes, en particulier l'initiative du Fonarev. Une action très appréciée par Bineta Diop. L'envoyée spéciale du président de la Commission de l'Union africaine a souhaité même que ce modèle soit répliqué dans d'autres pays africains.
«J'ai eu le privilège de recevoir madame Bénita Diop, envoyée spéciale du Président de la Commission de l'Union Africaine en visite à Kinshasa, qui conduisait la délégation de cette institution en charge de la question des femmes, paix et sécurité. Nos échanges ont porté sur les initiatives visant à promouvoir la femme africaine à travers l'éducation, l’accès aux soins de qualité, l'autonomisation et la lutte contre les violences basées sur le genre. Je lui ai présenté les avancées législatives réalisées par notre pays faisant suite à mon plaidoyer pour l'adoption de la Loi 22/065 du 26.12.2022 et la mise en place du Fonds National des Réparations des Victimes des violences sexuelles liées aux conflits et des victimes des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité (FONAREV)», a indiqué la première dame de la RDC.
Par ailleurs, Bineta Diop a jeté des fleurs sur l'engagement de Denise Nyakeru Tshisekedi au niveau de l'OPDAD.
Elle a souhaité que le travail et les initiatives des Premières Dames d'Afrique soient démontrés afin de permettre aux Premières dames d'accompagner leurs époux au niveau de l'Union africaine.
Bineta Diop a aussi plaidé pour l'implication des femmes à la table des négociations pour une paix durable. La femme congolaise devra participer en plus grand nombre dans la prise des decisions.Pour ce faire, elle a appelé l'épouse du Chef de l'Etat à prendre des initiatives avec les partis politiques mais aussi avec le Président de la République pour plus de représentation des femmes dans ce domaine.
Cette délégation de l'Union africaine a prévu une descente à Goma dans le cadre de sa mission en faveur de la femme.
La Pros.

 

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RDC : Irène Esambo met le cap sur la valorisation des personnes vivant avec handicap

Le ministère en charge des personnes vivant avec handicap et autres personnes vulnérables organise, du 22 au 24 août 2023, à Kinshasa, une rencontre au sujet de l’inclusion sociale des PVH et APV. Le but principal de ces assises est l’analyse du contenu et des approches de la mise en œuvre des ministères sectoriels, ceux de la société civile, des OPH et autres parties prenantes sur terrain, en ce qui concerne l’élaboration des grandes lignes gouvernementales pour l’amélioration des conditions de vie des PVH & APV. Pour cette première journée, le mardi 22 août, ces assises ont connu la participation de la ministre Irène Esa mbo Diata, ainsi que des représentants des structures de PVH au niveau des provinces.
Pour circonscrire le cadre, Mme la ministre de tutelle a laissé entendre que : « Le secteur des handicapes est à l’étape de la construction. Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, a donné cette vision d’inclusion sociale des personnes vivant avec handicap, mais il faut que nous puissions doter ce secteur de tout ce qui a comme document stratégique en terme de politique d’actions, et de stratégies pour répondre à la question de savoir comment nous allons procéder pour attendre l’inclusion sociale voulue par le Président de la République dans le domaine des personnes vivant avec handicap », a expliqué Mme la ministre. Elle a également fait comprendre l’importance d’un accent particulier qui doit être mis sur la situation des personnes atteintes d’albinisme, «Parce que c’est une catégorie sociale qui a été longtemps oubliée». Pour elle, en effet, il n’y a pas de politique quant à cette situation. «Il y a rien qui oriente les actions du Gouvernement pour leur prise en compte, mais alors aujourd’hui nous sommes ici avec les gens venus des provinces mais aussi de Kinshasa, nous avons les ministères sectoriels représentés par leurs experts désignés, et nous sommes en train d’analyser les ébauches qui ont été produites par le ministère en charge des personnes vivant avec handicap, albinisme, avec l’appui du consultant qui est pris par la banque mondiale. Tout ce document va être analysé en profondeur et validé avant que nous puissions le mettre à la disposition de tous les acteurs qui interviennent dans le domaine des handicapés», a restitué Mme la ministre des PVH.
La ministre a, par ailleurs, rappelé l’importance que revêt le document sur la politique Nationale de promotion et protection de droit des personnes vivant avec handicap. «C’est un document très stratégique parce que ça vient a l’appui de la loi organique qui a été adoptée et promulguée par le Président de la République en 2022 : donnant ainsi des principes sur comment nous pouvons faire pour arriver à bannir la discrimination fondée sur l’handicap», a expliqué la ministre Irène Esambo, qui a du reste souligné que cette loi donne aussi des principes à suivre pour arriver réellement à inclure des personnes avec handicap dans la société.
Grâce Daro

 

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