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Augustin Kabuya face au premier groupe de jeunes de l'UDPS pour intégrer les FARDC

Le Président de la République et Haute Autorité Politique de Référence de l'Union Sacrée de la Nation, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a réuni, le samedi dernier, les membres du présidium, les Députés nationaux, les Sénateurs, les Gouverneurs, les membres du Gouvernement, les Présidents des Assemblées provinciales ainsi que les chefs des partis et regroupements politiques membres de l'Union Sacrée de la Nation. Parmi les recommandations que le Président Tshisekedi leur avait données, figure, entre autres, la mobilisation de la jeunesse aux opérations de recrutement volontaire lancées par les FARDC.

De la parole à l'acte, le Secrétaire Général et Président intérimaire de l'UDPS/Tshisekedi, l'honorable Augustin Kabuya a réuni mercredi 26 février 2025, devant le siège national de Limete 11ème rue, le premier groupe des jeunes de son parti qui se sont portés volontaires au service militaire.

Il était question pour le numéro 1 de l'UDPS/Tshisekedi de les féliciter et de les encourager pour avoir répondu favorablement au mot d'ordre du Président de la République.

Dans son speech, Augustin Kabuya a aussi exhorté les jeunes de toutes les provinces du pays à se faire enrôler dans l'armée afin d'assurer une représentativité suffisante de toutes les tribus et lutter contre les infiltrations étrangères au sein des FARDC.

L'occasion faisant le larron, il a abordé la question relative au message faisant état de la discrimination des swahiliphones à Kinshasa. Pour le Président intérimaire de l'UDPS, il s'agit d'une propagande initiée par Paul Kagame et relayée par certains religieux après avoir échoué sur celle de la supposée discrimination des Banyamulenge en RDC. Pour ceux qui ne le savent peut-être pas, le Ministre d'État en charge des Infrastructures et Travaux publics est Munyamulenge. Pour une petite histoire, ce dernier a été élu Député national sur la liste de l'UDPS/TSHISEKEDI, au terme des législatives nationales de décembre 2023, avant d'être proposé au gouvernement toujours par l'UDPS/Tshisekedi.

Dans la même lancée, le SG Augustin Kabuya a indiqué qu'il a lui-même dans son entourage plusieurs collaborateurs issus de l'espace Swahiliphone. Il s'agit du Secrétaire National de l'UDPS/Tshisekedi en charge de la Communication, Clément Baruti nommé par ordonnance présidentielle, Membre du Conseil d'Administration à l'OCC, de son assistante madame Faida Biringanine Alphonsine, de la Présidente fédérale de l'UDPS/Tshisekedi UVIRA, madame Francine Mwangaza qui, tous, étaient d'ailleurs présents à cette activité et, comme un seul HOMME, ont, séance tenante, rejeté formellement cette fausse thèse de maltraitance des swahiliphones.

Signalons, cependant, que la liste de collaborateurs du Chef de l'administration du parti présidentiel n'est pas exhaustive. Parmi ceux qui étaient absents à  cette activité, on peut citer le Député National, PCA de l'OGEFREM et Président de la ligue des jeunes de l'UDPS/Tshisekedi, l'honorable Adolphe AMISI MAKUTANO, le Secrétaire National et Administrateur à la SONAHYDRO Léon ZINDULA, le Secrétaire National Victor OKITOKOMA et le Sénateur Idrissa AFANI.

Prenant la parole à son tour pour étayer les propos de son chef, le Secrétaire National Clément Baruti a rappelé que le poste de VPM en charge de l'intérieur au sein du gouvernement, ceux de Directeur de Cabinet du Chef de l'État, du Président de l'Assemblée nationale, du Président du Sénat , du 2ème Vice-président du sénat, du Questeur Adjoint du Sénat, du Chef d'état-major Général des FARDC, du Chef de la DGM, du VPM de Plan, du Chef de la garde Républicaine sont assumés par des swahiliphones.

Partant de cette réalité, Augustin Kabuya s'est posé la question de savoir si Paul Kagame a ses propres swahiliphones qu'il veut imposer aux congolais ou encore qu'il nous indique avec des détails nécessaires des Swahiliphones qui sont maltraités à Kinshasa. Ces questionnements viennent juste d'attester que le fait pour certains parmi nos compatriotes de relayer ce message de discrimination, l'ennemi Paul Kagame a décidé d'user de la ruse pour diviser les Congolais par le canal de son armée numérique déployée sur les réseaux sociaux.

Il sied de noter que c'est par une belle ambiance que l'activité de ce jour a pris fin. Toute porte à croire que dans les prochains jours, les autorités compétentes vont mettre les bouchées doubles pour assurer l'évacuation des jeunes volontaires présentés ce jour vers les centres d'encadrement militaires.

Jackson Mutamba

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LE MDCO RENOUVELLE SON ENGAGEMENT AUX CÔTÉS DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE ET SOUTIENT LES FORCES ARMÉES DE LA RDC

Kinshasa, le 26 Février 2025

Depuis le début du mandat de Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Mouvement des Démocrates Congolais (MDCO), sous la présidence de l’Honorable Gabriel Mokia, n’a cessé d’apporter son soutien indéfectible aux actions du Chef de l’État en faveur du développement et de la stabilité de notre pays.

Aujourd’hui, alors que nos vaillantes Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) mènent un combat noble pour défendre l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale, le MDCO réaffirme sa loyauté envers la Nation toute entière et exprime sa solidarité totale avec nos soldats qui se battent pour notre sécurité.

Dans cette optique, le MDCO a décidé de remplacer les grandes enseignes datant de la période électorale par un visuel de soutien aux FARDC, mettant ainsi en avant l’engagement patriotique du parti et de son président envers ceux qui protègent la République sous le leadership du Chef de l’État.

Le MDCO invite toutes les forces vives de la Nation à se joindre à cet élan de solidarité et à témoigner leur soutien aux FARDC, garantes de notre liberté et de notre avenir commun.

Que vive la RDC !

Que vivent nos Forces Armées !

Que vive le MDCO !

La Cellule de Communication du Mouvement des Démocrates Congolais CCMDCO

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Sortie médiatique de l'ancien Chef de l'Etat congolais, UDPS : Augustin Kabuya  s'insurge contre les propos de Joseph Kabila

 La dernière sortie médiatique du Président honoraire Joseph Kabila a poussé Augustin Kabuya à dénoncer le soutien de l'ex- Président aux rebelles du M23. Augustin Kabuya, secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, a réagi vivement ce lundi 24 février 2025, aux accusations de Joseph Kabila. Augustin Kabuya dit que l’ex-Président  n’est pas la bonne personne pour donner des leçons aux congolais sur les préjudices causés pendant son règne.

Joseph Kabila avait critiqué le gouvernement de Félix Tshisekedi concernant les revendications des terroristes du M23. Augustin Kabuya estime que ces déclarations confirment que Kabila a toujours soutenu les terroristes. “Joseph Kabila sort enfin de son silence et dévoile son vrai visage. En dehors de la violence et des armes, il n’a jamais su faire de la politique démocratique.

Il sait bien que si des élections se tenaient aujourd’hui, personne ne voterait pour lui ou pour ses alliés, vu tout ce qu’ils ont fait”, a déclaré Augustin Kabuya.

Kabuya a également réagi aux accusations de Kabila concernant le musèlement de l’opposition par le gouvernement actuel.

Selon lui, Kabila n’a pas le droit de parler de démocratie. “Est-ce qu’un homme comme Kabila, qui a tant de sang sur les mains, peut parler de démocratie ? Dans sa tribune, Joseph Kabila a fait observer que la crise actuelle en RDC remonte à 2021, et est multidimensionnelle. "C’est une crise sécuritaire et humanitaire, mais surtout une crise politique, sociale, morale et éthique. Cet aspect est minimisé, voire ignoré, par les pays et organisations partenaires de la RDC, y compris la SADC", avait déclaré le Président honoraire, qui estime que la SADC devrait mieux comprendre la situation. "Les revendications du peuple congolais contre son Gouvernement doivent être prises en compte", dixit Joseph Kabila. Peut-il même aller discuter calmement avec la famille de Floribert Chebeya ? Kabila se cachait derrière le système électoral de Nangaa”, a ajouté Augustin Kabuya.

Dans son interview, Joseph Kabila a expliqué que la crise actuelle en RDC dure depuis 2021. Il la décrit comme étant une crise sécuritaire, humanitaire, politique, sociale, morale et éthique. Selon Kabila, ces aspects sont ignorés par les pays partenaires de la RDC, y compris la SADC.

"Aujourd'hui, Joseph Kabila lui-même monte au créneau, pour faire tomber les masques. Ce dernier, en dehors de la voix des armes, ne peut pas faire la politique d'une manière démocratique. Ils sont tous conscients que s'il y a élection, en bonne et due forme, personne ne peut voter pour eux, vu tout ce qu'ils ont fait. Le malheur pour moi est d'avoir eu une longueur d'avance sur certains acteurs politiques", a-t-il indiqué.

"Est-ce que dans un pays sérieux, quelqu'un comme Kabila peut-il parler de la démocratie ? Peut-il aller calmement dans la famille de Floribert Chebeya, Bazana parler de ça ? Il y a beaucoup de choses. Kabila se cachait derrière Nangaa", a-t-il rajouté.

Jackson Mutamba

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Gouvernement d’Union nationale, RDC : l'Opposition rejette la main tendue de Félix Tshisekedi !

Après l'annonce, par le Chef de l'État Félix Tshisekedi, de la formation éventuelle d'un gouvernement d'Union nationale élargi à l'opposition, Prince Epenge, porte-parole de Lamuka soutient: « Proposer un gouvernement d'Union nationale aujourd'hui, c'est se moquer des Congolais, c'est cracher sur les enfants de Goma qui meurent, les enfants du Nord et Sud-Kivu que M. Félix Tshisekedi a abandonné ». 

Et de rappeler que le Congo connaît 3 crises majeures : la crise sécuritaire qui est en train de déchirer le pays ; la crise politique liée à l’illégitimité des institutions actuelles et une crise sociale aiguë. M. Félix Tshisekedi pense que ces 3 crises graves qui secouent le Congo peuvent être résolues par un simple débauchage des opposants? s'est-il interrogé.

Dans son argumentaire, ce porte-parole de Lamuka estime qu'un « simple gouvernement d'Union nationale ne fera rien d'autre que consolider la gloire personnelle de  Félix Tshisekedi.

« La coalition Lamuka a conscience que la voie à suivre aujourd'hui, c'est le dialogue prôné par les Églises catholique et protestante », tranche Prince Epenge avant de poursuivre : « C'est la solution, la seule d'ailleurs pour résoudre les 3 crises graves auxquelles fait face la RDC ».

Autrement, prévient-il, « le drame va continuer et ce qui arrivera demain, certainement Félix Tshisekedi en sera comptable devant le peuple, lui qui semble ignorer que le Congo est au bord du précipice », lance-t-il.

Dans tous les cas, conclut-il, « si nous sommes dans cette situation, c'est à cause de l'incapacité de M. Tshisekedi de protéger les Congolais».

Tshisekedi, le problème

Pour Delly Sessanga au nom du Sursaut national contre le changement de la constitution, c'est une fin de non-recevoir à la proposition du Président de la République.

«Nous sommes en face d'un problème qui met en mal le tissu social et qui, éventuellement, pourrait hypothéquer l'avenir de la nation et on pense vraiment aujourd'hui que la solution serait d'élargir ou d'ouvrir la porte du gouvernement à l'opposition pour mettre fin à la guerre ? », se désole Alain Bolodjwa, du parti Levons-nous et bâtissons.

«Nous ne résoudrons pas le problème si nous n'avons pas compris ce qui n'a pas marché », indique ce membre du Sursaut national.

Et celui-ci de reprendre : « Apparemment, dans la démarche de M. Félix Tshisekedi, il suffit d'offrir à l'opposition des postes pour que tout aille (mieux). Il ne se pose pas la question de ce qui n'a pas marché avec l'actuel gouvernement mis sur pied alors que nous étions déjà dans une situation de guerre ».

«Nous sommes en réalité en face d'un fait qui nécessite beaucoup d'intelligence (et dont la réponse, n'est certainement pas) la mise en place d'un gouvernement élargi à l'opposition. Une analyse profonde des raisons de l'échec conduirait (plutôt) au départ de M. Félix Tshisekedi », conclut-il.

Réponse pitoyable

«Alors que nous sommes préoccupés à sauver le Congo, lui est préoccupé à sauver uniquement son pouvoir, issue d'une tricherie en récidive », peste, sur X, Hervé Diakese, porte-parole de Ensemble pour la République de Moïse Katumbi.

« Au lieu de faire face aux causes profondes de la crise, dont il est l'un de grands responsables, tant par son illégitimité avérée que par son incurie managériale, il pense qu'un réaménagement technique de son union sacrée, issue de la fraude et receleur du braquage électoral, tiendra lieu d'union nationale », assène-t-il.

« Une fois de plus, une piteuse réponse à une crise d'une rare gravité qui menace la survie de notre nation. Les mêmes genres de réponse qui lui ont fait préférer des mercenaires à la modernisation et au réarmement de nos troupes, les milices à la mobilisation d'une armée de métier nationale. Chaque fois qu'il s'est agi de faire face avec lucidité à la gravité de la situation, ce pouvoir de la fraude, à défaut de se rabattre sur les autres, se complaît dans le déni et les incantations », fait observateur Hervé Diakese.

Encore aujourd'hui, pointe-t-il, « ils pensent que le plus urgent c'est d'attendre et que l'inertie et le pourrissement permettront de sauver le semblant d'autorité qu'ils perdent à pans entiers, à chaque territoire de notre pays qui tombe ».

Jackson Mutamba

 

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Bénéficiaire de la Grâce Présidentielle, RDC : enfin, Jean-Marc Kabund libre !

Après environ 3 ans d’incarcération, il est libre. Jean-Marc Kabund-A-Kabund, président du Parti politique Alliance pour le Changement (A.ch), a quitté la prison centrale de Makala ce vendredi 21 février 2025 dans la soirée.

Ancien Premier Vice-Président de l'Assemblée Nationale et ancien président par intérim de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), il a connu une descente aux enfers en 2022. En janvier de cette année-là, des éléments de la Garde Républicaine avaient vandalisé sa résidence et arrêté les policiers chargés de sa protection, suite à une dispute avec un membre de cette unité de l’armée. Cet incident l’a conduit à annoncer sa démission sur Twitter, marquant le début de sa rupture avec le pouvoir en place, suivi de son éviction à l’UDPS.

En mars 2022, il a démissionné de son poste de Premier Vice-Président de l'Assemblée Nationale. En juillet de la même année, lors d'une sortie médiatique, Jean-Marc Kabund a tenu des propos virulents contre le Président Félix Tshisekedi, ce qui lui a valu une comparution devant la justice. En août 2022, il a été condamné à sept ans de prison ferme pour ‘’outrage au chef de l'Etat’’ et ‘’propagation de faux bruits’’.

Il a bénéficié d'une grâce présidentielle accordée par Félix Tshisekedi en décembre 2024. Initialement prévue pour le 2 février, sa libération a été reportée à plusieurs reprises avant d'être finalement effective le 21 février 2025. Cette mesure de grâce présidentielle a été justifiée par le Président Tshisekedi comme un geste d'humanité et de pardon à une catégorie de détenus, au cours de la période de festivités de fin d'année.

La libération de Jean-Marc Kabund intervient dans un contexte politique et sécuritaire particulièrement sensible. Le pays est en proie à des conflits dans l'Est, où les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, avancent dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Cette situation a exacerbé les tensions et les divisions au sein de la classe politique congolaise.

La libération de Jean-Marc Kabund est perçue comme un geste de réconciliation dans un contexte où la RDC a besoin d'une véritable  union sacrée pour faire face aux défis sécuritaires.

Nathan Mundele

Bénéficiaire de la Grâce Présidentielle, RDC : enfin, Jean-Marc Kabund libre !
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Bandundu : Didier M’pambia sensibilise la population pour le soutien au Chef de l’Etat

Le Ministre du Tourisme Didier M'Pambia Musanga a reçu un accueil chaleureux du Maire de la ville d’Inongo, à son arrivée ce samedi 22 février 2025. La population, mobilisée et fière de recevoir sur sa terre ce fils du Maï-Ndombe, a effectué une procession dans les rues. Et, par ricochet, elle a ainsi donné un vibrant témoignage de son attachement et de sa solidarité envers le Chef de l'Etat Félix Tshisekedi et les institutions de la République.

Après ce bain de foule, le Ministre a été escorté par le Gouverneur Nkoso Kevani Lebon jusqu'à la tribune officielle. Ce déplacement, minutieusement organisé, a mis en lumière l'unité et l'engagement des autorités locales vis-à-vis de leur hôte de Kinshasa.

Du haut de la tribune, le Gouverneur du Maï-Ndombe a loué les qualités de rassembleur du Ministre qui, en prévision de sa venue à Inongo, avait réuni et sensibilisé les Sénateurs, Députés nationaux et provinciaux ainsi que les notables du Maï-Ndombe à poursuivre la mobilisation au soutien tous azimuts au Commandant Suprême, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et aux Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC).

A son tour, Didier M'Pambia Musanga a prononcé son discours d'un ton fort ferme et déterminé.

‘’Je suis venu avec un seul message : l'unité. Maï-Ndombe avait voté le Chef de l'Etat à 96 % aux élections de décembre 2023. Restons toujours aussi solidaires derrière lui face à l'invasion rwandaise contre notre pays’’. 

Abordant l'actualité brûlante du moment, il a déclaré sans ambages : "Le Rwanda tue, viole et pille chez nous, parfois avec la complicité de certains compatriotes congolais, des traîtres motivés par des intérêts égoïstes’’. Il a poursuivi d'un ton plus rassurant : "Mais je vous transmets un message du Chef de l'Etat : Nous allons gagner cette guerre". D'un ton encore plus mobilisateur, le Ministre du Tourisme a fait cette adresse solennelle à la population : "Nous appelons les filles et fils de Maï-Ndombe à s'enrôler massivement dans l'armée pour défendre la Patrie’’.

Par ailleurs, il a exhorté la population à rester vigilante et à collaborer étroitement avec les services de sécurité pour contribuer, à son niveau, à la préservation de l'intégrité de la République.

Jackson Mutamba

Bandundu : Didier M’pambia sensibilise la population pour le soutien au Chef de l’Etat
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RDC : l’ECIDé appelle à une démocratie juste et transparente !

Le parti Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (ECIDé) a publié samedi dernier un communiqué de presse concernant des révélations faites par M. Corneille Nangaa à la journaliste Colette Braeckman. Pour la famille politique de Martin Fayulu, ces déclarations viennent confirmer ses réserves exprimées depuis 2018 sur l'intégrité des institutions électorales en RDC.

Dans son communiqué, l’ECIDé évoque la fabrication des résultats de l'élection présidentielle et des élections législatives de 2018. Pour lui, cette affirmation met en lumière des pratiques douteuses qui pourraient remettre en question la légitimité des représentants élus et, par ricochet, la démocratie dans le pays. Le parti insiste sur le fait que de telles actions portent atteinte à la volonté souveraine du peuple congolais.

‘’Ce nouvel élément, en plus de confirmer l’illégitimité de nos institutions, soulève également des préoccupations majeures quant à la manière dont la fraude a été utilisée comme prétexte pour une hypothétique stabilité du pays’’, peut-on lire dans ce communiqué.

Cependant, l’ECIDé souligne que ces révélations ne concernent pas seulement les institutions locales, mais également l'implication de certains acteurs politiques et de partenaires internationaux. Ce constat soulève des questions sur la transparence et la responsabilité des processus électoraux. A l’en croire, la confiance du peuple en ses institutions dépend largement de la clarté et de l’équité des élections.

‘’Les pertes en vies humaines que nous subissons aujourd’hui auraient pu être évitées, nous permettant ainsi d’entamer sans délai le processus indispensable de reconstruction de notre pays’’, a déploré ce parti d’opposition. En outre, il rappelle que le pays n’aurait pas connu cette situation si la proposition de sortie de crise en 2019 de Martin Fayulu, ainsi que ses multiples appels à la cohésion nationale avaient été pris en compte par le régime en place.

Le communiqué appelle à une prise de conscience collective sur la nécessité de défendre les principes démocratiques et de garantir des élections libres et transparentes. Ce parti affilié à la plateforme Lamuka exhorte les citoyens à s'engager activement dans la vie politique afin de revendiquer leurs droits et de veiller à ce que les élections futures reflètent véritablement la volonté du peuple.

Nathan Mundele

 

RDC : l’ECIDé appelle à une démocratie juste et transparente !
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Soutien aux FARDC, RDC : les Députés Nationaux acceptent de céder une partie de leurs émoluments

Lors de la clôture de la session extraordinaire de l’Assemblée Nationale, présidé par le Professeur Vital Kamerhe, Speaker de la Chambre Basse du Parlement le jeudi 13 février 2025, les membres de cette Assemblée ont accepté de la ponction de leurs émoluments en cédant une partie de ce qui leur revient de droit chaque mois pour contribuer à l’effort de guerre. Une annonce faite par l’Honorable Tobie Kayumbi, Député National de la province du Kasaï-Oriental dans la circonscription électorale de Mbuji-Mayi.

Pour l’Elu de Mbuji-Mayi, cette initiative traduit l’engagement des députés aux côtés des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et des populations affectées par la guerre d’agression. Un soutien total qui prouve que les autorités sont ensemble avec ceux qui sont au front en train de combattre pour protéger l’intégrité territoriale et la population qui est confrontée à plusieurs défis dans cette situation sécuritaire.

«Cette session extraordinaire portait sur deux points essentiels. Nous avons travaillé en commission et formulé des propositions qui ont été soumises au bureau de l’Assemblée Nationale. Nous espérons qu’elles parviendront au Chef de l’État, comme nous l’avons recommandé», a-t-il expliqué.

Il a, par ailleurs, rappelé que, bien avant que le gouvernement n’évoque la réduction du train de vie des institutions, certains Députés notamment ceux de l’Est, avaient déjà entrepris des initiatives individuelles pour soutenir les populations et les militaires engagés au front. C’est ainsi que ceux des autres provinces ont pris la même initiative en considération, et ont choisi la voie de venir en aide à ceux qui se sont dispersés, qui se trouvent sans abris à l’heure actuelle.

«Mais au niveau collectif, l’Assemblée Nationale a pris la décision conjointe de céder une part significative de nos émoluments pour contribuer à l’effort de guerre. Nous adressons notre soutien indéfectible aux FARDC, qui font preuve d’une bravoure exemplaire en défendant la nation au prix de leur vie », a ajouté l’honorable Tobie Kayumbi, avant de conclu que : « ce n’est qu’ensemble, dans une union sacrée, que nous parviendrons à vaincre l’ennemi », désignant le Rwanda comme l’agresseur de la RDC.

A cette même occasion, Tobie Kayumbi a lancé un appel à l’unité nationale, tout en exhortant l’ensemble des Congolais à se ranger derrière le chef de l’État et à soutenir les FARDC ainsi que les Wazalendo dans cette lutte.

Chimea Samy

Soutien aux FARDC, RDC : les Députés Nationaux acceptent de céder une partie de leurs émoluments
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Après leur rencontre avec la CENCO et l’ECC, Bruxelles : Diongo et Vuemba appellent à une ‘‘Transition politique inclusive en République Démocratique du Congo’’

Lors de leur rencontre avec la délégation conjointe de la CENCO et l’ECC à Bruxelles, en Belgique le samedi 15 février dernier, le Mouvement Radical pour le Changement, « MRC » en sigle, plateforme politique engagée dans la réforme démocratique avec comme membres des opposants congolais dont Franck Diongo, coordonnateur général et Jean-Claude Vuemba, coordonnateur adjoint, a présenté ses analyses et propositions, à travers un cahier des charges en vue de ce qu’ils ont appelé « transition politique inclusive en République Démocratique du Congo ».

Avec pour objectif de contribuer à restaurer la paix sociale, l'unité nationale et la réconciliation du peuple congolais, le MRC soutient les principes de ce pacte en appelant à une transition sans conflits d’intérêts, fondée sur la justice et la mise en place d’un processus électoral crédible.

Ce mouvement retient la reconnaissance de la nécessité d’un dialogue national inclusif à travers la médiation neutre par l’Église catholique et l’Église protestante, assurant crédibilité et confiance dans une volonté de résoudre pacifiquement les conflits.

Des faiblesses ont, par ailleurs, été révélées dans cette démarche de la CENCO et l’ECC, notamment l’absence de mécanismes clairs de mise en œuvre et de suivi, le manque de précisions sur les responsabilités et sanctions en cas de non-respect des accords et la sous-estimation des causes profondes de la crise, notamment institutionnelles et sécuritaires.

Au regard de toutes ces éléments relevés par le MRC, des propositions ont été faites pour une transition inclusive. «Les Conditions préalables au dialogue national ; l’Ordre du jour du dialogue national ; l’Accord de Cessez-le-feu entre l’AFC et le Régime de Kinshasa ; la Charte de la Transition et son lien avec la Constitution ; le Dialogue National pour la Paix Sociale ; Lieu du dialogue : Siège de l’Union Africaine (Addis-Abeba) ; la Mise en place des Institutions de Transition et désignation des animateurs ; le Renforcement du Comité de Suivi avec un Appui International ; des Solutions pour la Paix : Dialogue National et Dialogue Régional ; Le dialogue régional pour la stabilité et la souveraineté ; la Négociation directe entre la RDC et les pays voisins pour mettre fin aux tensions géopolitiques (notamment la Signature d’un accord régional de non-agression et engagement à ne plus soutenir les groupes armés, le Renforcement de la coopération régionale pour prévenir toute nouvelle crise transfrontalière et l’Engagement des États voisins à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC) ; l’Accord politique de la transition, la Définition du cadre institutionnel temporaire pour la gouvernance de la transition, la Désignation d’un président de la transition par consensus politique et social ; et la Formation d’un gouvernement de transition impartial, dont les membres ne seront pas candidats aux élections.
Le MRC a ainsi réaffirmé son engagement en faveur d’une transition transparente, impartiale et démocratique, avec une Charte de la Transition bien définie et des institutions transitoires encadrées par un appui international.

Il a aussi appelé à reconnaître que la Constitution actuelle ne peut pas gérer seule la transition et qu’une Charte transitoire temporaire est nécessaire ; à renforcer le Comité de Suivi de la Transition avec des institutions internationales pour garantir une supervision neutre et impartiale ; considérer le Dialogue National comme clé de la paix sociale et le Dialogue Régional comme solution pour stabiliser la région ; Signature de l’Accord de Cessez-le-feu entre l’AFC et le régime de Kinshasa avant toute négociation politique et l’Adoption d’un Accord Politique de Transition, assurant la mise en place d’institutions de la transition et d’élections libres.
Estimée pour une durée de 2 à 3 ans, cette période de transition permettra, selon le MRC, de préparer le terrain pour des élections crédibles, inclusives et démocratiques, suivies d’une remise et reprise transparente avec le gouvernement élu.

César Nkangulu

 

Après leur rencontre avec la CENCO et l’ECC, Bruxelles : Diongo et Vuemba appellent à une ‘‘Transition politique inclusive en République Démocratique du Congo’’
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En restructurant les organes du Parti : Jean-Claude Kyungu Kabila redynamise l’action collégiale de l’UPCE

Sans vouloir se verser dans une sorte de désengagement héroïque pour leur avenir commun, l’Union du Peuple Congolais Engagé, « UPCE » en sigle, parti politique cher à Jean-Claude Kyungu Kabila, s’est fixé des objectifs purs et sains dans le but de « redynamiser davantage leur action collégiale via notamment, la restructuration des organes du Parti, et l’amélioration de son fonctionnement, dans toute la discipline que voulue à travers l’adoption du nouveau Statut modificatif du parti » le vendredi 14 février dernier. La réunion stratégique s’est tenue à Silikin Village à Kinshasa où tous les cadres du parti étaient conviés à se réunir autour de leur autorité morale.

Outre la modification et l’adoption du nouveau statut national du parti, la programmation des activités pour l’année 2025 était aussi au menu des échanges entre les cadres de ce parti politique pour qu’autour d’un programme réaliste, ils puissent participer à l’impulsion du progrès économique et social de la République Démocratique du Congo, a fait savoir Jean-Claude Kabila, président national de l’UPCE dans son message de vœux adressé aux engagés du Parti, au peuple congolais en général dans sa diversité ainsi qu’au Président de la République Félix Tshisekedi.

«C’est effectivement dans cette dynamique de restauration d’un Congo où chaque compatriote retrouvera son sourire et sa ‘‘congolité’’, que nous avions, ensemble avec chacun de vous ici présent créé l’UPCE il y a quelques années (en 2015), pour qu’autour d’un programme réaliste porté par un Parti politique fort et crédible, nous puissions participer à l’impulsion du progrès économique et social de notre chère Nation. Ce, aux fins d’assurer la croissance économique de notre peuple », a déclaré Jean-Claude Kabila. 

L’homme au centre de tout développement

Dans l’interview accordée au sortir de la réunion, Jean-Claude Kabila a fixé l’opinion sur les perspectives d’avenir ainsi que les objectifs assignés pour un Congo fort, prospère et réellement souverain au cœur de l’Afrique.

«UPCE est un parti qui travaille pour les années à venir. Et, dix ans après nous voici aujourd’hui à chercher à redynamiser notre objectif, le mettre à jour. Pour des jours qui viennent, nous allons organiser des séminaires idéologiques et nous allons aussi former nos cadres, nos responsables et nous allons ménager aucun effort pour passer maison par maison, province par province pour dire à la population congolaise que nous sommes le seul élément pour notre développement. Sur ce, on ne peut pas croiser les bras et laisser les étrangers, libanais et indiens, venir chez nous et prendre nos richesses sans que l’homme congolais n’en bénéficie pleinement. Donc, l’homme doit être mis au centre de toute sorte de développement », a-t-il martelé. A travers ces mots, l’autorité morale de l’UPCE a invité tout patriote congolais de prendre un engagement héroïque pour un avenir commun.

Patrice Lumumba et Laurent Kabila, symboles des idéaux pour une lutte indéniable

Les deux héros nationaux, ‘’officiers du Congo libre’’, incarnent des idéaux pour favoriser la continuité d’une lutte non seulement pour la construction d’un Etat souverain, mais également une lutte dévouée pour la défense du territoire national, au prix de tous sacrifices qui soient, même suprêmes. Cela traduit l’engagement personnel de cet acteur politique en faveur de la paix, la sécurité, le maintien de l’ordre public et la restauration de l’intégrité complète des terres congolaises.

Un appel à l’implication de tous pour la défense du territoire national

«Le pays a grandement besoin de nous en ce moment, oui de nous tous, indistinctement de nos appartenances, convictions ou divergences politiques, régionales, d’opinions ou idéologiques, religieuses ou ethniques. Notre mère Patrie a plus que besoin de tous ses dignes fils et filles, aux fins de défendre notre territoire», a-t-il lancé.

Et d’ajouter : «Je vous en supplie mes très chers engagés, battons-nous s’il vous plait pour notre pays. Quoi qu’il en coûte, et peu importe le nombre d’années et de sacrifices, ensemble nous réussirons le pari de cette longue guerre, injustement nous imposée par le Rwanda ».

Un soutien au Commandant Suprême et aux forces loyalistes

«Face à un ennemi commun, perturbateur connu de notre quiétude, l’histoire nous recommande la cohésion pacifique, la solidarité nationale, la résilience, l’union de tous autour de notre Guide suprême, j’ai cité Son Excellence Antoine-Félix Tshisekedi Tshilombo, Chef de l’Etat, pour ses convictions profondes pour la restauration de la paix.

‘’Il est indispensable svp que nous puissions l’encourager et le soutenir dans ce combat, qui ne fait que commencer…’’. 

Courage à nos braves combattants FARDC et aux vaillants patriotes Wazalendo !».

Le soutien incontesté de Jean-Claude Kabila  au Président de la République et Commandant Suprême ainsi qu’aux FARDC et aux Wazalendo en ce temps où le pays traverse ses moments les plus sombres de l’histoire depuis le début de cette guerre imposée par l’armée rwandaise avec ses supplétifs du M23/AFC, est un signe du patriotisme engagé pour contribuer, à travers ses idées, à la sortie de crise pour une paix durable dans le pays.

«Arbre à palabre», en soutien à la démarche de la CENCO et de l’ECC

Après avoir engagé leur démarche pour chercher la voie de sortie de cette crise sécuritaire qui secoue vigoureusement le pays surtout dans sa partie orientale, les Evêques de la CENCO ainsi que les Pasteurs de l’ECC se sont mobilisés pour rencontrer toutes les parties prenantes dans ces conflits dans le but de les réunir toutes autour d’une table pour un dialogue franc et sincère en vue de retrouver la paix sans effusion du sang des civiles.

Ainsi, le président national de l’Union du Peuple Congolais Engagé manifeste son soutien aux efforts déjà engagés par eux pour une même cause.

«Nous savons que nous sommes tous africains, et quand il y a des problèmes, nous faisons l’arbre à palabre. Et, les démarches prises par nos pères des églises sont vraiment à féliciter. Mais nous demandons aussi à tous les acteurs politiques de mettre leurs intérêts de côté et de penser à l’intérêt général. La RDC, c’est le pays de nos ancêtres. Lumumba, Laurent-Désiré Kabila, Kimpamvita et Kimbangu ainsi que tous les autres martyres ont fait leur part de chose jusqu’au sacrifice suprême. Il nous appartient à nous, aujourd’hui, de faire la même chose pour léguer un pays plus beau qu’avant à nos générations futures. Nous ne pouvons pas cracher sur leurs mémoires. Nous devons tous être mobilisés derrière notre Commandant Suprême pour décider à faire face à l’ennemi parce que c’est une guerre injuste qui nous est imposée depuis plus de trois décennies. A un moment donné, nous ne pouvons pas croiser les bras et crier tous les jours en demandant et en implorant la faveur de la communauté internationale qui, d’ailleurs, plusieurs pays membres de cette même communauté internationale sont derrière ce pays qui nous agresse », déclare Jean-Claude Kabila.

César Nkangulu

En restructurant les organes du Parti : Jean-Claude Kyungu Kabila redynamise l’action collégiale de l’UPCE
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RDC : Lisanga Bonganga et le RAFAT s'opposent au dialogue avec les terroristes du M23/AFC

Les lignes bougent désormais au sein de la classe politique depuis l'entrée en scène des pères spirituels catholiques et protestants. Si certains partis politiques soutiennent l'idée d'un dialogue, désapprouve, cependant, toute négociation avec le les terroristes du M23/AFC, supplétifs de l'Armée rwandaise.

Le Rassemblement des Alliés de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo (RAFAT) s'invite désormais au débat en commençant par saluer les consultations initiées par les représentants de la CENCO-ECC dans le cadre du processus de paix en RDC. Toutefois, ce groupe s'oppose farouchement au dialogue avec les terroristes du M23/AFC, supplétifs de l'Armée rwandaise et auteurs des tueries impardonnables des milliers des compatriotes innocents de l'EST du pays.

Excepté les consultations avec les rebelles, d'après son Coordonnateur Jean-Pierre Lisanga Bonganga, les pères spirituels devraient approcher d'autres acteurs politiques et sociaux, en fonction de leur obédience, tout en tenant compte de l'intérêt général, en vue de la tenue, s'il y a opportunité, d'un dialogue inclusif. "Toutefois, le RAFATT soutient incontestablement le processus de Luanda et de Nairobi".

Par ailleurs, le RAFATT s'oppose vigoureusement à la remise en cause de la dernière présidentielle proclamant Félix Tshisekedi. "Le RAFATT considère que la cohésion et l'unité nationale prônées par le Chef de l'Etat dans son adresse à la nation pour faire bloc face à l'agression nous imposée par le Rwanda, ne doivent pas être une blanchisserie des gens qui ont le sang de nos compatriotes sur les mains."

Enfin, le Rassemblement des Alliés de Félix Tshisekedi constate avec un profond regret l'absence des résolutions fermes de condamnation, de sanctions et de retrait immédiat des troupes rwandaises et leurs supplétifs du M23/AFC dans les deux provinces qu'ils occupent injustement, lors du dernier sommet conjoint des Chefs d'Etat de l'Afrique de I'EST (CAE) et ceux de l'Afrique australe (SADC). "Cela constitue une preuve qui démontre leur partialité à l'égard de la RDC, aujourd'hui menacée par une balkanisation qui ne dit pas son nom", conclut-il.

La Pros.

RDC : Lisanga Bonganga et le RAFAT s'opposent au dialogue avec les terroristes du M23/AFC
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