Ne s’avouant pas vaincu, l’ancien Premier ministre a tenté une nouvelle action judiciaire pour annuler sa condamnation. Nouveau coup d’épée dans l’eau. En effet, lors de son audience publique d’hier jeudi 28 août, la Cour constitutionnelle, statuant en premier et dernier ressort, s’est déclarée incompétente de statuer sur la requête de Matata Ponyo, ancien Premier ministre et leader du LGD.
La Cour constitutionnelle avait condamné mardi 20 mai Augustin Matata Ponyo, à 10 ans des travaux forcés, à son inéligibilité pour 5 ans. Elle avait aussi ordonné son arrestation immédiate et la saisie de ses biens meubles et immeubles au prorata des fonds détournés. Quelques jours, il a pris poudre d’escampette avant de se retrouver en Belgique comme exilé politique
L’ancien Premier ministre de 2012 à 2016 et député national avait été reconnu coupable de détournements de 156.849.413 dollars américains avec l'ancien gouverneur de la Banque centrale du Congo, des fonds destinés au développement du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo, dans l’est de Kinshasa, et de 89 millions de dollars américains avec le prévenu sud-africain Globler.
Sur les faits, la Cour parle de plusieurs surfacturations non justifiées émises par Christo Grobler sous la supervision et l’indifférence de l’ancien Premier ministre. D’après la Cour, AFRICOM bénéficiait des exonérations. Alors rien ne pouvait justifier les surfacturations dues aux frais de carburant, à en croire le sud-africain.
Rien ne pouvait ainsi justifier le détournement de 89 millions de dollars à charge d’Augustin Matata, Deogratias Mutombo qui facilitait le décaissement des fonds détournés, participant ensemble au modus operandi de l’entreprise criminelle avec de passation des marchés imaginaires.
Cette affaire a suscité des tensions à l’Assemblée nationale notamment, autour de la question des immunités parlementaires de Matata Ponyo. Vital Kamerhe, Président de l’Assemblée nationale, a dénoncé une violation de la Constitution, estimant que le député Matata Ponyo ne pouvait être jugé sans la levée préalable de ses immunités.
Cette position a été contestée par le président de la Cour constitutionnelle, Dieudonné Kamuleta. Ce dernier a rappelé que la procédure avait dépassé la phase pré-juridictionnelle où l’autorisation de poursuites est requise. Il avait, par ailleurs, appelé au respect de la séparation des pouvoirs.
‘’Le Centre a pour habitude de ne faire que des propositions réfléchies. Si vous voulez ce dialogue, nous on exige un référendum pour nous départager sinon alors étant tous congolais, laissons alors l’Etat faire son travail et trouver souverainement les solutions qui s’imposent comme l’exige notre constitution. Un référendum ne coûte pas cher, surtout si l’on élimine les dépenses superflues, car nous disposons déjà de la machine à voter. Le prix à payer pour que le peuple reste maître de sa destinée ne sera pas plus élevé que les conséquences de ce dialogue, qui, du point de vue logistique, coûtera également très cher. Il faudra déplacer et loger les délégations dans un pays étranger pendant au moins trois mois, car les rebelles et le camp de l’ancien président ne viendront pas à Kinshasa avant la conclusion d’un accord de partage de pouvoir, s’il y a effectivement ce dialogue proposé par la CENCO et l’ECC’’, démontreGermain Kambinga, dans une nouvelle alerte lancée, jeudi, sur son compte X. ‘’Combien a coûté le dialogue inter congolais de Sun city ? Pour Le Centre, le peuple doit rester au cœur de toute décision concernant son avenir, d’autant plus que, depuis les élections de 2006, les acteurs politiques ont perdu le droit de se substituer au souverain primaire pour prendre des décisions qui, inévitablement, sortent du cadre constitutionnel au profit des intérêts égoïstes’’, insiste, dans son élan, le Leader du Mouvement politique Le Centre.
POINT DE VUE DE GERMAIN KAMBINGA SUR LA PROPOSITION DES CONFESSIONS RELIGIEUSES
Le dialogue ne peut être que celui du rassemblement des patriotes pour la défense de la patrie et de nos institutions démocratiques. Tout dialogue qui viserait plutôt la remise en cause des acquis démocratiques au profit de la substitution de la souveraineté du peuple par les ambitions égotiques des groupes politiques séditieux serait une erreur fatale qui condamnera à coup sûr l’avenir en toute liberté de notre pays. En réalité, un tel dialogue contribuera à renforcer de façon pernicieuse l’influence rwandaise dans les institutions congolaises et constituera une dette politique, sinon un passif non payé par notre génération et reporté sur nos enfants.
De plus, les résolutions d’un tel dialogue constitueront nécessairement un enjambement de la souveraineté du peuple et une mise en berne de la constitution de notre pays en ce que ;
Un gouvernement d’union nationale dont certains dans l’opposition armée ou non armée revendiquent déjà la tête sera une violation franche de notre constitution qui ne reconnaît un tel rôle qu’à la majorité parlementaire ;
Une incorporation des membres de l’AFCM23 dans l’appareil sécuritaire et l’administration consacrera l’infiltration rwandaise, et sa mainmise sur nos institutions, ainsi que la violation manifeste de nos lois ;
La mise en place de ces institutions ainsi que l’accomplissement des missions qui leur seront assignées nous mènerons inévitablement à un glissement du mandat présidentiel, au-delà de Décembre 2028.
Bien d’autres conséquences fâcheuses peuvent être évoquées, mais il est important que nous signifions que comme à l’accoutumée, les instigateurs de cette démarche auront pour réflexe malsain de se dédouaner de telles conséquences, en voulant responsabiliser le seul chef de l’état devant le peuple congolais.
C’est ainsi que pour LE CENTRE, si ce dialogue ne peut être évité, il faut obligatoirement et préalablement interroger le peuple congolais, seul détenteur suprême de la légitimité et de la souveraineté, à travers un référendum, afin que lui seul donne l’autorisation à la classe politique d’entreprendre cette initiative de dialogue dont l’issue pourrait modifier la constitution des institutions issues des élections de 2023, et susceptible de mettre en berne momentanément la constitution de la république. Car le peuple congolais ne laissera pas un groupe d’individus aux ambitions démesurées et qui presse pour avoir l’organisation du dialogue, se dérober devant la responsabilité collective d’assumer les conséquences d’un telle initiative, et tenter par la suite d’en faire porter la responsabilité au seul Président de la République.
Chers compatriotes, le combat pour la vérité historique est quotidien ; ainsi le mouvement centriste congolais LE CENTRE faisant sa part, appelle à la mobilisation de l’ensemble de notre peuple, afin qu’à chaque mensonge distillé par les traîtres et ennemis de la patrie, qu’il y ait une multitude de voix patriotiques pour s’exprimer et y répondre vigoureusement.
Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo et son Peuple.
Le parti politique Mouvement des Démocrates Congolais (MDCO), dirigé par Gabriel Mokia Mandembo, son Président National, a participé mercredi 27 août 2025 à l'installation générale et technique de la Majorité Extra Parlementaire de l'Union sacrée de la nation. Les assises ont été développées dans la salle Show Buzz située sur le boulevard du 30 juin à Kinshasa. Du côté MDCO, cette cérémonie a connue la présence de plusieurs personnalités comme lui-même, l'Autorité Morale Gabriel Mokia Mandembo, le Secrétaire Général Administratif Prince Kawala, les Coordonnateurs municipaux et tant d'autres militants. De leurs milieux respectifs, les membres du MDCO se sont réunis au sein de leur siège national de la Gombe, puis ils ont pris la direction du boulevard du 30 juin pour chuter dans ladite salle, en compagnie de leur leader politique. Par la même occasion, le parti politique de Mokia a profité pour faire une mobilisation massive de quelques membres qui se sont fait adhérés. Pour cet événement des grandes envergures, le SG Administratif Prince Kawala à commencé par salué les autorités de l'USN pour cette installation générale et technique de la MEP-USN. Puis a encouragé les militants du MDCO venus de quatre horizons de la capitale congolaise, d'avoir répondu à cette invitation particulière en vu du progrès du parti. « Je salue l'initiative des dirigeants de l'USN, car notre autorité du parti fait parti des dirigeants au sein de cette plateforme. Nous membres du MDCO, particulier la jeunesse, sommes motivés et nous sommes levés pour se mettre au travail et se prendre en charge en guise de bien garder notre patrimoine qui est le MDCO. Nous sommes venus appuyé notre autorité morale pour prendre certains avantages politiques. C'est un jour bénéfique pour nous et notre plateforme USN, surtout que dans cette installation on remarque la présence des jeunes. On a vu la force et la mobilisation de la jeunesse qui est déterminée à défendre la nation, mais aussi le parti. J'invite tous les autres jeunes de venir nombreux pour nous joindre en vue de l'intérêt général de la République, car l'heure n'est plus à somnoler ou à faire les aventures », a t-il fait savoir. De son côté, Nénette Tshinola, Vice-Présidente de la ligue des femmes du MDCO a livré ses impressions pour cette journée importante en faveur des militants invitant l'implication des femmes. « Nous sommes très contentes, nous les femmes du MDCO pour cette installation de la MEP, car les femmes occupent également des places importantes dans cette plateforme d'un camp comme à l'autre. C'est pourquoi nous nous sommes levées. Je lance un appel à toutes les autres mamans d'emboiter les pas. La femme aujourd'hui ne pas seulement ménagère, elle doit aussi s'intéressée à la politique pour relever les défis dans notre pays », a-t-elle renchérit. Il est nécessaire de rappeler que plus de 100 membres ont répondu présent dans cette activité du côté MDCO, montrant un signal fort de la mobilisation confirmant aussi la détermination du parti à ambitionner sa visibilité au sein de la MEP-USN. Hardi Moyo
En lieu et place d’un dialogue direct, comme le souligne la Feuille de route des Confessions religieuses, Germain Kambinga estime, par contre, que Félix Tshisekedi, Président de la République, en tant que Garant du bon fonctionnement des Institutions et Chef de l’Etat, ne doit céder à aucune pression. Pour lui, dialoguer suppose un rassemblement des patriotes unis pour une cause juste, celle de sauver réellement la patrie du chaos, et non une démarche qui n’aura pour finalité que la remise en cause des acquis démocratiques en RDC. Pour le Responsable du Mouvement politique Le Centre, le plan de sortie de crise proposé par les Eglises ne constitue pas en soi un péché, mais seulement cela nécessite, préalablement, un référendum. Dans sa réflexion, partagée, mercredi, sur son compte X, il exprime largement ses convictions et pistes qui puissent, véritablement, apporter des solutions concrètes aux défis auxquels reste confrontée la RDC.
‘’CENCO -ECC -CIN si vous voulez votre dialogue, alors, demandons au peuple par Référendum. L’Histoire jugera sévèrement ceux qui, face à l’agression, auront choisi la compromission ou la résignation. Nous disons solennellement : le temps de la libération nationale est venu, et il ne peut se négocier. Nous considérons qu’en cette période particulière de l’histoire de notre pays, les menaces existentielles qui s’imposent à nous exigent effectivement le rassemblement de tous les enfants du Congo, dans une espèce de fédération des intelligences. Tout cela dans une logique de rassemblement mais pas de ralliement, afin de mobiliser autour de la même cause nationale, toutes les oppositions et divergences. Le dialogue ne peut être que celui du rassemblement des patriotes pour la défense de la patrie et de nos institutions démocratiques. Tout dialogue qui viserait plutôt la remise en cause des acquis démocratiques au profit de la substitution de la souveraineté du peuple par les ambitions égotiques des groupes politiques séditieux serait une erreur fatale qui condamnera à coup sûr l’avenir en toute liberté de notre pays’’, précise Germain Kambinga.
Halte au pressing forcé
Pour l’Ancien Ministre de l’Industrie, dans le contexte de l’initiative brandie par les Confessions religieuses, organiser un dialogue, sans pour autant aller au fond de la problématique actuelle, marquée par une rébellion croissante dans l’Est, soutenue par une frange des congolais, serait synonyme d’une consécration poussée de l’influence rwandaise dans les institutions du pays.
‘’Un tel dialogue contribuera à renforcer de façon pernicieuse l’influence rwandaise dans les institutions congolaises et constituera une dette politique, sinon un passif non payé par notre génération et reporté sur nos enfants. De plus, les résolutions d’un tel dialogue constitueront nécessairement un enjambement de la souveraineté du peuple et une mise en berne de la constitution de notre pays en ce que ;
- Un gouvernement d’union nationale dont certains dans l’opposition armée ou non armée revendiquent déjà la tête sera une violation franche de notre constitution qui ne reconnaît un tel rôle qu’à la majorité parlementaire ;
- Une incorporation des membres de l’AFCM23 dans l’appareil sécuritaire et l’administration consacrera l’infiltration rwandaise, et sa mainmise sur nos institutions, ainsi que la violation manifeste de nos lois ;
- La mise en place de ces institutions ainsi que l’accomplissement des missions qui leur seront assignées nous mènerons inévitablement à un glissement du mandat présidentiel, au-delà de Décembre 2028. Bien d’autres conséquences fâcheuses peuvent être évoquées, mais il est important que nous signifions que comme à l’accoutumée, les instigateurs de cette démarche auront pour réflexe malsain de se dédouaner de la responsabilité qu’imposeront de telles conséquences, en voulant tout faire reposer sur le seul Chef de l’Etat devant le peuple congolais’’, insiste-t-il, avec fermeté, dans son analyse.
Exprimant le point de vue de son Mouvement politique Le CENTRE, il a soutenu que ‘’si ce dialogue ne peut être évité, il faut obligatoirement et préalablement interroger le peuple congolais, seul détenteur suprême de la légitimité et de la souveraineté, à travers un REFERENDUM, afin que lui seul donne l’autorisation à la classe politique d’entreprendre cette initiative de dialogue dont l’issue pourrait modifier la constitution des institutions issues des élections de 2023, et susceptible de mettre en berne momentanément la constitution de la république. Car, selon lui, ‘’le peuple congolais ne laissera pas un groupe d’individus aux ambitions démesurées et qui presse pour avoir l’organisation du dialogue, se dérober devant la responsabilité collective d’assumer les conséquences d’un telle initiative, et tenter par la suite d’en faire porter la responsabilité au seul Président de la République’’.
‘’Chers compatriotes, le combat pour la vérité historique est quotidien ; ainsi le mouvement centriste congolais LE CENTRE faisant sa part, appelle à la mobilisation de l’ensemble de notre peuple, afin qu’à chaque mensonge distillé par les traîtres et ennemis de la patrie, qu’il y ait une multitude de voix patriotiques pour s’exprimer et y répondre vigoureusement’’, tranche, dans sa réflexion, Germain Kambinga.
Le réquisitoire de peine de mort du ministère public à l’encontre de l’ancien Président Joseph Kabila, a été à la base d’un tollé général qui a secoué le microcosme politique. C’est de cette façon que le parti Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, est monté au créneau pour réagir samedi 23 août dernier en affirmant qu’il s’agit d’une démarche politique et cynique de la part du pouvoir, destinée à réduire au silence un acteur majeur de la scène politique congolaise.
Dans une déclaration officielle diffusée le 23 août, au lendemain des réquisitions du ministère public dans l’affaire visant Joseph Kabila, Ensemble a dénoncé une justice aux ordres et a alerté sur les conséquences potentiellement graves d’une telle décision.
Et le secrétaire général dudit parti, Dieudonné Bolengetenge Balea, de préciser : “La réquisition de la peine de mort contre l’ancien président Joseph Kabila par un ministère public aux ordres n’est pas une procédure judiciaire ; c’est une manœuvre politique cynique qui vise à semer la terreur et à diviser un peuple déjà meurtri”.
Dans ce texte, la formation de Katumbi dresse un constat sévère sur l’état de la justice sous le président Félix Tshisekedi. Elle affirme : “Qu’on ne s’y trompe pas : cette instrumentalisation de la justice n’a rien à voir avec l’État de droit. C’est une arme de répression massive contre tous ceux qui refusent la pensée unique”, accusant le régime de recourir à des « faux procès, persécutions, enlèvements, arrestations arbitraires, exils forcés, assassinats restés impunis ».
Le communiqué poursuit en indiquant : “Aujourd’hui, c’est Joseph Kabila. Demain, ce sera chaque voix libre, chaque congolais qui ose dire non.”
Ensemble pour la République souligne aussi le risque qu’une exclusion de Kabila de la scène politique entraîne une radicalisation. “Exclure un acteur clé comme Joseph Kabila, c’est le pousser ainsi que d’autres à la radicalisation et ouvrir la voie au chaos. C’est condamner les processus de Doha et de Washington à l’échec. C’est jouer avec le feu”, avertit le document.
Tout en critiquant fermement le régime, le parti réaffirme son attachement au dialogue politique. “La paix ne naîtra pas de la terreur, mais du dialogue. Nous appelons le peuple congolais, la société civile, les forces politiques responsables à exprimer leur indignation face à cette dérive totalitaire. Ce dialogue inclusif, sous médiation crédible, est la dernière chance pour sauver la RDC du gouffre”, peut-on encore lire.
La déclaration s’achève sur une note de détermination. “Le régime peut tenter de museler les voix, mais il n’étouffera jamais la vérité. Nous resterons debout, aux côtés du peuple, pour une justice équitable, une réconciliation véritable et une paix durable. La RDC ne doit être l’otage des ambitions de personne ; elle appartient à son peuple”, conclut Ensemble pour la République.
Dans un message poignant, le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA/USN, par le truchement de Divin Mutombo, son Coordonnateur Général, annonce la tenue, pour ce samedi 23 août 2025, dans la salle LAPINA de FATIMA, dans la commune de la Gombe, d’une grande activité de reconnaissance et de mobilisation patriotique derrière Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour le pousser à réussir sa vision consistant à bâtir, durant son passage à la Magistrature suprême, une Nation forte, ambitieuse et prospère. Sont priées de participer à ce rendez-vous stratégique, toutes les ASBL et les forces vives de la République Démocratique du Congo, y compris les leaders politiques membres signataires de la charte de l’Union Sacrée de la Nation. Lisez et relisez, dans le communiqué ci-dessous, toutes les précisions nécessaires.
COLLECTIF DES MOUVEMENTS ASSOCIATIVES DE L’UNION SACREE DE LA NATION
«COL.M.A/USN»
COORDINATION GENERALE
MESSAGE DE SENSIBILISATION ET MOBILISATIONS DES ASBL, FORCES VIVES ET LEADERS POLITIQUES MEMBRES SIGNATAIRES DE LA CHARTE DE L’UNION SACREE DE LA NATION
Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA/USN en sigle, a l’insigne honneur de convier à toutes les asbl, les forces vives de la république démocratique du Congo et les leaders politiques membres signataires de la charte de l’union sacrée de la nation, à rehausser de leurs présences l’activité de reconnaissance et de la mobilisation patriotique, organisée en hommage de la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée, Son Excellence Monsieur le Président de la République Chef de l’Etat, Felix ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO, ce samedi 23 août 2025, dans la salle LAPINA de FATIMA dans la commune de la Gombe à partir de 08H30’ sous le thème principal : « La Coopération RDC –USA, une nouvelle ère politique pour la fin de la guerre et le début du développement durable en République Démocratique du Congo ».
En effet, motivés par les triples constats selon Lesquels :
-Primo : la signature des accords de paix de WASHINGTON avec le RWANDA et de DOHA avec les terroristes de AFC/M23 ;
-Secundo : la victoire diplomatique de la RDC dans le cadre de l’accord bilatéral RDC-USA qui est pour nous une opportunité d’affaire et de développement de notre pays.
-Tertio : les résultats positifs de la redynamisation de l’Union Sacrée amorcés et réussis que la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée de la Nation avait confiée au Secrétaire Permanant et Rapporteur de notre plateforme politique le Professeur Honorable André MBATA MANGU ;
C’est ainsi, nous profitions de cette occasion à travers le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation à remercier le Chef de l’Etat la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée, pour sa clairvoyance sur notre famille politique qui est l’espoir de tout un peuple. Voila pourquoi nous luis réitérons notre soutien indéfectible.
Cette rencontre de haute portée symbolique, initiée par le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation vise à sensibiliser les membres de la société civile, la jeunesse, les acteurs associatifs, les leaders politiques, les membres du gouvernement, les parlementaires et tous les patriotes engagés sur les enjeux politique actuels et à renforcer leurs participation active au processus de paix autour des valeurs de souveraineté, de dignité nationale et de soutien au leadership éclairé du Chef de l’État la haute autorité Politique de l’Union Sacrée
Pour terminer, le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA apporte son soutien au 2ème Congrès extraordinaire historique de l’Union Sacrée de la Nation que nous souhaitons bonne chance aux participants.
-QUE VIVE Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation
-Que vive l’Union Sacré de la Nation
-Que vive la République Démocratique du Congo et son président
Que Dieu bénisse le Congo
Pour Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation
Dans un message poignant, le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA/USN, par le truchement de Divin Mutombo, son Coordonnateur Général, annonce la tenue, pour ce samedi 23 août 2025, dans la salle LAPINA de FATIMA, dans la commune de la Gombe, d’une grande activité de reconnaissance et de mobilisation patriotique derrière Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour le pousser à réussir sa vision consistant à bâtir, durant son passage à la Magistrature suprême, une Nation forte, ambitieuse et prospère. Sont priées de participer à ce rendez-vous stratégique, toutes les ASBL et les forces vives de la République Démocratique du Congo, y compris les leaders politiques membres signataires de la charte de l’Union Sacrée de la Nation. Lisez et relisez, dans le communiqué ci-dessous, toutes les précisions nécessaires.
COLLECTIF DES MOUVEMENTS ASSOCIATIVES DE L’UNION SACREE DE LA NATION
«COL.M.A/USN»
COORDINATION GENERALE
MESSAGE DE SENSIBILISATION ET MOBILISATIONS DES ASBL, FORCES VIVES ET LEADERS POLITIQUES MEMBRES SIGNATAIRES DE LA CHARTE DE L’UNION SACREE DE LA NATION
Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA/USN en sigle, a l’insigne honneur de convier à toutes les asbl, les forces vives de la république démocratique du Congo et les leaders politiques membres signataires de la charte de l’union sacrée de la nation, à rehausser de leurs présences l’activité de reconnaissance et de la mobilisation patriotique, organisée en hommage de la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée, Son Excellence Monsieur le Président de la République Chef de l’Etat, Felix ANTOINE TSHISEKEDI TSHILOMBO, ce samedi 23 août 2025, dans la salle LAPINA de FATIMA dans la commune de la Gombe à partir de 08H30’ sous le thème principal : « La Coopération RDC –USA, une nouvelle ère politique pour la fin de la guerre et le début du développement durable en République Démocratique du Congo ».
En effet, motivés par les triples constats selon Lesquels :
-Primo : la signature des accords de paix de WASHINGTON avec le RWANDA et de DOHA avec les terroristes de AFC/M23 ;
-Secundo : la victoire diplomatique de la RDC dans le cadre de l’accord bilatéral RDC-USA qui est pour nous une opportunité d’affaire et de développement de notre pays.
-Tertio : les résultats positifs de la redynamisation de l’Union Sacrée amorcés et réussis que la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée de la Nation avait confiée au Secrétaire Permanant et Rapporteur de notre plateforme politique le Professeur Honorable André MBATA MANGU ;
C’est ainsi, nous profitions de cette occasion à travers le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation à remercier le Chef de l’Etat la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée, pour sa clairvoyance sur notre famille politique qui est l’espoir de tout un peuple. Voila pourquoi nous luis réitérons notre soutien indéfectible.
Cette rencontre de haute portée symbolique, initiée par le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation vise à sensibiliser les membres de la société civile, la jeunesse, les acteurs associatifs, les leaders politiques, les membres du gouvernement, les parlementaires et tous les patriotes engagés sur les enjeux politique actuels et à renforcer leurs participation active au processus de paix autour des valeurs de souveraineté, de dignité nationale et de soutien au leadership éclairé du Chef de l’État la haute autorité Politique de l’Union Sacrée
Pour terminer, le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation COLMA apporte son soutien au 2ème Congrès extraordinaire historique de l’Union Sacrée de la Nation que nous souhaitons bonne chance aux participants.
-QUE VIVE Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation
-Que vive l’Union Sacré de la Nation
-Que vive la République Démocratique du Congo et son président
Que Dieu bénisse le Congo
Pour Le Collectif des Mouvements Associatifs membres de l’Union Sacrée de la Nation
Dans un langage mêlant patriotisme et courage, Germain Kambinga, Leader du Mouvement Politique Le Centre, rappelle aux institutions nationales la nécessité d’accorder, courageusement, dans l’accomplissement de chacune de leurs missions étatiques, une importance soutenue et plus large à la crise sécuritaire croissante qui menace la RDC, précisément dans sa partie Est, en vue du retour d’une paix véritable. Dans sa toute dernière réflexion, publiée, d’ailleurs, sur son compte X, mercredi dernier, cet acteur politique majeur exprime ses vives inquiétudes sur ce qui, désormais, s’apparente, d’après lui, à la normalisation de la rébellion avec, notamment l’occupation, depuis plusieurs mois, de Goma et de Bukavu, dénonçant un risque avancé de sédition et de balkanisation de la RDC.
‘’Congolaises, congolais, frères et sœurs d’une même patrie. Je prends la parole ce 20 août 2025 au nom du Mouvement politique Le Centre pour tirer la sonnette d’alarme, réveiller la conscience collective, sur la normalisation à laquelle nous assistons autour du mouvement des congolais vers la rébellion. De plus en plus, nos compatriotes quittent le camp de la République pour adhérer à la rébellion. Nous sommes à un niveau critique où presque chacun de nous connait quelqu’un qui adhère à cette rébellion. Ce qui va se passer, si cela continue, c’est que chacun de nous aura au moins un membre de son clan dans cette rébellion. Ensuite, ce sera chacun de nous qui aura un membre de sa famille dans cette rébellion. Si nous atteignons ce niveau-là, la pertinence du combat patriotique pour la préservation des institutions, de notre démocratie et de notre souveraineté, perdra en force parce que les lignes de démarcation ne seront plus claires. Il y aura autant de congolais au cœur du combat institutionnel et autant dans le camp de ceux qui sont pour la sédition. Réveillons-nous. Que nous institutions démocratiques comprennent que nous ne devons pas perdre la bataille, de l’opinion intérieure de même que de l’opinion extérieure’’, alerte-t-il, dans son message, sur son compte X.
Place aux actions de grande envergure
Pour Germain Kambinga, il devient de plus en plus impérieux, pour le Gouvernement congolais, sous l’impulsion du Commandant suprême, le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, de casser l’élan d’endormissement collectif par une mobilisation nationale renforcée en vue de raviver la flamme de l’éveil patriotique et de planter le décor d’une défense fructueuse de la souveraineté et de l’étendue du territoire de la République démocratique du Congo.
‘’ Ce combat est crucial et presqu’aussi important que les victoires militaires que nous espérons parce que nous avons tous confiance à nos Forces armées qui, outillées, accompagnées, au prix du sacrifice suprême, se battront toujours pour notre indépendance. Mais, cette opinion nationale peut-être de plus en plus désespérée par l’habitude. Elle doit être vivifiée et réveillée. C’est le rôle des institutions politiques qui nous dirigent. Individuellement, en tant que Groupe politique ou Leader d’opinion, nous faisons notre part. Mais, si nous voulons embrasser l’ensemble de la République, par une mobilisation populaire, l’Etat doit s’impliquer. Il est important pour l’Etat de comprendre que faire de la propagande patriotique de terrain, en imitant le modèle des catholiques avec les CEVB, ou le modèle des Eglise de réveil avec les réunions permanentes de sensibilisation, en mobilisant la classe politique, pour des rencontres quotidiennes ou hebdomadaires avec les populations, revêt un caractère crucial’’, insiste, dans sa dynamique, l’Ancien Patron du secteur industriel congolais.
Maintenant ou jamais
‘’La politique ne peut pas être motivée que par le seul intérêt du positionnement, surtout dans les circonstances actuelles. Les politiques ou les leaders d’opinion n’ont qu’un seul devoir : sauver la patrie. Faire en sorte qu’il n’y ait pas une banalisation ou un entérinement sibyllin de la thèse de la rébellion. Et tant que le mouvement de la République vers la rébellion s’accélérera, la victoire que nous espérons deviendra de plus en plus chimérique. Ce message vise à réveiller les institutions qui nous dirigent. Attention, ne banalisons pas ce mouvement. Mobilisons-nous. Et c’est le Gouvernement de la République qui doit être à l’avant-garde de cette mobilisation, pas dans une logique protocolaire, évènementiel, mais dans une logique populaire. Le danger est à nos portes. Ne nous habituons pas à voir Goma, Bukavu et tous ces pans du territoire, occupés et présidés par le Rwanda via ses intermédiaires. Il nomme, il gère. Et, nous nous y habituons. Certains parmi nous le rejoignent et l’appuient. Non ! Nous ne l’acceptons pas. Que les institutions démocratiques se réveillent. Les Elus doivent pousser le Gouvernement à mobiliser le peuple pour faire corps. Nous pouvons faire mieux que ce qui se fait. Tout repose sur la volonté entière de ceux qui ont les moyens de l’Etat qu’ils doivent mettre à la disposition de cette cause. Le volontariat a ses limites parce que de l’autre côté, c’est une machine motivée, installée, encouragée, accompagnée, qui vise la balkanisation du Congo ou sa vassalisation. C’est une question de vie ou de mort pour notre pays. Voici notre interpellation à l’endroit de ceux qui nous dirigent. Ce réveil collectif est nécessaire’’, encourage, enfin, dans son même message, Germain Kambinga, Visionnaire du Mouvement Le Centre.
Le processus de paix pour la République Démocratique du Congo serait dans une impasse totale. Selon l'analyse du chercheur Franck Diongo, l'absence de volonté du gouvernement de Kinshasa aurait vidé de toute substance les négociations de Doha. A l’en croire, les mesures de confiance seraient bafouées, les accords jamais mis en œuvre et les promesses trahies. Face à un blocage qui semble délibéré, il tire la sonnette d’alarme sur le risque d'une escalade militaire imminente entre l’armée régulière des FARDC et les terroristes de l’AFC/M23.
Echec annoncé : impossible d’aboutir à un accord de paix à Doha dans les conditions actuelles. Voici pourquoi :
1. L’accord de principe signé à Doha le 19 juillet 2025 est resté lettre morte. Depuis 2024, chaque round de dialogue a révélé des divergences irréconciliables. Les mesures de confiance attendues ont été systématiquement bafouées.
A l’issue de la journée de réflexion réservée aux jeunes du parti politique ECIDE, tenue ce mardi 19 août 2025 à Kinshasa, Martin Fayulu Madidi, président de cette formation politique, est sorti de sa réserve pour balayer d’un revers de la main les accusations selon lesquelles il aurait tendu la main à Félix Tshisekedi pour de l’argent.
Après la rencontre qui avait eu lieu entre le président Félix Tshisekedi ainsi que l’opposant Martin Fayulu au palais du peuple, plusieurs réactions tendant à dérouter l’opinion ont été véhiculées dans les plateformes. On accuse le patron de l’ECIDE d’avoir visé l’argent. Une allégation fustigée par Fayulu qui affirme que l’idéal de leur rencontre était de sauver l’intégrité nationale, mettre sur la table la question de l’insécurité qui ronge énormément la partie Est du pays et non d’accepter de don empoisonné.
«Moi, j’ai été candidat président de la République. C’était pourquoi ? Pour m’amuser ? Non, c’était pour diriger ce beau pays qu’est la RDC. J’ai des défis à relever pour cette nation, mais je n’accepte pas de cadeau empoisonné. Je ne pratique pas la langue de bois. Si certains pensent qu’ils peuvent intimider les autres, en tout cas pas moi », a lancé celui qu’on surnomme « le Commandant du peuple ».
Par ailleurs, Fayulu a ajouté : « J’ai assumé plusieurs fonctions dans ma vie, notamment à l’Assemblée nationale. Qui peut dire qu’il m’a corrompu ? J’attends encore que l’on apporte la preuve que je me suis arrangé avec Félix Tshisekedi pour qu’il me donne le pouvoir. C’est un mensonge cousu de fil blanc. »
Évoquant son parcours, le président de l’ECIDé a souligné : « Je suis né ici, dans la capitale de la RDC, et j’ai gravi tous les échelons. J’ai été directeur d’une société pétrolière. Savez-vous ce que cela représente d’être Directeur général d’une société pétrolière au Nigeria ? C’était une fonction stratégique, je pouvais tout faire pour devenir millionnaire. Mais mon éthique et ma crainte de l’Éternel m’ont empêché de céder à la corruption. J’ai également travaillé à ExxonMobil comme Directeur général, avec siège en Éthiopie. Là encore, j’aurais pu, par la contrebande, m’enrichir illicitement. Posez-vous la question : ai-je pris l’argent de quelqu’un ? Non et non. Je vous mets au défi d’enquêter. »
Enfin, revenant sur le dialogue politique qu’il réclame, Fayulu a conclu : « Si nous allons au dialogue, que j’appelle de tous mes vœux et qui constitue la raison principale de mon combat, je me soumettrai aux décisions qui en sortiront ».
Prince Epenge, président de l’ADDCONGO et porte-parole de la coalition LAMUKA, arrivé à Kinshasa samedi 9 août 2025 après un séjour en Europe, a réagi au remaniement de Suminwa II.
Prenant la parole devant une foule immense à l’aéroport international de Ndjili, le président de l’ADDCONGO s’est exprimé en ces termes : « Nous avons refusé d’intégrer le Gouvernement Suminwa II, parce que nous de la coalition LAMUKA, nous voulons le bonheur du peuple congolais. Ce Gouvernement ne fera rien, on a fait que permuter les gens, rien de bon ne peut sortir de ce gouvernement et le peuple congolais ne va rien profiter’’, a-t-il dit
Avant de faire savoir que : "Félix Tshisekedi avait souhaité que LAMUKA intègre le nouveau gouvernement, mais nous avons refusé. L'urgence aujourd'hui, c'est pacifier le pays, c'est-à-dire, libérer les territoires occupés, réconcilier les congolais, et amorcer les réformes électorales, parce que nous sommes en deux ans et demi, soit 30 mois de la fin du mandat de Félix Tshisekedi. Pour nous, il est hors de question qu'on puisse différer le dialogue pour gagner du temps afin de préparer un glissement", a-t-il affirmé.
Et de poursuivre : " les congolais meurs en silence, on mange difficilement, et il n'y a pas d'emploi. Il faut qu'il y ait un cadre d'échanges pour que nous puissions réfléchir. Nous nous battons pour avoir le pouvoir, mais nous voulons un pouvoir avec dignité, un pouvoir pour résoudre les problèmes du pays, et non un pouvoir pour intimider les gens ou chercher l'honneur".
Pour rappel, Félix Tshisekedi a échangé, jeudi 5 juin dernier, avec l'opposant congolais Martin Fayulu, à Kinshasa. Accompagné de Prince Epenge et d'autres cadres de LAMUKA, le leader de l'Ecidé -Engagement citoyen pour le développement - a, à l’issue de près de 2 heures d’entrevue, réaffirmé motiver sa démarche dans le cadre de la cohésion nationale.
Interrogé sur une éventuelle participation dans les institutions, Martin Fayulu Madidi a répondu que ce point n’a pas fait l’objet de discussions. C’est depuis la rencontre de l’opposition à Genève en novembre 2018 que les deux personnalités avaient rompu leur collaboration.
Secrétaire-Rapporteur de l’Internationale Antifasciste RD Congo
C’est le 13 août 1926, un vendredi, que la terre a vu naître, un Grand Dirigeant, un Héros, l’homme de Moncada, le Commandant Éternel FIDEL CASTRO RUZ, une figure emblématique de la Révolution et de la politique cubaine. Cela fait, aujourd'hui, quatre-vingt-dix-neuf ans exactement que sa naissance incarne l'esprit de la lutte et de la Révolution, non seulement pour le peuple cubain héroïque qui a combattu depuis la petite île des Caraïbes, située à quelques kilomètres de la plus grande puissance impériale que l'humanité ait jamais connue. En rédigeant ainsi une page inédite de l'histoire. Mais également pour les travailleurs sans privilèges à travers le monde.
Son anniversaire nous rappelle son héritage, marqué par sa participation à la lutte contre le fascisme, l'impérialisme et le néocolonialisme. Et nous invite à réfléchir sur sa noble lutte qui a contribué à faire honneur aux travailleurs du monde ainsi qu'à ceux qui aspirent à un monde multipolaire. Ceux qui pensaient que l'élévation de l'Empire au rang de seule superpuissance, possédant une suprématie militaire et technologique sans pareil, aurait effrayé ou découragé le peuple cubain sont contraints d'admirer le courage accru de ce peuple valeureux.
Un jour emblématique comme celui-ci et synonyme de la venue d'un Grand Leader, nous galvanise et nous incite à affirmer haut et fort, au nom du peuple congolais uni sous l'égide de l'Union des Démocrates Socialistes, UDS, que nous ne fléchirons devant aucune menace, que nous résisterons à toutes les pressions et que nous sommes déterminés à défendre les principes de la Révolution par tous les moyens légaux nécessaires dans notre combat jusqu'au dernier souffle. Car, la lutte n’a jamais été aussi inégale.
Ce glorieux anniversaire m'offre l'occasion de rappeler, ici, l’héritage de la lutte de Fidel Castro Ruz.
Tout le monde en est conscient, c'est en sacrifiant son propre sang et en se servant des armes de l'adversaire que le peuple a renversé une tyrannie cruelle imposée par le gouvernement nord-américain, soutenue par une armée forte de quatre-vingt mille hommes.
La Révolution cubaine sous la houlette du Commandant Éternel Fidel Castro Ruz a libéré le Cuba, premier territoire en Amérique latine et dans les Caraïbes, de l'impérialisme. Le Cuba demeure donc le seul pays du continent américain où, durant l'histoire postcoloniale, des sanctions exemplaires ont été infligées aux bourreaux, aux meurtriers et aux criminels de guerre responsables de la mort de dizaines de milliers d'individus.
Sous sa direction, la Révolution Cubaine a restitué et redonné toutes les terres aux paysans et aux ouvriers agricoles. Le Cuba a repris le contrôle de ses ressources naturelles, ainsi que ses industries et services indispensables. Le peuple, combattant sans relâche nuit et jour, a mis fin à l'invasion mercenaire de Playa Girón orchestrée par un gouvernement américain en moins de soixante-douze heures. Cela a permis d'éviter une intervention militaire directe de ce dernier et une guerre aux conséquences incalculables.
Fidel Castro Ruz a laissé un héritage considérable : celui de la Révolution cubaine et de l'édification d'un État socialiste. Son règne a entraîné d'importantes transformations sociales et économiques. La Révolution a mené à l'établissement d'un État socialiste avec la nationalisation des entreprises et l'introduction de réformes socialistes dans l'ensemble des secteurs de la société.
Quelques jours seulement après sa publication, le Gouvernement Suminwa II entame une phase cruciale pour son installation effective. Cette semaine est, en effet, consacrée aux cérémonies de prise des pouvoirs dans plusieurs Ministères où le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a, soit, opéré des permutations, ou, soit encore, nommé de nouvelles têtes pour composer la charpente de la nouvelle équipe gouvernementale. Nommé Vice-premier Ministre en charge du Budget, c’est hier, mardi 12 août 2025, que M. Adolphe Muzito a officiellement pris ses fonctions. La cérémonie de passation des pouvoir avec son prédécesseur, Aimé Boji Sangara, s’est tenue, sous la conduite du Secrétaire Général du Gouvernement, au Centre financier de Kinshasa, situé dans la commune de la Gombe.
A cette occasion solennelle, le désormais VPM en charge du Budget a annoncé les grandes lignes des actions qu’il compte mener pour réussir sa mission, au grand bénéfice du peuple congolais. Sûr de son expertise riche, en tant que Premier Ministre Honoraire et Gestionnaire patenté des questions économiques majeures, Adolphe Muzito a affirmé avec sérénité sa détermination à initier activement des réformes et à assurer une gouvernance axée sur le pragmatisme pour réussir à doubler le budget de l’Etat.
‘’Je vais faire un effort pour doubler le budget national. Mais, tout dépend du temps que le Président de la République ainsi que la Première Ministre vont m’accorder. Il faudra continuer les réformes. Ce sont des sacrifices qu’on va imposer à notre peuple et à l’administration publique pour pouvoir réussir ces réformes. Mais, le plus grand défi, c’est celui de réaliser ce que le Président de la République a promis au peuple, particulièrement au peuple de l’Est, à savoir la relance des routes’’, a témoigné le VPM Adolphe Muzito.
Dans la même lignée, il salué le travail réalisé par son Prédécesseur, promettant d’instaurer comme seule boussole, dans l’accomplissement de sa mission, la vision du Président de la République, telle qu’endossée par le Gouvernement de la République que dirige la Première Ministre Judith Suminwa.
‘’Il faut faire preuve de loyauté au Chef de l’Etat qui nous a fait confiance. Non pas parce que vous auriez échoué, mais, bien au contraire, parce qu’il voulait réactiver l’action du Gouvernement en faisant une relative ouverture vis-à-vis de l’Opposition politique. C’est en cela que c’est encore un grand défi. Nous allons nous efforcer d’être à la mesure de la responsabilité et de la confiance qu’il nous a faite’’ a rassuré Adolphe Muzito, Vice-Premier Ministre du Budget, à l’occasion de son entrée en fonctions, au sein de l’équipe Suminwa II.