Ce lundi 21 octobre, KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel le plus âgé du monde depuis 1945, NDLR) et Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC sise au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:
⦁ Puissance nucléaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier
⦁ Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),
a visité le chantier de réparation des dégâts dans la Province Jagang (l’une des 4 provinces frontalières d’avec la Chine, NDLR),
⦁ accompagné de JO Yong Won et RI Il Hwan, Secrétaires du Comité Central (CC) du PTC, et d’autres cadres du CC du PTC
⦁ accueilli sur le terrain par PAK Hun, Vice-1er Ministre du Conseil des Ministres de la RPDC, PAK Song Chol, Secrétaire-en-chef du comité provincial du PTC, et les commandants des régiments de membres du PTC de toutes les Provinces mobilisés pour la réparation des dégâts.
Les bâtisseurs des régiments de membres du PTC envoyés pour exécuter la décision du CC du PTC de construire, au plus tôt, des logements magnifiques dans les régions des Provinces Nord-Phyongan, Jagang et Ryanggang fortement touchées par les inondations (fin juillet 2024) ont terminé, pour l’essentiel, la construction des logements grâce à leur lutte intense menée jour et nuit et impulsent, énergiquement, les travaux de l’intérieur à la dernière étape. KIM JONG UN a:
⦁ parcouru le chantier pour prendre, en détail, le pouls de la construction
⦁ encouragé, chaleureusement, les bâtisseurs qui, à l’appel du PTC, se donnent beaucoup de peine à ce poste-là difficile en faisant, pleinement, preuve de la pure conscience et de la grande loyauté ainsi que du dévouement profond pour le Peuple, du sens remarquable des responsabilités et des capacités d’action persévérante
⦁ apprécié, hautement, le mérite inestimable des combattants des régiments de membres du PTC qui, loin de leurs chers foyers et lieux de travail, se sont engagés sur le chantier en effervescence pour la population de la région sinistrée et donnent toute la mesure de leur fidélité à la mission et au devoir sublimes de membres du PTC (Il s’est déclaré satisfait de voir que les régions sinistrées réduites en ruine en un clin d’œil à cause de la catastrophe naturelle imprévue connaissent un changement après avoir effacé, déjà complètement, les traces de la calamité.)
⦁ proposé: Luttons énergiquement pour rapprocher le moment heureux de pouvoir offrir des logements excellents aux victimes des inondations qui doivent, même en ce moment, attendre avec impatience le jour où ils s’installeront dans des villages et des logements neufs.
⦁ relevé une série de défauts révélés dans l’élaboration de plans et la construction d’immeubles d’habitation à quelques étages et à nombreux étages dans la région sinistrée pour analyser leurs causes, précisant les mesures à prendre par l’Etat afin de remédier aux déviations apparues dans la réparation des dégâts, puis promouvoir, avec vigueur, la construction des provinces dans son ensemble.
⦁ fait remarquer: J’ai déjà souligné beaucoup que l’architecture est considérée comme le prolongement de la politique puisqu’elle est un critère qui montre, intuitivement, le niveau d’idéologie, de potentiel national et de civilisation, et qu’il faut, donc, ériger chaque construction au nom de la fierté, de la dignité et de l’honneur de notre Epoque; pourtant même actuellement, les négligences de qualité sont commises dans la construction. On doit corriger ces insuffisances. Les logements destinés aux sinistrés qui s’achèveront sous peu seront justement, eux aussi, à l’égal des créations monumentales surgissant un peu partout dans le Pays, des biens précieux de l’Etat et du Peuple à garantir à jamais. Aussi faut-il corriger, parfaitement, le moindre défaut et consacrer de plus grands efforts à l’assurance de l’impeccabilité. La construction des logements dans les régions sinistrées qu’on a prévu de terminer avant le début de ce novembre sera achevée avant le début de ce décembre. (Il a donné ses directives détaillées sur les mesures pratiques à prendre pour que la vie des sinistrés, y compris les élèves, en séjour à Pyongyang depuis ce 15 août, ne soit pas gênée en raison du prolongement de la construction des logements.)
⦁ déclaré: Actuellement grâce à la lutte héroïque de nos membres du PTC, de nos jeunes et de nos militaires de l’Armée Populaire de Corée (APC), grâce aussi à la bonne volonté du Peuple de tout le Pays, les logements pour sinistrés surgissent, successivement, sur tous les chantiers de réparation des dégâts du Pays. Cette énorme entreprise n’est pas seulement une simple question concernant la construction des logements, mais une question politique de haute importance pour sauvegarder le caractère de notre Régime socialiste ayant, pour son idéal, l’idée de primauté des masses populaires et manifester sa valeur. Tous les bâtisseurs redoubleront d’ardeur patriotique remarquable et de volonté irréductible pour terminer, avec succès, la construction des logements et les offrir, avec joie, aux sinistrés. (Il a défini les tâches qui s’imposent pour l’achèvement de la construction.)
⦁ insisté sur l’importance de rehausser, encore, l’exigence et le rôle des organismes de supervision du BTP (bâtiment et travaux publics)
⦁ proposé les tâches importantes consistant notamment à assurer, en temps voulu et de façon responsable, le transport et la fourniture de matériaux afin que les travaux de construction soient accomplis sans obstacle, à réussir le reboisement du quartier résidentiel, outre la construction des logements, et à garantir de bonnes conditions de vie aux bâtisseurs (Le Secrétariat du CC du PTC a décidé d’envoyer un nouveau Chef et un nouveau Responsable politique du commandement du chantier de réparation des dégâts dans la région de la Province Jagang.)
⦁ exprimé son espoir et sa certitude que les membres du PTC, les jeunes et les militaires de l’APC que le CC du PTC avait chargés, avec une forte confiance, de la lutte difficile, mais sacrée et exaltante, resteraient fidèles, jusqu’au bout, à leur lourde mission sur le chantier de construction patriotique pour la Patrie et le Peuple, les invitant, de tout cœur, à redoubler d’efforts pour créer, sans faute, un magnifique Paradis du Peuple dans la région sinistrée.
Tous les bâtisseurs ont pris leur ferme résolution de lutter vigoureusement pour leur Patrie socialiste en avivant les flammes de la fidélité et du patriotisme en réponse à l’appel ardent du CC du PTC.
All Stories
Après être baptisé vendredi dernier à Bruxelles dans un auditoire rempli des personnalités de marque, c’est autour des parisiens de découvrir le livre ‘’Le destin tragique d’un chevalier de la liberté’’, qui raconte le destin tragique de Franck Ngyke Kandungu, journaliste talentueux dont sa vie et celle de son épouse Hélène Mpaka, ont été arrachées de manière brusque et brutale ce, devant son domicile. Héritant de la plume de son père, Grâce Israëlla Mambu Kangundu Ngyke, journaliste et activiste engagée, auteure de cet ouvrage, milite pour la réparation morale et judiciaire des victimes de ces actes horribles.
Evènement tragique
Sans remord, ni humanisme, la vie de ce couple Franck Ngyke Kangundu et Hélène Mpaka, a été interrompue par une mort cruelle, dans leur domicile familial à Kinshasa, devant leurs enfants la nuit du 2 au 3 novembre 2005. Talentueux journaliste et humoriste, Franck Ngyke était également défenseur de la justice et de la démocratie dont son panache au quotidien ‟la Référence Plus” pouvait bien en témoigner.
Le cri de détresse lancé au Président Félix Tshisekedi
Ce livre porté par Grâce Ngyke s’inscrit non seulement dans la démarche de rendre un vibrant hommage à son père, mais également, vient renforcer ce plaidoyer initié en collaboration avec l’éditeur général de La Référence Plus ainsi que bien d’autres associations professionnelles des médias sur les assassinats de 22 journalistes en RD. Congo dont Franck Ngyke, pour qui, trois objectifs sont visés à travers les démarches entreprises : premièrement le cri de cœur adressé au Président de la République par un plaidoyer demandant la reconnaissance nationale de ces journalistes en tant que Martyrs de la liberté de la presse, puis en second lieu, la création d’une stèle en leur mémoire et enfin, prendre des mesures envisageables de réparation en faveur des familles des victimes.
Au-delà d’une apparence littéraire personnalisée, ‟Le destin tragique d’un chevalier de la liberté”, est une œuvre collective qui veut changer la donne et offrir un espace rassurant aux journalistes, d’exercer leur métier avec passion, tout en respectant l’éthique et déontologie les régissant, tout en restant intègre et juste dans la quête de la vérité à faire savoir au public. Ce récit de 182 pages reste disponible sur amazon.fr pour tout téléchargement.
Bedie Ilengola
Communiqué de Presse n°58/PR/KN/10/24
Présentation du Livre :
FRANCK NGYKE KANGUNDU, "LE DESTIN TRAGIQUE D'UN CHEVALIER DE LA LIBERTÉ"
Grâce Israëlla MAMBU KANGUNDU face à la presse internationale à Paris
L'Association Congolaise des Femmes Journalistes de la Presse Écrite (ACOFEPE) a le plaisir d’annoncer la présentation officielle du livre FRANCK NGYKE KANGUNDU, "LE DESTIN TRAGIQUE D'UN CHEVALIER DE LA LIBERTÉ", écrit par l'une de ses filles Grâce Israëlla MAMBU KANGUNDU NGYKE.
Cet événement exceptionnel se tiendra à la Maison des Journalistes à Paris, située au 35, rue Cauchy, 75015 Paris, France, le mercredi 23 octobre 2024 à 16h00.
Dans ce livre, Grâce Israëlla MAMBU KANGUNDU NGYKE retrace avec émotion l’histoire de son père, Franck NGYKE KANGUNDU, journaliste de renom, chef de rubrique politique au quotidien "La Référence Plus" assassiné avec son épouse Hélène Mpaka dans des circonstances tragiques la nuit du 02 au 03 novembre 2005 à Kinshasa, en République Démocratique du Congo.
À travers ce récit poignant, elle dévoile le parcours courageux de son père dans la défense de la liberté de la presse et son engagement pour la vérité, ainsi que les défis auxquels font face les familles des journalistes assassinés.
La présentation sera suivie d’une conférence de presse où Grâce Israëlla MAMBU KANGUNDU NGYKE échangera avec la presse internationale et les invités sur la nécessité du Plaidoyer pour la reconnaissance nationale des 22 journalistes assassinés en RDC, un combat auquel elle s’attache ardemment à travers l'ACOFEPE, le Groupe de Presse la RÉFÉRENCE et autres organisations professionnelles des médias et droits humains.
Nous invitons cordialement les journalistes, les défenseurs des droits humains, ainsi que le grand public à participer à cet événement symbolique qui de rendre hommage aux journalistes tombés dans l’exercice de leur métier.
Date : Mercredi 23 octobre 2024
Heure : 16h00
Lieu : Maison des Journalistes, 35 rue Cauchy, 75015 Paris, France
Le développement de la population vulnérable de la RDC devient du jour le jour la préoccupation des uns et des autres. Lors de sa dernière visite officielle à Bruxelles, Judith Suminwa, Première Ministre de la République Démocratique du Congo, a reçu quelques membres des différentes organisations. Ces derniers lui ont exposé leurs différentes initiatives visant à offrir des opportunités dans différents secteurs pour le soutien de la jeunesse congolaise parmi lesquels : l’éducation et le sport.
Pierre Kompany, à la tête d’un groupe engagé, a présenté les initiatives de l’association « Samia » et de la « Friendly Foot Association ». Ces organisations se consacrent à l’éducation et au sport, des domaines essentiels pour encadrer et soutenir la jeunesse défavorisée, tant en RDC qu’au Sénégal et ailleurs. Leur approche vise à offrir des opportunités éducatives et sportives, contribuant ainsi à la formation de citoyens responsables et engagés.
« Après cette rencontre, je crois que c’est une belle opportunité pour que les projets que nous menons soient connus des responsables du pays», a affirmé Pierre Kompany.
La baronne Sophie de Jacques, également présente, a souligné l’importance de lutter contre les violences faites aux femmes et aux jeunes en situation vulnérable. Son engagement met en avant les défis persistants auxquels sont confrontés ces groupes, et elle a plaidé pour un soutien accru afin de créer des environnements sûrs et inclusifs.
L’audience a également permis d’échanger sur la possibilité de collaborer sur des projets concrets destinés à la jeunesse. En présence du ministre de la Communication et Médias, les discussions ont porté sur la valorisation et la gestion des infrastructures sportives laissées par les Jeux de la Francophonie. Ces installations représentent une opportunité précieuse pour développer le sport en RDC, mais nécessitent une planification et un investissement adéquats.
Un point crucial évoqué lors de cette rencontre a été l’augmentation significative des investissements dans le secteur sportif depuis l’avènement du Gouvernement Suminwa. L’accent mis sur le sport en tant qu’outil de développement et de cohésion sociale reflète une volonté politique forte d’améliorer les conditions de vie des jeunes Congolais. Aussi, dans le pilier 4 de son programme d’Actions, le Gouvernement Suminwa considère le sport comme l’un des leviers du rayonnement du pays et de l’amélioration de la santé de Congolais, en vue d’avoir une classe de citoyens sains de corps et d’esprit capables de contribuer au développement du pays.
Cette audience avec la Première Ministre représente un tournant dans l’engagement du Gouvernement congolais envers sa jeunesse. En mettant en avant des projets éducatifs et sportifs, il est possible de créer un avenir meilleur pour les jeunes, en leur offrant les outils nécessaires pour surmonter les obstacles et s’épanouir dans un environnement propice au développement.
La Pros/Cellcom Primature
Le Vice-Premier ministre et ministre de la Défense et anciens combattants Guy Kabombo Muadiamvita et son homologue centrafricain Rameaux-Claude Bireau, en charge de la Défense et de la reconstruction de l'armée centrafricaine, ont signé vendredi 18 octobre dernier à Kinshasa un accord de coopération militaire.
Ce partenariat militaire entre les deux pays vise à renforcer la collaboration entre les forces armées de deux pays. Et pour but : lutter efficacement contre les défis sécuritaires communs et promouvoir ainsi la paix et la stabilité dans la région.
L'accord prévoit notamment des échanges de renseignements, et la mise en place de stratégies pour sécuriser la frontière commune. Cette initiative survient deux semaines après la visite du ministre Kabombo dans le Bas-Uelé dans le Nord de la RDC, une région souvent ciblée par des incursions de rebelles centrafricains et d'éleveurs transhumants Mbororo
Cette collaboration militaire entre Kinshasa et Bangui marque une nouvelle ère de partenariat stratégique et de solidarité régionale, indique le ministère congolais de la Défense.
La Pros.
L’Inspection générale des Finances (IGF) invite, à travers un communiqué, la ministre de la Formation professionnelle, Antoinette Kipulu, de restituer plus d’un million de dollars américains retirés illégalement par le biais de son conseiller financier auprès du comptable public affecté au ministère. Le chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF), Jules Alingete, tape du poing sur la table et rappelle Antoinette Kipulu à l’ordre et demande aux services de la Direction Générale de Migration de bloquer la sortie aux personnes qui ont des soucis avec la justice.
L’Inspection générale des finances (IGF) vient d’alerter l’opinion sur une tentative de détournement de fonds publics à la hauteur d’1,1 million de dollars américains au ministère de la Formation professionnelle. Ces fonds rendus disponibles par le gouvernement central représentent l’enveloppe destinée aux frais de fonctionnement du ministère.
Pour arrêter l’hémorragie et garantir une gouvernance saine des fonds de l’Etat, l’inspecteur chef de service de l’IGF, Jules Alingete, demande à la ministre de la Formation professionnelle, Antoinette Kipulu, de restituer ces fonds à l’office du comptable public.
Dans une correspondance adressée à la ministre de la Formation professionnelle, Jules Alingete estime que celle-ci a l’obligation de respecter scrupuleusement la loi qui régit la gestion des fonds publics en RDC.
« Il me revient du contrôle en cours dans vos services que votre ministère a reçu du Trésor public pour son fonctionnement en date des 12 et 13 juillet 2021 respectivement 778 735 USD et 750 322 200 CDF (375 161 USD) », relève Jules Alingete. D’après la correspondance de l’inspecteur chef de service de l’IGF, les fonds ci-haut identifiés ont été aussitôt retirés auprès du comptable public affecté au cabinet de la ministre de la Formation professionnelle par le conseiller financier de cette dernière sur base d’une décharge, sans aucun motif valable.
« Un comportement qui constitue une tentative de détournement de deniers publics dans le chef de votre conseiller au sens de l’article 95 du décret 13/050 du 06/12/2013, portant code général sur la comptabilité publique qui dispose que les opérations de Trésorerie sont exécutées exclusivement par les comptables publics », insiste Jules Alingete.
Le chef de service de l’Inspection générale des finances recommande à la ministre de la Formation professionnelle, Antoinette Kipulu, d’exiger à son conseiller financier la restitution de l’ensemble des fonds retirés et de se conformer en même temps à la loi quant à leur utilisation.
Détourneurs millionnaires
Depuis quelques temps, les fonds publics ne cessent de faire l’objet de détournements. Les auteurs de ces détournements sont souvent identifiés parmi ceux-là même qui ont la charge de bien gérer les sources financières de la République. Curieusement, les fonds « détournés » ne se chiffrent qu’en millions de dollars américains. Une situation qui ne peut nullement favoriser la reconstruction du pays tant souhaitée par des milliers de Congolaises et Congolais.
Pas plus tard qu’il y a quatre mois, deux cadres du ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et technique ont été reconnus coupables de détournement de quelques millions de dollars américains destinés, notamment à la paie du personnel enseignant ainsi qu’à la préparation des épreuves d’Etat. À l’heure actuelle, ils croupissent en prison et sont obligés de purger leurs peines allant jusqu’à vingt ans de servitude pénale.
L’Etat congolais se voit donc dans l’obligation de bien organiser ses services de manière à éviter des situations de détournements en millions à répétition. C’est alors que le pays peut espérer faire réellement face à ses charges et assurer correctement le mieux-être des citoyens dont les attentes sont encore loin d’être satisfaites.
Jackson Mutamba
L'Observatoire de la Liberté de la Presse en Afrique (OLPA) condamne avec la dernière énergie les mauvais traitements subis par Eliezer Pithua, journaliste à Radio Télé Fads Mahagi (RTFM), station communautaire émettant à Mahagi-centre, à 160 kms de Bunia, chef-lieu de la province de l'Ituri, au Nord-est de République Démocratique du Congo (RDC).
Le journaliste a été kidnappé, le 18 octobre 2024 par des hommes armés, alors qu'il accompagnait une délégation d'un organisme gouvernemental dénommé Programme de désarmement, démobilisation, relèvement communautaire et stabilisation (PDDRC-S), dans la chefferie de Walendu Watsi, contrôlée par des miliciens de Codeco (Coopérative pour le développement du Congo), pour y effectuer un reportage sur la reddition des miliciens. C'est sur le chemin de retour que le journaliste a été pris en otage avec les membres de PDDRC-S.
Le journaliste a été copieusement battu, puis placé dans une cellule de Codeco et soumis à un interrogatoire serré par les miliciens qui accusaient le journaliste et la délégation d'avoir tenté de contourner une barrière de la milice pour se rendre vers la localité Katanga. Tous les effets du journaliste ont été confisqués. Il a été libéré, le 19 octobre 2024, après paiement par sa rédaction d’une rançon de 500 dollars américains. Eliezer Pithua s’en est sorti avec plusieurs lésions corporelles.
Au regard de ce qui précède, OLPA condamne les actes de torture sur la personne d'un professionnel de la presse en mission. Il s'agit manifestement d'une violation grave du droit d'informer et d'être informé garanti par la législation nationale et les instruments juridiques internationaux relatifs aux droits de l'homme.
En conséquence, OLPA appelle les forces de défense et de sécurité à ne ménager aucun effort pour que les auteurs des actes de torture ne jouissent de l'impunité.
Le Président de l'Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe a échangé le mardi 22 Octobre 2024 avec le Premier Président de la Cour des comptes, Jimmy Munganga Ngwaka venu lui présenter les résolutions de la première session extraordinaire du Conseil Supérieur de la Cour des comptes tenue du 7 au 11 Octobre dernier.
« La primeur des résolutions de la Première session extraordinaire du Conseil Supérieur de la Cour des comptes revient au Président de la République après avis de l'Assemblée Nationale. Mais il faut noter que les propositions faites tournent autour du recrutement des Magistrats de la Cour des comptes, du départ à la retraite des Magistrats ayant atteints l'âge de la retraite, les vacances des postes ainsi que la promotion des Magistrats » a précisé Jimmy Munganga Ngwaka
En effet, conformément aux prescrits de l'article 41 de la loi organique n⁰18/024 du 13 Novembre 2018 portant composition, organisation et fonctionnement de la Cour des comptes ainsi que l'article 33 du Règlement intérieur du Conseil Supérieur de la Cour des comptes, les propositions dudit Conseil relatives à la carrière des Magistrats doivent recevoir l'Avis de l'Assemblée Nationale avant leur sanction par ordonnance Présidentielle.
Cellule de communication Assemblee Nationale
Le Réseau d’information et d’appui aux ONG (RIAO-RDC), se réjouit de la désignation de Monsieur Jean Muntuabu Luabeya en tant que Président du Conseil d'Administration (PCA) de l’entreprise Plantations et Huileries du Congo (PHC). En effet, le profil de Monsieur Muntuabu répond parfaitement aux attentes de la Société Civile. Cette dernière se réjouit également du respect scrupuleux des statuts de la société et des procédures légales de l’acte uniforme de l’OHADA. La désignation par l’autorité de tutelle suivie de l’élection par les membres de l’assemblée générale de PHC d’un nouveau PCA marque un tournant décisif dans la gouvernance de l’entreprise, et ouvre de nouvelles perspectives de dialogue et de coopération avec les communautés locales et les autorités publiques.
Une réponse aux attentes de la Société Civile
En avril dernier, RIAO-RDC avait appelé à mettre fin au doute qui régnait concernant la gouvernance de PHC selon les écrits qui circulaient dans certains médias. L’élection de Monsieur Jean MUNTUABU LUABEYA comme Président du Conseil d’Administration (PCA) de PHC, après une période d'intérim assumée par Monsieur Blanchard BOTHO LISASI, apparaît ainsi comme une réponse concrète à cet appel.
Cette nouvelle étape dans la gouvernance de PHC est le reflet d’un climat de bonne entente entre ses actionnaires, ce qui ne manquera pas de réconforter toutes les parties prenantes de cette grande entreprise, y compris les communautés environnantes des sites d’activité de PHC à Boteka dans la province de l’Equateur, à Yaligimba dans la province de la Mongala et à Lokutu dans la province de la Tshopo. L’approbation de Monsieur Jean MUNTUABU LUABEYA comme PCA de PHC par tous les actionnaires de PHC est un indicateur de stabilité dans la gouvernance de PHC et un gage de continuité dans la croissance que cette entreprise connaît depuis quelques années. Les dix mille employés de PHC et leurs familles, de même que les membres des communautés riveraines des sites d’activité de PHC se réjouissent en sachant que l’impact positif que cette entreprise apporte dans leurs vies ne fera que croître davantage.
Le nouveau PCA a la confiance des investisseurs
L’élection à l’unanimité de Monsieur Jean MUNTUABU LUABEYA à la tête du Conseil d’Administration de PHC en suivant les règles établies par les statuts de PHC et en conformité avec les textes de l’OHADA démontre la confiance des actionnaires à travers leurs représentants sur le Conseil d’administration envers le nouveau PCA, et envoie un signal positif censé renforcer la confiance des investisseurs dans le climat des affaires en République démocratique du Congo. L’État congolais doit favoriser un bon climat des affaires et soutenir les investisseurs, car leur apport en capitaux contribue à la création d’emplois et amène beaucoup d’avantages socioéconomiques à nos populations.
PHC, un exemple d’entreprise socialement responsable
Les efforts de PHC comme employeur et son engagement à une croissance verte et durable sont assurément remarquables. Ces trois dernières années, PHC a ajouté 3 500 employés sur son personnel, ce qui correspond à une croissance de 54%. En plus de l'emploi, l’entreprise possède quatre grands hôpitaux ayant un total de 460 lits et offrant des soins de qualité gratuits à ses 10 000 employés et leurs familles et à des coûts fortement subsidiés à plus de 150 000 personnes en milieu rural.
PHC a construit plus de 70 forages pour fournir de l’eau potable aux membres des communautés riveraines de PHC. De même, PHC a construit et réhabilité en milieu rural une trentaine d’écoles primaires qui étaient dans un état déplorable. L'objectif est de garantir aux enfants une scolarisation dans des conditions dignes.
Une collaboration bénéfique pour les communautés locales
Par ailleurs, les ONGs comme RIAO-RDC jouent un rôle clé en veillant à maintenir un équilibre entre les intérêts des entreprises et ceux des populations. Elles ne sont pas les adversaires des entreprises, mais des partenaires qui veillent à ce que les intérêts de toutes les parties prenantes soient préservés. La protection des droits des communautés et la médiation avec les sociétés commerciales sont essentielles pour garantir un développement inclusif et durable.
Un partenariat pour un avenir durable
Le nouveau climat de coopération qui existe entre les communautés et la société PHC est un grand pas dans la bonne direction. Cette coopération doit être renforcée et pérennisée par des actions de développement communautaire entreprises par la société à travers la Fondation PHC et par l’engagement des membres des communautés à respecter les droits, les biens et la concession de PHC. RIAO-RDC réaffirme son engagement à jouer pleinement son rôle d’intermédiaire entre les communautés et PHC, afin de garantir un partenariat mutuellement bénéfique. En tant que défenseur des droits de l’homme, RIAO-RDC est prêt à collaborer étroitement avec PHC pour veiller à ce que les communautés locales bénéficient pleinement des activités de l'entreprise, que les droits de tous soient respectés, et que toutes les parties prenantes puissent aspirer à une coexistence pacifique et un développement harmonieux et prospère.
Jean-François MOMBIA ATUKU
PCA, RIAO-RDC
La Directrice Générale Adjointe du Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI), Bassiala Nlandu Djena vient de boucler son séjour de travail dans la province du Haut-Katanga. Le but de sa mission effectuée du 10 au 20 octobre auprès des entités provinciales du FPI, vise l’amélioration des conditions de travail et l’optimisation du rendement.
Première étape du périple, ville de Lubumbashi où la DGA a visité les installations de la Direction Provinciale du FPI. Lors de son entretien avec les agents et cadres, elle a recueilli les préoccupations et les difficultés auxquelles les travailleurs font face dans l'exercice de leurs fonctions. La DGA a passé en revue neuf projets au total. Elle a évalué leur niveau d'exécution et a saisi l’occasion pour identifier les difficultés rencontrées par les partenaires du FPI.
Parmi les projets inspectés, la société REVIN SARL qui produit de l'eau minérale et des boissons gazeuses. La DGA a été flattée par la modernité de l'usine de cette entreprise. Elle s'est également rendue tour à tour à ANADOS, une unité spécialisée dans la fabrication des anodes en alliage de plomb, à CONGO PIPING qui fabrique des tuyaux, à Congo Câbles et Transformers qui fabriquent des barres de suspension en cuivre et des câbles électriques en aluminium et en cuivre.
La DGA a poursuivi son marathon lushois à Mining Engineering Services (M.E.S), une société de recyclage des huiles usées, issues de l'exploitation minière et à Rainbow Katanga, une compagnie de fabrication des détergents. Elle a exprimé sa satisfaction quant au niveau d'exécution de l'ensemble des projets tout en soulignant l'obligation de rembourser les crédits du FPI dans le respect des échéances. «Aucun retard ne sera toléré», a-t-elle insisté.
Deux projets sont particulièrement sortis du lot lors de la seconde série de visites. Le premier, Bags and Sacs Katanga, spécialisé dans la fabrication des sacs pour l'emballage des minerais, du ciment et des produits agricoles. Un projet qui poursuit son expansion. Le second projet du même groupe est, celui de fabrication des structures métalliques. Impressionnée par leur ingéniosité, la DGA Bassiala a salué l'impact positif de ces entreprises dans la création des emplois car elles font partie de la vision du Chef de l'État, Félix Tshisekedi.
INERA KIPOPO est un autre projet qui suscite l’espoir. Il a bénéficié du soutien du FPI pour relancer ses activités de recherche et développement de la production piscicole. Au cours d'une rencontre entre la délégation du FPI et les représentants de l’INERA KIPOPO, les discussions ont porté sur l'utilisation des fonds. La DGA a été informée des avancées du projet. C'est ainsi qu'elle s'est rendue sur les étangs pour observer les activités en cours.
La DGA du FPI a, ensuite poursuivi sa mission à plus de 200 kilomètres de Lubumbashi, dans le territoire de Sakania, frontalier de la Zambie, avant de se rendre à Mokambo et à l’Agence de Kasumbalesa. Dans chacune de ces entités, Bassiala Nlandu a rencontré les agents et recueilli toutes les doléances quant à leurs conditions de travail. Au terme des échanges avec les agents, elle a promis de transmettre les préoccupations à la hiérarchie à Kinshasa.
La DGA a aussi fait un état des lieux du patrimoine du FPI dans cette province. Accompagnée du Directeur Provincial Jean-Marie Nkulu, elle a visité certains biens dont les bâtiments appartenant à l'établissement public en vue de les viabiliser et les rendre rentables.
Il faut noter que cette mission est une sorte d'immersion auprès des Entités Provinciales du FPI.
Cellule de Communication et Presse du FPI
Bruno Tshibangu Kabaji, Directeur Général par intérim de l'Agence Nationale pour la Promotion des Investissements (ANAPI), a échangé, samedi dernier, à Fleuve Congo Hôtel, situé à la Gombe, à Kinshasa, avec une forte délégation d'investisseurs américains de la société ESG Clean Energy. Ces investisseurs sont en phase de prospection pour l'installation de leur société à Kinshasa, visant à mettre en œuvre divers projets dans les domaines de l'énergie, des infrastructures, du développement du capital humain et de la construction.
Lors de cette rencontre, le Professeur Bruno Tshibangu Kabaji a présenté successivement la vision de développement de son Excellence Monsieur le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, ses principaux axes et piliers d’une part, le cadre légal des investissements en RDC, les missions de l'ANAPI et les opportunités d'affaires disponibles, d’autre part. Il a également assuré la délégation de l'accompagnement continu de l'ANAPI, conformément aux missions statutaires lui dévolues.
En République Démocratique du Congo, ils se concentrent sur plusieurs projets clés pour promouvoir l'énergie verte et soutenir le développement économique.
Voici quelques-unes de leurs activités principales :
1. Energie solaire : ESG Clean Energy développe des projets de production d'énergie solaire à grande échelle, comme le projet de centrale solaire photovoltaïque de 100 MWac à Kolwezi, dans le sud-est de la RDC. Ce projet vise à fournir de l'électricité verte à la population et à soutenir les opérations minières et l'activité économique locale.
2. Infrastructures : Ils travaillent sur des projets d'infrastructure pour améliorer l'accès à l'énergie dans le pays notamment, en construisant des mini-réseaux solaires pour desservir des communautés éloignées.
3. Développement du capital humain : ESG Clean Energy investit dans des programmes de formation et de développement des compétences pour les communautés locales, afin de les préparer à participer aux projets d'énergie verte et de stimuler l'emploi local.
4. Réduction des émissions de gaz à effet de serre : en collaboration avec le Gouvernement de la RDC, ESG Clean Energy contribue à la réduction des émissions de gaz à effet de serre en augmentant l'utilisation des énergies renouvelables et en améliorant l'efficacité énergétique.
Ces initiatives montrent l'engagement de l'entreprise à promouvoir un développement durable et à contribuer à la transition énergétique en République Démocratique du Congo.
La Pros.
C’est à Kinshasa, précisément au Cercle Elaïs, situé dans la commune de la Gombe, que le Fonds National REDD+ a tenu, ce mardi 22 octobre 2024, dans le cadre du programme de Paiements pour les Services Environnementaux (PSE), son atelier consacré à la validation des outils standardisés. Cette activité a connu la participation de plusieurs responsables venus de différents services du Ministère de l’Environnement et Développement durable, dirigé par Madame Eve Bazaïba Masudi, et d’autres invités représentant des partenaires dont CAFI.
Il convient de relever que les PSE dont il est question est un projet vert destiné à encourager les bonnes pratiques, notamment en matière d’utilisation des terres, d’agroforesterie et de culture vivrière en vue de la préservation optimale des écosystèmes forestiers en République démocratique du Congo. Ce programme fait partie intégrante du cadre programmatique que le Gouvernement de la République, sous la vision édictée par le Président de la République, Félix Tshisekedi, a négocié avec CAFI, son partenaire de financement, depuis le mois de mai 2022.
‘’Vous devez savoir que le Programme des Paiements des Services Environnementaux a été intégré dans le cadre programmatique que le Gouvernement de la République a négocié avec son partenaire de financement, CAFI, au mois de mai 2022. Par ce programme, nous voudrions rétribuer les bonnes pratiques en matière d’utilisation des terres, en matière d’agroforesterie, en matière de culture pérenne, en matière de culture vivrière… Ici, nous rétribuons les bonnes pratiques. Pour y arriver, comme c’est un programme sous-régional que CAFI pilote avec tous les pays qui ont adhéré à son initiative. Nous nous sommes accordés au niveau des instances du Gouvernement, avec CAFI et les autres partenaires, la Société civile, à uniformiser et standardiser les outils et les schémas pour arriver à une bonne gestion des mécanismes de Paiement des Services Environnementaux (PSE)’’, a souligné Bavon N’sa Mputu, Secrétaire Exécutif du Fonaredd. Il a également renseigné que ce même programme vise être, très rapidement, répandu sur l’ensemble du pays, pour avoir un impact remarquable sur toutes les couches sociales des populations.
‘’Ce n’est plus un programme sectoriel territorial… C’est un programme national qui va devoir se déployer sur toute l’étendue du territoire national. Mais, naturellement, nous allons y aller par étape. C’est-à-dire, en partant des expériences acquises dans le Piredd, tous ces efforts qui interviennent pour la gestion durable des espaces, en vue de soulager la pression des hommes sur les écosystèmes forestiers. Ces différentes expériences nous servent aujourd’hui de prérequis pour développer le PSE’’, a indiqué le Secrétaire exécutif Bavon N’sa Mputu, au terme de l’activité, justement, après des échanges enrichissants autour des défis majeurs à relever, dans le cadre des PSE, en RD. Congo, pays solution, en prélude à un grand atelier auquel va participer le Min’Etat, Eve Bazaïba.
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A la Cité de l’Union Africaine, sur les hauteurs du Mont Ngaliema, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, en sa qualité de Magistrat suprême, a, lundi dernier, battu le rappel des troupes.
Il a, en effet, réuni les responsables du secteur de la Justice pour faire l’état des lieux de ce secteur important et envisager des mesures nouvelles à appliquer pour répondre aux attentes des populations. Constant Mutamba Tungunga, Ministre de la Justice, Dieudonné Kamuleta, Président de la Cour constitutionnelle, et les officiers supérieurs en charge de la Justice militaire ont tous reçu, lors de cet entretien stratégique de plus de trois heures, des orientation et instructions fermes pour parvenir à produire un travail de qualité devant, effectivement, renforcer les progrès accomplis pour l’avènement d’un véritable Etat de droit en République démocratique du Congo.
‘’Il était question d’échanger autour de toutes les questions qui touchent à la nation congolaise et particulièrement à la Justice en vue d’améliorer l’administration de cette dernière’’, a rassuré le Président de la Cour Constitutionnelle et du Conseil supérieur de la Magistrature, Dieudonné Kamuleta Badibanga, à l’issue de l’audience leur accordée par le Président de la République, à la Cité de l’Union Africaine. De même, Constant Mutamba Tungunga, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, pour sa part, a expliqué avoir eu l’occasion de recevoir du Magistrat suprême les directives nécessaires pour foncer dans une dynamique visant à mieux administrer son secteur qui, du reste, a longtemps été considéré comme étant malade. ‘’Le Magistrat suprême nous a dicté des orientations précises pour voir dans quelle mesure améliorer la manière d’administrer notre Justice au bien ou pour le mieux de notre peuple’’, a déclaré, brièvement, devant la presse, au sortir de la rencontre, le Ministre d’Etat Constant Mutamba.
La Pros.
Le Président de la République Démocratique du Congo devra se rendre de mercredi 23 octobre à Kisangani dans la province de la Tshopo, pour entre autres, inaugurer l’aéroport de Bangoka et d’autres infrastructures qui y sont construites et réhabilitées.
Dans la délégation du Chef de l’Etat, des membres du gouvernement dont le Ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde, qui, dans le cadre de ce voyage, prévoit des échanges avec les responsables des régies financières afin de les booster à mobiliser davantage les recettes.
Il faut noter que les travaux de réhabilitation de l’aéroport de Kisangani ont consisté notamment, en l’élargissement de la piste d’atterrissage à une largeur de 60 mètres et une longueur de 3 500 mètres. Il était également question du renforcement et de l’extension du tarmac et du balisage de la piste.
La Pros.