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Dysfonctionnement dans le fonctionnement de la Justice, Me Kalala Muena Mpala écrit au Directeur de Cabinet de Félix Tshisekedi

Objet : Invitation à vous ou au Président de se prononcer sur chaque préoccupation de chacune des mes lettres.
Monsieur le Directeur,
Ampliataire de mes lettres N/Réf. : 003.01/CAB/KMM/2023, n° N/Réf. : 004.01/CAB/KMM/2023, N/Réf. : 006.01/CAB/KMM/2023, toutes adressées au Président de la de la République, Magistrat Suprême, vous avez lu et compris ma préoccupation par rapport au souci permanent du Magistrat Suprême de voir Monsieur le Président animer cette haute Cour conformément aux lois de la République et à la loyauté et à la fidélité promises par tout haut magistrat, de ses écritures suprême (différentes lois parmi lesquelles la loi du barreau à ses articles 4, 5 du chapitre I et 103 à 111 du chapitre VI où sont exclus les avocats à la Cour d’Appel, inscrits au tableau et à la liste de stage.
Vous êtes, avant lui, le premier à me lire et comprendre le sens et la portée des dispositions légales pertinentes concernant spécialement la Cour Constitutionnelle.
Je vous les rappelle et les libelle ici en leurs termes authentiques à combiner avec ceux antérieurs du chapitre VI de la loi du barreau :
Article 109 : Sauf disposition contraire de la présente loi organique, les règles ordinaires de la procédure pénale en matière d’instruction, de représentation des parties, du prononcé et de l’exécution de l’Arrêt sont applicables devant la Cour Constitutionnelle.
Article 119: « Sont abrogés les Titres III et IV de l’ordonnance 82/017 du 31/03/1982 »
Monsieur le Directeur de Cabinet,
Même si vous êtes encore Magistrat à la Cour d’Appel comme vous avez signalé au bas de votre lettre, vous avez déjà compris que le Titre I de la procédure devant la Cour Suprême de Justice est sauvegardé et mis, depuis Octobre 2013, à la disposition non seulement des hauts magistrats de la Cour Constitutionnelle mais aussi de tous les avocats.
Nommés Présidents de la même Cour Constitutionnelle, ses illustres prédécesseurs n’avaient jamais appliqué les articles 2, 3, 5 dudit Titre I et ces articles 109 et 119.
Monsieur le Directeur de Cabinet,
Avant KAMULETA, il y a eu KALUBA et LUAMBA lesquels, venant tous déjà de la haute sphère, auraient lu l’article 119 et devaient avoir compris, comme vous aujourd’hui, qu’aucun avocat à la Cour d’Appel, même s’il est actuellement membre du Conseil National de l’Ordre des Avocats n’est programmé devant la haute Cour judiciaire.
En leur qualité de Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, ces anciens Présidents avaient, en violation de leur parole donnée publiquement au Magistrat Suprême de respecter les lois (art. 2, 3 et 5 du Titre I mis à leur disposition par l’article 119 de la loi organique et 103 à 111 de la loi en vigueur du barreau), admis ds avocats de fond et même des parties elles-mêmes.
Souvenez-vous de la requête signée et la comparution personnelle de Théodore NGOY, candidat malheureux aux présidentielles de 2021.
Monsieur le Directeur de Cabinet,
Vous avez compris que, hauts magistrats de la dernière catégorie du statut des magistrats à laquelle vous n’appartenez pas encore, dans l’ordre hiérarchique des Magistrats, votre chef et d’autres membres ne doivent pas déclarer recevable une requête introduite ou un mémoire en réponse déposé au greffe de la Cour Constitutionnelle.
Organe uniquement de la loi et pas de la jurisprudence ou de la doctrine ou encore des principes généraux de droit (voir art. 153 al. 4 de la Constitution), Monsieur le Procureur Général MUKOLO confirmera à votre Chef cette exclusion totale, en toutes les procédures de la Cour Constitutionnelle, de tous les avocats congolais de la RDC qui, sans troisième serment devant la Cour Suprême de Justice, ne sont pas avocats de cassation ou « cassationistes » et, par conséquent, exclus de toutes les hautes juridictions de la RDC et de la CCJA, Commune Juridiction de Cassation.
Si vous connaissez un magistrat ou un avocat mongo, demandez-lui de vous traduire « ISANO YA LIKO OTSHIKELA NKEMA ».
Monsieur le Directeur de Cabinet,
En ce moment où le Président de la République Française Emmanuel MACRON séjourne à Kinshasa, pays francophone, je vous exhorte de conseiller le Président de la Cour Constitutionnelle de me répondre, de sa main, avec copies à son Excellence Monsieur le Président de la République Démocratique du Congo lequel, Magistrat Suprême, ne cesse d’attendre, de la Cour Constitutionnelle ou du Conseil Supérieur de la Magistrature et de tous les autres Magistrats, surtout ceux des hautes juridictions de la RDC, la marche dans la direction indiquée par lui en sa qualité de garant du bon fonctionnement des institutions judiciaires de la République.
Aidons, en ce mois de Mars, le Magistrat Suprême à réussir le bon fonctionnement des institutions judiciaires par le respect des articles 150 al. 2 et 153 al. 4 de la Constitution.
Madame Nicole BWATCHA, de ma part, détient, depuis 2021, une photocopie d’un Arrêt de la Cour de Cassation de Belgique ayant décrété l’irrecevabilité de la requête du requérant en matière de prise à partie.
En annexe, notre contribution au bon fonctionnement du Conseil d’Etat au plan de la représentation des parties devant le Conseil d’Etat.
Monsieur le Directeur de Cabinet,
Consultez utilement le mot du Professeur BALANDA MIKWIN LELIEL devant le Magistrat Suprême lors de la rentrée judiciaire 2022-2023 de la Cour Constitutionnelle à propos de cette problématique.
Cet ancien Premier Président de la glorieuse Cour Suprême de Justice peut vous confirmer qu’aucun avocat de fond n’avait déjà comparu devant la plus haute juridiction de la RDC.
Monsieur le Directeur de Cabinet,
Le Magistrat Suprême attend votre réaction à la présente pour évaluer le changement qu’il a demandé aux opérateurs judiciaires de la RDC.
Tout en espérant que le Président du Conseil Suprême de la Magistrature répondra, sous sa plume, sur ce retour obligatoire au respect des articles 109, 119 de la loi organique du 15 Octobre 2013 en combinaison obligatoire avec les articles 7, 71, 73, 103 et 111 de la loi du barreau, je vous prie de croire à ma haute considération envers la Cour Constitutionnelle dans la mesure où ses animateurs restent loyaux et fidèles aux Ecritures du Magistrat Suprême.
En annexe, le schéma que le Président du Conseil Supérieur doit transmettre aux Premiers Présidents de la Cour de Cassation et du Conseil d’Etat ainsi qu’aux Procureurs Généraux et au Bâtonnier National pour que les hautes juridictions de la RDC et leurs Parquets respectifs soient respectés comme en France et en Belgique, deux pays francophones où les hautes Cours, sans humeurs ou « négociations » déclarent irrecevables les requêtes qui ne sont pas signées par un avocat de cassation dans le pays.
Kalala Muena Mpala
Avocat au Barreau près la Cour Suprême de Justice

 

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Défense de l’intégrité nationale, RDC : Georges Kapiamba interpelle la classe dirigeante

Mise au point
J’estime que nous ne pouvons pas attendre un soutien actif de nos partenaires sans au préalable nettoyer notre propre maison en donnant des gages, quant à la lutte contre la corruption et l’impunité que le Président Macron a dénoncées.
Le trafic d’influence et des pressions de toutes sortes bloquent notamment, une bonne administration de la justice qui aurait permis de lutter contre ces antivaleurs, et ainsi donner à notre pays et ses institutions, la capacité de défendre efficacement l’intégrité territoriale, protéger les personnes et leurs biens, partager équitablement les revenus de l’exploitation de nos ressources naturelles, ainsi que de faire face en temps réel à toute sorte de menace extérieure.
Si la RDC sollicite aujourd’hui, presqu’à genou, l’intervention de la communauté internationale ou, mieux, des pays étrangers puissants comme la France c’est à cause de la situation difficile qu’elle connaît, et qui est la conséquence de la mauvaise gouvernance durant plusieurs années !
Pour toutes ces raisons, je pense modestement que cette interpellation de l’ACAJ à l’endroit de la classe dirigeante vaut son pesant d’or.
Sinon, le pays restera dans cette situation de dépendance extérieure, sur tous les plans, pour plusieurs années encore.
Georges Kapiamba
Président National de l’ACAJ

Défense de l’intégrité nationale, RDC : Georges Kapiamba interpelle la classe dirigeante
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Bifor Biselele : l’Asadho exige un procès juste et équitable !

*‘’L’ASADHO relève qu’une procédure conduite avec autant d’irrégularités depuis de l’ARN ne peut garantir aucunement le droit à un procès juste et équitable. Tout semble être fait pour que Monsieur BISELELE ne puisse pas bénéficier d’une justice juste’’, soutient, dans un communiqué, l’Asadho.
Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme
African Association for the Defense of Human Rights
COMMUNIQUE DE PRESSE N°001/ASADHO/2023
« La partialité des juges et magistrats dans le dossier opposant Monsieur BISELELE au Ministère Public est inacceptable »
L’Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme, ASADHO en sigle, est préoccupée par la détention illégale de Monsieur BISELELE KAYIPANGI Fortunat et toutes les irrégularités qui entourent son dossier.
Pour rappel, en date du samedi14 janvier 2023, Monsieur BISELELE est appelé au quartier général de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR) par Monsieur MBELU pour une séance de travail. C’est sur place qu’il sera informé qu’il était mis à la disposition de l’ANR, afin de répondre des actes de trahison, atteinte à la sureté extérieure de l’Etat et de propagation des faux bruits mis à sa charge [2]. Il passera 6 jours en détention illégale [3], privé de tous les droits de visite de ses conseils et de sa famille [4]. Il sera transféré le 20 janvier 2023 au pavillon 1/A du CPRK où il est en détention illégale jusqu’à ce jour.
En date du 21 janvier 2023, l’Officier du Ministère public du Parquet Général de Kinshasa/Gombe, Monsieur KUKUKIESE NZALABAR va le placer sous mandat d’arrêt provisoire dans lequel il renseigne qu’il a été arrêté le 18 Janvier 2023 ; dans l’intention de couvrir les irrégularités et violations des droits fondamentaux commises par l’ANR, qui l’avait arrêté depuis le 14 janvier 2023. La conséquence d’un tel acte qui altère la vérité devrait être la main levée de la détention.
En date du 23 janvier 2023, ses conseils ont adressé la correspondance n°/réf CAB/BUK et ASS/0133PMB/2023 au Procureur Général pour solliciter la récusation du magistrat instructeur, Monsieur KUKU KIESE, qui a démontré une partialité sans pareil dans l’instruction du dossier.
En date du 25 janvier 2023, il va passer pour la première fois en chambre du conseil où le tribunal de paix de Kinshasa/Ngaliema confirmera sa détention, passant outre les moyens soulevés par la défense qui avait sollicité sa mise en liberté provisoire pour lui permettre de répondre au rendez-vous médical prévu pour le 16 janvier 2023 [5]. Le tribunal passa outre.
En date du 02 février 2023, il va interjeter appel, pour mal jugé au TGI/Gombe qui va confirmer l’œuvre du 1er juge dans tous ses dispositions.
Il va rester en situation de détention illégale pendant 7 jours, soit du 2 février au 16 février, sans qu’il ne soit présenté en chambre du Conseil pour obtenir la prolongation de la détention.
En date du 21 Février 2023, le Tribunal de paix de Ngaliema confirmera sa détention ignorant que celle-ci était déjà illégale, et que par conséquent il devrait ordonner sa libération.
L’ASADHO relève qu’une procédure conduite avec autant d’irrégularités depuis de l’ARN ne peut garantir aucunement le droit à un procès juste et équitable. Tout semble être fait pour que Monsieur BISELELE ne puisse pas bénéficier d’une justice juste.
Elle stigmatise la partialité affichée par le Magistrat instructeur, Monsieur KUKU KIESENZALABAR ainsi que le silence coupable des autorités judiciaires qui violent les principes d’un Etat de droit et constituent des atteintes aux instruments juridiques internationaux ratifiés par la RDC.
Face à ce qui précède, l’ASADHO recommande :
-Au Président de la RDC de :
- Faire ordonner des poursuites disciplinaires et judiciaires contre toutes les auteurs ou complices des violations des droits de l’homme décriées ci-dessus ;
- Faire respecter des principes d’un procès juste et équitable à l’égard de Monsieur BISELELE ;
-Aux autorités judiciaires de :
- Conduire le dossier de Monsieur BISELELE dans toute indépendance et sans faire attention au trafic d’influence ;
-A la Communauté internationale de :
- Rappeler aux autorités de la République Démocratique du Congo leur engagement pour le respect des droits fondamentaux reconnus à Monsieur BISELELE Fortunat est victime.
Fait à Kinshasa, le 05 Mars 2023
ASADHO
Pour toutes informations, prière de contacter :
Me Jean Claude KATENDE : + 243 81 17 29 908
[1]*Organisation affiliée à la Commission Internationale des Juristes (Genève), à la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH), dotée du statut d’observateur auprès de la Commission africaine des Droits de l’Homme et des peuples (Banjul) et Membre du Réseau OMCT/SOS Torture
ASADHO – Bureau National : Avenue Assossa 85
Commune de Kasa-Vubu, Kinshasa/ RD. Congo.
E-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Tél. (00243) 81 17 29 908
Site web : http:/www.asadho-rdc.net
[2] Article 17 dernier alinéa : Toute personne accusée d’une infraction est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été établie par un jugement définitif
[3]
Article 18
Toute personne arrêtée doit être immédiatement informée des motifs de son arrestation et de toute accusation portée contre elle et ce, dans la langue qu’elle comprend.
Elle doit être immédiatement informée de ses droits.
La personne gardée à vue a le droit d’entrer immédiatement en contact avec sa famille ou avec son conseil.
La garde à vue ne peut excéder quarante-huit heures. A l’expiration de ce délai, la personne gardée à vue doit être relâchée ou mise à la disposition de l’autorité judiciaire compétente.
Tout détenu doit bénéficier d’un traitement qui préserve sa vie, sa santé physique et mentale ainsi que sa dignité.
[4] Idem
[5] Article 17
La liberté individuelle est garantie. Elle est la règle, la détention l’exception.
Nul ne peut être poursuivi, arrêté, détenu ou condamné qu’en vertu de la loi et dans les formes qu’elle prescrit.
Jean Claude KATENDE
Avocat
Président National de l'ASADHO
Vice-Président de la FIDH
Tél : +¨243 811 729 908
KINSHASA/RDC

 

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Les traquenards dès le mardi 7 mars

Tous les acteurs impliqués dans la crise de l'Est et qui refusent de nommer le Rwanda, dans cette agression barbare par procuration, vont changer leurs stratégies à partir du cessez-le-feu annoncé pour le mardi 07 Mars 2023. Ils se sont réunis plusieurs fois autour du gibier, en embrassant toutes les méthodes et stratégies pour accuser le grand Congo.
Bon ; Ce n’est plus le moment d'accuser l’extérieur !
Nous pouvons tout de même relire notre histoire mal écrite par les conquérants, recréant la région des Grands-Lacs rien qu’à partir du génocide au Rwanda.

Les traquenards dès le mardi 7 mars
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Agression rwandaise contre la RDC, Macron : Clément Kanku pose sept questions !

*‘’Tout en espérant que ces quelques préoccupations arrivent aux oreilles du Président français, nous lui demandons d’user de ses relations privilégiées avec le président Paul Kagame du Rwanda pour lui demander de retirer simplement ses troupes de notre pays et d’arrêter de massacrer notre peuple’’, souligne, dans une note reprenant sept questions, Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, Ancien Ministre et, en même temps, Député Honoraire.

Agression rwandaise contre la RDC, Macron : Clément Kanku pose sept questions !
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Représentant la RDC au Sommet sur les forêts du Bassin du Congo, Sama Lukonde : voici les contours du grand oral attendu !

Arrivé à 12h30 à l'aéroport Léon Mba de Libreville, le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde est accueilli par son homologue Gabonnais Alain-Claude Bilie-By-Nze. Après le passage des troupes d'honneur officiel et salutations à la délégation congolaise, hommes et femmes qui ont bravé le soleil depuis très tôt le matin pour l'accueillir au sortir de l'aéroport, le Premier Ministre a été conduit à la présidence de la République du Gabon, cadre où va se dérouler le sommet sur les forêts du Bassin du Congo.
Ce sommet est un véritable cadre où le Chef du Gouvernement congolais va, au nom du Chef de l'Etat Félix-Antoine Tshisekedi, faire un discours sur le rôle stratégique de la République Démocratique du Congo dans la conservation des ressources naturelles et la biodiversité du Bassin du Congo, dénommé « One Forest summit ».
Pour la RDC, conformément à la Déclaration de Yangambi, il doit être accordé à la préservation des forêts du Bassin du Congo une place importante pour sa contribution à l'équilibre climatique mondial et ses services ecosysthemiques offerts à l'humanité dont les bénéfices ne sont plus à démontrer.
Le sommet de Libreville veut mettre en application les objectifs fixés par l'Accord de Paris sur le climat (2015) et la COP15 de Montréal sur la biodiversité (2022).
Co-oragnisé par le Gabon et la France, ce sommet vise aussi à améliorer la conservation des forêts dans le monde et de contribuer à la protection du climat et des espèces dans un contexte de dérèglement climatique.
Deuxième poumon écologique de la planète après l'Amazonie, le Bassin du Congo est étendu sur une superficie de 220 millions d'hectares de forêts répartis à travers plusieurs pays, dont la République démocratique du Congo, le Congo-Brazzaville, le Gabon, le Cameroun, la Centrafrique et la Guinée Equatoriale.
Peter Ngoyi

 

Représentant la RDC au Sommet sur les forêts du Bassin du Congo, Sama Lukonde : voici les contours du grand oral attendu !
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Mandaté par Addis-Abeba pour le cessez-le-feu et le cantonnement du M23 : João Lourenço boudé par Paul Kagame et le M23

L’Angolais Lourenço a été mandaté par le sommet d’Addis-Abeba pour négocier le cessez-le-feu et le cantonnement du M23. Près de deux semaines après, les recommandations assorties de cette rencontre des chefs d’Etat et de gouvernement dans la capitale éthiopienne, ne sont toujours pas appliquées.

Mandaté par Addis-Abeba pour le cessez-le-feu et le cantonnement du M23 : João Lourenço boudé par Paul Kagame et le M23
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Macron à Kinshasa : l’UDPS déclenche une mobilisation tous azimuts !

Sauf changement de dernière minute, le président français devrait fouler le sol Congolais samedi 4 mars prochain. A l’UDPS, parti présidentiel, l’heure est à la mobilisation et galvanisation des cadres et militants du parti pour réserver un accueil chaleureux à Emmanuel Macron à Kinshasa, sol qu’il foule pour la première fois. C’est ce que révèle un communiqué rendu public, ce mardi 01 mars 2023.
«La Présidence de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS/TSHISEKEDI en sigle, informe ses cadres et militants de l’arrivée à Kinshasa, le 04 Mars 2023 du Président français Emmanuel MACRON dans le cadre d’approfondissement des relations diplomatiques entre nos deux pays«, lit-on dans ce document signé par Augustin Kabuya.
« La Présidence du Parti « invite les membres et sympathisants à réserver un accueil chaleureux à Monsieur Emmanuel MACRON dès son arrivé ce 04 Mars 2023 dans notre pays », poursuit indiquant que « la Présidence du Parti souhaite la bienvenue et bon séjour au Président français et à toute sa délégation ».
Le président de la République Française entame depuis ce mercredi 1 Mars, une tournée diplomatique cruciale en Afrique centrale alors que l’influence française ne cesse de reculer sur le continent. Première étape délicate au Gabon où le chef de l’État doit dîner avec le président Ali Bongo.
Après Libreville, il sera en Angola puis à Kinshasa en passant par le Congo Brazzaville.
Junior-Gradel Ika

Macron à Kinshasa : l’UDPS déclenche une mobilisation tous azimuts !
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Plus de 7 mois déjà depuis qu’il est à Makala, Kabund : l’Ach dénonce l’affaiblissement du pouvoir judiciaire !

En réaction au discours du Président de la République à Genève, Alliance pour le changement, Ach, formation politique chère à Jean-Marc Kabund, fustige les affirmations selon lesquelles ‘’Il n'y a plus aujourd'hui dans mon pays des congolais arrêtés, détenus ou emprisonnés pour leurs opinions ou appartenances politiques’’. Le parti de l’ancien vice-président de l’Assemblée nationale qualifie de communication fictionnelle et que le régime actuel est en train de prolétariser le pouvoir judiciaire et d'obstruer les décisions rendues par les juridictions compétentes in extremis. Ci-dessous, l’intégralité du communiqué signé par le secrétaire général du parti.
COMITE EXECUTIF NATIONAL
Secrétariat Général
COMMUNIQUE DE PRESSE
Ayant minutieusement suivi les déclarations faites par le Président Félix TSHISEKEDI du haut de la tribune du Conseil de droit de l'homme des Nations Unies à Genève, nous citons: «Il n'y a plus aujourd'hui dans mon pays des congolais arrêtés, détenus ou emprisonnés pour leurs opinions ou appartenances politiques, à ne pas confondre bien entendu avec des politiciens poursuivis pour infractions de droit commun ».
L'Alliance pour le Changement «A.Ch» en sigle, s'inscrit en faux et se trouve consternée par ces propos cousus des contrevérités et truffés d'ambivalence, et fixe l’opinion tant nationale qu'internationale de ce qui suit :
Au lendemain de son point de presse du 18 juillet 2022, annonçant la création de son Parti politique, l’Honorable Jean Mare KABUND-A-KABUND avait épilogué la situation politique, économique, sociale et sécuritaire de la République Démocratique du Congo, ce qui depuis lors avait auguré le début d'un procès politique aux contours juridiques factices, fruit de l'intolérance et de l'acharnement du régime Félix TSHISEKEDI.
Fait prisonnier politique du régime Félix TSHISEKEDI, le Président Jean Mare KABUND A-KABUND, Député National en plein mandat, demeure jusqu'à ce jour, détenu illégalement et irrégulièrement a la prison centrale de Makala, contrairement à l'ordonnance d'assignation a résidence surveillée rendue par la Cour de Cassation conformément aux dispositions constitutionnelles, légales et réglementaires.
L'Alliance pour le Changement considère les poursuites et la détention illégale de notre Président National d'entraves manifestes à l'exercice démocratique, et rappelle que les vices caractérisant le procès à charge de l'Honorable Jean Mare KABUND-A-KABUND ne cadrent guère avec les infractions de droit commun, telles que malicieusement soutenues par monsieur TSHISEKEDI à Genève, in globo son régime a choisi sans nul doute de prolétariser le pouvoir judiciaire et d'obstruer les décisions rendues par les juridictions compétentes in extremis.
Eu égard à ce qui précède, l'Alliance pour le Changement dénonce la communication fictionnelle du Président TSHISEKEDL, qui ne ressemble nullement à la réalité sur terrain ct invite les congolais épris de justice à joindre leurs voix à la nôtre pour rétablir la vérité et réclamer la justice dans notre pays.
MUTONO CHABU H
Secrétaire Général

 

Plus de 7 mois déjà depuis qu’il est à Makala, Kabund : l’Ach dénonce l’affaiblissement du pouvoir judiciaire !
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Genève : Félix Tshisekedi a rencontré la diaspora congolaise de Suisse

Tradition respectée : le Président de la République s'est adressé ce lundi 27 février 2023 à la Diaspora congolaise de la Suisse. La rencontre a eu lieu à l'hôtel Intercontinental de Genève. Ainsi, a-t-il tenu la promesse faite à ses compatriotes lors de son passage à Davos le 17 janvier dernier.
Face à ses interlocuteurs, il s'est exprimé sur 4 sujets à savoir l'agression du Rwanda contre la RDC, le processus électoral, le Programme de développement local des 145 territoires et le changement des mentalités.
Sur l'agression rwandaise via le M-23, le Chef de l'Etat a exprimé toute sa détermination à défendre la souveraineté du pays et il a démonté les fausses accusations du Rwanda concernant les FDLR et la pseudo discrimination des tutsis congolais. Tous des faux prétextes pour couvrir un désir de perpétuer illégalement l'exploitation des richesses de la RDC.
Le Chef de l'Etat a déclaré : « Nous allons prendre nos responsabilités. Une chose est certaine : Kagame ne gagnera pas cette guerre. Ce qu'il a fait au Congo, ça suffit. Avec moi, ça ne passera pas ».
En ce qui concerne le processus électoral, le Chef de l'Etat a mis en évidence la première expérience avec l'enrôlement limité des Congolais de l'étranger. Au regard des résultats, il sera possible de procéder à un élargissement progressif.
Cependant, il se pose un problème sérieux : la répartition des sièges en fonction de l'électorat.
Troisième sujet abordé : le PDL 145 Territoires dont l'objectif, a-t-il rappelé, est de doter chaque territoire des moyens de s'équiper en routes, écoles, hôpitaux, fourniture d'eau et d'électricité, etc.
Les mines n'ayant procuré aux Congolais ni richesses, ni sécurité, ni paix, Félix Tshisekedi est revenu sur sa vision de la revanche du sol sur le sous-sol. Le progrès escompté n'est pas une affaire de plusieurs décennies. En cinq ans, les résultats sont palpables, a-t-il déclaré, rassuré par le PNUD.
Enfin, le Président de la République a mis l'accent sur un fléau qu'il faut absolument éradiquer en RDC : la corruption. Et la solution est le changement des mentalités.
« Tout ce que je vous dis ne tiendra pas tant que les antivaleurs persistent », a-t-il déclaré, avant de rappeler le mot d'ordre d'Etienne Tshisekedi : aimer le Congo et aimer les Congolais.
En mot de la fin, le Président Tshisekedi a exhorté ses compatriotes de la Diaspora helvétique à se mettre à la disposition du pays pour lui apporter leurs expertises acquises en Suisse.
(Avec la Présidence de la République)

Genève : Félix Tshisekedi a rencontré la diaspora congolaise de Suisse
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