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Sénat : Sylvain Mukengeshayi a visité les chrétiens de la Paroisse Saint Martin de Katoka !

L'Honorable Questeur Sylvain Mukengeshayi Kabongo Taupin poursuit son séjour dans la province du Kasaï Central avec plusieurs réalisations ce dimanche 29 septembre au nom de sa fondation
Comme dans toutes ses précédentes descentes dans son Kasaï natal, l'actuel questeur du sénat ne vient jamais dans son fief pour se reposer. C'est soit pour lancer des projets de développement en faveur de ses concitoyens, soit c'est pour Inauguration des stations des forages dans le cadre de sa fondation.
Il est 06h15, heures de Kananga, l'honorable questeur Sylvain Mukengeshayi Kabongo Taupin a débuté la deuxième journée de sa visite à la paroisse Saint Martin au quartier Katoka 3 dans la commune de Katoka, où il a pris part à la messe.
Le président fondateur de la fondation qui porte son nom, s'est rendu dans la commune de Lokonga à 15 Km de la ville de Kananga, où il a inauguré un forage dans le quartier Katuambi au centre provincial de service national du Kasaï central.
Ce centre compte désormais deux forages de la fondation Taupin Kabongo Mukengeshayi. Le sénateur Sylvain Mukengeshayi Kabongo a promit à la population du village d'en ajouter un troisième.
Après cette étape, ce digne fils du Kasaï Central a visité l'orphelinat de Mikalayi à 35km de la ville de kananga, dans le territoire de Kazumba.
Il a ensuite rendu visite aux malades de l'hôpital de Mikalayi. Philanthrope qu'il est, le sénateur Taupin Kabongo a payé les frais de tous ces patients en difficultés.
L'homme au grand cœur a aussi rendu visite aux membres dexsa fondation TKM section de Kazumba.
Sur place, l'honorable questeur du sénat a promis d'apporter son soutenir à l'équipe de Kazumba ainsi qu'aux mamans dans le domaine l’agricole.
Le sénateur Sylvain Mukengeshayi Kabongo a poursuivi la série d'Inauguration des forages, cette fois-ci dans la commune rurale de Matamba à 22 km de la ville de kananga.
Partout où il est passé en marge de cette deuxième journée, l'élu des élus du Kasaï central n'avait qu'un seul message, "l'unité de peuple centre kasaïens, l'amour du prochain ainsi que la confiance au chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi."
Taupin Kabongo Mukengeshayi a également exhorté ses frères et sœurs d'éviter la trahison, les bavardages et la calomnie. Parce que selon lui, ce genre des comportements ont freiné d'avantage le décollage de la province du Kasaï central.
Cet homme de terrain a promis à ses concitoyens de revenir pendant les prochaines vacances parlementaires pour prendre toutes leurs doléances en vue d'en apporter des solutions adéquates.
La Pros.

Sénat : Sylvain Mukengeshayi a visité les chrétiens de la Paroisse Saint Martin de Katoka !
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Journée internationale de l’accès à l’information, Constant Mutamba : ‘‘Moi, je consacre toujours minimum 40% de mon budget à la communication’’


Après la Journée internationale de la Radio, le 13 février, et celle de la liberté de la presse, le 3 mai, la célébration de la Journée internationale de l’accès universel à l’information intervient le 28 septembre de chaque année. A l’hôtel Sultani de Kinshasa, la crème intellectuelle a cogité autour du thème : « Impact du nouveau cadre légal sur la liberté de la presse et l’écosystème de l’information en RDC ». Faisant d’une pierre deux coups, Constant Mutamba, Ministre de la Justice et l’un des panélistes, a porté sur les fonts baptismaux l’ouvrage du journaliste Patient Ligodi.
Le baptême de ce livre intitulé «Cadre légal des médias en RDC : Acquis et défis en perspective », s’est fait sous le regard du représentant du Ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya, du représentant personnel du Rapporteur de l’Assemblée nationale, le Professeur Jacques Djoli, du tout nouveau Président de l’Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC), Kamanda wa Kamanda, de la Directrice-pays adjointe d’Internews, Noémie Kilembe, du Secrétaire Général de l’Ong Journaliste en Danger (JED), Tshivis Tshivuadi, des Députés nationaux et autres personnalités.
Dans son allocution, le Ministre de la Justice a félicité son collègue Patrick Muyaya pour avoir initié ce nouveau cadre légal qu’est l’Ordonnance-loi du 13 mars 2023 sur la liberté de la presse. « Un Ministre qui entre au Gouvernement et n’apporte pas des réformes n’en ai pas un. C’est donc, à mon humble avis, un touriste qui a été nommé pour se balader aux fonctions d’Etat. Parce qu’il est anormal de gouverner sans reformer. », a lâché Constant Mutamba. Il a promis d’encourager le Ministre de la Communication et des Médias à parachever les initiatives des réformes qu’il a entamées, notamment sur la question de la dépénalisation des délits de presse.
Cet excellent orateur a dit ne pas supporter que les journalistes deviennent des « cobayes » des politiques, des magistrats et des avocats. Selon lui, les responsables politiques doivent faire en sorte que cette liberté de la presse soit réelle et non utopique. Il veille à ce qu’aucun journaliste ne soit arrêté de manière arbitraire. Pendant les 100 premiers jours du Gouvernement Suminwa, il s’est évertué à préserver le droit d’accès à l’information, la liberté de la presse.
En revanche, celui ou celle qui commet des abus doit répondre de ses actes, a-t-il martelé. Car la question de responsabilité pénale est individuelle. Comme exemple, Mutamba a fait allusion à l’arrestation de la journaliste Denise Dusauchoy pour des propos allant au-delà du journalisme. Mutamba en a appelé à la responsabilité des journalistes sur les actes qu’ils posent. « Autant le cadre légal consacre cette liberté de la presse, autant vous êtes astreints à un certain nombre de devoirs pour ne pas polluer l’environnement socio-politique, pour ne pas contribuer à l’émergence de l’immoralité dans notre société. Il a invité la corporation journalistique à extirper les moutons noirs, les brebis galeuses.
L’accompagnement des médias est déterminant pour un acteur politique ou responsable étatique. Le Ministre d’Etat a reconnu que la communication est la colonne vertébrale de l’action politique, le centre de gravité de la société et de tous les secteurs de la vie nationale. Il faudra donc investir dans le journaliste en cessant de le paupériser. « La presse c’est le quatrième pouvoir », a-t-il rappelé. « En tant que Ministre et même bien avant, moi je consacre toujours minimum 40% de mon budget à la communication ». C’est pourquoi l’on parle de Mutamba tout le temps. « Je sais l’importance de la communication. Pour moi, le journaliste est un roi. Vous ne pouvez pas transformer la société sans la communication. Tous les révolutionnaires du monde ont utilisé la communication comme outil pour véhiculer les idées révolutionnaires (Malcom X, Martin Luther King, Lumumba, Fidèle Castro) », a martelé ce membre du Gouvernement.

Auparavant, la Directrice-pays adjointe d’Internews avait plaidé pour le vote au Parlement de la proposition de loi d’accès à l’information publique. C’est depuis l’année 2021 que ce texte a été mis en veilleuse et fait ainsi partie des arriérés parlementaires. Elle espère que ladite proposition de loi sera inscrite à l’ordre du jour de la nouvelle législature. Noémie Kilembe a indiqué que celle-ci ne concerne pas seulement les journalistes mais l’ensemble de la population. Toute rétention de l’information d’intérêt public est un crime puni par la loi.
Quant au premier intervenant, le Secrétaire Général de JED, il a mis en exergue la précarité dans laquelle vivent les organes de presse en RD Congo. Ce qui les expose à la corruption, à la manipulation, et même, à la mendicité. Tshivis Tshivuadi a dénoncé le fait que, dans la pratique, le nouveau cadre légal n’est toujours pas appliqué concernant notamment les infractions de presse, l’octroi de l’aide publique aux médias, l’indépendance des médias publics ou le renforcement des mécanismes de régulation ou d’autorégulation.
« Au moment où nous célébrons pour la énième fois cette Journée internationale pour l’accès universel à l’information, cela fait 15 ans aussi que manifestement la RDC refuse de se doter de cette loi sur l’accès à l’information malgré les multiples plaidoyers menés à cet effet par les organisations des médias et la société civile. Plus de 15 ans aussi que le gouvernement continue de tergiverser sur cette question de la dépénalisation des délits de presse. Faut-il rappeler que la loi d’accès à l’information tout comme la dépénalisation des délits de presse sont cruciales pour promouvoir la bonne gouvernance et lutter contre le fléau de la corruption qui gangrène tous les secteurs de la vie nationale. C’est la loi d’accès à l’information qui obligera les mandataires de l’Etat à rendre compte de leur gestion… », s’est indigné Tshivuadi.
Dans son speech, le représentant de JED a également demandé au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) dont l’une des missions essentielles consiste à protéger la liberté de la presse, de lever toutes les décisions prises ces derniers mois, notamment pour interdire aux médias de diffuser des informations en rapport avec la rébellion de l’Est de la RDC, pour ne plus diffuser des débats ou des émissions à téléphone ouvert et à propos des interventions militaires ou même d’interviewer ceux qu’ils appellent « Forces négatives », un terme vague et imprécis qui laisse la porte ouverte à des interdictions arbitraires.
Ce samedi 28 septembre 2024, Journée internationale de l’accès universel à l’information, a donc vécu. Les lampions se sont éteints à Sultani hôtel.
James Mpunga Yende

Journée internationale de l’accès à l’information, Constant Mutamba : ‘‘Moi, je consacre toujours minimum 40% de mon budget à la communication’’
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Kisangani : la commune de Lubunga à nouveau éclairée après 5 ans !


En date du mardi 1er octobre dernier, une délégation de la Société Nationale d'Electricité, SNEL S.A en sigle, venue de Kinshasa et conduite Clément Tshimpanga, Chef du Département de Distribution, a effectué une visite d'évaluation des travaux en rapport avec le projet de réhabilitation du courant électrique dans la commune Lubunga à Kisangani, chef -lieu de la Tshopo.
Le quartier Wagenya, où une pilonne a menacé de s'écrouler, a été la première zone de visite de la délégation : ‘’Nous sommes venus évaluer les travaux de sécurisation d'une pilonne qui menaçait de s'écrouler. Cette seule pilonne pouvait entraîner l'écroulement de quatre autres. Ce qui allait replonger la commune Lubunga dans le noir. Nous avons mis des moyens, le socle est bien fait et ça va tenir pendant longtemps’’, a indiqué Clément Tshimpanga. 
Outre la visite de travaux de renforcement de socle de la pilonne, le Chef du département de Distribution a visité trois cabines devant desservir différents quartiers de la commune Lubunga en électricité, à la grande satisfaction de la population locale.
‘’Nous sommes très satisfaits des travaux qui ont été réalisés jusque-là. D'abord, là où on a sécurisé la pilonne qui fait traverser l'électricité à Lubunga. Ensuite, nous avons palpé du doigt la réalisation d'une cabine de charge par la direction provinciale au quartier Wagenya. Nous sommes passés à la cabine située à la hauteur de l'Hôpital général de référence de Lubunga. Nous avons constaté que les ménages sont alimentés en électricité. Nous avons également visité la cabine de la carte, qui est en phase de finition, pour ce qui est de sa réhabilitation totale. Ce qui signifie que les travaux ont été réalisés à 100% par rapport à notre programmation’’, a-t-il souligné.
Il y a lieu de souligner la nécessité que la communauté locale soit mise à contribution pour s’approprier et protéger les installations de la SNEL à Lubunga. 
‘’Nous sommes en train de faire un effort pour ramener les matériels qui restent en vue de mettre fin au projet dans la commune Lubunga. Nous nous réjouissons surtout de nos échanges avec les autorités locales, notamment le Bourgmestre de la commune, en vue de sensibiliser la population locale contre les raccordements frauduleux et le vol des câbles, deux fléaux qui ravagent les installations électriques de la zone’’, a dit Clément Tshimpanga. 
Pour sa part, hormis la mise à contribution des services spécialisés dont dispose la commune, le Bourgmestre Baudouin Kayongo Bulaya a plaidé pour que les nouveaux quartiers de sa juridiction soient également pris en compte pour l'électrification, tout en appelant ses administrés à soutenir les efforts de la SNEL. 
‘’Je demande à la population de ma juridiction de se réjouir pour ce projet de la SNEL. Nous avons passé cinq ans sans électricité dans notre commune. Ceux qui vont s'évertuer à faire les raccordements frauduleux voire ceux qui vont se permette de voler des câbles d'électricité, se verront soit être privés de la fourniture en courant électrique, soit devoir répondre de leurs actes devant la justice’’, a exhorté le Bourgmestre.
Après ce projet d'électrification de la commune Lubunga, plusieurs autres projets seront lancés en vue de toucher également d’autres communes de la ville de Kisangani. La commune de Makiso sera la prochaine étape des travaux de la SNEL, a renseigné le chef de la délégation de la SNEL/Kinshasa. 
Peter Ngoyi

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