Un événement de grande portée historique alors que la République démocratique du Congo imprime, par le truchement de l’Office National pour l’Identification de la Population (ONIP), quatre décennies après, sa première carte d’identité. C’est le Chef de l’Etat qui en a été le premier bénéficiaire en ce jour du 30 juin qui symbolise le jour de l’accession de la RDC à l’indépendance. La population de la quarantaine d’âge ignore ce que c’est une carte d’identité congolaise. C’est le Vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la sécurité, Peter Kazadi, qui a procédé à la cérémonie du lancement de première carte d’identité. Il y a d’indiquer qu’au cours de la 94èmeréunion du Conseil tenue le 14 avril dernier, le Premier ministre avait annoncé la délivrance des premières cartes d’identité nationale à mi-2023. Il avait également confirmé que les préparatifs étaient en cours pour mener à bien cette initiative majeure du Programme d’action du gouvernement. De plus, le 9 juin, le Chef de l’Exécutif national avait présidé la cérémonie officielle de signature d’un protocole d’accord portant sur une collaboration sur la mutualisation des données entre la CENI, ONIP et l’Institut national de la Statistique (INS). Pour rappel, lors de l’enrôlement des électeurs pour les scrutins de décembre 2023, la CENI avait en même temps procédé à la collecte des données biométriques de chaque électeur. Ce sont ces données qui seront utilisées pour la délivrance de la carte d’identité. Cela étant, l’ONIP disposera désormais du fichier national de la population. Ainsi, lors des élections de 2028, la CENI n’aura plus besoin de constituer le fichier électoral. Il sera déjà disponible auprès de l’ONIP. La dernière carte d’identité : en 1984 puis en 1987 La dernière fois que l’Etat congolais avait délivré la carte d’identité aux citoyens, c’était en 1984. Puis en 1987, il y eut à Kinshasa une opération de délivrance de carte. Les agents du ministère de l’Intérieur qui ont eu à sillonner les différentes provinces de la RDC, ont certes délivré des cartes d’identité, du reste, plastifiées, mais l’opération n’a pas été achevée. Cette nouvelle carte d’identité marque une étape significative dans le processus d’identification de la population congolaise, une initiative cruciale pour l’amélioration de la gouvernance et de la gestion des affaires publiques. Désormais, les Congolais pourront détenir un document officiel qui leur donne le droit de s’identifier comme Congolais de la RDC. Vers les années 90, il a été enregistré un flux de migrants vers la RDC. Impossible de les arrêter du fait de l’absence d’un document officiel pouvant le distinguer. Désormais, ce ne sera plus le cas étant donné quie l’actuelle carte d’identité biométrique est difficilement falsifiable. La remise de cette première carte d’identité au Président Tshisekedi symbolise l’engagement du gouvernement envers l’instauration d’une administration plus transparente et efficace, grâce à l’identification correcte de ses citoyens. Cette cérémonie solennelle se déroulait en présence du Président de l’Assemblée nationale, le Premier ministre ainsi que le Président de la Cour Constitutionnelle et Président du Conseil supérieur de la magistrature. Emma Muntu
Le sommet de la CEEAC de Libreville, auquel a pris part le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, s'est clôturé hier. Si les situations du Soudan, de la République Centrafricaine et du Tchad ont été examinées, le récurent problème de l'insécurité à l'Est de la RDC a préoccupé les chefs d'Etat présents à cette rencontre. Dans le communiqué final, l'inquiétude sur le nombre des déplacés internes n'a pas été occultée. Ainsi donc, il en résulte qu'il y a un soutien aux processus de Nairobi et de Luanda. Par ailleurs, la CEEAC a annoncé que le Gabon, l'Angola et le Sénégal vont apporter un soutien financier dont la somme n'a pas été révélée, pour le déploiement de la force de la communauté de l'Afrique de l'Est en RDC. Elle invite les autres Etats à contribuer également à cet effort. La Pros.
Pyongyang, Capitale de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR); - s’embellit avec ses nouvelles cités modernes en inaugurant une nouvelle époque digne de l’architecture de Juché (idéologie directrice éternelle créée en 1930 par le Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, NDLR) grâce à ses cités traduisant le développement de la Capitale - se métamorphose en Paradis du Peuple résumant la civilisation moderne et en ville idéale digne du socialisme, à la lumière du grand dessein du Parti du Travail de Corée (PTC; parti au pouvoir depuis 1945, NDLR) et sous sa direction avisée. Le long du Fleuve Taedong-gang (5ème de la Péninsule coréenne avec ses 439km et 16.673km2, et, à la fois, le nom de l’une des 5 Civilisations mondiales telle que la Mésopotamie, NDLR) se sont aménagés le Palais de la Sci-Tech, le Centre de Bains Publics Ryukyong (l’ancienne appellation de Pyongyang, NDLR), la Patinoire du Peuple, la Patinoire à Roulettes, le Parc Aquatique de Munsu. De leur côté, la Cité Unha (ou galaxie) pour Scientifiques et le Quartier Résidentiel Wisong (ou satellite) pour Scientifiques ont surgi, l’un après l’autre, dans 2 ans. - 2012; est érigée la Cité Changjon dans le Secteur Mansu-dae, centre de la Capitale. - 2013-2014; ont été inaugurés les immeubles d’habitation pour enseignants de l’Université (1946) KIM IL SUNG et les autres de l’Université Polytechnique KIM Chaek (1903-1951; Martyr de la Résistance antijaponaise 1930-1945, NDLR), chacun formé de 2 bâtiments spécifiques du point de vue de contenu et de forme. - 2015; a vu le jour la Cité Mirae (ou avenir) pour Scientifiques, cité féerique de l’Epoque du PTC abritant les immeubles à nombreux étages et gratte-ciels en forme de tour et en bloc, ainsi que les réseaux de service public. - 2017; la Cité Ryomyong (ou aurore), cité verte et économe en énergie, s’est érigée en standard de la cité d’architecture moderne, permettant d’envisager l’avenir de l’art architectural de Juché. - 2021; l’année du 8ème Congrès du PTC à partir de laquelle Pyongyang connaît un développement de civilisation urbaine dans son centre et un embellissement de paysage, d’une part, et, d’autre part, en élargit l’envergure dans les directions Est, Ouest et Nord, métamorphosant sa physionomie d’à partir de ses portes. - 2022 (février); a eu lieu l’inauguration des travaux de construction de 10.000 logements du Secteur Hwasong (ou mars). La construction de la Cité Hwasong représentant un grand groupe d’architecture moderne sur plus de 150ha, terrain presque 3 fois plus grand que celui de la Cité Song-hwa (ou fleur du Pinus densiflora), a été achevée en un peu plus d’un an. (En avril dernier, la Cité est entrée en service, et plus de 2.000 logements supplémentaires y ont été également construits.) - 2022 (avril); a été construit un quartier résidentiel (pour 800 foyers) en terrasses au bord de la Rivière Pothong-gang. De nouvelles cités ont embelli les abords de la Capitale. La construction de 10.000 logements dans les Secteurs Songsin et Song-hwa a été achevée, à merveille, en un an seulement. Cette zone de 56ha renferme plus de 160 bâtiments d’une superficie bâtie totale d’un million et des centaines de milliers de m2, y compris, gratte-ciel (80 étages) et immeubles à nombreux étages, édifices publics et réseaux de service public. Ainsi, a fait son apparition une nouvelle cité magnifique et imposante. Il s’agit d’une 1ère réalisation du Plan Quinquennal 2021-2025 pour la construction de la Capitale présenté par le 8ème Congrès du PTC. Fort de ce succès, on a entrepris la construction d’une nouvelle cité moderne dans le Secteur du Palais (mausolée où reposent, en paix, les Généralissimes KIM IL SUNG et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR) du Soleil de Kumsu-san (palais présidentiel ou Palais des Congrès 1977-1994), sanctuaire suprême du Juché. - 2023 (mai); a surgi un quartier résidentiel (pour 3.700 foyers) moderne dans le Secteur Taephyong de la banlieue de la Ville. A l’heure actuelle, les travaux de construction de 10.000 logements de la 2ème étape du Secteur Hwasong battent leur plein suivant le plan de construction annuelle. Indépendamment de celle-ci, la construction de quelques 4.000 logements à l’entrée Nord de la Capitale pour former toute une cité particulière se progresse grâce aux gros efforts des jeunes vaillants.
L’haltérophile doit vaincre soi-même, non son adversaire, dit OM Yun Chol (1991- ), champion olympique et quintuple champion du monde pour être largement connu dans l’haltérophilie (catégorie de 56 kg) du monde, du fait qu’il a; - décroché, aux compétitions internationales, les 24 médailles d’or, 02 d’argent et 01 de bronze - amélioré le record mondial à 05 reprises et celui olympique à 01 reprise. A l’âge de 10 ans, il a commencé l’haltérophilie à l’Ecole de Sports de l’Arrondissement Sunam dans la Ville Chongjin, Province Hamkyong-Nord de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR). Plus tard, il a fait son intégration au Club Sportif Amnok-gang (ou le Fleuve Yalu qui marque la frontière RPDC-Chine avec sa longueur de 800km, le plus long de la Péninsule coréenne, NDLR). A l’époque, on a craint qu’il n’obtienne de belles performances aux compétitions internationales aussi, bien qu’il ait enregistré les résultats aux compétitions nationales. Son coach RO Hyon Chol a dit: OM Yun Chol a une constitution délicate, mais l’ardeur à l’entraînement sans pareille, c’est son point fort. OM Yun Chol déteste rester arrière. Les exigences incessantes du coach et les efforts assidus du joueur ont enregistré de bons résultats à l’étonnement général; - 2011 (Championnats du Monde Junior d’Haltérophilie, en Malaisie); il a gagné une médaille d’or. - 2012 (30èmes Jeux Olympiques ou Olympiade, au Royaume-Uni); il s’est classé 1er en établissant un nouveau record. - 2013; aux Championnats d’Haltérophilie Junior/Senior pour la Coupe d’Asie et Interclubs (RPDC), il a renouvelé, pour la 1ère fois, le record (qui a subsisté une dizaine d’années) du monde en levant 169 kg à l’épaulé-jeté et aux Championnats du Monde d’Haltérophilie (Pologne), il a obtenu son 1er titre de Champion. - 2014; aux 17èmes Jeux Asiatiques ou Asiade (Corée du Sud), il s’est classé 1er et a amélioré le record mondial, et aux Championnats du Monde d’Haltérophilie (Kazakhstan), il a conservé son titre de Champion. - 2015 (Championnats du Monde d’Haltérophilie, aux USA); il a battu le record du monde. - 2016 (31èmes Jeux Olympiques ou Olympiade, au Brésil); il a décroché une médaille d’argent. - 2018 et 2019 (Championnats du Monde d’Haltérophilie, au Turkménistan et en Thaïlande), il a dépassé les records du monde. De petite taille (151cm), il est le 3ème athlète du monde à avoir réussi à lever 3 fois son propre poids. L’Etat a décerné le titre de Héros du Travail de la RPDC et celui de Sportif du Peuple à OM Yun Chol qui déclare; - Chaque soulèvement de la barre est, pour moi, une occasion qui manifeste ma capacité et celle qui fait connaître ma Patrie à la face du monde. Par conséquent, j’ai demandé les poids plus lourds aux épreuves et les ai levés. - Je me suis déterminé d’honorer ma Patrie tout comme au cours de ma carrière de professionnel.
«Aujourd’hui, le département d’Etat, le département du Trésor, le département du Commerce, le département de la Sécurité intérieure, le département du Travail et l’Agence des États-Unis pour le développement international ont publié un avis unique relatif aux risques commerciaux liés au secteur de l’or en Afrique subsaharienne. Cet avis souligne les opportunités et les risques spécifiques liés au commerce de l’or en Afrique subsaharienne et encourage les acteurs du secteur à adopter et à mettre en œuvre des pratiques renforcées de diligence raisonnable afin de s’assurer que les acteurs malveillants, tels que le groupe Wagner, ne soient pas en mesure d’exploiter et de tirer profit de ce secteur qui reste essentiel à la subsistance de millions de personnes sur le continent», renseigne un communiqué de l’ambassade des USA publié le week-end dernier et dont voici l’intégralité. AMBASSADE DES ETATS-UNIS KINSHASA.CONGO Pour Distribution Immédiate Date: Le 29 juin 2023 Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Site Internet: http://cd.usembassy.gov Les États-Unis publient un avis portant sur le secteur aurifère dans toute l’Afrique sub-saharienne Département d’État des États-Unis Bureau du porte-parole Le 27 juin 2023 Communiqué de presse Aujourd’hui, le département d’État, le département du Trésor, le département du Commerce, le département de la Sécurité intérieure, le département du Travail et l’Agence des États-Unis pour le développement international ont publié un avis unique relatif aux risques commerciaux liés au secteur de l’or en Afrique subsaharienne. Cet avis souligne les opportunités et les risques spécifiques liés au commerce de l’or en Afrique subsaharienne et encourage les acteurs du secteur à adopter et à mettre en oeuvre des pratiques renforcées de diligence raisonnable afin de s’assurer que les acteurs malveillants, tels que le groupe Wagner, ne soient pas en mesure d’exploiter et de tirer profit de ce secteur qui reste essentiel à la subsistance de millions de personnes sur le continent. Cet avis fournit des conseils intégrés et holistiques aux intervenants du secteur aurifère en Afrique subsaharienne qui produit chaque année environ 25 % de l’or mondial. Il encourage les entreprises américaines à investir de manière responsable dans tous les aspects du secteur : exploitation minière, commerce, raffinage, transformation et vente au détail des produits finis. En particulier, l’avis aborde le contexte multidimensionnel de l’exploitation minière artisanale et à petite échelle, en examinant les possibilités de développement du secteur et les modalités du soutien du gouvernement américain à celle-ci. De nombreux risques sont également directement et indirectement liés au secteur de l’or en Afrique subsaharienne. En l’absence d’une diligence raisonnable et de mesures d’atténuation appropriées, un acteur du secteur peut involontairement contribuer à un ou plusieurs de ces risques, notamment le financement des conflits et du terrorisme, le blanchiment d’argent, la corruption, le contournement des sanctions, les violations des droits de la personne et des droits du travail, et la dégradation de l’environnement. Les États-Unis partagent les mêmes intérêts et objectifs que les producteurs d’or de toute l’Afrique subsaharienne en ce qui concerne le développement d’un secteur aurifère responsable et durable sans acteurs prédateurs et malveillants. Le présent avis constitue un outil supplémentaire sur la voie de ces objectifs Cliquez sur le lien ci-après pour lire le texte intégral de l’avis https://www.state.gov/africa-gold-advisory/?utm_medium=email&utm_source=govdelivery
En séjour en Suisse dans le cadre des soupers de soutien à l’association Maison de Vie, le Président du parti Coalition citoyenne pour le Congo (C.C.C), Richie Lontulungu, s’est exprimé devant les membres de l’association à Estavayer-Le-Lac et à Bienne autour de la situation sécuritaire en République Démocratique du Congo. Après avoir fait la genèse du conflit qui a fait plus de 10 millions de morts et près de 5,5 millions des déplacés parmi lesquels 3 millions d’enfants, le Président de la Coalition Citoyenne pour le Congo a appelé les suisses à la solidarité avec le peuple congolais. En parlant du paradoxe africain, ce dernier a fait savoir qu’il n’est pas acceptable que les congolais soient condamnés à vivre dans la violence en permanence et contraints à ne pas tirer profit des bénédictions que Dieu a placées dans leur sol et sous-sol. «Si on vous dit qu’il y a inondation quelque part et que celle-ci est causée par une vanne qui est défaillante, vous avez deux manières de résoudre le problème. Vous pouvez choisir de prendre un récipient et de vous mettre à vider l’eau là où ça s’accumule. Tout en sachant bien sûr que l’eau va continuer à affluer au même endroit. Vous pouvez aussi choisir de commencer par réparer la vanne qui est défaillante ou encore de la faire remplacer pour ensuite prendre un récipient et vider l’eau qui se serait accumulée. Alors pour moi, la seconde idée est la bonne, mais je ne sais pas pour vous», a avancé le Président du parti CCC en appelant les suisses à dénoncer la violence interminable en RDC afin de contraindre les auteurs et leurs parrains à l’arrêter. Toutefois, dénoncer exige du courage. Richie Lontulungu a invité les suisses à s’inspirer de la citation de Steve Biko qui dispose que "Mieux vaut mourir pour une idée qui survivra, que de vivre pour une idée qui finira par mourir." Il a, en outre, salué la sensibilité du peuple suisse face à la situation de la RDC et les interventions des associations suisses au pays. Parlant des associations, le Président du parti CCC a salué le travail accompli par l’Association Maison de Vie en RDC, qui apporte une lueur d’espoir aux enfants orphelins victimes des violences dans la partie Est. Il a appelé les parrains de l’association à accompagner davantage les initiatives d’Anita Maman Congo, l’initiatrice de MDV. Le Président du Parti CCC entend s’entretenir avec les responsables des partis politiques suisses afin d’étendre son appel à la solidarité avec le peuple congolais. Jules Ntambwe
Gilbert Kabanda veut marquer la rupture avec le passé à la tête du ministère de la Recherche scientifique. Il s’engage à prêcher par les actes pour consolider la vision du Président de la République, Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, telle qu’endossée par le Gouvernement de la République que dirige le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge. Le changement de narratif cher aux warriors le lui oblige. C’est dans cette dynamique qu’il annonce, pour le mois d’août prochain, la tenue du tout premier ‘’Conclave du génie scientifique congolais’’. Par ce rendez-vous, le ministre Gilbert Kabanda envisage de mettre en place des mécanismes qui puissent promouvoir davantage la recherche en vue de booster le développement du pays par l’innovation et l’inventivité. Le modèle du développement chinois faisant foi. Au cours d’un entretien avec des responsables des médias, jeudi 29 juin 2023, dans la commune de la Gombe, précisément à l’immeuble Kasaï, qui abrite son ministère, il a rassuré que le Président Félix Tshisekedi et le Premier ministre Sama Lukonde accordent une attention particulière à cette nouvelle approche qui, manifestement, va contribuer, tant soit peu, à résoudre plusieurs défis auxquels la RD Congo, en dépit de ses richesses, fait face, depuis des décennies entières, dans différents domaines de la vie nationale. L’ancien ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants dit croire fermement à l’intelligentsia congolaise. Il reste, bien plus, confiant que le grand Congo va se réveiller de son sommeil avec un peu de volonté. Pour lui, en effet, le principe est simple : « Tant que nous-mêmes, nous ne valorisons pas, par nos intelligences, les potentialités, le Congo restera un pays pauvre ». L’Etat congolais face à ses responsabilités «Nous le savons tous que le palmier nain est d’origine congolaise et c’est la Malaisie qui l’a mis au point scientifiquement. Nous l’avons chez nous, mais c’est la Malaisie aujourd’hui qui est le premier producteur mondial d’huile de palme et nous savons ce que l’huile de palme est dans toute l’industrie nationale. C’est une potentialité nationale qui est devenue une richesse Malaisienne grâce aux cerveaux Malaisiens. Le Cacao de la Côte d’ivoire, qui a fait de la Côte d’Ivoire le premier producteur mondial et premier exportateur de Cacao, est aussi d’origine congolaise. Le gros de l’économie ivoirienne aujourd’hui repose sur le Cacao. En 1960, nous étions pratiquement le pays africain noir le plus avancé en matière de recherche… Aujourd’hui, vous connaissez l’état de notre Gécamines. Devant cette réalité, un bon nombre de compatriotes se sont décidés de valoriser leur connaissance et ils ont produit des inventions, ils ont produit des innovations… En 1986, à la Foire de Kinshasa, six jeunes gens de Ndjili ont présenté à la Nation un hélicoptère. Cet hélicoptère a tourné le moteur, a décollé devant nous. L’Etat congolais les a ignorés», a-t-il mis en exergue, avant de faire comprendre que ‘’si l’Etat congolais les avait pris en charge, nous serions fort probablement aujourd’hui exportateur d’hélicoptères’’. Développement par la science et l’invention «Plus récemment, nous avons des chercheurs, comme Madame Kirongonzi, qui nous a conçu un robot feu rouge. J’ai appris que c’est le premier prototype dans le monde. C’est une invention congolaise. Ce robot fonctionne, nous le voyons à Kinshasa, dans certaines villes mais ne semble pas avoir été adopté par notre gouvernement pour être un bien industriel congolais à utiliser au Congo et, pourquoi pas, à exporter. Nous avons un doyen, le Professeur Muyembe, qui a inventé un antiviral contre la maladie à virus Ebola. Ce médicament soigne bel et bien l’Ebola. Mais, il n’est pas produit chez nous. Nous avons le Meyamicine, qui est un produit formidable. Mais, lorsque vous voyez ce médicament dans les pharmacies, vous verrez que ce n’est pas développé pourtant c’est un produit formidable qui dépasse tous les médicaments occidentaux… ça fait plus de quarante ans que le Meyamicine est sur le marché. Nous avons le Manacovid aussi qui attend ses preuves scientifiques à la faculté de Médecine. (…), à l’image de la Chine, lorsque Mao est mort en 1976, la Chine était pratiquement au même pied d’égalité sur le plan développement économique que notre pays, dans les statistiques économiques internationales… Tous les pays sont devenus grands par la science, par l’invention. Nous ne serons pas grands par l’exportation de notre cuivre et notre coltan. Plus d’ailleurs nous exportons, plus nous serons pauvres », a-t-il, tout serein, insisté. Fatshi et Sama en alerte Il a, toutefois, insisté sur l’implication de l’Etat pour un véritable changement de paradigme. ‘’ Il est donc temps que l’intelligentsia congolaise, le génie congolais qui s’est manifesté soit pris en charge de la façon qu’il faut par la nation, à travers son gouvernement. Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, qui ont reçu mon cri d’alarme m’ont dit d’aller de l’avant », a-t-il indiqué. Gloire Mfemfere
Le Président de la CENI, Denis Kadima, poursuit ses contacts avec l’Opposition après la rencontre du vendredi 30 juin dernier avec le quatuor de l’opposition. Sauf imprévu, il va échanger, ce lundi 3 juillet, avec Adolphe Muzito au Fleuve Congo Hôtel. Les deux personnalités vont aborder la problematique du processus électoral en cours, écrit Denis Kadima sur son compte twitter. Entretemps, le leader de l’Alliance des pros Etienne Tshisekedi wa Mulumba (APETM), qui se réclame de l’opposition, a rappelé dans une correspondance adressée au Président de la Centrale électorale que ce dernier avait reçu, en son temps, avant tout le monde, l’APETM pour échanger sur les contingences pouvant contrarier l’avancement du processus électoral. Ce, avant de rappeler que l’opposition en RDC est plurielle. Et d’ajouter que l’APETM est désagréablement surprise que la CENI reçoive seulement le bloc de quatre leaders de l’opposition. Il en appelle à l’inclusivité de cette démarche en y incluant toutes les tendances de l’opposition. Le quatuor avec Kadima Après les échanges avec les 4 leaders de l’opposition du Bloc de Lubumbashi , Martin Fayulu a fait savoir que plusieurs questions en rapport avec le processus électoral ont été abordées. Il s’agit de problèmes portant sur l’organisation et la composition de la Centrale électorale, la loi électorale, l’inclusivité du processus électoral, les ennuis que connaissent certains candidats présidents déclarés mais aussi le fichier électoral. Suite à cela, l’Opposition campe sur ses bottes, et exige l’audit du fichier électoral par un cabinet extérieur compétent en matières électorales. «Il est essentiel que le fichier soit audité, parce que les élections se font sur base de confiance. Il [président de la CENI] a donné ses raisons. Il a reconnu que si ces genres de réunions étaient organisées avant, on n’aurait peut-être pas eu des problèmes aujourd’hui», rapporte Martin Fayulu. Et d’ajouter : «Pour l’instant, il a pris cette proposition qu’il va amener à la plénière de la Commission électorale et nous aurons la réponse. Pour nous, donc, il est essentiel que le fichier soit audité parce que les élections sont faites sur base de confiance», a dit le président national du parti ECIDé. Si l’Opposition continue toujours à contester l’audit du fichier électoral effectué récemment néanmoins, elle a accepté l’affichage de la liste de personnes enrôlées. «Nous avons suggéré au président de la CENI que nous puissions tous avancer. Vous affichez la liste, les opérations continuent, mais l’audit aussi se fait. Si l’audit nous révèle que le fichier était correct, nous serons d’accord. Mais si l’audit nous dit que ce fichier n’est pas consommable, nous prendrons nos responsabilités. Lui il va poser la question à la plénière et il reviendra vers nous», a-t-il ajouté. Il y a lieu de signaler que Martin Fayulu, Delly Sesanga, Augustin Matata Ponyo ont pris part à cette rencontre avec Dénis Kadima. Mais, Moïse Katumbi, pour sa part, s’est fait représenter par le secrétaire général de son parti, Ensemble pour la République, Dieudonné Bolengetenge. La Pros.
La République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans; Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, chérit sa culture et emploie le vert et le sec pour sa continuation. ① Imjin-rok, roman classique national Jugé écrit dans la 1ère moitié du 17ème siècle, ce livre décrit la lutte menée par le Peuple coréen dans la Guerre (1592-1598) Patriotique de l’An Imjin pour; - repousser les 200.000 envahisseurs du Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR) - défendre la dignité du Pays et de la Nation. Cette histoire peut être divisé en 4 parties; - la 1ère; les préparatifs des Japonais pour l’agression de la Corée - la 2ème; la situation du début de la guerre déclenchée en avril 1592 (ou l’An Imjin) avec une attaque surprise des Japonais - la 3ème; la lutte de l’Amiral RI Sun Sin (1545-1598) ayant gagné les batailles navales successives et des chefs du corps franc de différentes régions qui avaient combattu l’ennemi sur la terre y compris les Généraux JONG Mun Bu (1565-1624) de la Province Hamkyong et KIM Ung So (1564-1624) de la Région Nampho ainsi que la victoire remportée par les militaires lancés à la contre-attaque - la 4ème; les activités menées pour obtenir la capitulation définitive du Japon en y envoyant l’Ambassadeur du Pays après avoir repoussé, complètement hors du Territoire national (123.214km2), les envahisseurs japonais. Imjin-rok revêt une signification importante dans l’histoire de la littérature coréenne, car le livre; - est le 1er à avoir retracé, par un tableau épique, la Guerre Patriotique de l’An Imjin (1592) - a contribué au développement de la littérature romanesque de caractère progressiste et patriotique, étant paru dans la 1ère période du développement du roman en langue coréenne actuelle dans le Pays. ② Taedong-yoji-do, Carte géographique KIM Jong Ho (1804-1866) fut un célèbre géographe et savant en Silhak (ou courant de pensée; mouvement de reforme confucianiste particulièrement actif au 18ème siècle, NDLR) de la Dynastie (1392-1905) Joson (ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant», NDLR). Né d’une famille de paysans de la Province Hwanghae, il avait du faible, dès son enfance, pour la géographie et la cartographie, ce qui lui donnait beaucoup d’anecdotes; - A l’âge de 10 ans, il lui arriva un jour de parcourir, toute la journée, un chemin en dehors de son village, route qui s’étendait à perte de vue, sans se sentir faim. A la tombée du soleil, il fut obligé de rentrer à la maison sans parvenir à l’extrémité du chemin. A ses parents qui le réprimandaient de ne plus se donner la peine, il lui répondit que faire le tour de toutes les régions du Pays était son rêve. - Ayant nourri de ce rêve depuis son bas âge, il proposa, à plusieurs reprises, le problème de la cartographie au Gouvernement féodal, mais en vain. Toutefois, sans revenir sur sa décision initiale, il s’appliquait à établir une carte. En 1834, il parvint à tracer la Chonggu-do (ou Carte de la Corée la plus grande du Pays avec 4620×8700mm et 1:216.000, NDLR) en se référant aux données d’études qu’il avait recueillies en faisant le pèlerinage du Territoire national de longue haleine et à une ancienne Phaldo-do (ou Carte de Toutes les 8 Provinces), dressée par JONG Sang Ki (1678-1752). - La Chonggu-do comprenait non seulement la géographie naturelle, notamment situation et aspect de monts et chaînes de montagnes, cours d’eau et lacs, mais aussi les géographies historique et économique. Sa carte présentait, alors, les inconvénients, car elle était compliquée dans la composition de plan et incorrecte dans certaines données. Par souci d’établir une autre carte plus exacte, KIM Jong Ho s’attachait à faire une enquête détaillée, pendant 27 ans, sur toutes les régions du Pays depuis le Mont Paektu-san (mont ancestral et sacré de la Nation, le plus haut de la Péninsule coréenne avec 2.750m et classé 1er parmi les 6 monts célèbres de toute la Corée pour son paysage magnifique; le nom provient de ce qu’il est enneigé pendant toutes les saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 937-1925, NDLR) au Nord jusqu’à l’île Jeju-do au Sud. Entre-temps, il monta, à 2 reprises, sur le Mt. Paektu-san, disait-on. - Au bout de ses efforts d’études et d’arpentage basés sur le pèlerinage sur les terrains de plus de 30 ans, il parvint à réaliser, en 1861, la Taedong-yoji-do (ou la Carte de la Corée 6700×3300mm imprimée à partir de 70 blocs de bois de tilleul, gravés sur 2 faces, NDLR) à l’échelle 1:162.000 pour la modifier en 1864. - Dans le but d’y ajouter les explications, il rédigea un ouvrage de géographie Taedong-jiji (15 livres en 32 volumes). Celui-ci présentait les données de chaque village divisées en plus de 40 catégories: démographie, imposition et corvées, bateaux (sortes, nombre et usages), relais de poste, us et coutumes, etc. Pour avoir apporté une grande contribution à la création des patrimoines géographiques de valeur du Pays, KIM Jong Ho laissa son nom à la postérité. ③ La fabrication des instruments de musique nationaux Il y a une dizaine d’années, l’Université de Musique et de Danse KIM Won Kyun (1917-2002; compositeur de l’Hymne national «Chanson de l’Amour pour le Pays» et Recteur de ladite Université, NDLR) de Pyongyang, pépinière de la formation des talents artistiques du Pays, a créé la Faculté de Fabrication des Instruments de Musique dont la mission est de former les spécialistes pouvant mettre en pionnier le développement du secteur de fabrication des instruments de musique avec 7 disciplines et un institut; - Chaque année, elle sélectionne ceux qui ont les dispositions pour la musique et la peinture parmi les diplômés des écoles secondaires artistiques. Les sélectionnés reçoivent l’enseignement élémentaire sur la fabrication des instruments de musique d’un an et puis, l’enseignement spécialisé par discipline. - Les enseignants s’efforcent de perfectionner le programme d’enseignement visant à augmenter les capacités de cognition et d’application de leurs étudiants. Ils créent de nouvelles matières scolaires fondées sur la sci-tech de pointe et améliorent le contenu et les méthodes d’enseignement selon le principe de faire grand cas des prédispositions des étudiants. - Avant de quitter l’Université, les étudiants doivent jouer des instruments de musique fabriqués par eux-mêmes. Par conséquent, au cours de leurs études, ils améliorent, constamment, leur capacité de fabrication et d’interprétation. Dans l’atelier de fabrication, ils font, de leurs propres mains, divers instruments de musique, ce qui évoque les artisans. - Les diplômés jouent un rôle important dans les établissements de recherche scientifique et usines des instruments de musique du Pays. Les instruments de musique fabriqués par les enseignants et les étudiants de ladite Faculté sont l’objet de la bonne appréciation lors des Expo nationale et internationale.
En République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans ; Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, toutes les régions du Pays (123.214km2) ont impulsé, énergiquement, la création des forêts en plantant une centaine de milliers d’hectares d’arbres à l’échelle nationale, cela dans la période de reboisement printanier. 1. La Province Hamkyong-Nord - Elle a planté une vingtaine de milliers d’hectares de diverses espèces d’arbres économiquement rentables. - La Ville Hoeryong, après avoir bien choisi la saison de reboisement, a concentré tous ses effectifs et moyens pour créer la forêt de mélèzes de Changsong (une zone montagneuse de la Province Phyongan-Nord, NDLR) dans la région de plus de 2.000ha et augmenter, au maximum, le taux d’enracinement des plants d’arbres grâce à l’emploi de stimulateurs de croissance. - La Ville KIM Chaek (1903-1951; Martyr de la Résistance antijaponaise 1930-1945, NDLR) qui s’investissait dans la consolidation des bases matérielles et techniques de la pépinière-mère a procédé au creusement de fosses, à l’épandage d’humus, au damage de terre et à d’autres, conformément aux exigences des normes techniques, assurant, ainsi, les conditions de croissance suffisantes pour différentes espèces d’arbres y compris le pin-pignon, l’abricotier, l’aronie, etc. - L’Arrondissement Kilju s’est préoccupé de bien choisir les espèces d’arbres et le nombre d’arbres par hectare pour se procurer des plants d’arbres. Grâce à l’intensification de sa direction technique, il est parvenu à planter un million et des centaines de milliers d’arbres de plus de 10 espèces, et prend soin, maintenant, de l’entretien de ceux-ci. 2. La Province Jagang - D’après son programme de créer davantage de forêts économiques conformes aux particularités locales, elle a planté des dizaines de milliers de surfaces de dizaines de millions de plants d’arbres. - La Ville Huichon qui s’était procurée une quantité suffisante de plants d’arbres de diverses espèces est parvenue à les transplanter, en faisant appel aux méthodes de plantation avancées. (Résultat: plus de 1,7 million d’arbres à fruits sauvages et ceux oléagineux ont été enracinés dans des montagnes.) - Les Arrondissements Sijung et Jasong ont sélectionné les arbres de bonnes essences selon le principe du choix des arbres appropriés au sol, et mené le reboisement dans le cadre d’un mouvement de masse. 3. Les Villes Pyongyang et Nampho et la Province Hwanghae-Sud, etc Elles ont procédé, avec soin, à la plantation d’arbres en tenant compte de leurs conditions climatiques et pédologiques, obtenant, ainsi, de grands succès dans le reboisement.