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CENI : les USA réitèrent leur soutien pour un processus paisible, transparent, crédible et inclusif

Les États-Unis d'Amérique viennent de réitérer leur soutien au processus électoral en cours. Ce lundi 3 juillet 2023, le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, s'est entretenu avec l'ambassadeur des États-Unis d'Amérique, Mme Lucy Tamlyn, autour des préparatifs des élections de décembre 2023.
Venue s'assurer de l'avancement du processus électoral, la diplomate américaine a réaffirmé la détermination de son pays de voir les consultations électorales en RDC se dérouler dans un climat apaisé. Ce qui explique son empressement à rencontrer toutes les parties prenantes au processus électoral en cours. « La rencontre de ce jour fait partie intégrante de nos consultations régulières avec toutes les parties prenantes au processus électoral en cours en RDC. Nous avons fait le point par rapport aux préparatifs de prochains scrutins, en mettant un accent sur ses défis. Occasion pour nous de réitérer tout notre soutien pour un processus paisible, transparent, crédible et inclusif », a indiqué Mme Lucy Tamlyn.
La précédente rencontre entre le président de la CENI et son hôte remonte au vendredi 24 février 2023. Lors de ces échanges, Mme Tamlyn avait déjà montré la volonté des États-Unis d'Amérique d'accompagner la RDC vers une issue heureuse des élections de décembre prochain.
La diplomate américaine a apprécié, à juste titre, les efforts déployés par la Centrale électorale notamment dans le respect de son calendrier électoral rendu public le 26 novembre 2022.
MB

CENI : les USA réitèrent leur soutien pour un processus paisible, transparent, crédible et inclusif
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Sénégal : Macky Sall annonce qu'il ne sera pas candidat à un troisième mandat présidentiel

A la surprise générale, le président sénégalais ne sera pas en lice pour un second quinquennat pour l'élection prévue en février 2024. Dans un discours à la nation très attendu prononcé en direct sur la Radio-Télévision sénégalaise, le président sénégalais est également revenu sur les violences qui ont secoué le pays.
«Ma décision, longuement et murement réfléchie, est de ne pas être candidat à la prochaine élection [présidentielle] du 25 février 2024 », a annoncé ce lundi soir le président Macky Sall, et ce, a-t-il précisé, « même si la Constitution m'en donne le droit».
Macky Sall, à travers cette déclaration, met un terme à suspens de plusieurs mois, voire plusieurs années, et déjoue les pronostics qui le voyaient concourir une troisième fois... mais pour un second quinquennat, subtilité qui selon lui l'autorisait à se porter candidat, ce que contestait fortement l'opposition.
« J’ai un code d’honneur et un sens de la responsabilité qui me commandent de préserver ma dignité et ma parole », a-t-il développé pour justifier sa décision. Il avait en effet plusieurs fois affirmé que ce deuxième mandat, commencé en 2019, serait son dernier, rappelle notre correspondante à Dakar, Juliette Dubois. « J’ai une claire conscience et mémoire de ce que j’ai dit et écrit ».
« Le Sénégal dépasse ma personne et il est rempli de leaders capables de pousser le pays vers l'émergence », a-t-il ajouté. « On a tant spéculé, commenté ma candidature à cette élection (...). Mes priorités portaient surtout sur la gestion d'un pays, d'une équipe gouvernementale cohérente, et engagée dans l'action pour l'émergence, surtout dans un contexte socio-économique difficile et incertain », a-t-il ajouté.
En préambule de cette déclaration, le président sénégalais est longuement revenu sur les violences – mot prononcé à maintes reprises – qui ont secoué le pays début juin après la condamnation de l'opposant Ousmane Sonko, et qui ont fait 16 morts. Ces derniers mois, des manifestants étaient descendus dans les rues pour lui demander de ne pas se représenter.
Macky Sall a donc beaucoup évoqué la sécurité et la paix dans son discours. Qualifiées d'« insoutenables » et « inexcusables », ces violences « ont mis à l'épreuve notre cohésion sociale », des « évènement particulièrement graves », « occasionnant des morts et des blessés et la destruction massive de biens publics et privés », a déclaré le président. « L'objectif funeste des instigateurs était clair » : « semer la terreur et mettre le pays à l'arrêt », a-t-il également affirmé, parlant d'un « crime organisé contre la nation sénégalaise, contre l'État, contre la république ». Le président a aussi rappelé à plusieurs reprises que la violence n’était pas une solution, semblant répondre à l’allocution de l’opposant Ousmane Sonko hier soir, qui appelait à sortir dans la rue pour « finir le combat ».
« L'État est resté debout après cette machination insurrectionnelle » « visant à détruire notre modèle de société », a-t-il poursuivi, adressant sa « compassion aux victimes de ces actes criminels ».
Macky Sall « demande aux forces vives de la nation » soucieuses de « la sauvegarde des valeurs démocratiques de soutenir sans réserve l'action de l'État pour mettre en échec le projet pernicieux de déstabilisation du Sénégal ».
Enjoignant à « s'éloigner des radicalismes », il « comprend la volonté de la jeunesse de vivre une vie qui vaut la peine d'être vécue », ajoutant que « jamais la violence n'a permis à un pays de répondre aux aspirations de la population ».
Il a également salué « un dialogue national réussi », et a dressé un auto-satisfecit de son action à la tête de l’Etat : « Mon gouvernement et moi n’avons cessé de relever les défis liés au développement », « nous avons un bilan qui amène [...] à reconnaitre que nous avons fait progresser le Sénégal ».
Macky Sall appelle désormais les Sénégalais à « être vigilants » face à l’« activisme de l’intérieur et de l’extérieur », mais surtout à « la solidarité » et « à l’unité ».
« Le contexte est difficile, les angoisses sont là, mais le peuple a les ressources pour rebondir », a-t-il encouragé. « Notre pays demande de regarder ensemble vers l'avenir».
Rfi

Sénégal : Macky Sall annonce qu'il ne sera pas candidat à un troisième mandat présidentiel
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Délivrance des cartes d’identité nationale, RDC : Félix Tshisekedi félicite l’ONIP pour le travail abattu

Enfin, ‘’le rêve est devenu une réalité’’. C’était là, les premiers mots prononcés par le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, après l’obtention de sa carte d’identité nationale. Un motif de satisfaction de la part du Chef de l’Etat qui n’a pas manqué de féliciter le travail qu’a abattu l'Office National d'Identification de la Population (ONIP). C’était au terme d’un événement qui s’est déroulé à l’esplanade de la Vice-primature en charge de l'Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières vendredi 30 juin à Kinshasa.
Tout a commencé par le discours du Directeur Général a.i de l'Onip, Stanislas Kenza Lukengu, qui a d’abord remercié, au nom de tout le personnel de l'Onip, le Président de la République, le Gouvernement et la Vice-Primature de l'Intérieur et Sécurité, pour leur encadrement et leur accompagnement depuis la création de l'Onip en 2014.
Dans son discours, le DG a réitéré la volonté ainsi que la disponibilité de l’ONIP d’accompagner le Chef de l’Etat et tout le gouvernement afin jusqu’à la fin de ce processus. «L'Onip, qui est un organe technique, accompagne, en fait, le Président de la République, Félix Tshisekedi, dans sa vision : l’octroi, sous son mandat, de la Carte Nationale au peuple Congolais, un droit dont ce pays était privé depuis 1984», a rappelé le DG.
Prenant la parole, à son tour, le Vice-premier ministre, ministre de l'Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières, Peter Kazadi Kankonde, a déclaré que le lancement de ce processus d'identification de la Population Congolaise constitue une avancée significative grâce à laquelle le pays va, après l'identification effective et systématique de la population, disposer d'un Fichier Général de la population, fiable, répondant aux besoins de l'efficacité de gestion de sa population et de la sécurité de son territoire national.
Enfin, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Jean Michel Sama Lukonde, a pris la parole pour rappeler que le succès de l'Onip, à ce jour, est dû, entre autres, à la décision que son Gouvernement avait prise, en signant, le 2 mars 2022, le Décret no 22/09 portant organisation de la mutualisation des activités opérationnelles dans le cadre de l'identification et de l'enrôlement des électeurs (CENI), de l'identification de la population(ONIP) et du Recensement total de la Population et de l'Habitat (INS/BCR).
Fidel Songo

 

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Un nouveau leadership s’impose à la Recherche Scientifique et Innovation Technologique , RDC : Gilbert Kabanda annonce la tenue d’un ‘’Conclave du Génie Scientifique Congolais "

*Gilbert Kabanda, nouveau Ministre de la Recherche Scientifique et Innovation Technologique, ne jure par redonner à son Ministère ses lettres de noblesse.
Son cheval de bataille consiste à redorer le blason terni de ce grand ministère laissé à lui-même depuis des lustres. Et par rapport à cela, Dr Gilbert Kabanda ne se lasse pas de creuser sa tête depuis qu'il est aux commandes de ce département ministériel.
Le Patron de la Recherche Scientifique et Innovation Technologique n'a de cesse de multiplier des initiatives nouvelles les unes après les autres.
Le Ministre Kabanda n'est pas dans les commentaires, il est dans l'action.
Une autre preuve, s'il en est besoin, c'est son idée d'organiser dans ce pays, un conclave, le 1er du nom en RDC, dénommé : " Conclave du Génie Scientifique Congolais ". Une grande 1ère, cela ne s'est jamais vu en RDC.
Le compte à rebours est déjà enclenché d'ici le jour " J ".
Et c'est Kinshasa, la capitale, qui a été choisie pour abriter ce grand événement qui, à ce jour, est unique à son genre.
Le Ministre Gilbert Kabanda a fait, lui-même, cette grande annonce devant un gotha des journalistes triés sur le volet dans les différents organes de presse de l'audiovisuel et de la presse écrite.
C'était ce Jeudi 29 juin 2023, la veille du grand jour national du 30 Juin, le 63ème depuis l'accession de notre pays à la souveraineté nationale et internationale. Aux dires du Ministre Kabanda, l'organisation de ce colloque a déjà reçu le quitus au plus haut sommet de l'Etat, l'aval du Chef de l'Etat Président de la République Félix Antoine Tshisekedi mais aussi, l’aval du Premier Ministre Chef du Gouvernement, Jean Michel Sama Lukonde.
Dès lors, il y a tout lieu de croiser les doigts pour la tenue de ces assises à venir dans les semaines qui viennent.
Ce conclave va, en effet, réunir à Kinshasa tous les chercheurs, inventeurs, innovateurs répertoriés tant au pays qu'à l'étranger.
Le numéro Un de la Recherche Scientifique et Innovation Technologique a, à cette occasion, répondant aux questions des hommes et des femmes de média après sa déclaration publique donné tous les éclairages sur le sujet.
Simplice Divine Kalunga wa Kalunga Kasongo
Cons. Com/RSIT
Christian Ndangani
Attaché de Presse

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La mort tragique de Mzee Kabila : un cauchemar interminable dans la vie de certains congolais

L’assassinat de l’ancien président de la RDC Laurent-Désiré Kabila a laissé beaucoup de questions sans réponses, des victimes sans justice, et beaucoup d’exilés presque ou sans espoir de retourner un jour dans leur cher et beau pays. Les vingt années du régime de Joseph Kabila n’ont pas réussi à élucider la question, ni à terminer la matière.

L’avènement de l’accession du Président actuel Félix-Antoine Tshisekedi à la Magistrature suprême a fait naître quelques espoirs chez les détenus encore en vie alors que certains n’ont pas pu tenir.

C’est le cas du Capitaine Jean Jacques Kakwata décédé en 2006, de Baby Mbumba en 2009, du Colonel Kunda en 2011, du Général Yav Nawej en 2013, du Colonel Mayebe en 2017 et de John Bompengo 2019…

A la suite de multiplication des procès qui ont eu lieu à ce sujet, des voix se sont élevées pour dénoncer le manque de clarté et de justice à l’égards des collaborateurs directs et indirects de Laurent-Désiré Kabila. 

L’amnistie accordée par le Président Félix Tshisekedi était une mesure visant à promouvoir la réconciliation et à favoriser l’unité nationale.

Il est, cependant, surprenant d’apprendre jusqu’à nos jours que certaines personnes soupçonnées dans le complot mentionné sont toujours en détention, malgré l’amnistie accordée, information confirmée par une des sources crédibles.

Les exilés dans cette affaire de crime au sommet de l’Etat comme Sylva Fiama, Justin Mirindi, Huguette Yav, George Yenga, Nelly Twite et tant d’autres éparpillés dans le monde, sont tous unanimes dans leurs réponses lorsqu’ils sont contactés pour avoir leurs avis sur un probable retour au pays : « rien ne garantit notre sécurité », répondent-ils.

Cette inquiétude d’autant plus justifiée est confirmé par l’Ordonnance qui a accordé la grâce présidentielle à toutes les personnes condamnées dans le cadre du procès pour le meurtre de Laurent-Désiré Kabila et dont le Colonel Eddy Kapend en fut bénéficiaire.

En effet, les mesures de cette ordonnance ne se sont pas appliquées aux « fugitifs » et aux détenus condamnés pour crime contre l’humanité, corruption, détournement des deniers publics et violence sexuelle, renseigne le journal Jeune Afrique, dans sa publication du 1er Janvier 2021. 

Il faudra donc moins s’attendre à voir cette affaire mise aux oubliettes car, le mystère autour est encore énorme.

Le malheur pour bien des victimes est d’avoir été dans le cercle rapproché de Mzee.

La Pros.

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