*La délégation de la société turque Albayrak est en séjour à Kinshasa, dans le cadre du partenariat avec l'Hôtel de ville pour l'assainissement et le recyclage des déchets dans la capitale RD-congolaise. Jeudi 12 octobre, ces responsables du Groupe Albayrak ont été reçus par le Gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka à la faveur d'une réunion préparatoire au lancement de ce projet d'assainissement de la ville de Kinshasa qui consistera en la collecte des déchets à partir des ménages ainsi qu'au recyclage des déchets plastiques qui devront générer de l'énergie.
Remerciements à l’Exécutif central
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Pourtant débouté par le Conseil d’Etat, et remplacé officiellement au terme d’une cérémonie de remise-reprise avec sa successeuse, Me Gisèle Kapinga Ntumba, l’ancien Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), Monsieur Paul Nsapu Mukulu s’illustre par un nouvel acte contraire aux dispositions régulières adoptées à ce jour. Tenez ! Tandis que tout le monde s’y attendait le moins, il a été reçu en audience par le 1er Vice-Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), la semaine courant, pour traiter de la question des droits des électeurs en cette fièvre électorale dans le pays. A cet effet, la CNDH dénonce cette démarche et annonce qu’une mesure judiciaire sera appliquée incessamment à l’encontre de cet acte dit de ‘’rébellion’’.
*Tony Mwaba Kazadi, Ministre de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, a exprimé son opposition ferme au programme de défilé des élèves à l'esplanade du Palais du Peuple, prévu le jeudi 19 octobre 2023 , à l'occasion d'une journée instituée « Journée de l'Eglise de Réveil du Congo », organisée par le Révérend Dodo Kamba, Evêque Général et Représentant légal de l’Eglise du Réveil au Congo.
*Jeudi 12 octobre 2023, lors d’une cérémonie empreinte de solennité et de fierté, l'Université de Kinshasa, Unikin, a décerné au Président de la Rd. Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le prestigieux diplôme Honoris Causa. La remise de ce titre honorifique s'est déroulée ce jour-là au niveau du chapiteau de l'Université de Kinshasa, en présence de plusieurs sommités académiques, des membres du gouvernement et des personnalités éminentes de la société civile.
*Répondant au devoir de redevabilité gouvernementale, face à la presse, hier jeudi 12 octobre 2023, Patrick Muyaya, Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, accompagnée de sa collègue de la Culture, Arts et Patrimoines, Catherine Katungu Furaha, ont exposé notamment, sur la mise en œuvre de la Politique culturelle en jetant un dévolu sur les réalisations et les perspectives pour la République Démocratique du Congo. Ainsi, cette intervention s’inscrit-elle dans l’initiative du Porte-parole du Gouvernement consistant à étaler, en toute transparence, les actions du Gouvernement sur divers secteurs tout au long du premier mandat exercé par le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
*En présence de Julien Paluku, Ministre National de l’Industrie, la Société Nationale d'Electricité (SNEL), représentée par Fabrice Lusinde, son Directeur Général, l'Agence pour la Zone Economique Spéciale (AZES) et la Cellule d’Exécution des Financements en Faveur des Etats Fragiles (CFEF) ont signé le protocole d’accord statuant sur la fourniture d'électricité dans la Zone Economique Spéciale (ZES) de Maluku. Cette signature est intervenue à Kinshasa, en fin de cette semaine.
Signature du protocole
*Dans le souci de restaurer l’autorité de l’Etat dans le secteur de sous-traitance dans le secteur privé, Miguel Kashal Katemb, Directeur Général de l’Autorité de Régulation dans le secteur (ARSP), s’est rendu dans les installations de la compagnie minière Kamoa, dans la périphérie de la ville de Kolwezi, Chef-lieu de la province de Lualaba. Toujours accompagné de ses inspecteurs et experts, le DG Miguel Kashal Katemb et sa délégation vérifient l’application des règles de la sous-traitance par toutes les entreprises principales et sociétés multinationales évoluant dans tous les secteurs de l’économie nationale.
À l'approche du troisième Forum de « la Ceinture et la Route » pour la coopération internationale, China Media Group (CMG) a lancé, en collaboration avec de principaux médias de plusieurs pays africains, l'initiative de l'Action des Médias Chine-Afrique dans le cadre de « la Ceinture et la Route » le 14 octobre, et a reçu des échos favorables d'une cinquantaine de médias et organisations médiatiques africains.
Dans une mise au point faite, avant l’audition du rapport de la commission ECOFIN sur le projet de loi portant reddition des comptes du budget clos 2022, Christophe Mboso a tiré à boulets rouges sur tous les pêcheurs en eaux troubles qui distillent des propos de menaces de déstabilisation des institutions démocratiquement élues. Et cela, non sans avoir rendu hommage au président de la République, chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, garant du bon fonctionnement des institutions de la République, pour sa bravoure et sa détermination à offrir aux citoyens dans le strict respect de la constitution, la possibilité d’exercer leur droit du suffrage.
«Pour la toute première fois, le 20 décembre 2023, se tiendront les élections générales dans notre pays. Et la démocratie sera entièrement restituée à la base. Et ce, sur fonds propres», s’est félicité le speaker la chambre basse du Parlement.
Avant de poursuivre en ces termes : «Pendant que nous sommes tous préoccupés à accompagner cette volonté ouvertement affichée pour des élections libres, inclusives et transparentes, les ennemis du peuple congolais, politiciens en perte de positionnement, sont concentrés dans leurs officines à Kinshasa et à l’étranger, pour relayer des messages contre ce processus dignement mené par la CENI. Ainsi que nous avons eu à le dire plusieurs fois, renoncer à l’exercice d’un droit, c’est aussi un choix, une question de liberté ou une façon de l’exercer d’une autre manière. Personne dans notre pays n’a empêché ceux-là à participer à ce processus électoral. C’est pourquoi, du haut de cette tribune, je transmets le présent message de notre peuple à tous ces pêcheurs en eaux troubles. Pendant plus de 20 ans, vous avez pris notre pays et ses ressources en otage, vous partageant terres et biens de la République, entretenant gabegie, despotisme sans gêne. Et ce, dans vos intérêts personnels, d’un petit groupe au détriment de l’ensemble du peuple congolais. Vous n’avez aucune leçon à donner au peuple congolais, ni aucun modèle institutionnel à offrir ».
Pour Mboso Christophe, « la RDC ne cèdera plus jamais aux idées surannées d’un autre siècle, ni à la pression tendant à la bavure d’un partage arbitraire du pouvoir par des voies de dialogues sans fondement. La patience, la tolérance ainsi que l’humilité du président Fatshi-Béton ne pourrait être pris pour un signe de faiblesse, mais une posture bienveillante pour la patrie. Il ne faut donc pas franchir les limites de ses qualités existentielles, car il peut se transformer en tornade. L’heure est à la consolidation de nos acquis démocratiques et républicains ».
S’agissant de cet appel aux forces armées de renverser le pouvoir, Christophe Mboso a foi en l’armée loyaliste.
«Nos forces armées et de la police, désormais mieux équipées, requinquées et moralisées par le commandant suprême, elles qui veillent jour et nuit pour l’intégrité et la reconquête de l’ensemble du territoire de notre pays, n’écouteront, ni ne suivront plus jamais des messages flatteurs et illégitimes appelant à la déstabilisation de notre cher et beau pays ; des messages lancés par des civils et criminels fugitifs qui ont bénéficié des grades au sommet de l’armée par clientélisme. Le destin du Congo est entre les mains de son peuple. Nos vaillants éléments des Forces armées et de la police, désormais en osmose, avec ce dernier n’agiront que comme forces républicaines en vue de l’affirmation irréductible de la souveraineté nationale. Plus jamais de régimes d’essence étrangères en RDC », a-t-il professé.
(Avec la Cellule de communication de l’Assemblée Nationale)
La séance plénière de l’Assemblée nationale, du mercredi 11 octobre 2023, a été consacrée à l'examen et l'adoption du rapport de la commission Economique, Financière et contrôle budgétaire relatif à l'examen du projet de loi portant reddition des comptes exercice 2022. Pour l’essentiel, le budget de l’Etat de l’exercice 2023 se clôture sur un déficit de 2.480.449.605.328,58 Fc. Après examen, la commission a fait des observations générales sur la mobilisation des recettes, au regard de la trajectoire des recettes réalisées ces quatre dernières années, il apparaît que le niveau de réalisation des recettes de l'exercice budgétaire 2022 est de 116,93%. Elle a connu une progression notable par rapport aux taux de réalisation de quatre dernières années (2018, 2019, 2020 et 2021). La mobilisation des recettes des douanes et accises a connu une légère régression. En revanche, le taux de réalisation des recettes des impôts s'est amélioré par rapport à l'exercice 2021, car celui-ci a atteint le pic de 158,20%. Les recettes fiscales, quant à elles, ont connu une réalisation de 99,75%. S'agissant du déficit budgétaire, la commission note que le résultat déficitaire de l'exécution de la loi de finances n°21/029 du 31 décembre 2021 du pouvoir central, pour l'exercice 2022, présenté par le gouvernement est interpellateur. Pour ce qui est de l'avis général sur le projet de loi sous examen, la commission fait remarquer que le doute légitime persiste sur la sincérité des comptes publics tels que soumis par le gouvernement à l'Assemblée nationale. C'est ainsi qu'un avis pour arrêter les comptes de l'État de l'exercice clos 2022 n'est pas émis par la Cour des comptes. Ayant chargé la Cour des comptes d'approfondir ses investigations, la commission recommande à la plénière souveraine d'arrêter lesdits comptes comme suit : recettes totales : 26.160.704.679.011,60 Fc ; dépenses totales : 28.641.154.284.340.20 Fc. Résultat (déficit du budget du pouvoir central): 2.480.449.605.328,58 Fc. Dans son oral, le député Boris Mbuku Laka, président de la commission ECOFIN a jeté un gros pavé dans la mare en émettant des sérieux doutes quant à la transparentes dans la gouvernance et la sincérité des comptes publics. « La Cour des comptes mentionne dans son rapport mis à la disposition de la commission qu’après avoir vérifié et contrôlé, la Cour n’a jamais reçu le rapport des comptables. Et donc, elle n’a pas pu procéder à la déclaration générale de conformité.
Cellcom/AS. Nat.


