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Impacts négatifs des réfugiés sur l'environnement, RDC-HCR : Eve Bazaiba et Angèle Dikongue s'accordent sur la mise en place des projets de réparation

La Ministre d'Etat, Ministre de l’Environnement et de Développement Durable a reçu, ce Jeudi 13 avril 2023, dans son Cabinet de travail, la Représentante Pays du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR). Respectivement, Eve Bazaiba Masudi et Angèle Dikongue Atangana se sont accordé sur l'urgence de la mise sur pied des projets de réparation des Impacts jugés négatifs de la présence des Réfugiés dans différents sites en RDC.
Dans les provinces du Sud-Ubangi, de Bas-Uélé et du Nord-Kivu par exemple, il est fait état de la destruction des écosystèmes forestiers par les activités des Réfugiés notamment, par la coupe des bois de chauffe et aussi pour besoin de construction des logis pour leur habitation. Bien que répondant à un besoin humanitaire, cette situation demeure une préoccupation pour la Ministre d'Etat qui l'a fait savoir à la Représentante de cette agence Onusienne chargé des Réfugiés.
Selon sa Représentante pays, « le HCR s'accorde sur la mise en œuvre des projets de réparation et de restauration des écosystèmes forestiers. Il s'agira des projets communs de collaboration entre le HCR et le Ministère de l'Environnement par le reboisement en prévenant les dommages sur l'environnement en utilisant par exemple les foyers améliorés en vue d'éviter la coupe sauvage des arbres ».
« Avec les agences sœurs des Nations-Unies, le HCR mettra en place également des projets en agroforesterie pour pallier à cette problématique », a-t-elle affirmé.
A son tour, la Ministre d’Etat a rassuré son hôte de la disponibilité du Gouvernement à accompagner ces projets qui doivent débutés cette année et aussi la disponibilisation d'espace devant permettre le reboisement dans les différents sites des Réfugiés.
La Pros.

 

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Kinshasa : Youyou Omba conscientise les femmes et jeunes filles à l’utilisation responsable du numérique

Youyou Omba Wembo, professeure à l'école informatique des finances et experte électorale a, au cours d’une cérémonie de la clôture du mois dédié à la femme tenue mardi 11 avril 2023 au ministère des finances à Kinshasa-Gombe, conscientisé les femmes et jeunes filles à l’utilisation responsable de l’outil numérique. Cette rencontre a réuni les participants autour du thème : ‘’Pour un monde digital inclusif : innovations et technologies pour l'égalité de sexes’’.
Dans son intervention, Youyou Omba a préconisé une utilisation plus adéquate des réseaux sociaux par les femmes, pour s’auto instruire et se former. Elle pense que les applications comme watshap, Facebook et tik-tok, ne sont pas faits seulement pour l'envoie des photos, des vidéos et audio ou regarder des scènes obscènes, mais c’est aussi pour s’instruire. «Les femmes doivent savoir utiliser d'autres fonctionnalités qui les mettront au même niveau que les hommes dans la compétition », a-t-elle fait noter.
Dans son intervention, par ailleurs, elle s’est appesantie sur le sous-thème ‘’Egalité des sexes’’, dans lequel elle a expliqué que l'égalité entre l'homme et la femme n'est pas physique, mais c’est en terme des droits et des dignités.
Omba Youyou a insisté sur l'égalité des sexes dans les droits, dignité, avantages au travail, égalité des sexes dans les fonctions de direction. Pour cette question, elle suggère à ce que l’on mette la femme dans les mêmes conditions que l'homme pour contribuer au développement durable au niveau national, dans la politique, l’économique, la culture, bref dans la société.
Plus loin, elle plaide pour qu'il ait les mêmes avantages et privilèges entre l'homme et la femme, dans tous les espaces. Cette experte en question électorale atteste que les femmes sont les partenaires à côté des hommes pour un bon avancement des choses.
En outre, elle a aussi montré l'importance de la connaissance de nouvelles technologies et innovations dans les outils modernes notamment: internet, téléphone portable, logiciel, tablette etc.… « Les femmes doivent avoir la maitrise de nouvelles connaissances. C’est pour leur intérêt…», a-t-elle conclu.
Fidel Songo

 

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Journée d’exposition des femmes actives, Kinshasa : la structure Mwangaza plus que déterminé à réduire le train de chaumage

« Femme active au cœur de l’entrepreneuriat et les réalités du numérique », est le thème choisi pour la journée d’exposition des activités des femmes entrepreneuses organisé par la structure Mwangaza international. Tenu ce 31 mars 2023, sous le parrainage de la conseillère spéciale du chef de l’Etat, Mme Chantal Yelu Mulop, cette activité clôturant le mois de la femme, s’est déroulée dans la concession Mgr. Shaumba, dans l’immeuble Rév. Dr. Bokundoa.
C’est par un mot de présentation de la structure par l’assistant de la secrétaire générale, Mr Théo que la journée d’exposition a débuté. « …bien que l’initiateur est au Etats Unis, il a pensé à ses compatriotes congolais qui vivent dans des conditions difficiles, raison pour laquelle il a créé cette organisation qui a commencé petit à petit par des distributions dans des hôpitaux, on visiter les orphelinats et aujourd’hui Mwangaza est dans d’autres provinces, à Kinshasa, à Lubumbashi, au Nord-Kivu… », A-t-il élucidé.
Son discours a été suivi d’une détente musicale cantonné par le chœur des enfants de Mwangaza international. Bien avant cela, il avait procédé à la présentation des femmes ayant bénéficié des moyens financiers de la part de Mwangaza international pour se lancer dans l’entrepreneuriat. Ces dernières avaient notamment exposé.
Cette séquence a été suivie par la coupure du ruban symbolique, par la marraine de l’exposition, Chantal Yelu Mulop pour l’ouverture des achats et ventes.
Après sa ronde des stands, Chantal Yelu Mulop est revenu à la presse par ces mots, « je suis fortement impressionnée de voir maman Rose organisé ces genres d’activités… et en plus, elle a compris la vision du président de la république, le chef de l’Etat, son excellence Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui est non seulement de travailler dans l’émancipation de la femme, l’autonomisation de la femme, c’est vrai que c’est le mois de la femme, mais il regroupe le travail aussi avec les enfants, les jeunes pour qu’il y’ai cette promotion de la jeunesse », reste-t-elle marqué. Et de continué, « Ce sont les enfants qui vivent dans des milieux désœuvré, qui ne vivent pas dans des bonnes conditions, avec rien que le peu, elle a tenu à rendre le sourire à ses enfants et c’est ça qui m’a plus touché. Puisque, quand je suis arrivé, la première des choses que j’avais regardé, c’était ses enfants. Et, j’apprécie de voir les mamans agricoles, parce que, l’agriculture on pense que c’est facile de voir que ses femmes elles sont sous le soleil, entrain de brouter la terre. Alors, ce sont les femmes à féliciter aussi… », Apprécie-t-elle.
Cependant, C’est par un mot de remerciement à tous de l’assistant de la secrétaire générale, Mr Théo que l’activité a été clôturé sous une vive ambiance.
Il sied de savoir, la structure Mwangaza compte à présent plus de 14 ans qu’elle se bat dans la lutte contre le chômage et l’amélioration de la vie sociale des tous congolais.
Israël Mpoyi

 

 

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Entrepreneuriat féminin en milieux universitaires, UNIKIN : Stéphanie Tshibola dévoile des stratégies rassurantes à l’intention des étudiantes


Dans le but de sensibiliser la gent féminine sur les facteurs pouvant l’aider à pouvoir déterminer ses capacités en vue d’atteindre l’autonomisation et l’émergence en milieu universitaire, le forum Economique, en collaboration avec International Youth alliance for family planning et la faculté des sciences économiques et de gestions de l’Université de Kinshasa, ont organisé une conférence –débat sur la thématique : «Entrepreneuriat féminin en milieu universitaire : Clé optimale pour l’autonomisation», tenue le samedi 08 avril, dans la salle Michel Noro de l’UNIKIN.
A cette rencontre, plusieurs intervenantes ont profité de cette occasion pour bien expliciter ce que vaut l’entrepreneuriat féminin dans le milieu universitaire. Pour ce faire, Madame Stéphanie Tshibola, actrice des droits humains et entrepreneure, a invité toutes les étudiantes dans la salle d’être entrepreneures pour devenir autonome.
Dans son mot d’entrée, cette actrice des droits humains a donné la définition du mot « entrepreneuriat », qui reste une idée innovante dans un milieu quelconque avec bénéfice. Elle a encore ajouté que pour entreprendre, «Il ne suffit pas seulement d’avoir une initiative, soit de vendre les habits, chaussures comme certains le font dans un environnement quelconque, mais c’est abord avoir une idée innovante par rapport à votre positionnement dans votre milieu ».
«L’innovation c’est une nouvelle idée faisant appel à la créativité d’une réalisation concrète et de réponse aux attentes des consommateurs. Par exemple : je suis dans un quartier où les consommateurs ont des difficultés pour se procurer les bitekutekus, les légumes en général, un entrepreneur se lancera dans la vente des légumes avec une innovation de livraison à domicile. Deuxième exemple : je suis dans un positionnement où il y a un problème d’évacuation des déchets, en tant qu’entrepreneur, je proposerai une solution d’évacuation quotidienne ou mensuelle avec taxation», a-t-elle expliqué.
En outre, Stéphanie Tshibola préconise, à travers les grandes lignes de business plan actualisé, une nouvelle vision de développement dans l’entrepreneuriat axé sur le business plan. A l’en croire, ce plan repose sur le contexte de l’activité sur son environnement ; la stratégie de faire les choses, les cibles et leurs besoins identifiés, de façon globale, mise en œuvre, le mode de financement du projet, le plan d’évolution prévu et le retour sur l’investissement attendu.
Dans la même optique, elle estime qu’un entrepreneur doit faire une enquête pour lui permettre de connaitre l’environnement dans lequel il se lance ou il veut évoluer.
«Si je dois faire une livraison de légumes, je dois connaitre les types des voisins ; le type de paiement, leur disponibilité, leur désire, etc.… pour permettre de mieux avancer dans le projet et éviter d’être un entrepreneur de taux du jour comme nos mamans qui vendent les braises», a-t-elle explicité.
Etant activiste de droits humains et de la femme, Stéphanie Tshibola a conclu en souhaitant une bonne fête des droits des femmes à toutes les femmes dans la salle.
Arlette Mukonkole

Entrepreneuriat féminin en milieux universitaires, UNIKIN : Stéphanie Tshibola dévoile des stratégies rassurantes à l’intention des étudiantes
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Kinshasa : l’Asbl ‘’Biso Basi Telema’’ outille les jeunes avec des stratégies pour éviter et savoir dénoncer le cyber harcèlement

Rendre sain l’espace social de connexion en ligne, est l’objectif primordial poursuivi derrière ce colloque à l’initiative de l’Asbl ‘‘Biso Basi Telema’’, sous la bannière de sa coordonnatrice nationale, Mme Elsie Lotendo. Pour mettre fin à tout genre d’abus, le harcèlement, l’escroquerie et tout autre forme de méfaits dans les réseaux sociaux en République démocratique du Congo, il s’est tenu un colloque instructif avec des jeunes, filles et garçons, ce jeudi 6 avril 2023 au siège de la MONUSCO à Kinshasa.
Les intervenants du jour ont tous parlé sur les abus qui se commettent sur les réseaux sociaux, particulièrement par des jeunes, les avantages et inconvénients des réseaux sociaux dans la vie quotidienne, les différentes formes de cyber harcèlement et toutes ses conséquences ainsi que ce que dit la loi congolaise quant à ce, et enfin, quelques stratégies préventives pour éviter le cyber harcèlement.
Elsie Lotendo, l’hôte du jour, qui circonscrivait la circonstance a fait comprendre que ce colloque était dans le cadre de l’amélioration des mentalités des jeunes, et de leur appréhension des réseaux sociaux. «Il est important pour chacun d’être responsable lorsque nous-nous connectons dans les réseaux sociaux. Un petit clic peut nuire à la vie de l’autre et nuire aussi à sa vie», a-t-elle fait comprendre.
Après les riches interventions des panélistes, Mme Elsie Lotendo a rassuré que les participants ont affirmé avoir tous été instruits et, chacun se disait avoir été victime du cyber harcèlement d’une manière ou d’une autre. « Ils ont vu qu’ils ont été aussi victimes et ils ont vu comment remédier à cela et ils ont été satisfaits des interventions instructives », a-t-elle indiqué.
Par ailleurs, la coordonnatrice de ‘’Biso Basi Telema’’ a souligné que la thématique de cyber criminalité a été choisie par l’association pour différentes conférences et des séminaires au cours de l’année 2023. «Cette année, nous faisons de cette thématique notre cheval de bataille. Nous continuerons à sensibiliser surtout les jeunes sur le cyber harcèlement et sur la protection de leurs données personnelles pour ne pas tomber dans ce fléau. Nous allons continuer à former les gens, en ligne et en physique pour que ce phénomène soit sensiblement réduit dans notre société», a-t-elle précisé.
Fidel Songo

 

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75ème anniversaire de l’OMS : Message de la Dre Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique

Il y a soixante-quinze ans, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) était fondée avec pour objectif ambitieux « d’amener tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible ». La Constitution de l’OMS renforce cet objectif lorsqu’elle dispose que : « La santé de tous les peuples est une condition fondamentale de la paix du monde et de la sécurité ; elle dépend de la coopération la plus étroite des individus et des États. » Il est donc tout à fait judicieux que la Journée mondiale de la Santé de cette année soit célébrée sur le thème « La santé pour tous ».
Des réalisations importantes ont été accomplies par rapport aux aspirations des dirigeants qui ont créé l’OMS. La variole, qui, selon des estimations, a fait 300 millions de morts rien qu’au XXe siècle, a été éradiquée. Depuis 1974, des millions d’enfants ont reçu des vaccins d’importance vitale et bénéficié d’autres interventions axées sur leur survie. En 2020, la Région africaine de l’OMS a reçu la certification de l’éradication des poliovirus sauvages.
L’élargissement des services de santé essentiels et de la couverture des interventions essentielles a donné des résultats. Entre 2011 et 2021, le nombre de nouvelles infections par le VIH a diminué de 44 % dans la Région africaine de l’OMS et la mortalité liée au sida a baissé de 55 %. Le nombre de décès dus à la tuberculose a diminué de 26 % dans la Région entre 2015 et 2021. Simultanément, l’espérance de vie en bonne santé dans la Région africaine a augmenté de dix ans en moyenne par personne entre 2000 et 2019.
En septembre 2019, les dirigeants mondiaux ont approuvé la Déclaration politique de la Réunion de haut niveau des Nations Unies sur la couverture sanitaire universelle, qui se trouve être l’accord international sur la santé le plus exhaustif de l’histoire.
La couverture sanitaire universelle représente l’aspiration à ce que des services de santé de qualité soient fournis à tous et selon le besoin, sans pour autant entraîner des difficultés financières pour l’usager. La couverture sanitaire universelle est l’outil qui permet d’instaurer la santé pour tous. Au-delà de la santé et du bien-être, la couverture sanitaire universelle contribue également à l’inclusion sociale, à l’égalité des genres, à l’éradication de la pauvreté, à la croissance économique et à la dignité humaine.
Si la plupart des Etats Membres de la Région africaine ont intégré la réalisation de la couverture sanitaire universelle comme un objectif central de leurs stratégies nationales de santé, les progrès restent variés lorsqu’il s’agit de traduire ces progrès en des services équitables et de qualité et d’accroître la protection financière de la population.
La moitié des citoyens africains (48 %), soit quelque 672 millions de personnes, n’ont toujours pas accès aux soins de santé dont ils ont besoin. Cette situation résulte de la faiblesse des systèmes de santé, qui se caractérise par : l’inadéquation des infrastructures sanitaires ; la mauvaise conception des politiques destinées à limiter les obstacles financiers aux services de santé ; la pénurie de personnels de santé qualifiés ; et l’accès insuffisant à des médicaments, à des produits médicaux et à des technologies innovantes de qualité.
La pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), les situations d’urgence sanitaire et l’aggravation de la situation climatique influent négativement sur les efforts qui sont faits pour accélérer les progrès vers la couverture sanitaire universelle. Cette pandémie a largement perturbé la prestation des services essentiels. Les situations d’urgence sanitaire, dont bon nombre sont provoquées par le changement climatique, perturbent souvent l’accès à l’eau potable et aux services d’assainissement, augmentant ainsi le risque de maladies à transmission hydrique et vectorielle.
Le renforcement des systèmes de santé fondés sur des soins de santé primaires solides est indispensable pour reconstruire en mieux et accélérer les progrès vers la couverture sanitaire universelle et la sécurité sanitaire. L’investissement financier dans les soins de santé primaires axé sur les blocs constitutifs des systèmes de santé, précisément sur les personnels de santé, sur les infrastructures sanitaires, sur les médicaments et sur les technologies sanitaires, devrait être soutenu et informé par des bases factuelles.
Des investissements supplémentaires destinés à améliorer la protection contre les risques financiers, la lutte contre les inégalités et le renforcement de la résilience des systèmes de santé nationaux après la COVID-19 s’avèrent essentiels si nous voulons mener à bien nos actions visant à accélérer les progrès vers la couverture sanitaire universelle dans la Région africaine.
Je tiens à exprimer ma reconnaissance aux gouvernements, aux partenaires de développement, à la société civile, aux milieux universitaires, au secteur privé et aux communautés pour leur engagement et pour leur contribution à la réalisation de notre effort collectif en faveur de la santé pour tous. Je suis fière d’avoir travaillé à vos côtés ces dernières années. Je me réjouis à la perspective d’une collaboration renouvelée et d’une détermination à faire encore plus de progrès dans les années à venir.
Au moment où nous nous rapprochons de l’échéance de la couverture sanitaire universelle fixée pour 2030, nous devons faire preuve d’innovation et relever les défis qui perdurent. J’encourage nos États Membres et l’ensemble des parties prenantes à jouer le rôle qui est dévolu aux uns et autres pour que l’engagement politique se traduise en des politiques, stratégies et plans reposant sur des bases factuelles. Ces politiques, stratégies et plans, à leur tour, doivent bénéficier de l’investissement dont ils ont besoin pour être mis en œuvre efficacement.
Renouvelons tous notre détermination, renforçons notre partenariat et faisons preuve d’innovation dans nos efforts pour progresser vers la « santé pour tous » en Afrique grâce à des services de santé plus solides qui offrent des soins holistiques centrés sur la personne à des communautés autonomisées et partie prenante des actions.
Joyeux 75ème anniversaire à nous tous !

 

 

 

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Clôture du mois de la femme, Kinshasa : AGIR pour le changement sensibilise les femmes à l’auto-prise en charge à travers l’entrepreneuriat

Les femmes du parti politique AGIR pour le changement républicain, parti cher à Yannick Lukusa Muyambala, ont été dotées d'armes techniques sur le leadership, l'entrepreneuriat, vendredi 31 mars 2023. C’était au cours d'une conférence débat organisée à Kampo Hôtel, dans la commune de la Gombe, par les femmes dudit parti politique. Ces femmes et jeunes filles ont appris sur la parité, le bon leadership et la place de l'entrepreneuriat dans leurs vies pour leur autonomie et la place qu’elle occupe dans la société.
Trois panels ont balayé cette activité. Au premier panel avec comme thème ‘’le leadership’’, les intervenantes ont démontré les qualités et le comportement que doit avoir un leader. À les en croire, un leader doit avoir l'humilité, le sens d'écoute, être bien formé et informé, être authentique, accompagner les autres. «Le leadership n'est pas une aspiration mais il faut une formation», a déclaré Mme Verlette Mampasi.
En outre, ces femmes ont invité leurs congénères à entreprendre dans une ou plusieurs activités malgré leurs faibles revenus pour être autonomes et de ne toujours pas dépendre de leurs hommes. «La main qui donne, c'est elle qui a l'autorité sur l'autre», a indiqué Me Odile Tabiana.
Le dernier panéliste a invité la femme à être consciente qu'elle existe et que cette présence doit se sentir. ‹‹ la femme est comme Dieu, elle donne la vie, comme Dieu avait donné vie. Elle est très importante dans la société et elle doit être consciente de ce pouvoir qu’elle détient» a conclu Angy KIMPASA.
Michel Onoseke

Clôture du mois de la femme, Kinshasa : AGIR pour le changement sensibilise les femmes à l’auto-prise en charge à travers l’entrepreneuriat
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