*Martin Fayulu, leader de l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) ne baisse toujours pas les bras. Il continue de suivre de près le processus électoral en cours même s’il n’y a pas souscrit. Dans une lettre officielle adressée au Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Volker Türk, vendredi 1er septembre dernier, le « président élu » appelle à la prise des mesures qui s’imposent pour suivre la situation des droits humains en RDC en cette période pré-électorale. Ce, avant de rappeler les violations des droits de l’homme enregistrés tout au long du mandat de l’actuel président Félix Tshisekedi. « Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme devrait prendre ses responsabilités afin de faire appliquer les obligations étatiques en matière de respect, de protection et de garantir les droits de I’Homme en République démocratique du Congo», a-t-il écrit. Et d’ajouter : « Nous avons saisi le Haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme pour l’informer des obstacles érigés par le pouvoir en place contre nos manifestations. L’objectif demeure le respect des lois par la reprise régulière des manifestations publiques et ainsi éviter le carnage hideux que nous venons de vivre à Goma ». Emma Muntu
Les militants de la Dynamique Progressiste pour la Révolution, Opposition Républicaine, DYPRO en sigle, ont été, mercredi 30 août, à Showbuzz, dans une cérémonie solennelle d’investiture de leur président, Constant Mutamba, comme leur unique candidat à l’élection présidentielle du 20 décembre 2023. L’événement a eu lieu en marge de la clôture du conclave national électoral de leur regroupement politique, tous ses neuf partis politiques en commun accord, qui s’est tenu le 28 et le 29 août dans leur Quartier Général situé au Quartier G.B. Il y avait, parmi la multitude de candidats venus en grand nombre pour confirmer cette candidature, madame Louvette Mbunzu, en sa triple qualité de vice-trésorière de la NOGEC, Nouvelle Génération pour l’Emergence du Congo, de militante de la DYPRO et de candidate à la députation nationale pour le compte du Mont-Amba, parmi les 406 candidats députés nationaux validés de la DYPRO, les 44 autres, leurs cas faisant encore l’objet d’un traitement au niveau de la Justice. Durant sa brève interview qu’elle a bien voulu accorder à la presse, en marge de la cérémonie, la candidate députée nationale pour le compte de la DYPRO a dit son soutien à son Président du parti NOGEC et de leur regroupement DYPRO, Constant Mutamba, en sa qualité de candidat Président de la République aux élections du 20 décembre 2023. Louvette Mbunzu fait sienne la vision de son leader Constant Mutamba qui consiste dans une rupture absolue avec les maux qui rongent la République Démocratique du Congo, au point qu’elle se retrouve aujourd’hui dans la rue sans aucun repère. Comme son président, la vice-trésorière de la NOGEC et membre à part entière de la DYPRO s’est déclarée militante d’une nouvelle dynamique politique en vue de faire émerger de nouveaux visages et de nouvelles idées en vue que soit mis fin aux clivages tant politique que social qui prévalent à l’heure actuelle en République Démocratique du Congo. Louvette Mbunzu croit en l’objectif global de la DYPRO qui consiste pour ses militants à conquérir le pouvoir, à l’exercer et à le conserver par des voies démocratiques. Sa croyance est plus grande dans la DIPRO comme regroupement politique majoritaire à la législature prochaine. Pour le dire en quelques lots, la candidate de la DYPRO à la députation nationale se dit alignée en ordre de bataille derrière son chef de file Constant Mutamba Tangungu. Saint-Germain Ebengo
L’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ en sigle) a émis une série des recommandations afin d’éviter que la répression violente de la marche à Goma ne se reproduise. Le 7 septembre, cette association de défense des Droits de l’Homme a, sans ambages, fustigé la violence inouïe qui a conduit à plusieurs morts mais également, proposé des pistes de solution pour que pareille chose ne se répète plus. Au Président de la République, l’ACAJ a demandé de promulguer la loi portant fixation des modalités pratiques de l’exercice des libertés des réunions ainsi que des manifestations publiques pour permettre une clarté démocratique dans l’exercice des droits fondamentaux. Cette mesure qui permettra de connaître clairement les limites fixées afin d’éviter tout débordement devrait succéder à la bonne conduite de la procédure judiciaire visant à établir les responsabilités des présumés auteurs de ces violations ainsi que leurs complices. Cette recommandation faite par l’ACAJ au Gouvernement et aux autorités judiciaires doit être suivie des “sanctions suffisamment dissuasives et conformes aux lois de la République Démocratique du Congo.” Aussi, la MONUSCO, dans la recherche de l’éclatement de la vérité dans cette ténébreuse affaire de fusillade inadmissible survenue à Goma, devrait-elle offrir une pertinente collaboration à la justice militaire de la RD Congo. Cette série des recommandations est, selon de l’ACAJ le gage supplémentaire de la volonté politique du Gouvernement de combattre l’impunité sous toutes ses formes. Offusquée par la vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux montrant des militaires ouvrant le feu sur une population sans défense, l’ACAJ se dit préoccupée par la situation sécuritaire, en général, et le respect des droits de l’homme notamment, le droit à la vie humaine à l’Est de la RDC, en particulier. Tout en présentant ses condoléances les plus embrunies aux familles éprouvées, l’ACAJ réitère son engagement dans la lutte pour la défense des Droits de l’Homme et condamne cette répression violente. Elle rappelé, enfin, que l’usage d’une force démesurée par les Forces de l’Ordre n’a pas de raison d’être car, non seulement parce que leur mission constitutionnelle est de protéger les personnes et leurs biens mais aussi, à cause du droit de manifester garanti par la Constitution en son article 22. Déborah Nitu
*Le regroupement électoral et politique « Alliance et action pour l’Etat de droit » (AE), plateforme membre de l’Union sacrée, a lancé dernièrement pour 3 jours, soit du vendredi 11, lundi 14 et mardi 15 août 2023, une session d’encadrement et d’accompagnement des candidats Députés nationaux. C’est dans la salle Père Boka, au CEPAS, à la Gombe que cette formation s’est ouverte. Le premier jour, à l’ouverture, quelques Présidents des partis politiques ont présenté aux sujets soumis à cette formation, des stratégies et applications électorales qui pourront les aider à captiver l’attention de la population et à la convaincre pendant la période de campagne électorale. L’objectif poursuivi consiste à créer, mettre en œuvre, concrétiser et doter le monde politique congolais, d’un nouveau leadership souverainiste. Sans faille, ce leadership souverainiste repose sur le combat politique notamment, pour donner à la République, un autre ton, un autre message et une autre victoire pour la sauvegarde de l’intégrité du pays, de la souveraineté nationale et d’une nouvelle logique de gouvernance. Dans ces premiers mots, Richard Mulumba, Président de l’AE, a félicité les Présidents des partis politiques et les personnalités ayant participé à cette formation et pour les efforts fournis afin que la plateforme ait une liste significative à présenter à la CENI, pour les élections. « Parce que trouver les candidats, ce n’est pas aussi une mince à faire… », a-t-il prévenu. Dans la même logique, il a remercié les Honorables Députés et Présidents des partis membres de l’AE, d’avoir offert leurs expériences riches et pleines d’enseignements pendant ces trois jours de formation. « Aujourd’hui, l’AE est une force politique qui va aux élections parce que nous sommes parmi ceux-là qui, visiblement, ont atteint le seuil et qui ont été officiellement proclamé et annoncé comme ayant couvert plus des sièges exigés pour atteindre le seuil. C’est aussi l’AE qui sera dans la campagne pour contribuer et apporter des voix à la concrétisation du deuxième mandat du Président de la République », a-t-il réaffirmé. Il a, en outre, fait comprendre à l’auguste assemblée que le leadership souverainiste doit, en principe, devenir une réalité au sortir de ces trois jours d’accompagnement des candidats Députés. Il a appelé, en outre, ses représentants de l’AE à porter haut l’étendard de l’EA et le souverainisme au Congo. Il y a lieu de noter que cette session d’encadrement et d’accompagnement des candidats Députés aux législatives s’est bien déroulée, avec le concours bienveillant de plusieurs experts. Hénoc Akano
Sans surprise aucune, l'opposition républicaine : la Dynamique progressiste révolutionnaire (DYPRO), vient de désigner, à l'unanimité, Constant Mutamba Tungunga, comme son candidat commun pour l'élection présidentielle de décembre 2023. Cet avocat de 35 est donc, jusqu’ici, le plus jeune candidat président de la République pour les prochaines joutes électorales. Sa candidature est considérée, selon les membres de sa famille politique, comme un vent nouveau pour un Congo qui se veut prospère. Constant Mutamba, qui, aujourd'hui, est considéré comme figure emblématique de l'opposition en République démocratique du Congo, est bien celui qui, sans aucun doute, fera face, dans une bataille arasée, avec le candidat commun du régime en place, Félix Tshisekedi Tshilombo, aux prochaines joutes électorales. Et aussi, avec ceux d’autres formations politiques et des indépendants. Constant Mutamba a été désigné, ce même mercredi 30 août 2023, à l'issue du conclave organisé par la DYPRO, la plateforme politique qu'il dirige, comme, désormais, président national. La Rupture, sa recette politique proposée en vue d'un Congo plus fort, a été au centre de son allocution, sur place même, dans la salle Showbuzz, dans la commune de Ngaliema, où le conclave de ce regroupement politique a eu lieu. Après avoir eu officiellement les arcanes de la DYPRO et, aussi, la confiance de sa famille politique, qui le désigne ticket gagnant pour la prochaine présidentielle, Constant Mutamba a présenté, encore une fois, ses ambitions pour le Grand Congo. Une fois élu président de la République, celui qu'on appelle «Crocodile de Lubao» prévoit de s'atteler, avec énergie, dans l'instauration de la paix à travers tous les quatre coins du pays, plus spécifiquement dans l'Est, en proie avec l’agression rwandaise et ougandaise. La création d’une ‘’task force économique’’ et sécuritaire, qui va consister à traquer tous les détourneurs de deniers publics, et pour assurer la paix dans la partie orientale du pays. La Dypro va donc aller déposer les dossiers de son candidat à la CENI le 1er septembre prochain, date annoncée par la commission électorale indépendante pour le début des opérations de dépôt des candidatures. D’ailleurs, une campagne de collecte de fonds a été lancée il y a quelques jours, dans l’objectif de payer la caution du candidat président, et même pour soutenir ceux des législatives nationales et provinciales. Plus de 20 mille USD ont été mobilisés déjà, a annoncé Mme Sousie Badjoko, vice-présidente de la DYPRO. Fidel Songo
«L’arrestation arbitraire et la détention illégale de nos 11 camarades à Goma révèlent encore une fois l’institutionnalisation de la répression au Nord-Kivu depuis l’instauration de l’état de siège. Au lieu de concentrer leurs efforts à combattre les groupes armés et le M23 qui est d’ailleurs aux portes de Goma avec l’aide du Rwanda, les animateurs de l’état de siège utilisent plutôt cette mesure comme prétexte et ressource pour réprimer et réduire au silence ceux qui dénoncent l’inexistence et/ou l’insuffisance de l’action des dirigeants pour résoudre les multiples problèmes de la population. » C’est avec ces paroles fermes que la structure « Lutte pour le Changement », LUCHA en sigle, a réitéré son vœu de voir levé l’état de siège dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri. Cet appel a été lancé dans un communiqué du lundi 28 août suite à l’arrestation de 11 des leurs camarades à Goma. Ces activistes de droits de l’homme manifestaient à Goma pour dénoncer le monnayage et le retard dans la délivrance des duplicatas aux citoyens dont les cartes d’électeurs sont devenues illisibles. «En dépit du fait que cette manifestation avait été annoncée par écrit au maire de la ville, nos camarades ont été transférés à l’auditorat militaire de garnison de Goma le 24 août où ils sont détenus dans des conditions difficiles (...) Pour avoir participé à cette manifestation non-violente et annoncée aux autorités urbaines, nos camarades sont accusés de rébellion et risquent jusqu’à 5 ans de prison chacun en vertu de l’article 135 du code pénal Congolais. », lit-on dans le communiqué de ce mouvement citoyen. Selon la LUCHA, les autorités militaires n’en sont pas à leur première arrestation. En effet, la LUCHA renseigne qu’un autre de ses membres est détenu depuis le 2 avril 2022 à la prison de Goma pour une peine de 5 ans pour outrage à l’armée après qu’il ait dénoncé l’inefficacité des animateurs de l’état de siège à mettre fin à l’insécurité. A cet effet, tout en lançant un appel pour la libération de ses membres, la LUCHA a demandé aux autorités locales de mettre fin à la restriction croissante de l’espace civique, la répression et les représailles visant les personnes qui ont plaidé pour la levée de l’état de siège. Aux autorités nationales, la LUCHA a demandé la levée de cette mesure comme tant d’autres forces politiques et sociales du pays l’avaient fait lors de la Table ronde tenue à Kinshasa du 14 au 16 août 2023. Déborah Nitu
Longtemps connu comme l’un des jeunes leaders des mouvements associatifs citoyens en RDC, Reagan Shole, coordonnateur national du mouvement ‘’ On a que le Congo’’ annonce la fin de son parcours de combattant et signe son entrée dans la politique active. Il évoluera, désormais, au sein de la formation politique : ‘’Causes Communes’’. Il l’a fait savoir dans un point de presse tenu hier, jeudi 17 août 2023, dans son bureau de travail à Kinshasa-Ngaliema.
Après l’UNC de Vital Kamerhe, l’Union pour la démocratie et le progrès social jette a, à son tour, jeté son dévolu sur Félix Tshisekedi, le désignant candidat commun du parti pour l’élection présidentielle de décembre 2023. L’UDPS/Tshisekedi qui était en Congrès extraordinaire, le samedi 26 août 2023, depuis Nganda Yala, à N’Sele, dans l’autre versant Est de Kinshasa, a voté à l’unanimité cette décision, qui entérine les résolutions prises pendant les assises de la Commission disciplinaire du parti tenues en janvier dernier à Kisantu, dans le Kongo Central.
*L’épineuse question de l’examen de la Loi Tshiani constitue l’épicentre de cette manifestation dont l’auteur et ses affidés de la Force du Changement se montrent déterminés à se battre jusqu’aux dents, pourvu qu’elle soit soumise à l’appréciation des Députés.
L'Udps entre en congrès extraordinaire ces vendredi 25 et samedi 26 août 2023. Objectif affiché : entériner la candidature de Félix Tshisekedi à la présidence de la République au scrutin du 20 décembre prochain. Dans les réseaux sociaux circule déjà une info faisant état de la possibilité de voir Augustin Kabuya à la tête du parti en qualité de président national, poste demeuré vacant depuis l'investiture de Félix Tshisekedi au poste de Président de la République le 24 janvier 2019. Si cette info est vraie, c'est quelque chose de gagné dans la normalisation du fonctionnement de l'Udps conformément à ses statuts. Qu'on ne s'embarrasse pas de le déclarer : depuis le 24 janvier 2019, ce parti vit en violation flagrante de ses statuts. Que ce soit sous la présidence intérimaire confiée de façon unilatérale à Jean-Marc Kabund ou sous la « présidence virtuelle » du secrétaire général Augustin Kabuya, tout a été faux, tout est faux. Au sein comme en dehors du parti, des voix se sont levées pour fustiger cet état des choses. Elles ont attiré l'attention des Tshisekedistes sur les risques de voir les Cours et Tribunaux invalider les listes des candidatures Udps à tous les niveaux - à commencer par la présidentielle de la République - introduites auprès de la centrale électorale par des personnes n'en ayant pas qualité de le faire au regard des statuts. Ces voix n'auront finalement pas crié dans le désert. Car elles sont en voie d’être entendues. Ce qui n’empêche pas de chercher à savoir pourquoi, au lendemain de l'investiture de son président national au poste de président de la République, le parti n’a pas osé organiser en bonne et due forme son congrès pour s'appliquer l'article 27 de ses statuts, tant il est vrai que la Constitution rend incomparable la fonction de chef de parti avec celle de chef d'Etat ! Cet article dispose : En cas de décès, de démission, d’empêchement définitif du Président du Parti, le Président de la Convention Démocratique du Parti assume son intérim pour un délai ne dépassant pas 30 jours au cours desquels il est tenu de convoquer une session extraordinaire du Congrès en vue d’élire un nouveau Président du Parti ; élection à laquelle il ne peut faire acte de candidature ». On ne saura peut-être jamais pourquoi le parti passant pour défenseur attitré de l'Etat de droit s'est complu dans l'exception, une fois au pouvoir. Il faut avouer que ce n'est pas une première dans l'histoire de l’Udps. On se souviendra qu'après la mort d'Etienne Tshisekedi le 1er février 2017, le parti est resté sans président national pendant un an et deux mois. En effet, le congrès ayant porté Félix Tshisekedi à la succession avait organisé les 30 et 31 mars 2018. Certes, on peut supposer qu'au sein du parti, certains sont dans la logique de ramener Félix Tshisekedi à la tête de l'Udps une fois à la fin de son mandat de président de la République. Là, c'est une erreur que de croire Félix Tshisekedi, une fois au terme de son mandat de chef d'Etat, apte à redevenir chef de parti, et encore bon chef. Ce n’est ni facile, ni aisé. Ses proches doivent alors l’apprendre (à leurs dépens) : l'homme a atteint un niveau d'autorité tel que pour préserver sa dignité, il ne devra plus agir en président national de l'Udps et commencer à débattre non pas qu'au sein de son parti, mais également avec ses collègues chefs des partis. Avec les joutes oratoires qui caractérisent les débats politiques qu'il qualifiait à l'époque de «débats de caniveaux», il a tout intérêt, une fois Sénateur à vie, à se mettre au-dessus de la mêlée. Dans des pays de tradition démocratique comme en France, on n'a jamais vu un Président de la République sorti reprendre la gestion quotidienne du parti après l'Élysée. D'ailleurs, si on n'est dans la logique du sénateur à vie privé de tout droit de postuler pour la présidentielle, il ne servira à rien de rester à la tête du parti sans aucune possibilité de revenir à la magistrature suprême. Moralité : de un, l'Udps ne survivra qu'en rentrant dans ses statuts et son règlement intérieur. De deux, avec sa première expérience de gouvernance institutionnelle, ce parti a suffisamment de matières pour adapter ses textes à la gestion de l'opposition et du pouvoir. De trois, Augustin Kabuya peut être élu président national du parti, poste dont le mandat n'est soumis à aucun timing ! Mais, au moins, qui lui reconnaît en tant que «symbole de l’unité» notamment les compétences suivantes : «Il (elle) représente et engage le Parti conformément aux dispositions statutaires et réglementaires», «Il (elle) nomme, et le cas échéant, relève de leurs fonctions les membres de la Présidence», «Il (elle) s’investit et s’implique dans le processus électoral national conformément à l’article 10 des présents Statuts», «Il (elle) nomme les délégués du Parti à la structure électorale nationale et y transmet la liste des candidats investis par le Congrès ou la Convention Démocratique du Parti» et «Il (elle) négocie et signe les alliances politiques». Au congrès extraordinaire qui se tient ces 25 et 25 août 2023, l'option pourrait être levée pour un congrès ordinaire à tenir dans les délais…statutaires ! Augustin Kabuya " présidentiable national " pour l'Udps ? Pourquoi pas si l'objectif reconnu par tout le monde, comme relevé ci-dessus, est de ramener l'Udps dans ses statuts, c'est-à-dire, sa Constitution ! Omer Nsongo die Lema/CP