ALLIANCE DES PRO ETIENNE TSHISEKEDI wa MULUMBA, APETM
DECLARATION POLITIQUE
L’opinion se souviendra que l’APETM, Mouvement d’avant-garde du peuple Congolais et fer de lance de la vulgarisation des nobles idéaux d’Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, d’heureuse mémoire, avait son candidat Président de la République en la personne de Jean Pierre LISANGA BONGANGA.
Après mûres réflexions et au-delà des contingences qui entourent le processus électoral en cours, Monsieur Jean-Pierre LISANGA BONGANGA a décidé de ne pas déposer sa candidature à la magistrature suprême essentiellement pour des raisons idéologiques.
En effet, formaté et moulé dans l’école de Feu Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, Jean Pierre LISANGA BONGANGA est, au même titre que le Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, un puzzle du Sphinx de Limete, d’heureuse mémoire.
De ce point de vue, quelques soient certaines divergences qui peuvent l’opposer au Président de la République, il va de soi que Monsieur Jean Pierre LISANGA BONGANGA se retire de la présidentielle du 20 décembre 2023 pour permettre à Monsieur Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Chef de l’Etat, avec qui il a mené le même combat politique pour le triomphe de la démocratie, le bien-être social et l’émergence d’un Etat de Droit en RDC, de rempiler pour un second mandat.
Pour l’APETM, Jean Pierre LISANGA BONGANGA Président
La fin de l'année 2023 approche et avec elle, l'échéance électorale qui va déterminer le prochain Chef de l'Etat congolais. Parmi les candidats en lice, un se démarque nettement des autres : il s'agit de Félix Tshisekedi, l'actuel président de la République démocratique du Congo (RDC). Selon plusieurs sondages réalisés par différents instituts, il bénéficie d'une large avance sur ses concurrents et d'une forte popularité auprès de la population.
Selon le sondage du Journal le Grand Œil réalisé le 11 septembre 2023 auprès de 15.100 électeurs inscrits, Félix Tshisekedi recueillerait 74% des intentions de vote, soit un écart de 64 points avec son principal rival, Moïse Katumbi, qui obtiendrait 10%. Martin Fayulu arriverait en troisième position avec 8,3%, suivi de loin par Augustin Matata Ponyo (0,8%), Delly Sesanga (0,3%) et Constant Mutamba (0,1%).
Ce sondage confirme la tendance observée par d'autres enquêtes, comme celle du Bureau d’Etudes, de Recherche et de Consulting International (BERCI), avec le Groupe d’Etude sur le Congo (GEC) et Ebuteli qui donnaient à Félix Tshisekedi 29% de bonnes opinions en décembre 2021, contre moins de 30% pour l'ensemble des autres candidats.
Quelles sont les raisons de cette montée en puissance du président sortant ? Selon les analystes, il a su capitaliser sur son bilan à la tête du pays, marqué par des réformes sociales et économiques appréciées par les Congolais. Parmi les mesures phares, on peut citer la gratuité de l'enseignement primaire et secondaire, la gratuité de la maternité, le programme de développement local dans les 145 territoires, les succès des IXès Jeux de la Francophonie organisés à Kinshasa en août 2023 ou encore la lutte contre la corruption menée par l'Inspecteur Général des Finances, Jules Alingete.
Félix Tshisekedi a également bénéficié du soutien de l'Union sacrée de la Nation, une large coalition politique qui regroupe des partis et des personnalités influentes de toutes les régions du pays. Il a ainsi pu se défaire de l'emprise de son prédécesseur Joseph Kabila, dont le parti le Front commun pour le Congo (FCC) a été marginalisé au Parlement et dans les institutions.
Bien sûr, le Président Tshisekedi n'est pas exempt de critiques et de faiblesses.
Certains lui reprochent sa gestion sécuritaire dans l'est du pays, où des groupes armés continuent de sévir malgré l'état de siège instauré en mai 2021. D'autres pointent du doigt la dépréciation du franc congolais face au dollar américain, qui affecte le pouvoir d'achat des ménages.
Enfin, certains s'interrogent sur la crédibilité du processus électoral, qui pourrait être entaché par des fraudes ou des violences. Quoi qu'il en soit, à moins d'un revirement spectaculaire, Félix Tshisekedi semble bien parti pour remporter un second mandat à la tête de la RDC.
Il devra alors faire face aux nombreux défis qui attendent ce pays immense et riche en ressources naturelles, mais aussi en proie à des tensions politiques et sociales.
Il faut être Martin Fayulu pour le faire. Pour la première fois en République démocratique du Congo, un candidat à la magistrature suprême recourt à son électorat pour financer sa campagne électorale. Le leader de l’Ecidé, Martin Fayulu Madidi qui séjourne à Kikwit dans la province du Kwilu dans le cadre de la redynamisation de sa base en vue de prochaines élections, a lancé mardi 10 octobre dernier, la campagne «1$Us dollar, soit 2.500 francs congolais». Ce, dans le but de récolter des fonds pour sa campagne électorale.
A deux mois et sept jours de la tenue des scrutins électoraux, la République Démocratique s’apprête à désigner les nouveaux animateurs mandatés à agir, dans le respect des lois de la République, pour son développement intégral et celui de son peuple. A cet effet, le regroupement politique Alliance des Acteurs Attachés au Peuple (AAAP), a pris à bras-le-corps la mise en garde du Président de la République face aux candidats de l'étranger et veut lui offrir un second mandat pour pérenniser l'élan de développement qu'il a déclenché en moins de 5ans.
Lors d’une interview accordée ce mardi 10 octobre à la presse, Michel Bongongo, 4ème Vice-président de cette machine électorale, a loué le sens patriotique du Chef de l'Etat qui ne fléchit pas aux dictats des ennemis du développement de la République Démocratique du Congo et refuse de trahir son peuple.
«Le peuple congolais continue à exprimer sa détermination de voir Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo demeurer l'homme qu'il faut à la tête de la République Démocratique du Congo, notre pays pour les cinq années à venir parce qu'il fait preuve du courage d'être congolais, courage d'être le président du pays convoité par le monde entier, courage d'être le président qui refuse de trahir son peuple, le peuple congolais», a déclaré Michel Bongongo.
Dirigé par le Haut-Représentant de l’Autorité Morale, Tony Kanku Shiku, l’Alliance des Acteurs Attachés au Peuple est bien consciente de l'enjeu que représente la campagne électorale, une étape cruciale qui précède la tenue du scrutin. Elle affûte ses armes pour aller à la conquête des électeurs avec pour mission, de faire réélire Félix Tshisekedi et rafler plusieurs sièges aux législatives et autres.
«Alliance des Acteurs Attachés au Peuple, AAAP en sigle, après une analyse exhaustive de l'ensemble des actions entreprises par Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la République pendant son premier mandat présidentiel en cours et au nom de la vision commune qui nous est chère à savoir : le peuple d'abord, a décidé de battre campagne pour le président Tshisekedi de manière à ce qu'il accède à un second mandat qui puisse l'amener à consolider les acquis déjà engrangés, pour le bien-être et la promotion du peuple congolais », a signifié Michel Bongongo.
Cet ancien Ministre de la Fonction Publique et du Budget juge le bilan du premier quinquennat de celui qu'on appelle affectueusement “Fatshi Béton” positif. Il se dit prêt à défendre ce bilan, secteur par secteur, lors de la campagne électorale.
Michel Bongongo entend évoquer l'épineuse question de la «sécurité, de la diplomatie, de l'éducation, de la santé, des infrastructures, de la justice, de la jeunesse et des sports, de la lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics, de la préservation et de la liberté individuelle et collective, ainsi que le secteur de la création des emplois (...) ».
L’Alliance des Acteurs Attachés au Peuple (AAAP) se veut une véritable vitrine pour faire rayonner les actions présidentielles. Elle a investi Félix Tshisekedi comme son candidat à la présidentielle prochaine le 28 septembre dernier.
*‘’Nous connaissons tous le contexte chaotique volontairement entretenu par le régime et dans lequel ces élections sont organisées. Nous sommes donc conscients que les conditions ne sont pas optimales pour un scrutin libre, démocratique et transparent. Cependant, depuis le lancement de l’opération TELEMELA FRAUDE ELECTORALE, notre mot d’ordre dans le combat pour la transparence des élections il y a deux ans, nous avons choisi de prendre part au processus électoral et d’aller donc aux élections de 2023. Car, je n’ai jamais pensé, malgré les vicissitudes du processus, que le boycott passif des élections soit le meilleur moyen de faire valoir à la fois les critiques que nous formulons contre le processus, mais aussi de mener le combat pour un changement, dont la RDC a besoin pour un changement, une alternance démocratique au pouvoir. Nous devons prendre part aux élections car notre vocation est d’être acteur du changement et de la surveillance des élections afin que le peuple congolais puisse exprimer son choix et le voir respecté. Nous serons donc à ce scrutin de 2023 à tous les niveaux. Vous pouvez observer qu’aujourd’hui, plusieurs nous ont finalement rejoints, démontrant la justesse de cette stratégie et de l’anticipation sur ce contexte de crise programmée par le chaos électoral. En s’accordant désormais sur cette stratégie, toujours promue et soutenue par l’ENVOL, je vous engage à mener ce combat pied à pied contre les détracteurs, qui ont pensé vous décourager. Les dégoûtants ont imaginé nous dégouter du jeu électoral pour leur laisser le boulevard, nous avons compris leur jeu et nous finirons par les mettre dehors par l’engagement, le courage et la cohérence de nos stratégies et actions ! Dans cette élection présidentielle, je représenterai tous les congolais qui veulent par le travail, la discipline et la transparence écrire une nouvelle histoire de notre pays. A la jeunesse, qui compose plus de la moitié de la population de notre pays, je voudrais redonner les motifs d’espérer de la Nation par la force de nos propositions, la rénovation de l’action politique autour de la restauration de l’intérêt général et du sens du bien commun. C’est à vous, jeunes de mon pays que s’adresse le projet de LA REFONDATION DU CONGO. Votre énergie, votre fraicheur sont les ferments d’une action politique positive en phase avec les défis de ce monde qui bouge rapidement, et qui a abattu les frontières et vous offre des opportunités que la gestion actuelle du pays ferme et désoriente. LA REFONDATION DU CONGO va les capter et les ouvrir par le travail, l’emploi, l’entreprenariat, l’innovation et le gout du risque, inhérent à tout esprit d’initiative’’, a-t-il déclaré Delly Sesanga Hipungu, depuis hier, à Boma, dans le Kongo Central à l’issue du deuxième ordinaire de l’Envol, son propre parti politique. ‘’Nous ne pouvons pas mettre fin à cela en persévérant dans les mêmes erreurs sur le choix des dirigeants. Comme je vous l’ai souvent dit, et je le répète : je ne vais pas me présenter à la Nation, à nos compatriotes, congolaises et congolais en homme providentiel. Et, le Congo n’a pas besoin d’un homme providentiel. Par le passé, nous nous sommes rassemblés autour des individus et contre les personnes d’ailleurs plus facilement que sur les idées pour redresser le pays. A force d’avoir combattu contre les personnes et pour les personnes, nous avons oublié l’essentiel, dont le Congo a besoin : UNE VISION, UN PROJET, UN PROGRAMME sans lesquels tout est slogan. L’heure n’est plus au diagnostic, au tâtonnement, à l’incompétence, à la découverte de l’État et de notre société, à l’exaltation ou à la posture ! L’heure est venue pour redonner aux congolais, à l’occasion de cette élection, les raisons de véritablement espérer la paix et la sécurité, la justice et la liberté, la prospérité et l’indépendance nationales ! Je suis donc le candidat pour LA REFONDATION DU CONGO, projet ambitieux que vous avez adopté et que je porterai à la Présidentielle. Mes séjours dans les provinces et les échanges qui ont eu lieu avec nos compatriotes m’ont permis de réaliser à quel point ce projet mobilise et rassemble autour de ses objectifs et sur les stratégies proposées. En allant à la conquête de la magistrature suprême, nous allons à la quête des leviers du pouvoir pour le mettre en œuvre’’, a-t-il promis, si l’on en croit à la teneur de son cri lancé dans son discours repris, ci-dessous.
Boma, le 04 octobre 2023
Mesdames, Messieurs les congressistes,
Nous voilà à la fin des trois jours des travaux de la session du IIème Congrès ordinaire de l’ENVOL, tenus du 1er au 4 octobre 2023 dans la ville de Boma au Kongo Central.
Permettez-moi, avant toute chose, de vous adresser à tous, à chacun et à chacune, mes sincères remerciements pour votre participation effective et active aux travaux en commissions et aux séances plénières qui clôturent ces assises. Je remercie en particulier la Coordination du Kongo central, qui nous a accueillis, ainsi que le Comité d’organisation du Congrès pour la qualité du travail abattu.
Je remercie aussi toutes les équipes des Fédérations du parti, pour l’accueil à Mbanza Ngungu, Kasangulu, Matadi et Tshiela. Mes remerciements à toutes les délégations venues de toutes les provinces ainsi que toutes les personnes qui ont répondu à notre invitation pour ce congrès. Une mention spéciale, enfin, pour les alliés et invités qui ont rehaussé de leur présence ces activités auxquelles ils ont pris une part active.
Mesdames et Messieurs,
C’est un grand bonheur que d’avoir choisi, à l’ère de LA REFONDATION DU CONGO, la ville de Boma pour la tenue de la session de ce Congrès ordinaire, ville pleine de symboles de notre histoire et qui, j’en suis sûr, vont féconder notre propre projet pour l’avenir du Congo. Boma fut, après Vivi, la capitale du Congo à partir de laquelle l’armature administrative du pays, la mise en place de son armée et de ses structures furent pensées.
Et, on l’oublie souvent, le lieu où ont commencé également les premières écoles. Nous sommes aussi au Kongo Central, terre du nationalisme congolais car c’est ici qu’est né Paul Panda FARNANA, le premier nationaliste congolais, avant l’heure, et dont le destin tragique a été finalement à l’image de l’histoire de notre pays.
C’est aussi ici, la terre de Papa Simon KIMBANGU, qui pensa la liberté du peuple congolais, alors sous le joug colonial. C’est toujours ici, qu’est venu le premier Président de la République, Joseph KASA-VUBU, dont le modèle de droiture et d’honnêteté fait référence contrastant tellement avec le contremodèle actuel de la gouvernance du pays. J’ai eu l’honneur, à l’occasion de ce séjour au Kongo Central, de visiter et de m’incliner au mausolée de Singini où il repose pour l’éternité.
Mesdames, Messieurs,
A l’ouverture solennelle de ces assises, il y a trois jours, je vous engageais à réfléchir et à échanger autour des trois thématiques transversales essentielles pour améliorer davantage l’organisation et la bonne marche du parti, et surtout en ce qui concerne notre engagement et notre ambition pour le Congo.
Il s’agit pour rappel :
1. de la position politique face aux échéances de décembre 2023
2. du projet de société et feuille de route pour les cinq prochaines années
3. de la réforme du parti et révision des statuts
Au regard de l’ampleur, des riches et féconds échanges qui ont eu lieu au cours de ces trois journées, vous avez dégagé 30 résolutions, qui couvrent l’ensemble des matières inscrites à l’ordre du jour. Vous avez décidé d’améliorer le cadre organique du parti et de modifier pour ce faire, certains articles de nos statuts. Vous avez aussi adopté le projet de la refondation, au regard de sa conformité à nos textes de base notamment la DECLARATION DES PRINCIPES du 6 février 2010. Ce initiative que j’ai proposée est devenue ainsi le projet de société que nous allons tous présenter à nos compatriotes lors de la campagne électorale. Vous avez également décidé de me confier à nouveau les charges du président national du parti.
Mesdames, messieurs,
Depuis le 24 Janvier 2023, j’ai annoncé ma candidature à l’élection présidentielle de décembres 2023 à partir de la ville de Lisala dans la Province de la Mongala. J’ai décidé d’incarner au sein de la sphère politique le renouvellement de la conscience de ce que nous sommes et de ce que nous aspirons à devenir comme peuple. Pour ce faire j’ai proposé, avec l’exigence, la rigueur et l’expérience que cela commande, cet ambitieux projet de LA REFONDATION DU CONGO. Je suis pleinement satisfait de porter cette candidature, que vous avez investie ce jour pour l’élection présidentielle de décembre 2023.
Le parti fait donc pour la première fois le choix de présenter une candidature à l’élection présidentielle. Et, vous avez eu raison ! Vous avez en cela mis en œuvre la feuille de route définie lors du bureau politique de juillet 2019 en alignant 1057 candidatures à tous les niveaux, municipal, provincial, national et présidentiel. Vous avez ainsi fait de l’ENVOL une vraie force politique autonome et de proposition dans notre pays. Nous incarnons désormais cette alternative offerte aux congolais pour le changement et l’alternance.
Mesdames, Messieurs,
La présence effective du parti ENVOL sur l’ensemble du pays est un motif de satisfaction. C’est aussi à la fois un motif de fierté et surtout, un devoir pour chacun d’entre vous, chaque Fédération et Coordination de travailler maintenant d’arrache-pied pour faire gagner nos candidats aux différents scrutins.
Nous connaissons tous le contexte chaotique volontairement entretenu par le régime et dans lequel ces élections sont organisées. Nous sommes donc conscients que les conditions ne sont pas optimales pour un scrutin libre, démocratique et transparent.
Cependant, depuis le lancement de l’opération TELEMELA FRAUDE ELECTORALE, notre mot d’ordre dans le combat pour la transparence des élections il y a deux ans, nous avons choisi de prendre part au processus électoral et d’aller donc aux élections de 2023.
Car, je n’ai jamais pensé, malgré les vicissitudes du processus, que le boycott passif des élections soit le meilleur moyen de faire valoir à la fois les critiques que nous formulons contre le processus, mais aussi de mener le combat pour un changement, dont la RDC a besoin pour un changement, une alternance démocratique au pouvoir.
Nous devons prendre part aux élections car notre vocation est d’être acteur du changement et de la surveillance des élections afin que le peuple congolais puisse exprimer son choix et le voir respecté. Nous serons donc à ce scrutin de 2023 à tous les niveaux.
Vous pouvez observer qu’aujourd’hui, plusieurs nous ont finalement rejoints, démontrant la justesse de cette stratégie et de l’anticipation sur ce contexte de crise programmée par le chaos électoral. En s’accordant désormais sur cette stratégie, toujours promue et soutenue par l’ENVOL, je vous engage à mener ce combat pied à pied contre les détracteurs, qui ont pensé vous décourager. Les dégoûtants ont imaginé nous dégouter du jeu électoral pour leur laisser le boulevard, nous avons compris leur jeu et nous finirons par les mettre dehors par l’engagement, le courage et la cohérence de nos stratégies et actions !
Mesdames, Messieurs,
Dans cette élection présidentielle, je représenterai tous les congolais qui veulent par le travail, la discipline et la transparence écrire une nouvelle histoire de notre pays. A la jeunesse, qui compose plus de la moitié de la population de notre pays, je voudrais redonner les motifs d’espérer de la Nation par la force de nos propositions, la rénovation de l’action politique autour de la restauration de l’intérêt général et du sens du bien commun. C’est à vous, jeunes de mon pays que s’adresse le projet de LA REFONDATION DU CONGO. Votre énergie, votre fraicheur sont les ferments d’une action politique positive en phase avec les défis de ce monde qui bouge rapidement, et qui a abattu les frontières et vous offre des opportunités que la gestion actuelle du pays ferme et désoriente. LA REFONDATION DU CONGO va les capter et les ouvrir par le travail, l’emploi, l’entreprenariat, l’innovation et le gout du risque, inhérent à tout esprit d’initiative.
A tous nos compatriotes qui désespèrent de la politique, voici un projet politique qui fonde l’espoir qu’un autre Congo est possible !
Depuis neuf mois, je me suis mis à sillonner le pays dans plusieurs provinces et je sais que vous exprimez la volonté de changer et vous partagez les mêmes attentes : la paix, l’emploi, le bien-être de la population par les services de santé et d’éducation, la protection des intérêts politiques et économiques du congolais dans son pays et à l’étranger !
Ces espérances pourtant fortes et légitimes sont confisquées non seulement par la mauvaise gouvernance, comme il est devenu coutume de le dire, mais aussi et surtout par le manque de vision, l’incompétence et l’impréparation de ceux qui gouvernent et qui finissent par improviser dans un chaos, qui a compromis aujourd’hui notre souveraineté et l’indépendance nationale.
Nous ne pouvons pas mettre fin à cela en persévérant dans les mêmes erreurs sur le choix des dirigeants. Comme je vous l’ai souvent dit, et je le répète : je ne vais pas me présenter à la Nation, à nos compatriotes, congolaises et congolais en homme providentiel. Et, le Congo n’a pas besoin d’un homme providentiel. Par le passé, nous nous sommes rassemblés autour des individus et contre les personnes d’ailleurs plus facilement que sur les idées pour redresser le pays. A force d’avoir combattu contre les personnes et pour les personnes, nous avons oublié l’essentiel, dont le Congo a besoin : UNE VISION, UN PROJET, UN PROGRAMME sans lesquels tout est slogan.
L’heure n’est plus au diagnostic, au tâtonnement, à l’incompétence, à la découverte de l’État et de notre société, à l’exaltation ou à la posture ! L’heure est venue pour redonner aux congolais, à l’occasion de cette élection, les raisons de véritablement espérer la paix et la sécurité, la justice et la liberté, la prospérité et l’indépendance nationales ! Je suis donc le candidat pour LA REFONDATION DU CONGO, projet ambitieux que vous avez adopté et que je porterai à la Présidentielle. Mes séjours dans les provinces et les échanges qui ont eu lieu avec nos compatriotes m’ont permis de réaliser à quel point ce projet mobilise et rassemble autour de ses objectifs et sur les stratégies proposées. En allant à la conquête de la magistrature suprême, nous allons à la quête des leviers du pouvoir pour le mettre en œuvre.
Pourquoi parlons-nous de LA REFONDATION DU CONGO ?
La faillite de l’État congolais est devenue l’opportunité pour les dirigeants d’un côté, de casser les Institutions et de l’autre de mettre en place un système de corruption, de détournement, qui maintient notre peuple dans la pauvreté et l’ignorance. J’y vois, pour ma part l’opportunité de refaire les fondations d’une République juste, des Institutions fortes, d’une société capable de faire travailler, de nourrir, d’éduquer, de soigner et de protéger le Congolais dans son pays. LA REFONDATION DU CONGO, au nom de laquelle j’accepte de concourir à la magistrature suprême de notre pays s’articule autour de 5 axes stratégiques ci-après :
1. Gagner la paix à l’Est, sécuriser le territoire et garantir l'indépendance nationale
2. Unifier les provinces pour favoriser la circulation des personnes et des biens
3. Restaurer l'intérêt général et le sens du bien commun
4. Bâtir des services publics protecteurs des Congolais
5. Développer les conditions d’une croissance diversifiée, inclusive et créatrice d’emploi en sortant de l’économie de rente
Ces axes stratégiques sous-tendent 35 actions-clés, ambitieuses et réalistes, ayant pour finalité de répondre chacune à une problématique précise, constituant un frein au développement de la République Démocratique du Congo et en y apportant les moyens de doter notre beau pays des moyens de sa souveraineté et de sa prospérité au bénéfice des Congolais
Dès lors, à travers une analyse approfondie et une hiérarchisation réfléchie, chacune de ces actions a été soigneusement évaluée pour qu’elles répondent à l’urgence majeure du prochain mandat présidentiel, la Refondation du Congo :
1. Rassembler la communauté nationale autour d’un projet fédérateur, porteur du progrès pour tous les congolais ;
2. Redonner à la R.D.C. les fondements nécessaires à son existence, à sa stabilité et à sa protection comme État libre et indépendant ;
3. Restaurer la dignité des citoyens congolais en leur apportant les réponses aux défis quotidiens de la vie du congolais et de notre temps : se nourrir, travailler, s’éduquer, se soigner, circuler et recueillir une partie de la richesse nationale, pour rendre au peuple congolais, en particulier à la jeunesse, les raisons d’espérer en notre pays.
Fier de votre adhésion au projet de la Refondation du Congo et de votre choix sur ma personne, pour le porter à la magistrature suprême, je vous appelle dès cet instant et je convie également les kinoises et kinois à être là, très nombreux, ce samedi 07 octobre 2023 pour déposer, au bureau de la CENI, ensemble notre candidature à l’élection présidentielle du 20 décembre 2023. J’annonce également à l’opinion nationale et internationale que le samedi 14 octobre 2023, je présenterai en détail le programme de LA REFONDATION DU CONGO.
Mesdames, Messieurs
Contrairement aux apparences, les élections de décembre 2023 sont une opportunité inédite. Elles ouvrent une nouvelle ère dans l’histoire de notre pays ; les mythes sont morts, les légendes ont disparu, le temps du peuple est venu. Le peuple congolais n’a pas besoin d’être sauvé, le peuple congolais doit se sauver lui-même ! Le peuple congolais ne doit plus être mendiant des dons, de ceux qui arrivent au pouvoir, en lieu et place des politiques publiques justes ! Le peuple congolais ne doit pas être le dernier à tirer profit de la prospérité de son pays confisquée par la collusion de la corruption des dirigeants en connivence avec l’exploitation illicite de nos richesses ! Mais le peuple congolais doit être acteur de ce changement ! Ce qui est fait sans lui est fait contre lui !
En prenant le courage d’être exigeant ce jour du 20 décembre 2023, 1 jour pour stopper l’hémorragie et insuffler une nouvelle espérance pour les 5 prochaines années de vie de la Nation, le peuple rassemblé peut faire un choix novateur, porté non pas par un sauveur, mais par des dirigeants avisés, responsables. Des dirigeants ayant suffisamment conscience des enjeux institutionnels de la gouvernance, des questions économiques et financières de l’Etat ainsi que les enjeux diplomatiques et sécuritaires du pays. Il nous faut éviter le tâtonnement et l’apprentissage au sommet dont nous avons assez payé le prix.
Avec humilité, comme disait le Président Joseph KASA-VUBU, par LA REFONDATION DU CONGO, nous pourrons de manière pratique, pragmatique et sur base des principes et des lois, assurer un avenir différent à nos familles et rompre enfin avec le cercle vicieux des pratiques décriées puis reconstituées par chaque nouveau pouvoir.
Mesdames et Messieurs,
Chers compagnons,
Je tiens ici à féliciter l’équipe de la Centrale électorale du parti, en collaboration avec nos structures provinciales et fédérales pour avoir géré avec tact et professionnalisme le processus. Je compte sur votre accompagnement dans la campagne Présidentielle, mais aussi je vous assure de mon soutien pour votre campagne dans l’idée de faire gagner des sièges au Parti et de remporter la Présidentielle.
Préparons-nous tous à cette lutte ! Les élections, nous devons les et nous allons les gagner, à tous les niveaux ! Certains disent qu’ils ont déjà gagné l’élection parce qu’ils contrôlent l’administration électorale et la Cour constitutionnelle. Nous l’avions déjà dit et permettez-moi de le rappeler : Nous n’attendrons pas la fabrique de leurs résultats. Nous nous entendrons aux résultats sortis directement de chaque bureau de vote. Comme depuis le début, l’observation électorale et le décompte parallèles des voix avec également le concours de nos témoins devra nous donner les seuls résultats auxquels nous tenons. D’autre part, compte tenu de la manière dont la loi sur la Cour constitutionnelle a été déformée par le pouvoir en place, nous n’irons pas chercher l’injustice de la Cour constitutionnelle. Le Peuple congolais doit donc se mobiliser massivement pour le vote, l’abstention n’est pas une solution. Il faut d’abord convaincre tous ceux qui souffrent de ce système et tous ceux qui espèrent un pays différent de se mobiliser en premier pour le vote. Une offre existe désormais pour eux, elle s’appelle la REFONDATION DU CONGO.
Mesdames, Messieurs,
Vous êtes venus de toutes les provinces malgré les difficultés de mobilité dans le pays entier, vous allez retourner dans vos coordinations et fédérations et sans tarder restituer les éléments de ces assises aux cellules de base et à vos concitoyens.
Allez dire à tous les congolais et congolaises que le 20 décembre 2023, nous allons décider de notre avenir et de la vie des générations futures par l’élection d’un nouveau président de la République, des nouveaux députés et des Conseillers communaux. Je crois en vous, en votre capacité, comme vous croyez en moi. A vous tous et à toutes les filles et tous les fils du Congo je dis :
N’ayez pas peur
Beno vuanda na wonga ve
Bobanga te
Apana kusikiya boga
Djata bowa
Je sais que nos compatriotes nous font confiance. Dans cette phase du terme du processus électoral, vous devez prêcher la surveillance et l’observation au sein de chaque bureau de vote de vos circonscriptions. Le 20 décembre, j’invite tous les congolais à la veillée électorale devant tous les bureaux de vote pour le bien suprême de la Nation. Ne laissez personne fermer le bureau de vote et quitter le lieu, sans avoir au préalable affiché le PV de vote devant le bureau et sans en avoir donné une copie certifiée à chacun de vos témoin. Ainsi dit la loi. Personne n’est et ne sera au-dessus de la loi. Avec la fin ce jour de notre deuxième congrès ordinaire, toutes nos énergies seront dès l’instant consacrées à la campagne électorale qui commence le mois prochain. Préparons-nous à y aller avec la profonde détermination et la forte conviction de gagner dignement les élections haut la main.
En vous souhaitant bon retour chez vous pour le travail, je déclare ainsi clos les travaux du deuxième congrès ordinaire de l’ENVOL, notre cher parti.
Denis Mukwege Prix Nobel Le Cabinet E-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Téléphone : +243 975 168 160 COMMUNIQUE IMPORTANT Le Cabinet du Docteur Denis Mukwege a le plaisir de porter à la connaissance de l’opinion publique que lors de son prochain séjour à Kinshasa, le Prix Nobel de la paix adressera aux Congolaises et aux Congolais, un message important pour la vie et l'avenir de notre Nation. L'événement consacré à cette adresse aura lieu à Kinshasa le Lundi 02 octobre 2023 à partir de 12 heures dans la grande salle de la paroisse Fatima, dans la Commune de la Gombe. Le Cabinet invite les forces vives de la Nation à prendre part à cette manifestation, y compris la presse nationale et internationale. Fait à Kinshasa, le 29/09/2023. Pour le Cabinet du Prof Dr Denis Mukwege Vital Barholere Directeur
‘’Nous venons vous prouver la différence qu'il y a entre l'homme du changement de FUNA Eric KAMBA et tous ceux qui n’ont aucune préparation préalable de ce qu'ils veulent assumer comme responsabilité’’, explique-t-il, dans une analyse réalisée depuis les USA. ‘’Vouloir être Député, c'est avoir la capacité de se tenir du haut du perchoir de l'Assemblée nationale afin de proposer des lois à même d'aider ses électeurs et par-dessus tout, faciliter le développement tous azimuts de sa circonscription électorale, en particulier, et du pays, en général’’, explique-t-il. Ceci fait de M. Eric KAMBA, l’homme le mieux placé pour représenter dignement toute la population de FUNA par rapport à tous les autres qui ne se présentent aux élections que pour les intérêts mesquins. C’est pourquoi, ils n'ont, pour la plupart, aucun projet dûment élaboré de ce qu'ils peuvent initier, le moment venu, à l'Assemblée nationale, une fois élu. Heureusement que le peuple de la FUNA n'est plus dupe. Toute la population de la FUNA a plutôt intérêt à soutenir les projets dont Eric Kamba est, désormais, porteur. Pour ce faire, Eric Kamba a conçu huit projets magnifiques propositions des lois qui feront l'essentiel de son combat pour l’essor merveilleux de la Funa. Pour lui, ‘’FUNA mérite mieux’’, prévient-il. LPM
Il dit avoir écouté la voix de ses sociétaires de Lamuka. Il laisse alors le combat pour la révision du fichier électoral, et le remplace par le renforcement du système de surveillance électorale. Ainsi, il invite la population, les confessions religieuses et associations à redoubler la vigilance afin que les résultats du vote de 20 décembre prochain soient véritablement ceux qui reflètent la vérité des urnes. Martin Fayulu Madidi, président de l’ECIDé va se présenter à l’élection de décembre 2023 par sa candidature à l’élection présidentielle, même en l’absence des candidats aux législatives nationales et provinciales de sa famille politique (LAMUKA). Dans un point de presse tenu le samedi 30 septembre 2023 à Faden House, l’une de ses résidences situées dans la commune de la Gombe, l’opposant a confirmé sa présence à ces joutes électorales. Il va déposer sa candidature au bureau de la commission électorale nationale indépendante ce mercredi 4 octobre. « Le contexte politique de notre pays est plus qu'interpelant, voilà pourquoi malgré que la CENI n'ait pas reçu les noms de nos candidats députés et ayant entendu la demande pressante de la population, la coalition LAMUKA a décidé de déposer ma candidature pour la présidentielle de décembre 2023. Nous allons continuer à nous battre pour exiger davantage la transparence des élections. Comme nous n'avons pas eu la transparence par l'audit du fichier électoral, nous l’aurons dans la surveillance des élections », a fait savoir Martin Fayulu. Malgré ses conditions posées en amont dont celle d’un nouvel audit du fichier électoral n’ont pas été prises en compte par la CENI, l’opposant souligne, par ailleurs que, sa pression a du moins abouti à ce que « les congolaises et les congolaises de tout bord s'intéressent au fichier électoral et à la transparence des élections; les églises catholique et protestante ont proposé l'audit citoyen du fichier électoral, puis la tabulation parallèle des résultats et la proclamation des résultats des élections bureau de vote par bureau de vote ; la communauté internationale continue d'exiger les élections transparentes; Monsieur Kadima, président de la CENI, a déclaré récemment dans une émission de télévision, que la publication des résultats se fera bureau de vote par bureau de vote ». Cependant, Martin Fayulu insiste sur la transparence et l’inclusion qui ‘’constituent un levier pour la paix et la stabilité en RD. Congo avant, pendant et après les élections’’. Fidel Songo
24 heures après sa désignation en tant que président de Nouvel Elan et ticket gagnant du parti pour l’élection présidentielle de décembre, Adolphe Muzito Mfumu Mpa a confirmé sa participation à cette grande bataille démocratique en déposant, samedi 30 septembre 2023, sa candidature au bureau de la Commission électorale nationale indépendante. Il était accompagné, à l’occasion, par les membres de sa formation politique et des représentants des regroupements alliés. Une fois élu, le Premier ministre honoraire dit affranchir, avant toute chose, la République démocratique du Congo de ses carcans qui, depuis la nuit des temps, l’empêche de décoller. «Mes motivations sont essentielles. A savoir, libérer le Congo sur le plan tant politique, diplomatique, économique que social», a-t-il indiqué. Avec cette libération, il entend engager le Congo sur la voie de sa construction et son développement, de manière à ce que les Congolais vivent normalement et aient, du moins, les conditions les plus décentes possibles. «Il faut que les congolais aient les conditions nécessaires pour avoir un logement approprié. travailler dans de meilleures dispositions avec une bonne rémunération qui soit digne d’un être humain», a indiqué Adolphe Muzito. Au congrès de son parti tenu du 28 au 29 septembre dernier à N’Sele, le Premier ministre honoraire a présenté, de manière large, ses 25 politiques publiques en tant que candidat Président de la République en vue du développement de la RDC. Entre autres, la titrisation de terres des communautés locales avec comme conséquence la révision de la Constitution et de la Loi foncière ; l’ouverture du capital des entreprises minières en faveur aussi bien de l’Etat que des provinces ainsi que des communautés locales traditionnelles ; la répartition équitable des revenus des ressources naturelles entre l’Etat, les provinces et les communautés locales, etc. Par ailleurs, Adolphe Muzito est de ceux qui ne croient pas, au stade actuel, à une quelconque convenance de tous les opposants en vue de ressortir une candidature commune. «Est-ce qu’il y aura convergence ou pas, je suis tenté de penser que c’est très difficile. Moi je viens déployer mon programme en tant que candidat président de la République, j’ai été élu comme président de mon parti politique, nous allons entrer bientôt à l’université pour synthétiser notre offre politique et discuter avec les camarades candidats députés pour que nous ayons un programme de gouvernement et celui du président de la République. Les deux programmes feront l’objet d’une synthèse, à partir de ce moment nous allons commencer à regarder dans la classe politique quelles sont les différentes visions, quels sont les différents programmes et voir quelles sont les synthèses plausibles avant et après les élections», a-t-il conclu. La Pros.
Une vue du Présidium de l’Union Sacrée de la Nationale
Jean Michel Sama Lukonde lors de sa prise de parole
Christophe Mboso sur la tribune
Sans surprise, l’Union Sacrée de la Nation, méga-plateforme électorale créée depuis le 6 décembre 2023, a investi le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, son initiateur et Autorité morale, comme candidat unique à l’élection présidentielle prévue le 20 décembre 2023, en RDC. Cette annonce a été rendue publique hier, dimanche 1ᵉʳ octobre 2023, au Chapiteau du Palais du Peuple, à l’occasion du tout premier Congrès de cette grande famille politique du Chef de l'Etat, auquel ont participé plusieurs personnalités politiques, des responsables des partis et regroupements politiques membres. Présidant cette cérémonie, les membres du présidium de l'Union sacrée soutenus par les regroupements membres ont exprimé leur soutien et leur loyauté à l’endroit de leur candidat de qui, estiment-ils, draine un bilan largement positif lors de sa première mandature. Du bon côté de l’histoire Dans son mot introductif, le Premier Ministre Sama Lukonde, membre du Présidium, a remercié le Chef de l'Etat, Félix Antoine Tshisekedi, les membres du présidium tout en rassurant les uns et les autres que nous sommes du bon côté de l'histoire. «Je voudrais ici vous rassurer, comme le slogan dit souvent que nous sommes bel et bien du bon côté de l'histoire. Dès ce jour, nous allons donner un signal tant au niveau national qu'international de notre unité, détermination et engagement face à ces élections du 20 décembre 2023. Je suis rassuré que les décisions qui seront prises ici seront soutenues par nous tous et cela derrière la vision de notre autorité politique », a-t-il souligné, avant de souhaiter de fructueux travaux à tous les participants au Congrès. Mobilisation nationale Pour sa part, Christophe Mboso N’kodia Pwanga, également membre du Présidium et Speaker de l'Assemblée Nationale, a salué la participation des membres de l’Union Sacrée de la Nation à ce Congrès consacrant la désignation et l'investiture du Candidat Président de la République. «Les Congolais sont témoins du choix des congressistes porté sur le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Béton. Pendant la campagne, nous allons élire et battre campagne en invitant les autres compatriotes congolais, des autres circonscriptions et des autres provinces, à élire Fatshi béton pour lui donner une majorité écrasante», a-t-il précisé. Déclaration finale Donnant le rapport de ce Congrès, le Premier vice-président de l'Assemblée nationale, le Professeur André Mbata a fait la lecture de la déclaration désignant, Félix Tshisekedi Tshilombo, candidat président de la République dans les termes ci-après : « Le congrès, vu la constitution de la République démocratique du Congo du 18 février 2006 telle que modifiée et complétée à ce jour, spécialement en ses articles 70 et 73, Vu la Loi n°004/002 du 15 mai 2004 portant organisation et fonctionnement des partis, principalement en ses articles 3,4 et 10. Vu la loi électorale n°006/006 du 29 mars 2006 portant organisation des élections présidentielle, législatives nationales, provinciales, urbaines, municipales et locales telles que modifiée et complétée à ce jour spécialement en ses articles 12 alinéa 5 et 102 alinéa 2 ; Vu les arrêtés ministériels reconnaissants le fonctionnement des partis politiques réunis au sein de l'Union sacrée de la Nation ; Vu les actes de reconnaissance des regroupements politiques ayant un intérêt à l'Union sacrée de la Nation ; Vu la charte de l'Union sacrée de la Nation, spécialement en son article 27.1 considérant l'urgence et l'impérieuse nécessité ; décide : Art 1 : est désigné et investi candidat président de la RDC Pour le compte de l'Union sacrée de la nation, le camarade Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Art 2: Tous les membres de l'Union sacrée de la nation s'engagent résolument à soutenir le candidat président de la république, ainsi désigné et investi avant, pendant et après son élection le 20 décembre 2023. Art 3 : la présente résolution entre en vigueur à la date de son adoption. Fait à Kinshasa le 01/ 10 /2023 », a lu André Mbata. La Pros.