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Plan et chronogramme de désengagement des casques bleus , RDC : le Gouvernement et la Monusco parviennent à un accord

Une note sur le retrait accéléré, progressif, ordonné et responsable de la Monusco de la RDC contenant un plan et un chronogramme de désengagement complet a été signé mardi 22 novembre dernier à Kinshasa entre le Vice-premier ministre congolais, en charge des affaires étrangères et de la Francophonie, M. Christophe Lutundula et la représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies en République démocratique du Congo et cheffe de la Monusco, Mme Bitou Keita. Cette note concernait le retrait de la Monusco sur le territoire de la RDC. Le  président congolais Félix Tshisekedi, dans son discours à la 78e Assemblée générale de l’ONU à New York le 20 septembre dernier, avait affirmé avoir demandé à son gouvernement d’entamer des discussions avec la Monusco afin d’accélérer le processus de retrait des casques bleus sur le sol congolais d’ici décembre 2023.

«Il faut que ce soit un modèle de retrait qui va nous donner davantage de respectabilité internationale. Ce qui va contribuer à améliorer l’image de notre pays. Ce document contient un volet plan de désengagement de la force et un volet de transfert des responsabilités ainsi des charges de la Monusco vers le gouvernement. Il y a aussi un mécanisme d’évaluation trimestriel pour nous permettre de faire un état des lieux régulier et minimiser toutes les ruptures brutales qui pourraient créer un vide sécuritaire», a déclaré M. Christophe Lutundula.

En guise de rappel, il a été élaboré des équipes techniques du gouvernement et de la Monusco. Ce plan sera mis en œuvre conjointement en trois phases avec le soutien des partenaires internationaux et nationaux de la RDC.

La cheffe de la Monusco, Mme Bintou Keita a, pour sa part, indiqué que la Monusco reste déterminé à travailler avec les autorités congolaises en vue d’un retrait accéléré qui consolide les acquis obtenus pendant sa mission en RDC.

«Nous remercions nos partenaires congolais pour la signature de ce plan de désengagement qui marque l’aboutissement d’un long processus. Nous avons travaillé conjointement et dans un esprit constructif de la collaboration et de respect mutuel pour atteindre ensemble cet objectif fixé par le Conseil de Sécurité», a-t-elle conclu.

Pierre Kambeya

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Pour un processus électoral apaisé, RDC : la CIME interpelle les parties prenantes sur leurs rôles et responsabilités

CENI-CIME  dans le cadre de concercation (Photo d’archives)

*La Commission d’intégrité et médiation électorales (CIME) a, dans un communiqué rendu public, le 21 novembre 2023, interpellé les parties prenantes aux élections du 20 décembre 2023, à jouer convenablement leur rôle et à plus de responsabilité pour un processus électoral apaisé. 

A cet effet,  cette structure technique de la plateforme de confessions religieuses chargée de la prévention, de la médiation et de la résolution des conflits électoraux a invité les candidats aux élections à tous les niveaux au comportement civique et patriotique, au sens du fair-play, d’élégance et à s’abstenir des discours de haine, tribale et ethnique, des discours de division, des provocations, des injures,  de la manipulation des masses populaires, des actes d’intolérance  et de vandalisme, etc.  D’après elle, il s’agit du respect des règles qui régissent cette période de la campagne électorale.

C’est pour ces résultats que la CIME   a formulé quelques recommandations à toutes les parties prenantes.

Au Gouvernement congolais, ‘’de renforcer la sécurisation des élections, des candidats ainsi que les paisibles citoyens et leurs biens contre les actes de vandalisme, d’intolérance, des actes de haine tribale pendant cette période de la campagne électorale, le jour des scrutins et de publication des résultats’’. Et plus particulièrement sur’’ la sécurisation des structures opérationnelles de la CENI lors du déploiement et du ramassage des agents et matériels électoraux le jour de scrutins’’, a-t-elle insisté. Lui prescrivant aussi ‘’ de parachever le plan de décaissement des fonds liés au reste des opérations électorales’’.

Les partis et regroupements politiques dont les témoins font l’observation électorale partisane et les Organisations de la société civile qui accompagnent et suivent le processus électoral, notamment les Missions d’observation électoral (MOE), qui font l’observation non partisane, la CIME les a appelés à faire preuve de professionnalisme et d’impartialité.

Elle a, par la même occasion, encouragé la surveillance citoyenne des élections.  D’après la structure, c’est une appropriation importante du processus électoral par les parties prenantes.  Néanmoins, afin de consolider la jeune démocratie du pays, la CIME a rappelé aux parties prenantes qu’il est important de ne pas jeter délibérément la confusion dans l’opinion des électeurs, qui risquent de considérer la victoire d’un candidat dans un bureau de son fief électoral comme la victoire définitive.

Les élections étant du domaine technique, la CIME a appelé les parties prenantes à s’informer sur le système proportionnel pour éviter les équivoques susceptibles d’occasionner les tensions et de discréditer le processus électoral. A cet effet, elle a demandé à la CENI de vulgariser et de prendre le temps d’expliquer aux citoyens congolais, le système électoral appliqué dans notre pays.

Par ailleurs, la CIME a encouragé la CENI à plus d’efforts pour la transparence et l’intégrité du processus. C’est ainsi qu’elle a salué et apprécié l’initiative prise par la CENI de convoquer des cadres de concertation avec les parties prenantes au processus électoral en vue de les éclairer sur les étapes du processus déjà franchies et celles liées à la préparation des scrutins du 20 décembre 2023. Non sans exhorter la CENI à poursuivre, sans relâche, la réalisation des opérations successives telles que déclinées dans le calendrier électoral en cours d’exécution et de prendre en compte les contributions objectives pertinentes provenant des parties prenantes.

A la population congolaise, la Commission d’intégrité et médiation Electorales a appelé, non seulement à la tolérance, à la vigilance, au comportement responsable  mais aussi, à s’abstenir de la haine tribale et des casses, de privilégier l’unité, la concorde et la cohésion nationale. Et à opérer un choix judicieux lors des élections du 20 décembre 2023.

Nelly Somba

Pour un processus électoral apaisé, RDC : la CIME interpelle les parties prenantes sur leurs rôles et responsabilités
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Voie divine pour la guérison de la nation, La Conférence Nationale sur le Plan du Dieu pour le Congo-Kinshasa

(Par Emmanuel Mbaga Zola)

*A la lumière des Saintes Ecritures, Emmanuel Mbaga Zola, journaliste de son état, consultant en plusieurs domaines de la vie sociale, appelle à la tenue d’une Conférence nationale sur le Plan de Dieu axé sur la délivrance du Congo-Kinshasa. Dans un livre qu’il va, très bientôt, porter sur les fonts baptismaux, il scrute tous les aspects liés notamment, à la sortie du Congo-Kinshasa de l’auberge, en sondant les secrets de la voie divine en vue de ce qu’il appelle, lui-même, la ‘’guérison de la nation’’.

Emmanuel Mbaga Zola, 56 ans, en disciple de Jésus-Christ, veut bien que les congo        lais se convertissent en l’idéal de la mise en œuvre des valeurs chrétiennes aussi bien dans la gestion de la RD. Congo que dans la recherche effrénée de son développement intégrale.

Pour lui, dans son intime conviction, tous ceux qui, aujourd’hui ou demain, veulent construire, reconstruire ou alors, moderniser la RD. Congo, ne doivent nullement oublier les traits caractéristiques de la pierre angulaire qu’est Jésus-Christ, ni fouler aux pies ses enseignements dont les vertus cardinales ne sont pas plus à rappeler à travers le monde.  

Aux amoureux de la lecture, aux chrétiens du monde, aux politiciens ainsi qu’à tous les curieux, aussi nombreux qu’ils puissent être, de prendre un rendez-vous avec Emmanuel Mbaga Zola, pour acheter ce livre, pour en cerner les méandres et en tirer des leçons. 

LPM

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Voie divine pour la guérison de la nation, La Conférence Nationale sur le Plan du Dieu pour le Congo-Kinshasa

(Par Emmanuel Mbaga Zola)

*A la lumière des Saintes Ecritures, Emmanuel Mbaga Zola, journaliste de son état, consultant en plusieurs domaines de la vie sociale, appelle à la tenue d’une Conférence nationale sur le Plan de Dieu axé sur la délivrance du Congo-Kinshasa. Dans un livre qu’il va, très bientôt, porter sur les fonts baptismaux, il scrute tous les aspects liés notamment, à la sortie du Congo-Kinshasa de l’auberge, en sondant les secrets de la voie divine en vue de ce qu’il appelle, lui-même, la ‘’guérison de la nation’’.

Emmanuel Mbaga Zola, 56 ans, en disciple de Jésus-Christ, veut bien que les congo        lais se convertissent en l’idéal de la mise en œuvre des valeurs chrétiennes aussi bien dans la gestion de la RD. Congo que dans la recherche effrénée de son développement intégrale.

Pour lui, dans son intime conviction, tous ceux qui, aujourd’hui ou demain, veulent construire, reconstruire ou alors, moderniser la RD. Congo, ne doivent nullement oublier les traits caractéristiques de la pierre angulaire qu’est Jésus-Christ, ni fouler aux pies ses enseignements dont les vertus cardinales ne sont pas plus à rappeler à travers le monde.  

Aux amoureux de la lecture, aux chrétiens du monde, aux politiciens ainsi qu’à tous les curieux, aussi nombreux qu’ils puissent être, de prendre un rendez-vous avec Emmanuel Mbaga Zola, pour acheter ce livre, pour en cerner les méandres et en tirer des leçons. 

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Kolwezi :  Sama Lukonde assiste les élèves victimes d’un incendie

Jean-Michel Sama Lukonde, le Premier Ministre de la RD. Congo,  a profité de son séjour à Kolwezi, Chef-lieu de la Province du Lualaba, où il est allé battre campagne pour le candidat numéro 20, le Président Félix Tshisekedi, pour rendre visite aux élèves de Mutoshi, l'école qui avait subi un incendie tout dernièrement. Sur place, en sa qualité d'ancien élève de Mutoshi, le Chef du Gouvernement a tenu une causerie de conscientisation avec les élèves, les exhortant à plus de travail.

« Je suis ici d'abord comme ancien élève de Mutoshi comme vous. Mais aussi, comme ancien DG de la Gécamines où on était soucieux de voir des écoles bien évoluer. Je me suis dit que c'était utile que je puisse vous adresser un petit mot, un mot d'encouragement, surtout par rapport à la peine causée par cet incendie qui est venu détruire cette belle installation de réfectoire que nous avions. Le petit mot d'encouragement, c'est juste un rappel. Un rappel qui m'avait été donné ici même. C'était là où nous avions le salut au drapeau. À cette époque, le directeur s'appelait Monsieur Muganga. Il est toujours agent Gécamines à Kinshasa pour le moment. Je venais d'arriver élève interne en 1ʳᵉ année. Il nous a regardés, nous qui étions en 1ʳᵉ, pour nous dire, vous avez du chemin en tant que les meilleurs, parce qu'il n'y a que les meilleurs, ceux qui se donnent les plus, qui pourront faire la différence et y arriver. Et c'est ça le conseil que je vous donne aujourd'hui. Vous devez toujours vous battre pour être les meilleurs. Vous devez vous impliquer. Parce que c'est ça qui va vous forger. Et ensuite, les autres conseils, c'est que vous devez vous impliquer dans les activités. Moi, j'ai été dans la troupe théâtrale. J'ai été dans la chorale. J'ai été lecteur ici à l'église. Et donc, impliquez-vous dans les activités et gardez à l'esprit de rester les meilleurs. Donc, je ne pourrai pas donner un message plus long que celui-là si ce n'est que vous encourager à faire mieux. Parce que ce sont ces efforts qui m'ont permis aujourd'hui de parcourir ce chemin. À l'époque, nous tous, nous rêvions d'être à la Gécamines. J'y étais. J'ai pu atteindre le plus haut niveau. C'est-à-dire, j'ai pu atteindre le poste du DG de la Gécamines. Et aujourd'hui, je peux être Premier Ministre de la République démocratique du Congo. Si je peux l'être aujourd'hui, ça veut dire qu'il est possible que l'un ou l'une parmi vous, devienne aussi Premier Ministre plus tard. Le dernier conseil, moi souvent, je les appelle les faux prophètes, toujours la prière. Vous devez prier, moi, je reste toujours dans la prière. Qu'on ne puisse pas venir vous tromper, qu'il y a un autre chemin tortueux qui va vous amener au pouvoir. Restez concentrés sur la croix de Jésus et continuez à prier », a lancé le Premier Ministre aux élèves de Mutoshi. 

Il y a lieu de  signaler, enfin,  que sur instruction du Chef du gouvernement, toutes les dispositions ont été prises  pour doter cette école de nouveaux matériels du réfectoire en remplacement de tous ceux calcinés: frigos, congélateurs ainsi que des  vivres, y compris  un devis dûment validé  pour la construction de nouveaux bâtiments.

La Pros.

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RDC : les Députés Nationaux renouvellent la prorogation de l’état de siège

 Les Députés Nationaux, déjà en campagne électorale, ont retrouvé le chemin de l'hémicycle, pour examiner en urgence, le projet de loi portant autorisation de la proposition de l'état de siège sur une partie du territoire de la RDC. A cette occasion, Christophe Mboso, Président de l'Assemblée Nationale, a précisé qu'en principe les plénières ont été suspendues pour permettre aux différents candidats d'aller battre campagne, mais officiellement la session se clôture le 15 décembre prochain. 

Ainsi, la plénière a voté la loi d'habilitation du bureau de l'Assemblée nationale pour proroger l'état de siège en décembre prochain. S'agissant de la loi portant prorogation de l'état de siège, Madame Rose Mutombo Kiese, Ministre d'Etat en charge de la Justice et Garde des sceaux, a fait savoir que depuis plus de deux décennies la RD. Congo est confrontée, dans sa partie Est à des violences et autres atrocités de tous ordres perpétrées par les groupes armés locaux et étrangers tels que le CODECO, les ADF/MTM et la coalition M23/RDF qui s'adonnent, notamment à des tueries et viols de masse, des massacres, pillages et incendies provoquant des déplacements massifs des populations.

Dans la perspective d'anéantir complètement ces groupes armés et de rétablir une paix durable, le président de la République a proclamé l'état de siège dans les provinces de l'Ituri et du Nord-Kivu, les plus touchées par cette situation d'insécurité.

Depuis son instauration, cette mesure exceptionnelle est prorogée tous les quinze jours, conformément à l'article 144, alinéa 5 de la Constitution. Etant donné que la situation opérationnelle sur le terrain est actuellement caractérisée, d'une part, par d'intenses affrontements entre nos Forces armées et la coalition M23/RDF dans quelques zones des territoires de Rutshuru, Masisi et Nyiragongo, et, d'autre part, par l'activisme des CODECO en Ituri et d'incessantes incursions des ADF/ MTM.

Après débat et délibération, la plénière a voté en séance subséquente le projet de loi portant prorogation de l'état de l'état de siège. Les 243 Députés ayant pris part à la plénière, l'ont voté à l'unanimité.

La Pros.

RDC : les Députés Nationaux renouvellent la prorogation de l’état de siège
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Elections 2023 : Malin Björk dévoile le calendrier de déploiement des observateurs de l’UE

Malin Björk, cheffe de mission d’observation électorale de l’Union Européen, MOE UE, a, dans le cadre du lancement de la mission d’observation en RDC, dévoilé ce 21 novembre, le calendrier du déploiement et du mandat de cette mission électorale. 

L’eurodéputée suédoise a laissé entendre qu’actuellement, il y a une dizaine d’experts électoraux qui sont en cours de déploiement en RDC et une quarantaine d’observateurs à long terme. ‘’Ces observateurs sont arrivés le 17 novembre et sont présentement  en formation. Au moment venu, ils  seront déployés dans 17 provinces’’,  a-t-elle précisé.

D’après la cheffe de la MOE UE, le suivi de la campagne électorale, les préparatifs et du déroulement du scrutin, la compilation des résultats et les recours éventuels, seront  les rôles qu’ils joueront dans leurs zones d’observation.  A cet effet, ils rencontreront les candidats et partis politiques, l’administration électorale, les membres des bureaux de vote, la société civile et les médias. Donc, ‘’Ils seront nos yeux et nos oreilles sur le terrain’’,  a renchéri L’eurodéputée.

Elle a également indiqué que ces observateurs seront renforcés quelques jours avant le scrutin par 12 observateurs dits de courte durée ainsi que par des diplomates de l’Union européenne et des États membres en poste à Kinshasa.

Etant donné que l’UE espère déployer près d’une centaine de personnes, la cheffe  de la MOE UE a affirmé que le  jour du vote, ils seront rejoints par des observateurs de court terme. A l’en croire, ces observateurs  seront issus de 24 des 27 États membres de l’Union européenne ainsi que de la Norvège, de la Suisse et du Canada. De plus, une délégation de sept députés du Parlement européen se joindra à ladite mission

Elle a par ailleurs tenu à rassurer sur l’impartialité et l’indépendance du  travail de ces observateurs. ‘’Ces observateurs qui passeront six semaines dans le pays rempliront  leur mission en toute impartialité et indépendance’ ’, a-t-elle rassuré.

Malin Björk  a également  assuré de la présence de plusieurs autres missions internationales pour ce scrutin. Il s’agit notamment de  l’Union africaine (UA), de  la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) ainsi que  Le Centre Carter  qui est aussi en cours de déploiement à Kinshasa. ‘’Ce sont celles qui vont finalement quadriller le mieux le territoire’’, a affirmé la cheffe de cette mission.

Plusieurs organisations de la société civiles regroupées en plusieurs plateformes en feront également partie.

Pour elle,  la plus importante, sera la mission commune des églises catholiques et protestante. La Cenco et l’ECC annoncent pouvoir déployer 60 000 observateurs pour ce vote.

Et en cette période où la campagne électorale bat son plein dans le pays, la MOE UE  a invité  les candidats et les militants à la tolérance et d’éviter toutes sortes de violences qui risquent de plonger le pays dans le chao. ‘’En cette période de campagne, nous appelons au respect des libertés d’expression et de réunion ainsi qu’au rejet de la violence et des messages de haine. Notre objectif est de contribuer positivement à des élections générales que nous souhaitons inclusives, libres, transparentes et apaisées. L’Union européenne est pleinement engagée dans un processus d’accompagnement de la consolidation démocratique en RDC ‘’, a insisté  Malin Björk.

Lors de sa  visite de deux jours en République Démocratique du Congo, Malin Björk a déclaré avoir rencontré les acteurs politiques du pouvoir, de l’opposition et le président de la Commission nationale électorale indépendante.

La Suédoise a tenu à informer que l’UE se trouve en RDC sur invitation des autorités congolaises.  Elle a néanmoins  incité les autorités à décaisser au plus vite les fonds dont a besoin la Céni pour aller au bout de ce processus.

Il  faut signaler que  Malin Björk arrive à la tête de la mission d’observation électorale de l’Union Européen  en RDC après avoir  suivi comme observatrice de la dernière présidentielle au Libéria.

Nelly Somba

Elections 2023 : Malin Björk dévoile le calendrier de déploiement des observateurs de l’UE
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