Le Vice-Premier Ministre du Plan et Coordination à l’aide au Développement, Guylain Nyembo, s’est rendu, dans le cadre d’une visite de terrain, le samedi 9 novembre 2024 à Kabimba, une localité située à une soixantaine de kilomètres de Kalemie, accompagné du Représentant Résident du PNUD en RDC, Damien Mama, et des Ministres provinciaux de l’Intérieur et du Plan. Cette visite de terrain s'inscrit dans le cadre du suivi du Programme de Développement Local des 145 Territoires (PDL-145T), un projet clé du gouvernement de RDC, initié par le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour renforcer le développement socio-économique des zones rurales du pays.
À Kabimba, la délégation a visité les chantiers du bâtiment administratif ainsi que des écoles Tchem Tchem et Kabutonga, dont les travaux touchent presque à leur fin. A cette occasion, le VPM a souligné "l'urgence d'accélérer le rythme du reste de travail pour que ces infrastructures essentielles soient mises à la disposition des bénéficiaires dans les meilleurs délais". Cette déclaration met en lumière l’engagement du gouvernement à répondre aux besoins de la population locale, qui a réservé un accueil chaleureux à la délégation et exprimé ses attentes face à ces projets.
Après Kabimba, la délégation conduite par le VPM Guylain Nyembo s’est rendue au Centre de santé de Mutowa, à 30 Km de Kalemie, pour évaluer l’avancée des travaux de cet ouvrage également proche de l’achèvement. Prenant la parole, Guylain Nyembo a réaffirmé à la population locale la volonté du gouvernement, sous la direction du Premier Ministre Judith Suminwa Tuluka, de mener à bien le PDL-145T et de rassurer les communautés en ces termes : "Nous voulons que les communautés locales bénéficient rapidement des fruits de ce programme", réitérant l'engagement du gouvernement Judith Suminwa Tuluka d’aller jusqu’au bout de cet important programme de développement local du pays.
Cette visite témoigne de l’attention portée par les autorités congolaises à l’achèvement rapide et efficace des infrastructures de base dans les territoires les plus éloignés du pays, une démarche cruciale pour promouvoir le bien-être et le développement durable dans toutes les provinces de la RDC.
C’est ce lundi 11 novembre 2024 au centre financier de Kinshasa que le Coordonnateur ad intérim du FRIVAO, Chançard Bolukola, a pris activement part aux états-généraux de la justice organisés par le ministère de la justice sous le Haut patronage du Président de la République.
Lors de la cinquième journée consacrée essentiellement aux cultes et associations ainsi qu’à l’Etat de droit, justice administrative et administration judiciaire, il a salué la qualité des intervenants tout en espérant que de ces états généraux sortiront, l’engagement de participants et des recommandations qui feront avancer le secteur de la justice congolaise.
Il compte sur la bonne volonté des différents acteurs de ce secteur afin que toutes les bonnes résolutions déjà notées soient appliquées à la lettre. En sus, il a démontré qu’il a un intérêt, comme Représentant de FRIVAO, à participer à ces assises car, il attend des reformes légales qui vont permettre à son Institution de progresser. « Oui, en tout cas il y a de l’intérêt parce que FRIVAO aussi est un fond spécial qui a été créé à l’issue d’un contentieux international que la République ougandaise est obligée à payer sur 5 ans un montant de 65.000.000 de dollars pour le recours à la force dans les relations internationales, l’occupation illicite du Territoire congolais ; le Pillage, exploitation des ressources naturelles, les graves violations de droit international humanitaire ainsi que le droit de l’homme. Mais, en même temps aussi les graves violations flagrantes de la Charte et de l’Organisation de l’unité africaine.
Et aujourd’hui, à travers FRIVAO, nous assistons à l’intégration petit à petit de la justice transitionnelle dans notre pays et qui a 4 objectifs à savoir : la recherche de la vérité, les poursuites judiciaires, les réparations, mais en même temps aussi, il y a les réformes institutionnelles », a-t-il déclaré.
Et de poursuivre, ‘’aujourd’hui, les États généraux s’inscrivent dans cette logique des réformes institutionnelles parce qu’on va dans la durabilité, le sérieux que FRIVAO va mettre en place pour pouvoir indemniser les victimes dépendra, sine qua none, de la qualité même de notre justice. Et nous espérons aujourd’hui, avec un Ministre d’Etat vertébré, qui est plongé dans le banc de la résolution de toutes les décisions au niveau de justice, il y a beaucoup à relever dans notre pays. Les lois sont là ».
Pour finir, Chançard Bolukola estime que toute la population est unanime sur la tenue de ces états généraux qui sont d’une grande importance pour notre justice qui est qualifiée de malade. « Nous espérons, non seulement que les États généraux sont déjà louables par plusieurs entités au niveau même de la population, mais nous visons plus la matérialisation, la concrétisation. Donc, c’est aussi à la fois un appel à la volonté que les acteurs politiques devaient traduire dans le sens de l’impartialité pour pouvoir aider notre cher et beau pays à aller de l’avant, tout en soutenant, bien sûr, l’engagement, sans équivoque de notre Chef de l’État, Président de la République ».
Lors de la 5ème journée des états généraux de la Justice, ce lundi 11 novembre 2024, au Centre financier de Kinshasa, Mgr Donatien Nshole, secrétaire général de la CENCO (Conférence épiscopale nationale du Congo), s’est exprimé, au nom de l’Eglise catholique.
En se référant à la thématique de ces assises :’’ La Justice est malade, et quelle thérapie pour la guérir ?‘’, le porte-parole de la CENCO fait savoir que l’actuelle Constitution de la République Démocratique du Congo est un pacte républicain, et que si les textes qui s’y trouvent étaient appliqués le pays ne serait pas dans une situation pareille.
« Ça serait irresponsable d’aller dans le sens du changement de la Constitution qui implique le référendum. Aujourd’hui, on a besoin de beaucoup d’argent pour améliorer les conditions sociales de la population. Or, qui dit référendum dit élection. L’élection c’est beaucoup d’argent. Est-ce qu’on peut vraiment se le permettre ? Le problème, c’est l’opportunité », dit-il dans son discours.
Avant d’ajouter : ‘’ la Constitution que nous avons est un pacte républicain, qui a résolu un grand problème de sécurité dans le pays. Voilà pourquoi, les évêques ont conseillé au Chef de l’Etat d’examiner tous les aspects, y compris la sécurité. Les textes dont on dispose aujourd’hui, s’ils étaient mis en pratique, le pays ne serait pas dans cette situation ».
Pour lui, le grand problème de la maladie de cette Justice, c’est aussi des moyens financiers. ‘’Car la gouvernance du Congo n’a pas réussi à placer le peuple Congolais au centre de leurs préoccupations, ‘’ a expliqué la bouche autorisée de la CENCO.
Il poursuit en disant que : ‘’ La grande responsabilité de l’Eglise dans cette situation, c’est de moraliser les politiques congolais. Les églises sont là pour accompagner, et non pour s’opposer contre les dirigeants. Et l’accompagnement de l’Eglise, c’est d’aider les dirigeants à gouverner de façon à ce que les citoyens qui sont leurs brebis vivent dignement. Quand l’Eglise s’engage pour la bonne gouvernance de ce pays, elle ne fait pas de la politique, mais elle accompagne l’Etat à bien diriger le pays’’.
Il sied de rappeler que, les Etats Généraux prendront fin le 13 novembre prochain au Palais du peuple. Et ces assises sont organisées en trois stades, la première sur l’évaluation des états généraux de 2015, organisée à Zongo, au Kongo Central ; le deuxième sur la particularité de ce forum basé sur les consultations populaires et le dernier, les assises proprement dites.
Lors de la 5ème journée des états généraux de la Justice, ce lundi 11 novembre 2024, au Centre financier de Kinshasa, Mgr Donatien Nshole, secrétaire général de la CENCO (Conférence épiscopale nationale du Congo), s’est exprimé, au nom de l’Eglise catholique.
En se référant à la thématique de ces assises :’’ La Justice est malade, et quelle thérapie pour la guérir ?‘’, le porte-parole de la CENCO fait savoir que l’actuelle Constitution de la République Démocratique du Congo est un pacte républicain, et que si les textes qui s’y trouvent étaient appliqués le pays ne serait pas dans une situation pareille.
« Ça serait irresponsable d’aller dans le sens du changement de la Constitution qui implique le référendum. Aujourd’hui, on a besoin de beaucoup d’argent pour améliorer les conditions sociales de la population. Or, qui dit référendum dit élection. L’élection c’est beaucoup d’argent. Est-ce qu’on peut vraiment se le permettre ? Le problème, c’est l’opportunité », dit-il dans son discours.
Avant d’ajouter : ‘’ la Constitution que nous avons est un pacte républicain, qui a résolu un grand problème de sécurité dans le pays. Voilà pourquoi, les évêques ont conseillé au Chef de l’Etat d’examiner tous les aspects, y compris la sécurité. Les textes dont on dispose aujourd’hui, s’ils étaient mis en pratique, le pays ne serait pas dans cette situation ».
Pour lui, le grand problème de la maladie de cette Justice, c’est aussi des moyens financiers. ‘’Car la gouvernance du Congo n’a pas réussi à placer le peuple Congolais au centre de leurs préoccupations, ‘’ a expliqué la bouche autorisée de la CENCO.
Il poursuit en disant que : ‘’ La grande responsabilité de l’Eglise dans cette situation, c’est de moraliser les politiques congolais. Les églises sont là pour accompagner, et non pour s’opposer contre les dirigeants. Et l’accompagnement de l’Eglise, c’est d’aider les dirigeants à gouverner de façon à ce que les citoyens qui sont leurs brebis vivent dignement. Quand l’Eglise s’engage pour la bonne gouvernance de ce pays, elle ne fait pas de la politique, mais elle accompagne l’Etat à bien diriger le pays’’.
Il sied de rappeler que, les Etats Généraux prendront fin le 13 novembre prochain au Palais du peuple. Et ces assises sont organisées en trois stades, la première sur l’évaluation des états généraux de 2015, organisée à Zongo, au Kongo Central ; le deuxième sur la particularité de ce forum basé sur les consultations populaires et le dernier, les assises proprement dites.
La Première Ministre Judith Suminwa Tuluka a atterri, ce lundi 11 novembre 2024, à Bakou, en Azerbaïdjan, pour représenter la République Démocratique du Congo à la 29ème Conférence des Nations Unies sur les Changements Climatiques (COP29), qui va se dérouler du 11 au 22 du mois en cours. Mandatée par le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, elle va porter la voix de la RDC, reconnue comme le deuxième poumon climatique du monde, dans ce forum international crucial.
A sa descente d’avion, la Première Ministre a été accueillie par Farid Gayibov, Ministre de la Jeunesse et des Sports de la République d’Azerbaïdjan, ainsi qu’une délégation des officiels congolais composée par Eve Bazaïba, Ministre d’Etat de l’Environnement et Développement durable, et Ivan Vangu Ngimbi, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la RDC près la Fédération de Russie, l’Azerbaïdjan et la Géorgie. Cette réception chaleureuse souligne l’importance de la participation de la RDC à cette conférence mondiale.
La mission de Judith Suminwa Tuluka à la COP29 est claire : défendre les intérêts de la RDC en matière de transition énergétique et de préservation des ressources naturelles. Avec ses vastes forêts tropicales et ses ressources minérales stratégiques, la RDC joue un rôle crucial dans la lutte contre le réchauffement climatique. Un des enjeux majeurs pour la RDC à la COP29 est d’obtenir des engagements concrets en matière de compensation financière liée aux crédits carbone. Le pays cherche à valoriser ses efforts de conservation et de réduction des émissions de carbone par des mécanismes de marché qui permettent de générer des revenus pour financer des projets de développement durable.
Au cours de son séjour, la Cheffe du Gouvernement a prévu des échanges stratégiques avec le Secrétaire Général de l’ONU, António Guterres, et d’autres dirigeants mondiaux. Ces rencontres visent à renforcer la collaboration internationale et à promouvoir une transition énergétique équitable. La RDC, en tant que gardienne du deuxième poumon climatique mondial, a une responsabilité particulière dans la régulation climatique globale. Sa participation à ce grand rendez-vous environnemental mondial représente une opportunité cruciale pour souligner son statut de pays-solution. Riche en forêts tropicales et en minéraux stratégiques nécessaires à la transition énergétique mondiale tels que le cobalt et le lithium, la RDC a beaucoup à offrir dans la lutte contre le changement climatique. La Première Ministre mettra en avant les atouts du pays et plaidera pour une reconnaissance internationale de son rôle essentiel.
La RDC est souvent décrite comme le deuxième poumon climatique de la planète, après l’Amazonie. Ses vastes forêts tropicales humides et ses richesses tourbières jouent un rôle central dans la régulation climatique mondiale en absorbant d’énormes quantités de dioxyde de carbone. Ce statut unique confère au pays une responsabilité particulière, mais aussi des opportunités significatives dans le cadre de la transition énergétique mondiale.
A Bakou, Judith Suminwa Tuluka participera à des échanges de grande envergure avec des acteurs internationaux, parmi lesquels António Guterres, Secrétaire Général des Nations Unies, ainsi que d’autres dirigeants mondiaux engagés dans la lutte contre le changement climatique. Ces rencontres devraient permettre de renforcer les partenariats stratégiques de la RDC, de partager son expérience et ses défis, et de mettre en avant les solutions durables que le pays peut offrir au monde.
La participation de la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka à la COP29 est une étape importante pour la RDC. En défendant les intérêts de son pays et en plaidant pour une transition énergétique équitable, elle met en lumière le rôle crucial de la RDC dans la lutte contre le réchauffement climatique. Cette conférence représente une opportunité unique pour la RDC de faire valoir son statut de pays-solution et de renforcer sa collaboration avec la communauté internationale.
Des réactions tombent à flot à la thématique des Etats Généraux : ‟Pourquoi la Justice est-elle malade ? Quelle thérapie face à cette maladie ?” Dans un communiqué publié jeudi 7 novembre 2024, l’Observatoire de la Dépense Publique, ODEP en sigle, salue l’initiative du Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Constant Mutamba pour sa ferme volonté de relever le niveau des instances judiciaires congolaises. Cependant, le Président du Conseil d’Administration de cette structure dénonce l’implication du pouvoir en place dans les affaires judiciaires.
Florimond Muteba Tshitenge, Président du Conseil d’Administration de l’ODEP, a fustigé l’instrumentalisation à laquelle lui-même serait victime lors de la première audience du procès l’opposant à la vice-présidente de l’ARPTC, Lydie Omanga, où, au moment des débats, ‘’les magistrats ne pouvaient prendre aucune décision sans se déplacer pour parler au téléphone avec quelqu’un”, évoque-t-il dans son message.
Il dénonce, par ailleurs, le règlement des comptes politiques en utilisant le système judiciaire pour leurs fins, cela en évoquant le cas de Jean-Marc Kabund qui, selon lui, est un exemple parfait.
Enfin, L’ODEP sollicite, à l’issue des assises thérapeutiques judiciaires, que le traitement des dossiers politiques soit véritablement équitable pour tous. Il cite le dossier Nicolas Kazadi dans l’affaire forages et lampadaires, classée sans suite, le qualifiant d’un scandale par les plus hautes autorités de l’Etat, à savoir, la Présidence et la Primature, laissant ainsi passer une grave affaire de mauvaise gouvernance, lit-on de ce communiqué.
Rappelons que lors du lancement officiel de ces états généraux, mercredi dernier au Centre Financier de Kinshasa, Constant Mutamba a reconnu dans son discours la manière dont la justice est administrée à travers plusieurs plaintes enregistrées lors de ses consultations populaires, qui frise le principe selon lequel nul est au-dessus de la loi, aussi dure soit-elle, elle reste telle qu’elle.
En tant que moteur de développement d’un pays, la justice doit revenir à ses valeurs initiales d’impartialité, d’équité et de transparence. Car, dit-on, ‟ La Justice élève une nation”. Ainsi, les réflexions autour de la thérapie judiciaire congolaise menée par le gouvernement Suminwa tant soit peu puisse balayer les maux dont souffrent depuis plusieurs années les congolaises et congolais.
Le Vice-ministre des affaires coutumières, Jean-Baptiste Ndeze Katurebe est arrivé, samedi 9 novembre dernier, dans la ville touristique de Goma, au Nord-Kivu, pour assainir le secteur du pouvoir ancestral dans cette partie de l’Est de la République Démocratique du Congo.
Au pied de l’avion, Sa Majesté Mwami Ndeze Katurebe a été accueilli par le chef de division provinciale des affaires coutumières, le Maire de la ville de Goma, et certains chefs coutumiers de la province.
Selon Franck Kitenge, son conseiller en communication, la mission de Ndeze Katurebe est d’assainir et stabiliser le secteur coutumier dans cette partie du pays.
Sur place, il promet des rencontres avec les autorités provinciales et des chefs coutumiers et un point de presse à la fin de sa mission. Peu avant, le Vice-premier Ministre de l’intérieur, Jacquemain Shabani a pris une décision visant l’instauration d’une commission afin de recommencer l’étude des conflits coutumiers au Nord-Kivu et en Ituri.
Le Rapporteur Adjoint de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Paul Muhindo, participe à la mission d’observation des élections législatives mauriciennes organisée par le Forum des Commissions Électorales des pays membres de la SADC. Ces élections sont prévues pour ce dimanche 10 novembre 2024.
Environ un million d’électeurs mauriciens se rendront aux urnes pour choisir leurs représentants parmi les 891 candidats, dont 165 femmes, répartis dans les 21 circonscriptions électorales de l’île, représentant 70 sièges. Un total de 1 002 859 électeurs a été identifié par une méthode de recensement porte-à-porte, de janvier à août 2024, aboutissant à la constitution des listes définitives.
Les résultats seront publiés dans les Centres de dépouillement (un par circonscription, soit 21 au total) le lendemain du scrutin, lundi 11 novembre, conformément aux règles mauriciennes interdisant l'affichage des résultats dans les bureaux de vote.
La compétition s'annonce intense entre les deux grandes coalitions : l’Alliance du Peuple, au pouvoir, et l’Alliance du Changement. La veille des élections, les deux blocs ont intensifié leurs efforts pour mobiliser leurs partisans, avec de grands rassemblements organisés par les candidats.
À noter qu'une semaine auparavant, les autorités avaient suspendu temporairement les réseaux sociaux et l’accès à Internet, avant de le rétablir 24 heures plus tard sous la pression de l’indignation publique.
Le Peuple de la RPDC (République Populaire Démocratique de Corée, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:
militaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée notamment avec la gratuité du logement, de l’enseignement et des soins médicaux, sous le grand Bienfaiteur KIM JONG UN, sosie politique des Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR),
chante, de génération en génération depuis plus de 60 ans, le Chant «Nous sommes les plus heureux du monde!» ou «Nous n’avons plus rien à envier au monde!» dont voici la 1ère strophe:
Le ciel est bleu et je me sens heureux,
Que l’on joue de l’accordéon,
J’aime, infiniment, mon Pays où l’on vit en harmonie,
Notre père est le Maréchal (depuis 1953 et le Généralissime depuis 1992, NDLR) KIM IL SUNG,
Et, notre maison le giron du Parti du Travail de Corée (PTC existant le plus longtemps au pouvoir socialiste dans le monde, NDLR),
Nous tous, on est frères et sœurs,
Et, nous n’avons plus rien à envier au monde!
La chanson a été mise en scène pour la 1ère fois lors des représentations nationales des cercles artistiques des écoles des enfants des Martyrs et des écoles primaires pour orphelins (de la Guerre de Corée 1950-1953), données en septembre 1961 à l’occasion du 4ème Congrès du PTC. Les orphelins de l’Ecole des Enfants des Martyrs de Haeju (chef-lieu de la Province Sud-Hwanghae) l’ont chantée alors en chœur. Reflétant véridiquement:
le vrai aspect de la Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme ou frais avec le soleil brillant», désignée sous le nom des «fleuves et montagnes brodés dans la soie» ou de la «Nation orientale du décorum», et fière de sa Civilisation de 4.357 ans dont plusieurs étaient voués à l’invasion armée par les Pays étrangers comme les USA, le Japon et la République de Corée - ROK -, etc., tous convoiteux de la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, de la spécificité géopolitique et du paysage éblouissant du terrain, NDLR) socialiste où le Pays entier formait une grande famille harmonieuse avec pour son père KIM IL SUNG
le bonheur du Peuple qui menait une vie véritable dans le giron du PTC,
la chanson s’est diffusée rapidement à travers tout le Pays, produisant une tempête d’échos. Le Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du PTC et Président d’Etat de la RPDC:
a dit dans son Message à la Nation à l’occasion du Nouvel An 2017: Je m’engage, solennellement, à travailler avec abnégation pour que mon Peuple entier puisse chanter le Chant «Nous sommes les plus heureux du monde!», comme il l’était en envisageant son avenir avec optimisme, le fait qui ne doit pas rester un simple souvenir du passé.
se dépense même aujourd’hui, sans compter, pour le bien de son Peuple, faisant remarquer: C’est la détermination et la volonté de notre PTC que de permettre, à notre Peuple, de jouir d’une vie heureuse sans avoir plus rien à envier au monde. Si je pense à ce slogan «Nous n’avons plus rien à envier au monde!», même le travail dur devient facile pour moi.
Et, voici les 2 événements de ce vendredi 08/11/2024.
1. Les soins affectueux continuels en faveur des victimes de l’inondation
Le PTC vient d’envoyer, pour la 2ème fois (la 1ère en octobre 2024), les vêtements d’hiver et les sacs ou cartables à l’adresse des 15.467 victimes de l’inondation (fin juillet), en séjour (depuis mi-août) à Pyongyang (Capitale de la RPDC et berceau de la Civilisation Taedong-gang de 4.357 ans, NDLR), sous de bons soins du PTC et de l’État.
Les habitants des zones (une partie des 3 provinces frontalières d’avec la Chine) touchées par l’inondation ont exprimé leurs sincères remerciements à KIM JONG UN pour sa profonde affection paternelle. Les victimes de l’inondation, y compris les écoliers, regorgent de la forte volonté de devenir:
de véritables Citoyens patriotiques en travaillant davantage
des piliers de l’avenir en étudiant dur
tout en se souvenant, toujours, de l’attention aimante manifestée par le PTC, même rentrés dans leurs villages en voie d’être urbanisés irréprochablement jusqu’avant la fin de l’année en cours.
2. La sortie de l’hôpital en bonne santé
Viennent de sortir de la Maternité (ou Palais des Bébés le plus grand du Pays, entré en service depuis 1980 avec la superficie bâtie de 60.000m2 et la capacité de plus de 1.500 lits, NDLR) de Pyongyang les 549èmes triplés depuis 44 ans ou dès l’inauguration dudit établissement sanitaire, témoin de la naissance d’autres dizaines de quadruplés.
KIM Hyang Mi, domiciliée à la 21ème inmin-ban (subdivision communale ou comité de voisinage regroupant plusieurs dizaines de foyers), Commune Puksam-ri de l’Arrondissement Phihyon dans la Province Nord-Phyongan, est la mère des triplées.
KIM Chun Kil, père de ces filles, travaille à la Ferme Puksam-ri.
Diagnostiquée enceinte de triplées, l’accouchée a été, immédiatement, hospitalisée à la Maternité de Pyongyang pour y bénéficier de toutes sortes de toniques et d’aliments nutritifs ainsi que de soins médicaux intenses du personnel de santé. Grâce aux efforts dévoués des médecins et infirmières de la Maternité, l’accouchée a enfanté, sans douleur, ses triplées. Les nouveau-nées qui pesaient, à peine, respectivement 1,9, 2,0 et 1,9 kg à leur naissance, sont devenues bébés ordinaires pesant, toutes, plus de 4 kg avant la sortie de la Maternité ou après 60 jours de soins médicaux.
Le jour de la sortie de la Maternité, les médecins et infirmières ont accompagné, chaleureusement, les triplées en bonne santé ayant bénéficié des cadeaux de KIM JONG UN comme les 3 bagues d’or, sous la présence de leurs parents émotionnés et déterminés, également, à faire leur devoir de maître dans l’anticipation d’une nouvelle ère de la promotion provinciale, une fois rentrés à la maison.
Les chefs des délégations de l'Assemblée nationale et du Sénat de la RDC -République Démocratique du Congo- auprès du Parlement panafricain, le Rapporteur Jacques Djoli et le sénateur Alphonse Ngoy Kasanji ont, enfin obtenu, au terme de leur mission en Afrique du Sud, l'arrivée prochaine à Kinshasa, d'une mission d'information de la Commission permanente de l'Organe législatif panafricain chargée des relations internationales et de résolution des conflits. C'était au terme d'une séance de travail qu'ils ont eue, jeudi 7 novembre 2024, avec le président de cette Commission, Shéril El Gabaly, sur la clarification des termes de référence de ladite mission d'information, qui sera diligentée à Kinshasa, et à Goma, dans le Nord-Kivu, du 25 au 30 novembre courant.
En effet, le Parlement panafricain, qui, dans la motivation de la nouvelle architecture de l'Union Africaine, veut prendre sa place pour faire entendre la voix des peuples africains, a manifesté sa volonté de ne pas rester indifférent au drame humanitaire consécutif à l'agression de la RDC par le Rwanda et ses supplétifs du M23.
Voilà qui sous-tend la diligence de cette mission d'information, qui sera conduite par le Président de la Commission permanente du Parlement panafricain chargée des relations internationales et de résolution des conflits, Sheril EL GABALY, pour s'imprégner, sur le terrain, de la crise sécuritaire qui sévit dans la partie orientale de la RDC, consécutive à cette guerre d'agression imposée injustement au Congo Kinshasa par le régime de Kigali via la coalition AFC-M23.
Sur place, la mission rencontrera notamment, les Présidents de deux Chambres du Parlement rd-congolais, le professeur Vital Kamerhe de l'Assemblée nationale et Jean Michel Sama Lukonde du Sénat, avant de se rendre à Goma, pour s'enquérir de la situation sécuritaire et humanitaire.
Aussi, la mission se rendra dans les pays voisins, pour confirmer et rappeler à ces pays le droit à la paix du peuple congolais, et l'impératif de s'impliquer sans hypocrisie ni ruse dans le processus de Luanda.
Le Président de la Commission permanente du Parlement panafricain chargée des relations internationales et de résolution des conflits, Sheril EL GABALY, a salué les progrès de consolidation de la démocratie et des efforts internes en matière de promotion et de protection des droits de l'homme réalisés sous le leadership du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.