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Plénière inaugurale de la session extraordinaire : Jean Ngoyi déterminé à défendre la population de Tshangu

Jean Ngoyi, élu de la ville de Kinshasa et ancien ministre provincial des Finances, a pris part à la plénière inaugurale de la session extraordinaire de l’Assemblée nationale du 29 janvier dernier,  au Palais du peuple. Au cours de cette plénière, il a réaffirmé sa détermination à défendre la population de Tshangu.

Devant la presse, il a rappelé le sens et la signification de cette session extraordinaire inaugurale. Pour lui, la session extraordinaire inaugurale a permis au Secrétaire général de l’Assemblée nationale à procéder à l’appel nominal, à présenter le bureau provisoire et à procéder à son installation.

De plus, il a mis un accent particulier sur les principales responsabilités de ce Bureau provisoire.

A l’en croire, ledit bureau va s’occuper de la validation de mandat, de l’adoption de Règlement intérieur et enfin de procéder à l’élection du bureau définitif.

En outre, il a remercié toute la population de Tshangu pour lui avoir renouvelé sa confiance. Le Président de la plateforme ‘’Force du nombre’’ a, par ailleurs, indiqué à sa base : « Ça, c’est le temple de la démocratie ! » une façon pour lui de faire comprendre à son fief électoral que sans le peuple, les députés n’existeront pas.

Ainsi, il a juré de continuer à défendre l’intérêt de cette population avant de l’exhorter de lui faire confiance, car, dit-il, « le travail vient de commencer ».

« J’ai dit merci à la population de la Tshangu qui nous a fait confiance. Nous allons faire le travail et la population sera très contente nous. Elle ne sera pas déçue !  Nous serons toujours avec la même population pour défendre notre district qui est la Tshangu », a-t-il déclaré.

Hénoc Akano

Plénière inaugurale de la session extraordinaire : Jean Ngoyi déterminé à défendre la population de Tshangu
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Atelier de formation en Droits numériques, Kinshasa : l’ICDH et Paradigm Initiative confirment le rendez-vous aujourd’hui 

L’Institut Congolais des Droits de l’Homme (ICDH), en collaboration avec Paradigm Initiative, organise, ce vendredi 2 février 2024, à l’Hôtel Sultani, dans la commune de la Gombe, un atelier de formation portant sur les Droits numériques. ‘’Cette session cible, principalement, 20 participants dont 40% sont issus de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), des instances judiciaires, des organisations de la Société civile, des organes de presse et des universités’’, renseigne, dans sa note conceptuelle, le staff organisateur de l’évènement.

Rendez-vous du savoir !

L’ICDH et Paragigm Initiative se sont fixé quelques objectifs à atteindre au terme de cette activité scientifique. Ils espèrent notamment, renforcer les capacités des participants en matière du monitoring des violations des droits numériques ; évaluer les mécanismes disponibles pour la protection des droits sur Internet et autres droits fondamentaux ; développer des connaissances avancées sur des questions électorales, la cybercriminalité ou la réglementation des contenus des plateformes numériques ; offrir une plate-forme aux nouveaux entrants pour la discussion, le partage d'informations et la mise en réseau sur la défense des droits numériques et l'écosystème Internet.

Quelle est la méthode prévue ?

«La méthode sera participative. Il y aura des exposés mais les participants utiliseront aussi des études de cas, des notes d'orientation et d'autres résultats de recherche pour alimenter les discussions, les présentations et les travaux de groupe au cours de la session.

Les ateliers se dérouleront sur une journée, animés par les experts en droits numériques issus du Barreau, du Ministère du Numérique de la République Démocratique du Congo et de la société civile », relève, en sus, la même note conceptuelle.

Ce qu’il faut savoir de l’ICDH

L’Institut Congolais des Droits de l’homme, ICDH, a un double statut. Il est, d’abord, une ONG de promotion et de défense des droits de l’homme disposant d’une Clinique juridique. Ensuite, l’ICDH est un centre d’études et des recherches sur les droits de l’homme et la gouvernance judiciaire.

Actuellement, l’ICDH est le partenaire de mise en œuvre en République Démocratique du Congo du Projet Greater Internet Freedom (GIF).

Ce projet, financé par l’USAID, vise la promotion et la protection des droits numériques, y compris l’inclusion numérique et l’accès à l’internet en Afrique. Il est piloté au niveau africain par Paradigm Initiative qui, par ailleurs, est une entreprise sociale qui construit des systèmes de soutien basés sur les TIC et défend les droits numériques afin d'améliorer les moyens de subsistance des jeunes africains mal desservis.

Son programme de défense des droits numériques est axé sur le développement de politiques publiques pour la liberté d'Internet en Afrique, avec des bureaux à Abuja-Nigeria, Yaoundé-Cameroun, Nairobi-Kenya, Dakar-Sénégal et Lusaka-Zambie.

Gloire Mfemfere

Atelier de formation en Droits numériques, Kinshasa : l’ICDH et Paradigm Initiative confirment le rendez-vous aujourd’hui 
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RDC : revue annuelle 2023 des activités des Nations Unies

Le Système des Nations Unies a entamé les travaux de la revue 2023 de son Cadre de Coopération avec la République Démocratique du Congo. Ces travaux se tiennent en deux étapes : la première étape, intitulée « pré-Revue », réunit les experts du Gouvernement et ceux des Nations Unies pour identifier et évaluer les progrès réalisés en 2023.

Elle se tient le 31 janvier et le 1er  février 2024 à Kinshasa et sera suivie de la Revue proprement dite, impliquant les responsables politiques (décideurs du Système des Nations Unies, et du Gouvernement), la Société Civile, le Secteur privé et les Partenaires techniques et financiers, afin de s’accorder collectivement sur les progrès accomplis dans le cadre de cette coopération en 2023. En vertu du principe de redevabilité, les Nations Unies, en collaboration avec les institutions étatiques, le secteur privé et la société civile (y compris les structures des jeunes, des femmes, des personnes vivant avec handicap, etc.), organisent, en début de chaque année, ces assises conjointes afin de faire le point sur les progrès collectifs accomplis et tirer les leçons pouvant être capitalisées pour la nouvelle planification annuelle. Vingt-trois entités du SNU (Agences, Fonds, et Programmes et Institutions spécialisées) ont apporté leur appui aux Institutions et aux populations congolaises dans divers domaines entre autres l’éducation, la santé, la protection des populations vulnérables, la sécurité alimentaire… sous la forme d’appuis directs ou d’appui aux politiques sociales et aux réformes institutionnelles. Au cours de la revue annuelle il s’agit pour les parties prenantes de :

  • Tirer les leçons de la mise en œuvre des plans de travail conjoints en 2023 en analysant les facteurs de succès et d’échec ainsi que les opportunités ayant caractérisé la mise en œuvre du Cadre de coopération en 2023 ;
  • Donner les orientation d’actions pour l’année à venir
  • Analyser les forces et faiblesses de la collaboration inter-agences et la mise en œuvre conjointe à travers des programmes conjoints ainsi que la synergie créée et/ou recherchées entre les différents piliers d’intervention (humanitaire, développement, paix),
  • Analyser la problématique du partenariat et de mobilisation des ressources ;
  • Formuler des recommandations susceptibles d’améliorer la mise en œuvre du cadre de coopération pour les prochaines années. Pour rappel, en fin 2019, le Système des Nations Unies (SNU) en RDC a signé avec le Gouvernement Congolais, un Cadre de Coopération pour le Développement Durable couvrant la période 2020-2024.

Ce cadre constitue la réponse collective du SNU en appui aux priorités nationales inscrites dans le Plan National Stratégique de Développement (PNSD) et contribue aux efforts de la RDC à réaliser les Objectifs de Développement Durable (ODD).

Il s’articule autour de trois axes, à savoir :

  • Axe 1 : Consolidation de la paix, respect des droits de l’homme, protection des civils, cohésion sociale et démocratie ;
  • Axe 2 : Croissance économique inclusive, développement agricole, capture du dividende démographique, protection et gestion durable des ressources naturelles
  • Axe 3 : Accès aux services sociaux de base et assistance humanitaire
RDC : revue annuelle 2023 des activités des Nations Unies
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Le cabinet Ntetika SCP organise deux séances de formation en Droit ohada

Le cabinet Ntetika SCP organise deux séances de formation en Droit ohada. La première se tiendra,  le jeudi 8 février prochain,  à Pullman hôtel à Kinshasa. Tandis que la seconde aura lieu,  le 16 février 2024,  au collège Boboto à Kinshasa. Ces séances de travail portera sur le thème ‘’voies d’exécution ohada de l’acte uniforme du 17 octobre 2023.

Cette formation vise à remettre à niveau les professionnels du droit : juges, magistrats, avocats, huissiers de justice, comptables, responsables d’entreprises,… sur les nouvelles voies d’exécution prévues par l’acte uniforme portant organisation des procédures simplifiées de recouvrement (AUPSRVE) de l’ohada.

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Le cabinet Ntetika SCP organise deux séances de formation en Droit ohada
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Le cyclisme suscite un grand engouement en Chine

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En Chine, le cyclisme suscite un grand engouement en ce moment. On sent qu'il y a plus de gens qui pratiquent le vélo sur route. Le journaliste de CGTN Français, Jojo Meijiao Zhang, a invité des cyclistes professionnels et amateurs passionnés à participer à un événement à vélo traversant des villes chinoises. Suivons notre journaliste et le Club Escargots de Beijing pour découvrir à vélo le paysage hivernal de la capitale chinoise, qui traverse les temps anciens et modernes.

« Notre équipe a été créée en 2021. Cela fait maintenant quelques années et nous sommes environ 1 000 personnes. Nous sommes également très actifs. Lorsque les activités sont plus régulières, environ 400 personnes y participent par semaine. Nous avons vu des personnes : des adolescents jusqu'aux personnes âgées de 70 ou 80 ans. La tranche d'âge est très large. On peut dire que ce sport convient à tous les âges. Regardez la bibliothèque de la tourelle devant vous. C'est l'un des bâtiments emblématiques de Beijing qui mérite d'être visité », a dit Shen Hui, capitaine du Club Escargots de Beijing.

« Le vélo peut nous apporter beaucoup de plaisir, de joie et soulager le stress », a exprimé Yang Hongxia, amatrice passionnée du cyclisme.

Les coureurs de l'Équipe de Chine de cyclisme sur route sont en train de s'entraîner dans la province insulaire de Hainan. « Plus je roule, plus je deviens fort, et plus je deviens fort, plus je roule », a déclaré Su Haoyu, coureur de l'Equipe de Chine de cyclisme, « Faire honneur à son pays aux Jeux Olympiques est le rêve de tous les athlètes. Bien sûr, moi aussi. »

Lionel Marie, directeur sportif du China Glory Continental Cycling Team, a dit : « Le cyclisme, c'est ma vie. Ce que m'a apporté le cyclisme, j'ai pu travailler dans le monde. J’ai pu travailler pour des équipes australiennes américaines, israélienne, maintenant chinoises, turques. Donc, ça m'a permis de visiter une partie du monde à travers le vélo. J’ai pu visiter l’Afrique également sur certaines épreuves».

Le cyclisme suscite un grand engouement en Chine
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Conservateur du Musée national des beaux-arts de Chine : les échanges culturels profiteront à l'exploration et à la création continues des peuples qui aiment la paix et la beauté

L'année 2024 marque le 60ème  anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre la Chine et la France, ainsi que l'Année Chine-France du tourisme culturel.

A  cette occasion, Wu Weishan, conservateur du Musée national des beaux-arts de Chine, a accordé une interview exclusive à CGTN Français. Il a parlé du rôle de l'art dans la promotion de la culture, des mesures concrètes mises en œuvre du musée pour promouvoir les échanges culturels entre la Chine et la France, ainsi que ses souhaits et de ses attentes pour les futurs échanges et coopération entre les deux pays dans le domaine culturel. Selon lui, les échanges culturels entre la Chine et la France ne se développeront que dans une meilleure direction, et profiteront à l'exploration et à la création continues des deux peuples qui aiment la paix et la beauté.

Dans le processus de développement de la société humaine, différentes régions ne se développent pas de manière synchronisée du fait de leurs différences culturelles et de leurs environnements géographiques respectifs, etc. Mais elles ont une similitude, c'est le vrai, le bien et le beau. Le vrai est la vérité de la vie et de l'émotion. C'est aussi l'expression réelle des artistes sur le monde et leur psychologie subjective. « Grâce à l'art, nous pouvons toujours trouver notre propre valeur de vie et la poursuite de l'idéal dans les œuvres. L'art est donc un très bon moyen pour réaliser des échanges culturels et émotionnels et améliorer la compréhension mutuelle », a souligné Wu Weishan.

Il pense que la Chine devrait faire connaître à davantage de personnes des œuvres représentatives d'artistes chinois de l'antiquité jusqu'aux temps modernes, afin qu'ils comprennent l'art chinois. « C'est ce que nous devrions faire aujourd'hui».

A  mesure que la société chinoise continue de se développer et que son statut dans le monde s'élève de plus en plus, les gens accorderont de plus en plus d'attention à la culture chinoise. A  l'avenir, les grands artistes chinois et l'excellent art national chinois brilleront sûrement dans le monde.

Source : CGTN

Conservateur du Musée national des beaux-arts de Chine : les échanges culturels profiteront à l'exploration et à la création continues des peuples qui aiment la paix et la beauté
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La CENI publie la procédure à suivre pour la cooptation des Chefs coutumiers

 

Dans un communiqué publié le lundi 29 janvier dernier, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a rendu publique la procédure à suivre pour la cooptation  des Chefs coutumiers. En effet, cette cooptation  des Chefs coutumiers se déroulera  en trois étapes principales,  à savoir : la présélection au niveau de chaque territoire ; la désignation au niveau de chaque province et la coopération au niveau de l’Assemblée provinciale.

S’agissant de la première étape de cette coopération, la CENI  a tenu informer que du 4 au 5 février 2024, le Chef d’antenne de la CENI réunit en assemblée tous les Chefs coutumiers du territoire en vue de la présélection des Chefs coutumiers, candidats à la cooptation, en se servant de la liste transmise à la CENI par le Ministre ayant les Affaires coutumières dans ses attributions.

Ce communiqué a renseigné qu’aucun Chef coutumier ne peut être coopté au cours de deux législatures successives. De plus, le principe de rotation des candidats Chefs coutumiers doit s’appliquer en tenant compte des diversités ethniques du territoire ou de la province selon le cas et du genre (Article 154 de la Loi électorale).

« Le bureau de l’assemblée de présélection des Chefs coutumiers représentant le territoire est composé d’un Président, chef d’antenne de la CENI ; d’un rapporteur, l’informaticien de l’antenne et d’un ascenseur, le logisticien de l’antenne », lit-on dans ce communiqué.

A en croire ce communiqué, avant le début des opérations de présélection des Chefs coutumiers, le bureau procède à la vérification des mandats ainsi que de la carte d’électeur. Le rapporteur donne lecture de la liste définitive des Chefs coutumiers du territoire telle qu’arrêtée avant la tenue de l’assemblée par le représentant du ministre ayant les affaires coutumières dans ses attributions. En outre : « Il vérifie avec l’assistance du représentant du ministre ayant les affaires coutumière dans les attributions, la présence et l’identité des participants. Tout participant à l’assemblée de présélection qui, après vérification des mandats n’est pas retenu, ne peut être admis dans l’assemblée pour continuer les opérations ».

S’agissant de la deuxième étape, la CENI a indiqué que du 8 au 9 février, en vue d’élaborer la liste des candidats à la cooptation, le Secrétaire exécutif provincial de la CENI réunit au chef-lieu de la province tous les Chefs coutumiers présélectionnés au niveau du territoire avec leurs suppléants.

Il y a lieu de noter  que le Chef coutumier présélectionné empêché peut se faire représenter par son délégué porteur d’une procuration du Chef coutumier empêché. « Les candidats Chefs coutumiers désignés, à raison d’un seul par territoire d’origine, sont regroupés au chef-lieu de la province en vue de la désignation des Chefs coutumiers à coopter comme candidats députés provinciaux », précise-t-on.

Par ailleurs, le bureau de l’assemblée de désignation  est composé des agents de la CENI : un Président en même temps  Secrétaire exécutif provincial ; un rapporteur et chargé du scrutin du Secrétaire exécutif provincial ainsi  un ascenseur aussi chargé de sensibilisation du Secrétariat exécutif provincial.

Et poursuivre: « Le Président informe les candidats qu’ils ont le reste de la journée pour se concerter aux fins de la désignation par consensus des candidats à la cooptation suivant le nombre des sièges à pouvoir ».

Concernant la troisième et la toute dernière étape, la CENI a souligné que la coopération des Chefs coutumiers  a lieu lors de la session extraordinaire d’installation de l’Assemblée provinciale. Les députés provinciaux élus, après la validation de leurs mandats procèdent à la cooptation des Chefs coutumiers désignés, les deux tiers au moins des députés provinciaux étant présents. Si le quorum des députés provinciaux n’est pas atteint, l’Assemblée provinciale, convoquée dans les deux jours qui suivent, délibère valablement quel que soit le nombre de membres présents.

«Les réclamations et contestations relatives à la désignation des Chefs coutumiers sont portées devant la Cour d’Appel faisant office de Cour administrative d’Appel du ressort dans quarante-huit heures suivant la notification des copies du procès-verbal de désignation par la CENI », explique ce communiqué.

Par ailleurs, la CENI a demandé aux Chefs coutumiers des territoires  de Kwamouth dans la province du Maï- Ndombe, Masisi et Rutshuru dans la province du Nord-Kivu de se rendre au chef-lieu de chaque province pour  la présélection et la désignation. « Compte tenu de la situation sécuritaire qui sévit dans les territoires de Kwamouth dans la province du Maï-Ndombe, Masisi et Rutshuru dans la province du Nord-Kivu, les Chefs coutumiers des territoires concernés doivent se rendre au chef-lieu de chaque province pour  la présélection et la désignation », a conclu la CENI.

Hénoc Akano

La CENI publie la procédure à suivre pour la cooptation des Chefs coutumiers
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