Poème : L’invisible dans un monde réel !
(Par César Nkangulu)
La lumière illumine les ténèbres,
Et les ténèbres se dissipent comme du vent dans les nuages.
Sans vanter sa vitesse invisible aux yeux humains,
L’homme se voit incapable de tracer le parcours sommaire de son chemin.
Dans une poussière enveloppée d’un vent doux,
Se poursuit un murmure profond aux parcours latents.
Avec ses yeux pigmentés, le pigeon vole au-dessus de nos têtes sans s’y poser ;
Craignant une piste glissante d’une calvitie.
Mais il finit par arroser la terre par ses urines odorisées.
Et si l’ogre peut finir un enfant,
Il ne peut, par contre, pas finir un éléphant,
A cause de ses formes plantureuses.
Le soleil est placé loin de la terre pour ne pas brûler les hommes de son feu.
Mais il brûle en lui-même pour ne pas laisser les hommes découvrir ses brûlures mortelles.
Et si le moustique pouvait vivre un millénaire,
Alors la terre tournerait à l’envers pour ne plus exister.
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