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Les traquenards dès le mardi 7 mars

Tous les acteurs impliqués dans la crise de l'Est et qui refusent de nommer le Rwanda, dans cette agression barbare par procuration, vont changer leurs stratégies à partir du cessez-le-feu annoncé pour le mardi 07 Mars 2023. Ils se sont réunis plusieurs fois autour du gibier, en embrassant toutes les méthodes et stratégies pour accuser le grand Congo.
Bon ; Ce n’est plus le moment d'accuser l’extérieur !
Nous pouvons tout de même relire notre histoire mal écrite par les conquérants, recréant la région des Grands-Lacs rien qu’à partir du génocide au Rwanda.

Les traquenards dès le mardi 7 mars
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Agression rwandaise contre la RDC, Macron : Clément Kanku pose sept questions !

*‘’Tout en espérant que ces quelques préoccupations arrivent aux oreilles du Président français, nous lui demandons d’user de ses relations privilégiées avec le président Paul Kagame du Rwanda pour lui demander de retirer simplement ses troupes de notre pays et d’arrêter de massacrer notre peuple’’, souligne, dans une note reprenant sept questions, Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua, Ancien Ministre et, en même temps, Député Honoraire.

Agression rwandaise contre la RDC, Macron : Clément Kanku pose sept questions !
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Représentant la RDC au Sommet sur les forêts du Bassin du Congo, Sama Lukonde : voici les contours du grand oral attendu !

Arrivé à 12h30 à l'aéroport Léon Mba de Libreville, le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde est accueilli par son homologue Gabonnais Alain-Claude Bilie-By-Nze. Après le passage des troupes d'honneur officiel et salutations à la délégation congolaise, hommes et femmes qui ont bravé le soleil depuis très tôt le matin pour l'accueillir au sortir de l'aéroport, le Premier Ministre a été conduit à la présidence de la République du Gabon, cadre où va se dérouler le sommet sur les forêts du Bassin du Congo.
Ce sommet est un véritable cadre où le Chef du Gouvernement congolais va, au nom du Chef de l'Etat Félix-Antoine Tshisekedi, faire un discours sur le rôle stratégique de la République Démocratique du Congo dans la conservation des ressources naturelles et la biodiversité du Bassin du Congo, dénommé « One Forest summit ».
Pour la RDC, conformément à la Déclaration de Yangambi, il doit être accordé à la préservation des forêts du Bassin du Congo une place importante pour sa contribution à l'équilibre climatique mondial et ses services ecosysthemiques offerts à l'humanité dont les bénéfices ne sont plus à démontrer.
Le sommet de Libreville veut mettre en application les objectifs fixés par l'Accord de Paris sur le climat (2015) et la COP15 de Montréal sur la biodiversité (2022).
Co-oragnisé par le Gabon et la France, ce sommet vise aussi à améliorer la conservation des forêts dans le monde et de contribuer à la protection du climat et des espèces dans un contexte de dérèglement climatique.
Deuxième poumon écologique de la planète après l'Amazonie, le Bassin du Congo est étendu sur une superficie de 220 millions d'hectares de forêts répartis à travers plusieurs pays, dont la République démocratique du Congo, le Congo-Brazzaville, le Gabon, le Cameroun, la Centrafrique et la Guinée Equatoriale.
Peter Ngoyi

 

Représentant la RDC au Sommet sur les forêts du Bassin du Congo, Sama Lukonde : voici les contours du grand oral attendu !
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Mandaté par Addis-Abeba pour le cessez-le-feu et le cantonnement du M23 : João Lourenço boudé par Paul Kagame et le M23

L’Angolais Lourenço a été mandaté par le sommet d’Addis-Abeba pour négocier le cessez-le-feu et le cantonnement du M23. Près de deux semaines après, les recommandations assorties de cette rencontre des chefs d’Etat et de gouvernement dans la capitale éthiopienne, ne sont toujours pas appliquées.

Mandaté par Addis-Abeba pour le cessez-le-feu et le cantonnement du M23 : João Lourenço boudé par Paul Kagame et le M23
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Macron à Kinshasa : l’UDPS déclenche une mobilisation tous azimuts !

Sauf changement de dernière minute, le président français devrait fouler le sol Congolais samedi 4 mars prochain. A l’UDPS, parti présidentiel, l’heure est à la mobilisation et galvanisation des cadres et militants du parti pour réserver un accueil chaleureux à Emmanuel Macron à Kinshasa, sol qu’il foule pour la première fois. C’est ce que révèle un communiqué rendu public, ce mardi 01 mars 2023.
«La Présidence de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS/TSHISEKEDI en sigle, informe ses cadres et militants de l’arrivée à Kinshasa, le 04 Mars 2023 du Président français Emmanuel MACRON dans le cadre d’approfondissement des relations diplomatiques entre nos deux pays«, lit-on dans ce document signé par Augustin Kabuya.
« La Présidence du Parti « invite les membres et sympathisants à réserver un accueil chaleureux à Monsieur Emmanuel MACRON dès son arrivé ce 04 Mars 2023 dans notre pays », poursuit indiquant que « la Présidence du Parti souhaite la bienvenue et bon séjour au Président français et à toute sa délégation ».
Le président de la République Française entame depuis ce mercredi 1 Mars, une tournée diplomatique cruciale en Afrique centrale alors que l’influence française ne cesse de reculer sur le continent. Première étape délicate au Gabon où le chef de l’État doit dîner avec le président Ali Bongo.
Après Libreville, il sera en Angola puis à Kinshasa en passant par le Congo Brazzaville.
Junior-Gradel Ika

Macron à Kinshasa : l’UDPS déclenche une mobilisation tous azimuts !
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Plus de 7 mois déjà depuis qu’il est à Makala, Kabund : l’Ach dénonce l’affaiblissement du pouvoir judiciaire !

En réaction au discours du Président de la République à Genève, Alliance pour le changement, Ach, formation politique chère à Jean-Marc Kabund, fustige les affirmations selon lesquelles ‘’Il n'y a plus aujourd'hui dans mon pays des congolais arrêtés, détenus ou emprisonnés pour leurs opinions ou appartenances politiques’’. Le parti de l’ancien vice-président de l’Assemblée nationale qualifie de communication fictionnelle et que le régime actuel est en train de prolétariser le pouvoir judiciaire et d'obstruer les décisions rendues par les juridictions compétentes in extremis. Ci-dessous, l’intégralité du communiqué signé par le secrétaire général du parti.
COMITE EXECUTIF NATIONAL
Secrétariat Général
COMMUNIQUE DE PRESSE
Ayant minutieusement suivi les déclarations faites par le Président Félix TSHISEKEDI du haut de la tribune du Conseil de droit de l'homme des Nations Unies à Genève, nous citons: «Il n'y a plus aujourd'hui dans mon pays des congolais arrêtés, détenus ou emprisonnés pour leurs opinions ou appartenances politiques, à ne pas confondre bien entendu avec des politiciens poursuivis pour infractions de droit commun ».
L'Alliance pour le Changement «A.Ch» en sigle, s'inscrit en faux et se trouve consternée par ces propos cousus des contrevérités et truffés d'ambivalence, et fixe l’opinion tant nationale qu'internationale de ce qui suit :
Au lendemain de son point de presse du 18 juillet 2022, annonçant la création de son Parti politique, l’Honorable Jean Mare KABUND-A-KABUND avait épilogué la situation politique, économique, sociale et sécuritaire de la République Démocratique du Congo, ce qui depuis lors avait auguré le début d'un procès politique aux contours juridiques factices, fruit de l'intolérance et de l'acharnement du régime Félix TSHISEKEDI.
Fait prisonnier politique du régime Félix TSHISEKEDI, le Président Jean Mare KABUND A-KABUND, Député National en plein mandat, demeure jusqu'à ce jour, détenu illégalement et irrégulièrement a la prison centrale de Makala, contrairement à l'ordonnance d'assignation a résidence surveillée rendue par la Cour de Cassation conformément aux dispositions constitutionnelles, légales et réglementaires.
L'Alliance pour le Changement considère les poursuites et la détention illégale de notre Président National d'entraves manifestes à l'exercice démocratique, et rappelle que les vices caractérisant le procès à charge de l'Honorable Jean Mare KABUND-A-KABUND ne cadrent guère avec les infractions de droit commun, telles que malicieusement soutenues par monsieur TSHISEKEDI à Genève, in globo son régime a choisi sans nul doute de prolétariser le pouvoir judiciaire et d'obstruer les décisions rendues par les juridictions compétentes in extremis.
Eu égard à ce qui précède, l'Alliance pour le Changement dénonce la communication fictionnelle du Président TSHISEKEDL, qui ne ressemble nullement à la réalité sur terrain ct invite les congolais épris de justice à joindre leurs voix à la nôtre pour rétablir la vérité et réclamer la justice dans notre pays.
MUTONO CHABU H
Secrétaire Général

 

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Genève : Félix Tshisekedi a rencontré la diaspora congolaise de Suisse

Tradition respectée : le Président de la République s'est adressé ce lundi 27 février 2023 à la Diaspora congolaise de la Suisse. La rencontre a eu lieu à l'hôtel Intercontinental de Genève. Ainsi, a-t-il tenu la promesse faite à ses compatriotes lors de son passage à Davos le 17 janvier dernier.
Face à ses interlocuteurs, il s'est exprimé sur 4 sujets à savoir l'agression du Rwanda contre la RDC, le processus électoral, le Programme de développement local des 145 territoires et le changement des mentalités.
Sur l'agression rwandaise via le M-23, le Chef de l'Etat a exprimé toute sa détermination à défendre la souveraineté du pays et il a démonté les fausses accusations du Rwanda concernant les FDLR et la pseudo discrimination des tutsis congolais. Tous des faux prétextes pour couvrir un désir de perpétuer illégalement l'exploitation des richesses de la RDC.
Le Chef de l'Etat a déclaré : « Nous allons prendre nos responsabilités. Une chose est certaine : Kagame ne gagnera pas cette guerre. Ce qu'il a fait au Congo, ça suffit. Avec moi, ça ne passera pas ».
En ce qui concerne le processus électoral, le Chef de l'Etat a mis en évidence la première expérience avec l'enrôlement limité des Congolais de l'étranger. Au regard des résultats, il sera possible de procéder à un élargissement progressif.
Cependant, il se pose un problème sérieux : la répartition des sièges en fonction de l'électorat.
Troisième sujet abordé : le PDL 145 Territoires dont l'objectif, a-t-il rappelé, est de doter chaque territoire des moyens de s'équiper en routes, écoles, hôpitaux, fourniture d'eau et d'électricité, etc.
Les mines n'ayant procuré aux Congolais ni richesses, ni sécurité, ni paix, Félix Tshisekedi est revenu sur sa vision de la revanche du sol sur le sous-sol. Le progrès escompté n'est pas une affaire de plusieurs décennies. En cinq ans, les résultats sont palpables, a-t-il déclaré, rassuré par le PNUD.
Enfin, le Président de la République a mis l'accent sur un fléau qu'il faut absolument éradiquer en RDC : la corruption. Et la solution est le changement des mentalités.
« Tout ce que je vous dis ne tiendra pas tant que les antivaleurs persistent », a-t-il déclaré, avant de rappeler le mot d'ordre d'Etienne Tshisekedi : aimer le Congo et aimer les Congolais.
En mot de la fin, le Président Tshisekedi a exhorté ses compatriotes de la Diaspora helvétique à se mettre à la disposition du pays pour lui apporter leurs expertises acquises en Suisse.
(Avec la Présidence de la République)

Genève : Félix Tshisekedi a rencontré la diaspora congolaise de Suisse
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52ème Session du Conseil des Droits de l'homme de l’ONU, Suisse : Félix Tshisekedi rassure de la tenue des élections dans le délai constitutionnel

Le Président de la République, Chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a indiqué, dans son allocution, lundi 27 février 2023, à l’occasion des travaux de la 52ème session du Conseil des Droits de l'homme des Nations-Unies, à Genève en Suisse, que lui et son gouvernement travaillent d’arrache-pied pour la tenue effective des élections libres, transparentes, crédibles et apaisées dans le délai constitutionnel, et sans exclusion basées sur des considérations politiques ou tribales.
« Quant aux élections générales prévues pour le 20 décembre prochain, une autre matière qui touche aux libertés fondamentales et aux droits fondamentaux des citoyens, le Gouvernement de la République et moi-même attachons le plus grand intérêt et portons une attention soutenue à leur tenue en toute transparence, en toute liberté et sans exclusion basée sur des considérations politiques, tribales ou ethniques », a fait savoir le Chef de l’Etat.
Rassurant le monde sur le respect du calendrier électoral, Félix Tshisekedi craint que la situation sécuritaire qui prévaut dans l’Est du pays soit un obstacle majeur pouvant contraindre ce processus qui vise à donner à la RDC de nouveaux dirigeants. Par ailleurs, il a sollicité l'implication de la communauté internationale pour mettre fin à ces atrocités. « Toutefois, la persistance de la guerre à l’Est de notre pays risque d’hypothéquer le processus électoral dont les opérations d’enrôlement sont déjà en cours par suite du déplacement massif des personnes des zones des combats, de l’insécurité et de l’inaccessibilité à ces zones. Il est donc absolument impérieux que la communauté internationale s’implique davantage activement aux côtés de la RDC pour la restauration de la paix et de l’autorité de l’État dans cette partie du territoire national », a déclaré Félix Tshisekedi.
Appel à des sanctions contre le Rwanda
Le Chef de l'État congolais a réitéré son appel à l'endroit de la communauté internationale à imposer des sanctions contre le Rwanda, principal agresseur de la RDC au moyen des rebelles du M23. « C'est pourquoi, il est impérieux de mettre fin aux aventures guerrières du Rwanda à l'Est de la République Démocratique du Congo pour créer les conditions objectives de réalisation des actions en faveur de ses valeurs universelles pour lesquelles de tout le temps dans le monde les peuples se sont battus jusqu'au sacrifice suprême. On ne peut pas prétendre défendre l'exercice des droits de l'homme et des libertés fondamentales en République Démocratique du Congo tout en laissant progresser l'agression de ce pays par le Rwanda et les massacres de ses populations par des groupes armés terroristes. Il est temps que la communauté internationale en particulier les Nations-Unies sanctionnent les auteurs des crimes et des violations du droit international en République Démocratique du Congo et les contraignent davantage à exécuter le plan de Paix issu des processus de Nairobi et de Luanda plans avalisés aussi bien par l'Union Africaine que le Conseil de Sécurité de l'ONU », a lancé Félix Tshisekedi.
Appel au soutien de partenaires
« L'État à travers son système judiciaire et son administration est l'instrument principal de la garantie de jouissance et d'exercice des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Il n'y a d'État et de pouvoir judiciaire que pour garantir à tous leurs droits et libertés dit-on. C'est pourquoi, la République Démocratique du Congo attend de ses partenaires bilatéraux et multilatéraux l'appui à ses efforts afin de restaurer l'autorité de l'État sur l'ensemble de son territoire national et réformer profondément son appareil judiciaire tant dans ses structures qu'en ce qui concerne ses animateurs », a poursuivi Félix Tshisekedi. Et de renchérir : « C'est bien de dénoncer les violations des droits et des libertés fondamentales mais c'est encore mieux de contribuer à l'amélioration du rendement des mécanismes et institutions chargées de leur protection et promotion ainsi qu'à leur enracinement dans les cultures sociales notamment par une plus grande spécialisation de la société civile et la formation des administrations publiques concernées ».
Josué Nsema

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