Véritable coup de balai dans l’armée rwandaise alors que le Rwanda se trouve en conflit ouvert avec la République démocratique du Congo après son appui avéré au M23. Le Président rwandais, Paul Kagame, a révoqué de l’armée 116 gradés et a résilié les contrats de service de 112 autres gradés. Selon un communiqué de presse des forces de défense du Rwanda (RDF), le général-major Alex Kagame, fils du Président Paul Kagame a été nommé commandant des forces rwandaises déployées au Mozambique contre le terrorisme. Tandis que le colonel Regis Gatarayiha prend la direction des renseignements militaires et Jean Bosco Ntibatura a été désigné Directeur général de la Sécurité intérieure au National Intelligence and Security Service, NISS. Entretemps, 14 officiers de haut rang dont le général major Aloys Muganga et le général de Brigade Francis Mutiganda ont été démis de leurs fonctions. «Le licenciement et la résiliation des contrats de service prennent effet immédiatement», note ledit communiqué, sans donner des détails sur les raisons de ces révocations et résiliations de contrats. Ce remue-ménage survient après le changement intervenu dans le gouvernement. Le Président rwandais a, précédemment, nommé Marizamunda Juvenal au poste de ministre de la Défense, en remplacement du général de division Albert Murasira. Le nouveau ministre était Directeur général du Service correctionnel du Rwanda (RCS) avant sa nomination. Il y a été remplacé à ce service par le général de brigade Evariste Murenzi. Par ailleurs, le Chef de l’Etat rwandais a nommé le général de corps d’armée Mubarakh Muganga en qualité de chef d’état-major des forces de défense du Rwanda (RDF), en remplacement du général Jean Bosco Kazura. Emma Muntu
Garant de la nation et Garant du bon fonctionnement des Institutions, le Président de la République, Félix Tshisekedi, c’est de lui qu’il s’agit, a présidé ce jeudi 8 juin 2023, dans la salle de Congrès du Palais du Peuple, la cérémonie de prestation de serment de quatre haut magistrats de la Cour Constitutionnelle. Il s’agit du Procureur Général près la Cour Constitutionnelle, Jean-Paul Mukolo Nkokesha, Ndaka Matandombi, Bonane Biakwajiri et Mme Claire Masiala Kaza. Cette dernière est la première femme à occuper ce haut rang dans la magistrature. De ce fait, ces premiers avocats généraux au Parquet près la Cour Constitutionnelle ont, conformément à la Constitution du pays et avant leur entrée en fonction, été présentés à la Nation, devant le Chef de l’Etat, l’Assemblée nationale, le Sénat et le Conseil Supérieur de la Magistrature. Cette cérémonie s’est déroulée dans une belle ambiance. Ces juges vont devoir servir la Nation congolaise en veillant et appliquant la loi comme il se doit. La loi organique n°13/026 du 15 octobre 2013 portant organisation et fonctionnement de la Cour Constitutionnelle institue un Parquet Général près la Cour Constitutionnelle. Il exerce les attributions qui lui sont dévolues par la présente Loi organique. Il est placé sous l’autorité du Procureur Général près la Cour Constitutionnelle. Il est assisté d’un ou de plusieurs Premiers Avocats Généraux et d’un ou de plusieurs Avocats Généraux. Ils sont nommés, conformément au statut des magistrats, par le Président de la République, pour un mandat de trois ans renouvelable une seule fois, parmi les magistrats de l’ordre judiciaire ou administratif ayant au moins quinze ans d’expérience, sur proposition du Conseil Supérieur de la Magistrature. Ils sont soumis au statut des membres de la Cour Constitutionnelle. Concernant le 1er Juge, le Procureur Général près la Cour Constitutionnelle Jean-Paul Mukolo, il est originaire de la ville de Tshikapa. Né le 8 septembre 1960, il est marié et père de 8 enfants. En fonction depuis le 7 février 2020, son mandat a été renouvelé par le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi. La Pros.
*Décidément, une date reste marquée dans les agendas. Le 25 juin 2023, la CENI, selon le calendrier qu’elle avait publié, il y a plusieurs mois, va convoquer le corps électoral et procéder, dès le jour suivant, à l’ouverture des Bureaux de Réception et Traitement des candidatures. Normalement, les Etats-Majors des Partis Politiques aussi bien de l’Union sacrée que de l’ensemble de la classe politique, sont appelés à compulser les dossiers des candidats à engager dans la course aux législatives nationales et provinciales. Puis, le moment venu, vers le mois de septembre prochain, ce sera la tour, pour la même CENI, de la convocation de l’électorat pour les empoignades finales autour de la Présidentielle, telle que prévue, le 20 décembre 2023. De telle sorte que le 24 janvier 2024, le nouvel élu entre en fonction, conformément à la Constitution et aux lois de la RD. Congo. Ainsi, l’équipe Kadima aura-t-elle fini avec la première phase des élections, avant de se lancer, plus tard, dans un nouveau cycle des joutes visant, in fine, la recomposition, à la fois, du Sénat et des Gouvernorats de Provinces. Mais, qui sont prêts à répondre à ce rendez-vous ? Quels sont les Partis, Plateformes ou Regroupements Politiques qui s’y préparent ? Si, à l’Union sacrée, l’heure est au rappel des troupes pour y aller, il n’en est pas du tout le cas du côté des Opposants au régime actuel ainsi qu’à ses dirigeants. Là où Adolphe Muzito, Leader de Nouvel Elan, dénonce les chiffres et appelle à rectifier le tir en ce qui concerne le fichier électoral ayant conduit à l’examen et à l’adoption de la Loi portant répartition des sièges, les autres Opposants, eux, sont à l’extrême. Tenez ! Le Groupe de quatre constitué de Katumbi, Fayulu, Matata et Sesanga cherche, plutôt, à remettre les clepsydres à zéro. Comme au FCC, ce Groupe-là qui a même annoncé son meeting, le 17 juin 2023 et une nouvelle marche, le 21 juin 2023, exige, par contre, la recomposition de la CENI et de la Cour Constitutionnelle, tout en réclament la révision de la Loi électorale adoptée au Parlement et promulguée en 2022. Et, au comble de tout, si une telle brèche était ouverte, elle déboucherait, à coup sûr, sur un glissement dont seul un dialogue ex ante, tenterait de sauver les meubles. Or, à ce jour, le schéma de la CENI, du moins tel qu’elle le présente, dans son almanach, démontre, si besoin en était encore, toute la volonté d’en découdre avec les élections 2023 dans les délais, nonobstant quelques écueils liés notamment, à l’insécurité dans une partie du territoire ainsi que la plupart de préalables techniques. L’affaire du consensus tant sollicité ne semble pas, visiblement, faire partie des préoccupations, ni des missions de la CENI. Que va-t-il se passer ? Deux tendances vont en arriver aux prises. L’une, celle de l’Union sacrée ira aux élections. Tandis que l’autre, la deuxième, boycottera ces élections et rejettera, comme il faut s’y attendre, les résultats. Ce jour-là, en effet, cette deuxième tendance ‘’radicalisée’’ ne s’offusquera nullement à jeter en pâture et le bébé et, même, l’eau de bain. D’où, cette fois-là, une autre perspective de dialogue ex post s’ouvrirait pour voir comme gérer le lourd contentieux électoral et gouverner le pays. A moins que chemin faisant, l’on retrouve une nouvelle piste neutre qui conduirait à retarder les élections 2023 et instituer une transition, comme l’avait déjà si bien suggéré Marie-José Ifoku. LPM
Dans le deuxième épisode de "Citations Classiques par Xi Jinping", Mme Patricia Castro Obando, professeur à l'Université pontificale catholique du Pérou, et Jia Jiabin, présentateur de CGTN se rendent au Centre du numéro vert 12345 de Beijing pour connaître la gouvernance urbaine de Beijing. « Le peuple est au centre de tous les efforts et de toutes les politiques de l'État. » Voici une idée partagée de Mme Patricia Castro Obando. Regardez la vidéo complète pour connaître la pensée axée sur le peuple qui a une influence durable dans la culture chinoise. https://francais.cgtn.com/news/2023-06-03/1664935727741558786/index.html
Dans le deuxième épisode de "Citations Classiques par Xi Jinping", Mme Patricia Castro Obando, professeur à l'Université pontificale catholique du Pérou, et Jia Jiabin, présentateur de CGTN se rendent au Centre du numéro vert 12345 de Beijing pour connaître la gouvernance urbaine guidée par les demandes des habitants de Beijing, une mégapole possédant plus de 20 millions d'habitants. 343 quartiers et cantons des 16 arrondissements de Beijing, 65 services municipaux et 49 entreprises et établissements d'intérêt public qui assument des missions de service public sont tous connectés à la plateforme de services 12345. La démocratie populaire intégrale est ainsi incarnée dans le processus de gouvernance urbaine. Regardez la vidéo complète pour découvrir la pratique d'administration urbaine de Beijing qui est centrée sur le peuple. https://francais.cgtn.com/news/2023-06-03/1664935727741558786/index.html
Le Pape François, 86 ans, a été opéré d’une hernie abdominale sous anesthésie générale ce mercredi 7 juin à Rome, sur fond de préoccupations régulières autour de sa santé. L’intervention terminée, le pontife « va bien » et « a plaisanté ». Après plusieurs alertes sur sa santé, le pape François, 86 ans, a été opéré d’une hernie abdominale sous anesthésie générale ce mercredi 7 juin 2023 à Rome. L’opération s’est terminée « sans complications » au bout de trois heures, annonce le Vatican, peu après 18 h. Le pontife « va bien » et « a plaisanté » après l’intervention, a ajouté son chirurgien en conférence de presse à Rome. Cette opération « bénigne », n’entraînera pas de séquelles et Jorge Bergoglio ne souffre pas d’autre pathologie, a précisé le professeur Sergio Alfieri. Cette intervention, organisée les jours précédents par l’équipe médicale qui assiste Le Saint-Père, était « devenue nécessaire » en raison des symptômes « douloureux et en voie d’aggravation » du pontife, selon le directeur du service de presse du Vatican, Matteo Bruni. Audiences annulées jusqu’au 18 juin L’intervention chirurgicale demandera toutefois « plusieurs jours » d’hospitalisation du pape, a ajouté ce dernier, relayé par l’AFP. Ses audiences ont d’ailleurs été annulées « par mesure de précaution » jusqu’au 18 juin. Pour le reste, l’exercice du ministère papal reprendra, « même si c’est depuis un lit d’hôpital », a expliqué aux journalistes de l’AFP, le cardinal Pietro Parolin, aussi secrétaire d’Etat et numéro 2 du Saint-Siège. « En cas de dossiers urgents, ils lui seront portés à l’hôpital Gemelli». (Avec Ouest-France/AFP)
Les notables de Debonhomme, dans la commune de Matete, dans leur préoccupation d’évaluer la vérité sur les défis, enjeux et perspectives de la loi Tshiani (de père et de mère), ont organisé le dimanche dernier, une conférence à l’espace Debonstop où ils ont invité l’auteur de ladite loi, le professeur Noël Tshiani Muadiamvita pour leur parler en long et en large de son initiative. Ce rendez-vous a connu beaucoup de révélations. Après le discours des organisateurs, entre autres, Nadine Natumu, Joska Kanyinda ainsi que Mano Ntayingi, Noël Tshiani a expliqué à cette population l’importance de sa loi. Se remettant à la presse, Noël Tshiani est revenu sur la raison de cette rencontre. «J’étais invité par nos compatriotes de Debonhomme pour partager avec eux le contenu de la proposition de la loi Tshiani, de père et de mère. Nous avons fait la présentation, les gens ont posé des questions. Donc, il s’agit d’une démarche pour sensibiliser la population aux enjeux et aux défis », a-t-il déclaré. Et de poursuivre : « Le message que je voudrais donner à toute la population qui n’a pas été ici, c’est de chercher à s’informer, à connaitre exactement de quoi il s’agit. Il ne faut pas se laisser manipuler par des détracteurs qui propagent de fausses informations sur la loi. Cette loi, elle est salvatrice pour la République Démocratique du Congo. C’est en réalité la deuxième indépendance de la RDC. Si nous ne faisons pas passer cette loi, ce pays va se retrouver dans des mains des gens qui sont hostiles à notre pays et qui vont mettre fin à la souveraineté nationale, à l’intégrité territoriale et par conséquent, nous redeviendrons, nous congolais, des esclaves de notre propre pays. Nous devons tout faire pour éviter que cela n’arrive, pour que ce Congo, reste dans les mains des autochtones, des propriétaires de la terre. Ce n’est pas pour rien que les gens comme le Patrice Emery Lumumba, Simon Kimbangu, sont morts. Ils sont morts pour que nous ayons la souveraineté nationale et la liberté. On ne doit pas compromettre donc ces acquis-là. Nous devons faire en sorte que le pays continue à exister, tel que nous l’avons aujourd’hui pour que nous puissions nous consacrer désormais aux efforts de développement ». Pour sa part, l’un des organisateurs, le notable Mano Ntayingi, s’est dit satisfait de ce qui est ressorti de ce rendez-vous. «Il était important de pouvoir faire une sensibilisation de la population. Nous remercions très sincèrement le professeur pour avoir répondu à cette invitation, pour venir parler avec la population, pour calmer les gens qui avaient peur et le convaincre afin de comprendre les motifs et les fondements de cette nouvelle loi. Pas de contrainte, toute la population était très contente… les mots étaient justes. Les questions étaient très bien posées et il a rassuré les uns et les autres par rapport à la pertinence de la loi et à l’intégration de la loi sans discrimination », a-t-il lancé. Israël Mpoyi
Tout avance à grands pas du côté de la CENI. Le décor est en train de se planter avec sérénité. L’organisation des scrutins à tous les niveaux en République démocratique du Congo est, de nul doute, une réalité qui prend corps grâce à l’expertise et au géni de l’équipe Kadima. Alors que tout espoir de la tenue des élections dans le délai constitutionnel semblait être perdu, tout est maintenant clair qu’en effet, les élections auront bel et bien lieu en fin 2023. Comme pour dire qu’à ce stade, plus rien ne peux entraver le train de la Commission électorale nationale indépendante, qui est déjà en marche. La marche est longue pour parvenir jusqu’aux élections. Bien d’étapes sont à franchir pour arriver au vote proprement dit, à l’instar de celles déjà avancées, qui sont notamment, indentification et enrôlement des électeurs, publications des statistiques des électeurs par circonscription et, adoption de la loi sur la répartition des sièges qui, d’ailleurs, a été adoptée au niveau du parlement. Encore une fois, la CENI confirme la tenue des élections dans le délai prévu par la constitution du pays. A ce stade, ni vent, ni pluie ne peut perturber le processus. Déjà, la centrale électorale va procéder à la phase de réception et traitement de candidatures pour les scrutins directs. A ce propos, elle convoque l’électorat pour la députation nationale à partir de ce 25 juin, suivi de l’ouverture des bureaux de traitement de réception de candidature à la députation nationale du 26 juin au 15 juillet ainsi que le 2 août 2023 pour les députés provinciaux et conseillers municipaux. Pour l’élection présidentielle, la convocation de l’électorat est fixée pour le 1er septembre 2023, suivi de la campagne électorale pour tous les candidats à tous niveaux à partir de 19 novembre jusqu’au 18 décembre 2023. La commission électorale nationale indépendante tient, mordicus, à organiser les élections à tous les niveaux, c'est-à-dire : élections présidentielle, législatives, provinciales et municipales en date du 20 décembre 2023, conformément au calendrier de ses activités. Ce, en dépit des intentions de certaines personnes (de l’opposition) qui misent sur le report des activités électorales et la non-tenue des scrutins dans le délai prévu par la loi. Il y a lieu de rappeler que le calendrier de la CENI prévoit la fin des opérations en 2024, avec la planification des opérations électorales prévues du 1er mars au 15 décembre 2024. Fidel Songo
Sous la bannière de Ferdinand Kitengie, la Convention de la société civile pour le développement du Congo, en cigle CSCPC, convie la population congolaise vivant à Kinshasa à un rassemblement populaire ce samedi 10 juin 2023 dans la commune de N’djili, au terrain Sainte Thérèse. L’objectif précis de cette rencontre avec des congolais sera d’échanger sur l’évolution du processus électoral en cours, sur la situation sécuritaire en RDC, particulièrement dans l’Est, ainsi que sur les enjeux politiques de l’heure. Rassemblement du peuple congolais ! A en croire les organisateurs, cette rencontre est considérée comme un ‘’ Rassemblement populaire’’ qui mettra ensemble tous les congolais, quelles que soient leurs couleurs, pour parler un seul langage en vue du développement du pays. La CSCPC invite, en effet, toutes les associations citoyennes, les conventions religieuses, les ASB et ONG, les membres des partis politiques de toutes les tendances confondues, mais aussi tout citoyen congolais à venir écouter le message pour le bénéfice de la Nation. Au cours de ce colloques, cependant, plusieurs sujets sont annoncés à être abordés. Il s’agira, entre autres, de l’avancement du processus électoral, de la situation sociopolitique en République démocratique du Congo, jusqu’à l’épineuse question d’insécurité dans l’ensemble du pays... Pour le représentant de cette structure de la société civile, il est plus qu’important de communiquer avec les congolais, ‘’surtout en cette période où le pays se prépare à organiser les scrutins, avec aussi la situation sécuritaire qui prévaut dans l’Est et dans l’Ouest du pays, ainsi que pour lever toute équivoque et effacer toutes les illusions vendues par certaines personnes qui n’aiment pas le développement de la RDC’’. «Nous sommes la convention de la société civile pour l’unité des congolais. C’est pour cela que nous avons constitué ce regroupement que nous appelons. Nous l’avons fait ce regroupement dans l’objectif de faire comprendre aux gens que ce pays n’appartient pas aux partis politiques, plutôt aux congolais (société civile). Nous organisons une grande rencontre avec vous la population. Nous allons révéler des choses qui se cachent et qui se racontent faussement, sur les élections, sur la guerre dans l’Est etc. », ont précisé les organisateurs de la manifestation. Fidel Songo
POIDS LOURD (Seuls avocats, inscrits au petit tableau, après un troisième serment (art. 106) devant la Cour Suprême de Justice) POIDS MOYEN (Seuls avocats, inscrits au grand tableau (art. 14, 29, 38, 51), avec un deuxième serment devant une seule Cour d’Appel de la RDC, avec possibilité de prendre une inscription complémentaire à plusieurs barreaux près la Cour d’Appel (art. 51)) POIDS LEGER (Seuls avocats, admis à la liste de stage (art. 14, 17, 29 et 38) avec un premier serment devant une seule Cour d’Appel avec interdiction de prendre une inscription complémentaire à un autre barreau) ISANO YA LIKO O TSHIKELA NKEMA ! Article 111 de la loi du barreau « Les avocats à la Cour suprême de justice « peuvent exercer le ministère d’avocat « devant toutes les juridictions de la « République ». Devant toutes les hautes juridictions de la RDC ou même aussi devant la CCJA d’Abidjan, seuls sont admis les avocats congolais ayant prêté un troisième serment uniquement devant la Cour Suprême de Justice. Les avocats près la Cour d’Appel sont territorialement confinés dans les ressorts des Cours d’Appel dont les greffes gardent leurs PV du second ou premier serment et où ils doivent obligatoirement installer leurs cabinets. Hors du ressort de la Cour d’Appel les Actes de l’avocat sont nuls et irrecevables. KALALA MUENA MPALA • Avec robe professionnelle et qualité conformes aux articles 71 et 111 de la loi du barreau • Chercheur Judiciaire, légaliste et Indépendant • Eco-garde de la dénomination authentique de son barreau de cassation ainsi que des procédures spécifiques devant les hautes juridictions alignées à l’article 223 de la Constitution et du Règlement de procédure devant la CCJA tous les délais des Avis, des Jugements et Arrêts.