Ce mardi 12 septembre, le Royaume-Uni a lancé officiellement l’appel à candidatures pour la bourse Chevening pour l’année académique 2024-2025.
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*Au Congo Kinshasa, le pouvoir et l'opposition polémiquent sur le calendrier de retrait des Casques bleus. Le Président Tshisekedi demande à la Monusco d'accélérer son départ, alors que l'opposant Moïse Katumbi accuse les autorités de vouloir se débarrasser d'un témoin gênant avant les élections du 20 décembre. Qu'en est-il réellement ? Christophe Lutundula est Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Congo. En ligne de Kinshasa, il annonce sur RFI que le pouvoir compte sur les Casques bleus pour sécuriser les élections de décembre. Il est au micro de Christophe Boisbouvier.
Stanis Bujakera
Adolphe Muzito, Leader de Nouvel Elan et Ancien Premier Ministre
*Dans un communiqué publié ce mardi 12 septembre 2023, Nouvel Elan et Adolphe Muzito, Son Leader et Ancien Premier Ministre, souhaient, cependant, que les enquêtes se poursuivent en toute indépendance et sans inférences des politiques de manière à élucider l’objet pour lequel il est poursuivi.
Me Hubert Tshiswaka Masoka, Directeur Général de l’IRDH
*Dans son cinquième plaidoyer pour la tenue des élections apaisées et inclusives, l’IRDH salue la convocation de l’électorat de la Présidentielle 2023, condamne la multiplication d’incidents et appelle à la décrispation politique.
Sous la thématique : « Promouvoir la croissance verte et le financement de l'action climatique pour l'Afrique et le Monde », il s’est déroulé du 4 au 6 septembre à Nairobi, capitale du Kenya, la première édition du Sommet Africain pour le Climat 2023 (Climat Summit Africa, CSA23). Au terme de ces assises qui ont tenu toutes ses promesses, au regard du succès enregistré notamment dans la participation des pays africains et des partenaires engagés, dans le développement durable tant de l’Afrique que du monde, le Chef du Gouvernement congolais a fait le point de la participation de la République démocratique du Congo, dont il a salué les conclusions de la Déclaration de Nairobi, votée à l’unanimité par tous les pays africains.
Dans cette déclaration dite « Déclaration de Nairobi » lue par le président du Kenya, William Ruto, les dirigeants du continent ont imploré aux pays développés d'honorer leurs engagements de fournir 100 milliards de dollars de financement annuel pour le climat. Par la suite, le CSA23 les a appelés également à une réforme urgente du système financier multilatéral dans le but d’obtenir des financements pour des projets d’atténuation et d’adaptation au climat. Par ailleurs, à la sortie de cette rencontre du sommet africain, le Premier Ministre de la RDC, Sama Lukonde, a salué les conclusions de la déclaration de Nairobi, votée à l’unanimité par tous les pays africains : « Nous voici arrivés à la fin de ce sommet Africain pour le Climat 2023 qui s'est tenu ici à Nairobi au Kenya. C’est une première où les pays africains se retrouvent pour parler d'une seule voix sur les questions du climat. Et, la RDC a fait entendre sa voix comme je l'ai dit sur son potentiel, sur sa capacité comme « Pays Solution », nous le disons tous les jours. Les minerais de transition énergétique, la forêt, le captage de carbone, les tourbières, nous avons les rivières qui permettent une production de l'énergie verte. Et donc tout cela, nous en avons parlé. Mais nous avons dit ici, les défis, c'est de transformer ce potentiel en réalité pour nos populations, en termes des dividendes de tout l’apport que nous donnons pour la préservation du climat et pour éviter l'augmentation de la température à plus de 1,5 degré. Et donc, nous avons fait entendre notre voix », a-t-il déclaré, avant toutefois de signaler que, ces assises se sont clôturées sur une note satisfaisante par l'acclamation de cette déclaration qui a été votée à l'unanimité.
A en croire le Chef du Gouvernement de la RDC, le CSA23 était une grande rencontre qui a permis à toutes les réalités climatiques de s'exprimer notamment, le grand Bassin du Congo, le Mékong ou bien l’Amazonie : « Nous avons parlé effectivement de ces trois ingrédients indispensables pour prévoir l'avenir avec un ciel bleu. Il nous faut de la volonté des pays pollueurs sur leur contribution en termes de crédit carbone. Il nous faut de la détermination dans les engagements que nous prenons et surtout dans le vœu de laisser un monde meilleur aux générations futures, à nos enfants. Au-delà de cette détermination, nous avons parlé de la solidarité. Pour nous, la solidarité, nous la mettons d'abord sur les questions sécuritaires. Parce qu’il nous faut préserver nos forêts, non seulement des guerres, mais du braconnage », a-t-il ajouté.
Pour sa part, le Président de la Commission de l’Union africaine (UA), Moussa Faki, s’est engagé à sensibiliser les États africains et rassembler les efforts afin de tirer le meilleur avantage du Sommet Africain pour le climat. « Je m'engage, pour ma part, à mobiliser les ressources humaines de la Commission de l'Union africaine pour garder en vive alerte l'esprit de Nairobi, en vue d'apporter la plus forte contribution possible à la mobilisation et à l'unification des voix africaines. Comme il nous a été demandé dans la déclaration, la Commission de l'Union africaine va développer une feuille de route pour cette déclaration et proposera aux Etats Membres de faire des changements climatiques, le thème de l'année 2025 à 2026 », a-t-il signifié.
En gros, cette première édition du Sommet Africain pour le Climat 2023 (Climat Summit Africa, CSA23) tenu à Nairobi, qui a fermé ses rideaux le mercredi 6 septembre, a été organisée par la Commission de l'Union africaine en collaboration avec le pays hôte, la République du Kenya. Il y a lieu également de signaler que, c’était sur la décision de la 36ème session ordinaire de l'Assemblée des Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'Union africaine (UA), tenue en février 2023, qui avait chargé la Commission de l'Union africaine de convoquer un sommet sur le changement climatique et a simultanément approuvé l'offre du Gouvernement du Kenya d'accueillir ce sommet.
Ronsard Malumalu
*Un corpus de professionnels des médias s’est rendu, ce lundi 11 septembre 2023, chez Patrick Muyaya, le Ministre de la Communication et Médias, pour des plaidoyers en faveur de leur confrère, Stanis Bujakera, arrêté depuis le samedi 9 septembre dernier. Ces chevaliers de la plume et du micro ont demandé au Porte-parole du gouvernement de s’impliquer totalement pour obtenir sa libération pure et simple.
*Il aura été ainsi le tout premier candidat indépendant à surprendre tout le monde ce lundi 11 septembre 2023 avec son dossier de candidature dûment compulsé devant le BRTC de la CENI. Rex Kazadi, un congolais vivant en France, est donc là, comme un vrai Outsider dans la course à la Présidentielle 2023. Il rivalisera d’ardeur avec les deux premiers, à savoir, Matata Ponyo et Constant Mutamba qui ont déjà depose les leurs, depuis le samedi 9 septembre 2023 et puis, avec Félix Antoine Tshisekedi, Denis Mukwege, Moïse Katumbi, Muzito Adolphe, Floribert Anzulumi et tant d’autres qui se déclarés ou, à la limite, ont été plébiscités canditats et dont les dossiers sont encore attendus d’ici le 8 octobre 2023, jour de clôture fixé par la CENI. Faut-il rappeler que la caution non remboursable s’élève à 160.000.000 FC pour tout candidat à la Présidentielle du 20 décembre 2023 ?
Surprise
*La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a reçu, ce lundi 11 septembre 2023, le dossier de candidature pour l’élection présidentielle du 20 décembre 2023 du candidat indépendant Rex Kazadi. Ce protagoniste politique, après avoir recueilli, le samedi 9 septembre 2023, au Bureau de Réception et Traitement des candidatures (BRTC), au siège de la Centrale électorale.
Au sortir du BRTC, après s’être plié à cet exercice, le premier candidat indépendant à la course au Palais de la nation s’est exprimé en ces termes : « Je suis revenu finaliser mon dossier parce qu’il y avait certains éléments qui manquaient, le samedi passé, et c’est aujourd’hui que j'ai effectivement officialisé ma candidature à l’élection présidentielle prévue en décembre de cette année. Personnellement, cet exercice m’a permis de découvrir le travail de la CENI. Laissez-moi vous avouer que c’est un travail très sérieux, à la fois; méticuleux où tout se fait avec précision en veillant sur tous les détails ».
Avant de renchérir : « Aujourd’hui nous avons la possibilité de nous exprimer, c’est pourquoi, je suis venu briguer la Présidence de la République pour diriger ce pays. Je suis candidat sans connaître une forme de discrimination et je veux convaincre les Congolais à voter pour moi. Ceux qui ne veulent pas jouer le jeu démocratique en boycottant les élections, ils sont libres. Cependant, on ne va pas créer une loi spécifique pour eux. En ce qui me concerne, j’estime qu’il faut jouer le jeu car c’est une fois tous les 5 ans et c’est une opportunité inouïe pour les Congolais de pouvoir s’exprimer. Donc, pour quelle raison doit-on se priver de droit de choisir la personne qui va présider aux destinées de 100 millions des Congolais ?».
C’est en France que Rex KAZADI a fait ses premiers pas en politique en 2014.
Il y a créé un mouvement dans l’objectif de fédérer un grand nombre des Congolais à l’accompagner dans sa quête du pouvoir.
La Pros.
*Rose Mutombo Kiese, la Ministre de la Justice, instruit l'Inspecteur Général des Services Judiciaires et Pénitentiaires du Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe de suspendre, sur toute la ligne, les effets des actes juridictionnels consécutifs à la saisie des comptes de l'Office des Routes.
Après le dépôt de leurs candidatures à la Présidentielle 2023 ce samedi 9 août 2023, Augustin Matata Ponyo et Constant Mutamba ont été, chacun, reçus sur leur demande, par le Président de la CENI, Denis Kadima Kazadi, dans le cadre d’une visite de courtoisie.
Récit
La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a ouvert, à son siège, le Bureau de Réception et Traitement des Candidatures (BRTC), pour l'élection présidentielle prévue le 20 décembre 2023.
Au cours de la première partie de cette tribune, j’avais indiqué combien mes censeurs étaient de mauvaise foi, globalement en déformant l’objet et le contenu de l’ouvrage ramenés à la seule affaire Matata sur la douzaine d’arrêts traités, preuve que voilà une entreprise commanditée, alors que l’ouvrage expose et explique mes opinions et ma pensée développées sur le fonctionnement de la Justice en RDC et la manière dont la très haute magistrature se passait de la constitution et des lois pour « dire le droit » au travers de quelques arrêts emblématiques des hautes juridictions.