La France remet la plume au cœur du débat démocratique avec Ma Lettre à Macron
La parole citoyenne n’a jamais été aussi libre, ni aussi fragile. À force de s’exprimer partout, elle semble s’être vidée de son sens. Des foules connectées protestent à coups de hashtags, des peuples s’indignent par vagues virales, des débats planétaires s’épuisent en 280 caractères.
Dans cette ère du « tout dire », les démocraties trébuchent sur un paradoxe vertigineux : plus on parle, moins on s’écoute.
Des États-Unis à l’Europe, de Montréal à Paris, une même lassitude s’installe, celle d’un monde saturé de mots, mais orphelin d’écoute.
C’est dans ce contexte que la France, terre de révolutions et d’idées, surprend en renouant avec un geste aussi ancien que subversif : écrire.
Avec Ma Lettre à Macron, l’entrepreneur Mathieu Burthey propose une forme d’expression citoyenne à contre-courant du tumulte numérique. Pour un euro symbolique, chacun peut envoyer une carte postale imprimée et expédiée à l’Élysée.
Ni pétition ni revendication, mais une correspondance démocratique, où la lenteur du mot remplace la rapidité du clic et où l’acte d’écrire redevient un moyen de faire bouger les lignes.
Quand tout le monde parle, mais que plus personne n’écoute
Jamais la société contemporaine n’a autant communiqué.
Les réseaux sociaux bruissent, les débats s’enchaînent, les opinions s’entrechoquent.
Et pourtant, le sentiment d’impuissance grandit.
De la France au Canada, de la Belgique aux États-Unis, une même impression s’impose : la démocratie bruisse, mais n’écoute plus.
C’est dans ce climat de saturation que Mathieu Burthey, entrepreneur français, a conçu Ma Lettre à Macron.
"La gravité de la situation en France m’inquiète profondément. Personne ne comprend plus vraiment ce qui se passe. J’ai voulu créer un outil simple, à la portée de tous, pour permettre à chacun de dire ce qu’il a à dire."
Ici, pas de manifeste politique, pas de pétition collective : une seule carte, un seul message, une voix à la fois.
Ce que l’on envoie n’est pas un simple courrier, mais une présence physique, une parole qui retrouve son poids.
Une carte, un euro, un symbole
Le principe est d’une limpidité rare : sur le site www.ma-lettre-a-macron.fr, chaque citoyen rédige un message, règle un euro symbolique, et la plateforme se charge d’imprimer et d’expédier la carte à l’Élysée.
Chaque envoi est unique, signé, affranchi, et adressé.
Ce n’est pas une réaction en ligne, mais une démarche réfléchie, volontaire, assumée.
Ce coût symbolique ancre l’acte dans la réalité.
Loin de la gratuité impulsive du numérique, l’euro versé redonne de la valeur à la parole.
Il transforme l’expression en engagement concret.
Ce geste, à la fois intime et collectif, rappelle que la démocratie repose sur une idée simple : la participation.
Mais ici, elle prend une forme inattendue, celle d’une correspondance civique.
Redonner chair à la parole
Le projet s’appuie sur une technologie maîtrisée.
Ma Lettre à Macron utilise la solution Eazypostcard.com, développée par le fondateur lui-même.
Initialement pensée pour les entreprises souhaitant automatiser leurs envois postaux, la plateforme a été réorientée vers un objectif civique : transformer le numérique en relais, et non en barrière.
« J’ai voulu transformer la technologie en outil d’expression », explique Mathieu Burthey.
Chaque message transite ainsi du virtuel au tangible : un clic devient une carte, une idée devient un objet. L’encre remplace le pixel, le silence remplace le bruit.
Une manière poétique, mais profondément politique, de redonner sens au mot communication.
Une initiative sans drapeau, mais pas sans convictions
Ma Lettre à Macron se veut totalement indépendante.
Aucune affiliation politique, aucune orientation partisane : le projet appartient à ceux qui s’en emparent.
Chacun écrit ce qu’il veut, avec ses mots, ses émotions, ses convictions.
Certains expriment la colère, d’autres la reconnaissance ou la lassitude.
Tous participent à un même mouvement : réhabiliter la parole libre.
« Je ne revendique rien », précise Mathieu Burthey. « Je souhaite simplement encourager chacun à faire sa part, si modeste soit-elle, pour contribuer à retrouver notre belle France. »
Cette liberté absolue est l’essence même du projet.
Elle fait écho à une aspiration universelle : retrouver un espace d’expression directe, sans médiation, sans censure, sans slogan.
Et, par-delà les frontières, l’idée trouve un écho familier : celui d’un besoin mondial de réhumaniser la parole politique.
Du cri collectif à la voix singulière : un nouvel angle démocratique
Le projet n’est pas né d’une colère, mais d’un constat.
La société semble avoir épuisé ses modes d’expression traditionnels : les manifestations, les débats télévisés, les réseaux sociaux.
À force de crier ensemble, la parole individuelle s’est dissoute.
Ma Lettre à Macron propose l’inverse : faire de la voix de chacun une matière commune, lente, lisible, authentique.
Un projet français à portée internationale
Si le concept est né en France, il s’inscrit dans une dynamique universelle.
L’idée de Ma Lettre à Macron touche à des questions qui dépassent largement le cadre hexagonal : la représentation, la parole citoyenne, la confiance dans les institutions.
À l’heure où les mouvements sociaux se multiplient à Londres, à New York ou à Montréal, la démarche française attire l’attention pour sa singularité :
plutôt qu’une manifestation, une correspondance.
Dans les pays francophones comme la Belgique, la Suisse ou le Québec, l’initiative résonne déjà comme un écho familier : celui d’une société qui cherche à réinventer le dialogue.
Et dans les sphères anglophones, elle intrigue : une France réputée pour ses révoltes de rue choisit désormais l’écriture comme moyen d’expression civique.
Là réside sa puissance symbolique : Ma Lettre à Macron devient le miroir d’un monde où écrire est redevenu un acte politique.
Le parcours d’un entrepreneur au service du civisme
Derrière cette idée, un profil singulier : celui d’un entrepreneur habitué aux crises.
Depuis quinze ans, Mathieu Burthey dirige un cabinet de conseil pour les entreprises en difficulté. Son expérience l’a confronté à la perte de dialogue, à la méfiance, à la désunion. Il en a tiré une conviction : quand la communication s’effondre, tout vacille. C’est ce constat qui l’a poussé à créer une passerelle entre l’entreprise et la citoyenneté.
Ses deux autres projets, Eazypostcard.com et Flypool.me, témoignent du même ADN : faire du numérique un outil d’action, non de distraction.
Avec Ma Lettre à Macron, il applique cette philosophie à la sphère civique : la technologie au service du lien, la simplicité au service du sens.
Sans subvention, sans réseau politique, sans sponsor : un projet indépendant, auto-financé, bâti sur la conviction que les citoyens peuvent, par un simple geste, réinventer la participation démocratique.
En savoir plus
Site web : https://www.ma-lettre-a-macron.fr
Facebook : https://www.facebook.com/malettreamacron
Instagram : https://www.instagram.com/malettreamacron
Linkedin : https://www.linkedin.com/in/ma-lettre-%C3%A0-macron-5421b938b
Contact Presse
Mathieu Burthey
Téléphone : +33781429552
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