*Extrait du de la quatre-vingt –quinzième Réunion de Conseil des Ministres.
‘’Le Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement a présenté au Conseil les grandes lignes de l’évolution du processus vers la salubrité médiatique et mis en exergue les défis à relever au regard des résolutions des états généraux de la communication et médias.
Il a indiqué que la promulgation de la nouvelle Loi sur la presse est une avancée majeure pour laquelle tous les acteurs de ce secteur ont remercié le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Félix-Antoine
TSHISEKEDI TSHILOMBO et aussi salué l’accompagnement du
Gouvernement.
Ce cadre légal adapté à l’environnement et aux défis actuels de l’exercice de la liberté de la presse est une véritable fondation qui vient d’être posée dans le paysage médiatique Congolais.
La première phase du contrôle de conformité administratif et documentaire des éditeurs des programmes et des sociétés de télédistribution amorcée en décembre 2021 pour la ville de Kinshasa a été bouclée. La Commission permanente instituée par Arrêté ministériel a rendu les conclusions de ces travaux qui se présentent comme suit :
- Sur 98 Éditeurs des programmes (chaînes de télévision) présents sur le bouquet public, seuls 64 ont satisfait aux exigences requises en la matière, soit 66% ;
Sur les 101 Editeurs des programmes présents sur les différents bouquets privés, seuls
20 ont satisfait aux exigences requises en la matière, soit 20% ;
- Sur les 11 Sociétés de télédistribution, aucune ne satisfait totalement aux exigences administratives et techniques requises ;
- Et dix (10) chaînes émettent encore en analogique.
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La rencontre prévue au niveau des états-majors généraux la veille, avant celle des ministres de Défense de l’Afrique de l’Est, ont été reportées à une date ultérieure. Après un premier mandat mitigé qui frise l’échec en République démocratique du Congo, la force des pays membres de la Communauté des États d'Afrique de l'Est (EAC) se doivent de définir une vision commune pour la suite des événements. Les contingents déployés en RDC, n’était pas visiblement sous le commandement d’un état-major intégré comme il est de tradition dans ce genre de mission. Chaque armée répondait aux ordres de la hiérarchie militaire de son pays.
Nul n’est besoin de rappeler que les positions des militaires burundais ont été attaquées par le M23. Ceux-ci ont immédiatement riposté alors que les Ougandais qui sont entrés par Bunagana ont été portés en triomphe par ce même M23. L’armée ougandaise supposée la grande muette a lâché que les éléments du M23 sont leurs frères. Ils ne peuvent jamais les combattre. Clairement, la force de l’EAC ne vient pas pour rétablir la paix et la stabilité sur le territoire congolais chacun disposant de son propre agenda.
L’heure est donc venue pour tirer au clair cette situation chaotique délibérément entretenue par ces contingents de la sous-région de l’Afrique de l’Est. L’annonce de ce report sine doit permettre à toutes les parties de définir les objectifs communs de la présence de ces armées étrangères sur le territoire congolais surtout qu’elles occupent parfois des zones minières. Certains compatriotes regrettent de s’en être pris aux troupes de la Monusco plutôt que cette nébuleuse force de l’Afrique de l’Est.
Pas de raisons officielles
Les raisons de la non-tenue de ces assises de Goma, ni une nouvelle date de ce rendez-vous n’ont été communiquées. S’exprimant à ce sujet le lundi dernier lors de sa rencontre à Goma avec la presse, le porte-parole du gouvernement congolais, Patrick Muyaya, a indiqué qu’il ne fallait pas faire des fixations sur les dates : « Quoi qu’il en soit, on sera obligé de nous retrouver. Donc, il ne faut pas faire des fixations sur les dates, parce que la problématique est connue et l’urgence de se réunir pour discuter à propos l’est aussi ».
Cette réunion devra discuter de l’avenir de la force régionale, poursuit-il, parce qu’il y a des points sur lesquels la RDC n’est pas d’accord dans la manière dont les choses ont fonctionné : « Comme nous sommes dans un processus sensible, la discussion que nous avons avec la force régionale c’est aussi de nous assurer que de manière progressive, au fur et en mesure qu’ils se retirent, nous soyons en mesure de retourner d’abord les administrateurs des territoires. Vous savez que nous sommes sous état de siège, et donc ce sont des militaires ».
La discussion avec la force régionale « sera évidemment une discussion de vérité », a estimé Patrick Muyaya, affirmant toute fois son scepticisme : « On attend de voir parce que vous savez que, depuis que ce processus a commencé, nous, nous restons sceptiques parce que nous connaissons les acteurs ».
Les autorités congolaises n’attendaient que ses hôtes. Une première équipe d’avance séjournait déjà à Goma. Et le Vice-premier ministre chargé de la Défense, Jean-Pierre Bemba, y était attendu hier mercredi.
Kigali estime, pour sa part, qu’au stade actuel, les conditions sécuritaires ne sont pas réunies à Goma pour sa délégation. Il propose ainsi une délocalisation de ces échanges. Parmi les options sur la table, il y a le Burundi pour la réunion des militaires. Ce pays assure la présidence tournante de l’EAC. Bujumbura avait d’ailleurs abrité l’une des précédentes rencontres des chefs des armées du regroupement sous régional.
Emma Muntu
«C'est rassurant de savoir que le processus électoral se déroule dans un environnement apaisé pour la crédibilité des élections ». Ces paroles ont été dites par Damien Mama, Représentant résident du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) après ces échanges ce mercredi 19 avril 2023, avec Denis Kadima, Président de la Commission électorale nationale indépendante.
Arrivé à Kinshasa tout récemment, où il a pris ses nouvelles fonctions, l'hôte du numéro un de la Centrale électorale en a profité pour faire le point du partenariat existant entre les deux institutions. « C'est une visite de courtoisie, car cela fait un mois et demi que je suis arrivé en RDC. C'était donc de mon devoir de présenter mes civilités au Président de la CENI étant donné que nous avons un bon partenariat. J'ai prêté une oreille attentive pour l'écouter sur l'évolution du processus électoral, un événement important pour le développement de la RDC. Le PNUD gère le projet d'appui au cycle électoral qui illustre justement ce partenariat existant avec la CENI. Nous avons saisi l'occasion pour faire le point. Le Président Denis KADIMA m'a donné des orientations sur la manière qu'il estime la mieux possible pour le développement de ce partenariat, du soutien que le PNUD est en droit d'apporter à l'institution qu'il dirige pour que les élections se déroulent de façon transparente et pacifique », a arboré Damien Mama. Avant de renchérir :"J'ai été agréablement surpris de l'aisance dont a fait preuve le Président de la CENI et la confiance que lui-même a en ce processus électoral. C'est rassurant de savoir qu'il prend des dispositions nécessaires pour s'assurer que cet événement important dans l'histoire de la RDC se déroule comme il se doit. Je sors de cet entretien avec beaucoup de satisfaction et j'espère bien que cette collaboration entre le PNUD et la CENI va permettre d'avoir des élections qui se déroulent dans un environnement calme et qu'elles auront toutes les garanties de transparence et crédibilité qui sont nécessaires pour les institutions démocratiques de la RDC".
Dans un second temps, le Président de la CENI qu'assistait le 2e Vice-Président, Dr Didi Manara Linga, a présidé une réunion avec une délégation du PNUD, conduite par le Représentant résidant adjoint, Mme Rokia Ye Dieng, en vue de faire le point sur l'état de la mise en œuvre du Projet d'appui au cycle électoral (PACE/PNUD).
Il convient de signaler que le Projet PACE entend contribuer à rendre le processus électoral transparent, inclusif et apaisé en soutenant la CENI et l'arbitrage des conflits et de la sécurité du processus électoral, mais aussi en renforçant l'inclusion et la participation et en réduisant les risques de violence. Il prévoit un soutien ciblé et stratégique des Nations Unies à la CENI et autres parties prenantes au processus électoral.
MB
*Une délégation de la firme Meta exprime au Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde sa volonté de contribuer à la transformation numérique de la RDC à travers les investissements.
Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge a reçu mercredi, 19 avril 2023, une délégation de Meta, connue précédemment sous l'appellation de Facebook, conduite par sa Directrice des Politiques publiques pour l'Afrique, Madame Balkissa Ide Sido avec à ses côtés Thys Kazad, Responsable des politiques publiques en Afrique Francophone. Cette délégation séjourne à Kinshasa dans le cadre d'une série de formations sur la sécurité en ligne en période électorale dédiées aux acteurs publics, privés et de la société civile. C'était en présence du Conseiller principal du Premier Ministre en charge des PTNTIC, Tony Munongo.
Auprès du Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde, Meta est venu exprimer sa volonté de contribuer à la transformation numérique de la République démocratique du Congo, à travers le renforcement des capacités et les investissements pour améliorer la connectivité Internet et le développement du métavers.
Au cours des échanges avec le chef du gouvernement de la République démocratique du Congo, la délégation de Meta a souligné son rôle important dans la sécurisation des plateformes numériques en période électorale.
" Nous nous attachons à sécuriser nos plateformes pendant ces périodes décisives et sommes ravis d'apporter notre contribution responsable par le dialogue constructif que nous menons en amont ici en RDC, avec les différents acteurs clés de ce processus, dont la CENI, les autorités gouvernementales et les organisations de la société civile", a laissé entendre Balkissa Ide Sido, Directrice des Affaires publiques pour l'Afrique Sub-Saharienne
Signalons par ailleurs que Meta travaille ensemble avec les différents acteurs de la République démocratique du Congo depuis plusieurs années pour améliorer la qualité d'accès à internet et assurer une utilisation sûre et responsable de ses plateformes numériques, conformément à la mission de Meta, mission qui consiste à donner à chaque personne le pouvoir de construire une communauté et de rapprocher le monde.
Avec la Cellcom/Primature
Le Bureau Diocésain des Œuvres Médicales (BDOM) Basankusu est en pleine supervision formative dans la Division Provinciale de la Santé de la Tshuapa. Couvrant la période allant du 11 mars au 25 avril 2023, elle est réalisée par la Sœur-Docteur Victorine Bofili et Mr Bernard Lofonga, respectivement Médecin-Coordonnateur du BDOM Basankusu et Infirmier-Superviseur du BDOM/ DPS Tshuapa.
« L’objectif général de cette supervision formative est de s’assurer de la bonne gestion et du fonctionnement de nos Formations Sanitaires (FOSA), dans une ouverture partenariale équilibrée qui respecte les textes légaux et les orientations Episcopales dans le domaine de la promotion de la santé », a indiqué la Sœur Victorine Bofili.
Les missionnaires sont ainsi en train d’évaluer la qualité des services des soins de santé primaire ; briefer et échanger sur l’Accord spécifique ; analyser et évaluer les différents outils de gestion des récoltes des données ainsi que des ressources humaines, matérielles et financières ; évaluer la fonctionnalité et l’efficacité des Comités Exécutifs, COGE, Comité de direction et autres organes subsidiaires.
Cette mission, qui se rend même à plus de plus de 500 km du bureau de coordination, doit aussi suivre l’évolution des projets ou programmes des partenaires qui se réalisent au sein des FOSA du BDOM Basankusu. Elle échange aussi, évalue et met sur pied de commun des mesures d’application de l’Accord Spécifique : DPS et Caritas AGAPE (SDPS).
Au-delà des efforts locaux, cette Supervision formative bénéficie de l’appui de la Caritas Congo Asbl et de la DPS Tshuapa. Il sied de souligner que les missionnaires font face à l’état délabré des routes, avec ce déplacement par véhicule. « Heureusement que 75% de ponts sont réhabilités », a relevé Sr -Dr Bofili qui promet des constats et recommandations à la fin de ce périple.
GMK/Caritasdev.cd
Paix durable dans l’Est de la RDC : Mbusa et Bintou Keita se lancent dans la recherche des solutions
Il était 17h30’, lorsque la représentante spéciale du Secrétaire général des Nations-Unies, Bintou Keita est arrivée au ministère de l'Intégration régionale pour un tête à tête avec le minEtat Antipas Mbusa Nyamwisi.
Après les traditionnelles civilités Bintou Keita a fait part de l'intention de la MONUSCO d'accompagner le minEtat dans ses nouvelles missions notamment, celle porter la politique de la RDC au sein des organisations régionales. Autres sujets au coeur de leur entretien, le P-DDRCS, Programme de désarmement, démobilisation, et relèvement communautaire et stabilisation, le prochain sommet de chefs d'Etat à Bujumbura, au Burundi ou encore la Feuille de route de Luanda et celle de Nairobi.
Antipas Mbusa et Bintou Keita ont exploré différentes pistes susceptibles d'aboutir à une paix durable dans l'Est de la RDC. La cheffe de la MONUSCO se dit convaincue que le volet diplomatique peut aider à éteindre le feu dans la partie orientale du pays.
Au regard de la complexité de la question sécuritaire à l'est et la volonté du chef de l'État de pacifier cette partie du pays ainsi que le dynamisme et l'intérêt que certains pays africains accordent dans la crise de l'est, le minEtat de l'Intégration régionale a fermement condamné la dernière sortie médiatique de Paul Kagame qui, selon lui, est de nature à violer le principe sacro-saint de l'Union africaine portant sur l'intangibilité des frontières héritées de la colonisation. Mbusa Nyamwisi a notamment, rassuré la représentante d'Antonio Guterres que le P-DDRCS prendra une vitesse de croisière à court terme, grâce à la sensibilisation des groupes armés. Nul doute, les redditions en grand nombre seront constatées dans les rangs des forces négatives.
Cellcom/MinEtat à l’Intégration Régionale
*Ce jeudi 20 avril 2022 au salon rouge de l'hôtel Fleuve Congo, le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a pris part à la première réunion du Cadre national de concertation des parties prenantes du secteur minier. Ici, le Chef du Gouvernement a présidé, au nom du Président de la République, cette cérémonie qui a sanctionné l'ouverture officielle de ce Forum qui a pour but de réfléchir sur la modernisation de l’exploitation minière artisanale en RDC. Plus de 150 participants vont, en effet, discuter des défis de la modernisation de l’exploitation minière artisanale en RDC.
Le Conseil présidentiel de veille stratégique (CPVS), qui assure la coordination de ce cadre, a expliqué que cette rencontre entend instaurer un dialogue permanent et entre acteurs impliqués dans la gestion des secteurs extractifs, pétrolier et minier.
A travers le pilier 5 de son Programme d’action 2021-2023, le Gouvernement avait pris l’engagement d’améliorer la gouvernance des ressources naturelles pour réaliser le bien-être des populations.
"Je suis honoré de présider à l'ouverture ce jour de la première réunion du Cadre national de concertation des parties prenantes du secteur minier. Et je vous remercie d'avoir répondu positivement à cette invitation. Les présentes assises tirent alors l'origine de la volonté de son Excellence Monsieur le Président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo, Chef de l'Etat, que je représente ici. Volonté tant de fois exprimée d'assainir le secteur minier en particulier, et le secteur extractif, en général, afin de promouvoir, à travers des principes consciencieux, édictés, une culture de transparence et de redevabilité tout en veillant à garantir la récupération et la restitution au patrimoine commun des ressources et de leur fruit qui font l'objet des litiges avec les étrangers. Cette vision comme cela a été rappelé ici, par le pilier 5 du programme d'action du gouvernement 2021-2023, consacre spécialement l'amélioration de la gouvernance dans la gestion des ressources naturelles, les entreprises publiques du secteur de portefeuille et des finances de l'Etat, nécessite un suivi assidu et concerté... Le Président de la République, Chef de l'Etat, a tenu à ce qu'un cadre idoine d'échange puisse voir le jour, sous la coordination du conseil présidentiel de veille stratégique, service spécialisé au sein de la présidence de la République, " a dit en substance, le Chef du Gouvernement, Jean-Michel Sama Lukonde.
Dans son allocution, le Premier Ministre a fait allusion à la situation sécuritaire qui persiste dans la partie orientale de notre territoire national où le pays est victime d'une guerre d'agression nous infligée par le Rwanda sous couvert du M23 notamment, par convoitise des ressources naturelles de la RD. Congo.
"Comme vous le savez, les ressources minérales dont regorgent notre sous-sol, en particulier le cobalt, le coltan, le germanium, le cuivre, le lithium, le manganèse, le nickel ou encore le graphite, pour ne citer que ceux-ci, font l'objet d'une très forte demande et de convoitise en raison de leur centralité dans la transition énergétique et numérique dans laquelle l'humanité tout entière est embarquée aujourd'hui", a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le Premier Ministre a insisté sur la nécessité de veiller au contrôle et à la transparence des chaînes d'approvisionnement de ces métaux à travers le pays.
"Bien que cela puisse constituer un motif de fierté, la position de leader mondial dans la production de ces métaux doit impérativement nous interpeller dans la nécessité de renforcer le contrôle et la transparence sur toute l'étendue des chaînes d'approvisionnement des dites ressources au moyen non seulement du code minier et du règlement minier en vigueur, mais aussi par l'observance et la mise en œuvre du devoir de diligence imposé par le guide de l'Organisation du Commerce et de développement économique, OCDE, en sigle. Je veux rappeler ici que, c'est uniquement par la rigueur de la cohésion, résultat de la conjugaison de nos efforts, que nous parviendrons à réaliser cet objectif d'assainir notre secteur extractif dans son ensemble. C'est pourquoi, sous l'impulsion du Président de la République, son excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Gouvernement a pris sans aucune réserve la mise en place de ce cadre national de concertation. Pour autant qu'il permette de fédérer les contributions, les meilleures de tout un chacun, en vue d'atteindre les objectifs de transparence assignés à cette noble initiative, " a-t-il précisé.
Il sied de noter que cette cérémonie a connu la participation de la ministre des Mines, Antoinette N'Samba Kalambayi qui, dans son allocution, a soulevé les différents défis à relever dans l’exploitation minière artisanale en RDC. On retient aussi la participation de François Muamba, le Coordonnateur du Conseil présidentiel de veille stratégique, des principaux opérateurs miniers de la RDC, des services publics et spécialisés de l’Etat, des entités territoriales décentralisées (ETD), des organisations de la Société civile ainsi que des partenaires techniques et financiers du Gouvernement.
(LPM Avec la Cellcom/Primature)
Le vice-gouverneur de la province de l'Ituri , le commissaire divisionnaire Raüs Chalwe Ngwashi a sollicité du Minétat en charge de l'Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi, une campagne de mobilisation pour persuader tous les groupes armés à emprunter la voie du P-DDRCS, Programme de désarmement, démobilisation, et relèvement communautaire et stabilisation.
Reçu en audience par le MinEtat, ce lundi 17 avril, le vice-gouverneur d'Ituri, province sous-état de siège, a fait part de toute sa détermination à accompagner le ministre d'Etat Mbusa Nyamwisi à ramener la paix en ituri.
Le bilan de Félix Antoine Tshisekedi à la tête de Communauté économique des États d'Afrique centrale (CEEAC) en 2022 a recueilli la note excellente.
Mme Yvette Kapinga Ngandu, Commissaire Promotion Genre Développement humain et social à la CEEAC l'a dit, ce mardi 18 avril 2023, au cours de l'audience lui accordée par le Minétat en charge de l'Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi.
Mme Yvette Kapinga a profité de l'occasion, pour solliciter l'implication personnelle de Mbusa Nyamwisi dans nombre de dossiers concernant l'organisation régionale.
La CEEAC organise, en effet, courant 2023, une conférence humanitaire en RDC.
Le Ministre d'Etat en charge de l'Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi et le Coordinateur du Mécanisme national de suivi des accords d'Adis-Abeba (MNS), Claude IBalanky Ben Baruch Ekolomba,
ont, évalué, ce lundi 17 avril 2024, le travail du MNS en faisant une projection sur les plans d'actions prioritaires qui ouvrent sur la 11 ème réunion de haut niveau du mécanisme régional de suivi prévue pour ce 6 mai 2023,à Bujumbura (Burundi).
Le sommet de Bujumbura sera notamment marqué par la cession du bâton de commandement par le Président en exercice du Mécanisme de l'Accord-cadre d'Adis-Abeba, Félix Tshisekedi à son homologue burundais, Evariste Ndayishimiye.


